Asasp-Arros

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Asasp-Arros
Asasp-Arros
La mairie d'Asasp-Arros.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Roland Benoît Laperne
2020-2026
Code postal 64660
Code commune 64064
Démographie
Gentilé Asaspois
Population
municipale
469 hab. (2021 en diminution de 2,9 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 24″ nord, 0° 36′ 45″ ouest
Altitude Min. 243 m
Max. 1 093 m
Superficie 23,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Asasp-Arros
Liens
Site web asasp-arros.fr

Asasp-Arros [asasp aʁɔs] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Asasp-Arros se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 41 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 9 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Lurbe-Saint-Christau (1,1 km), Eysus (2,8 km), Gurmençon (4,0 km), Issor (4,5 km), Agnos (4,6 km), Escot (5,1 km), Bidos (6,3 km), Issor (6,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Asasp-Arros fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Située dans le bassin versant de l'Adour, la commune est traversée[7] par le gave d'Aspe (qui alimente le gave d'Oloron) et par ses affluents, le gave de Lourdios, les ruisseaux le Barescou, Toupiette, de Labatnère, de Cournalès, l'Arrectou, les arrècs de Bugalas, de Lassalle et des Abérats.

Un autre affluent du gave d'Oloron, le ruisseau la Mielle (qui prend sa source sur la commune) et ses tributaires, le ruisseau de Sarraude et les arrècs de Cazaux et de Termy, coulent également sur le territoire de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 562 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 8 km à vol d'oiseau[11], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Un domaine boisé important[15], sillonné de chemins de randonnées, s'étend sur la commune. Le pic Bellevue, également appelé pic Cambet, culmine à 681 mètres[6], la soum du Caut à 689 mètres[6], la soum de Las Osques à 691 mètres[6] et le pic Pédeher à 712 mètres[6]. Enfin, à la frontière avec Issor, la soum d’Athay se dresse à 728 mètres[6] et celle de Ségu à 768 mètres[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Asasp-Arros est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51 %), prairies (20,2 %), terres arables (9,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), zones urbanisées (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Asasp-Arros est desservie par la route nationale 134, entre Pau et le col du Somport et par la route départementale 918, qui mène à Argelès-Gazost.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Asasp-Arros est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Aspe, le gave de Lourdios et la Mielle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2022[25],[23].

Asasp-Arros est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[26]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[27],[28].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[29]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Asasp-Arros.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 77,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Asasp apparaît sous les formes Asap (1364[22], fors de Béarn[33]), Azasp (1375[22], contrats de Luntz[34]), Asasp (vers 1630[35], d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn) et Asasp sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[35]).

Michel Grosclaude[35] indique qu’Asasp est apparenté au basque as/aitz (« pointe rocheuse ») et aspi (« derrière »), soit « sous la pointe rocheuse ».

Le toponyme Arros est mentionné dès le XIIe siècle[22] (titres de Gabas[36]) ainsi qu’en 1220[35] (for d'Oloron[33], sur copie de 1551), 1249[35] (sentence sur le Josbaig, vidimus de 1464), 1367[35] (cartulaire d'Oloron[37]), 1380[35] (archives départementales des Pyrénées-Atlantiques) et sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[35]).

D’après Michel Grosclaude[35], Arros provient du radical basque (h)arr (« pierre ») ou d'un ancien propriétaire Arro, augmenté dans les deux cas du suffixe aquitain -ossum, soit donc « lieu de pierre » ou « domaine d’Arro ».

À partir de 1956, et jusqu'en 1971, date de sa fusion avec Asasp, Arros s'est appelée Arros-d'Oloron[38], pour se différencier d'Arros-de-Nay.

Son nom béarnais est Asasp-Arros.

Arripe est une ferme d’Asasp, déjà mentionnée en 1385[22] (censier de Béarn[33]).

Attay est une lande d’Asasp, citée par le dictionnaire de 1863[22].

Boumayou est un hameau, déjà référencé par le dictionnaire de 1863[22], tout comme les écarts d’Asasp, Castetgouly[22] et Castetmans[22].

Le dictionnaire de 1863[22] mentionne une lande du nom de Caup.

La Courtie était un écart d’Asasp cité par le dictionnaire de 1863[22].

Croues, autre lande d’Asasp, apparaît dans le terrier d’Asasp[39], en 1778[22], sous la graphie Couroues.

Domec est un fief vassal de la vicomté de Béarn, cité en 1863[22] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque. Il apparaît sous les graphies Domec-Poe et la Domecq (respectivement 1538[22] et 1546[22], réformation de Béarn[40]).

Hourcq désignait en 1863[22] une lande d’Asasp.

