Boueilh-Boueilho-Lasque

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Boueilh-Boueilho-Lasque
Boueilh-Boueilho-Lasque
L’école du village
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Pierre Costadoat
2020-2026
Code postal 64330
Code commune 64141
Démographie
Gentilé Boueilhais-Lasquais
Population
municipale
387 hab. (2021 en augmentation de 14,84 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 36″ nord, 0° 18′ 42″ ouest
Altitude Min. 117 m
Max. 263 m
Superficie 17,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Boueilh-Boueilho-Lasque
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Boueilh-Boueilho-Lasque
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Boueilh-Boueilho-Lasque
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Boueilh-Boueilho-Lasque

Boueilh-Boueilho-Lasque (en béarnais Buelh-Buelhòu-Lasque ou Boélh-Boelho-Làsquẹ) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Boueilh-Boueilho-Lasque