Le Lagnos est un bois d’Asasp, qu’en 1538[22], la réformation de Béarn[40] notait Lo Lanhos.

Monlong est référencé en 1863[22] comme une lande d’Asasp, tout comme Tachouas.

Ségu est un mont[22] dont l’emprise s’étend sur Asasp et Issor.

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[22] note qu'en 1385, Asasp comptait 17 feux et Arros 7. Toutes deux dépendaient du bailliage d'Oloron.

La commune d'Arros comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

Le (arrêté préfectoral du )[38], la commune d'Arros-d'Oloron (dénommée Arros jusqu'en 1956) est absorbée par Asasp pour former la nouvelle commune de Asasp-Arros.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Henri Navailles    
2001 2005 Vincent Poey    
2005 2014 André Minjuzan    
mars 2014 mai 2020 Bernard Mora PCF  
mai 2020 En cours Roland Benoît Laperne DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de sept structures intercommunales[41] :

  • la communauté de communes du Piémont Oloronais ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de la source de la Colombe ;
  • le syndicat de regroupement pédagogique des communes de Lurbe et d'Asasp-Arros ;
  • le syndicat de télévision d'Oloron-vallée d'Aspe ;
  • le syndicat intercommunal d'assainissement de la porte d'Aspe ;
  • le syndicat mixte de production d'eau potable Jean Petit.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Le nom des habitants est Asaspois[42],[43].

Paul Raymond[22] note qu'en 1385 Arros comptait 7 feux.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

En 2021, la commune comptait 469 habitants[Note 6], en diminution de 2,9 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
602517611563713751766718741
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
642649619583543513502491495
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
465511560489438482421407431
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
434395566564601547524520487
2017 2021 - - - - - - -
461469-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

De 1793 à 1968, la population indiquée ne reflète que celle d'Asasp, encore séparé d’Arros-d’Oloron, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[48].

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
182157157179200204177193189
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
170210211215205201202140148
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
150148144116117107101108113
1962 1968 - - - - - - -
113106-------
(Sources : Cassini)

Asasp-Arros fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école élémentaire.

Sports[modifier | modifier le code]

Rugby à XV[modifier | modifier le code]

Basket-ball[modifier | modifier le code]

Le Basket Club Haut-Béarn, né de la fusion en 2006 avec le club de basket d'Agnos, évolue en championnat Excellence (1re division départementale).

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole (élevage, pâturages, polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty. La qualité des eaux des gaves a permis le développement de la pisciculture.

Une usine hydroélectrique a été construite au confluent du gave d'Aspe et de celui du Lourdios[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 1494[38], une digue sur le gave d'Aspe reliait Lurbe à Asasp. Elle fut ensuite remplacée par un pont, faisant du village une étape importante sur une voie secondaire de la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins contemporains du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Les églises Saint-Jean-l'Évangéliste[49] d'Asasp et Saint-Vincent-Diacre[50] d'Arros datent toutes deux du XIXe siècle et sont répertoriées à Inventaire général du patrimoine culturel.

Les monuments historiques ont classé la clôture de chœur[51] de l'église d'Asasp et la peinture du plafond[52] de l'église d'Arros. D'autres éléments de ces églises sont également classés à titre d'objets, sans que les fiches du ministère de la Culture ne précisent le lieu exact. Ainsi, il faut mentionner trois autels retables du XVIIIe siècle[53],[54],[55] et un tableau du XVIIe siècle[56] figurant l'agonie du Christ.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Métadonnées de la commune d'Asasp-Arros », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Asasp-Arros et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Asasp-Arros et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Asasp-Arros », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo et bp Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. Notice du Sandre sur Asasp-Arros
  8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Orthodromie entre Asasp-Arros et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. La page environnement du site de la commune
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z et aa Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  23. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Asasp-Arros », sur Géorisques (consulté le ).
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  26. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  29. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Asasp-Arros », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  33. a b et c Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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  35. a b c d e f g h et i Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
  36. Titres de l'hôpital de Gabas - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Titres publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  38. a b c et d La page histoire du site de la commune
  39. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. Gentilé sur habitants.fr
  43. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
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  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Arros », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  49. « L'église Saint-Jean-l'Évangéliste », notice no IA64000616, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « L'église Saint-Vincent-Diacre », notice no IA64000615, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « La clôture de chœur de l'église d'Asasp », notice no PM64000732, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « La peinture du plafond de l'église d'Arros », notice no PM64000037, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « Premier autel retable classé », notice no PM64000047, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Second autel retable classé », notice no PM64000046, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « Troisième autel retable classé », notice no PM64000045, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. « Le tableau classé, figurant l'agonie du Christ », notice no PM64000044, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.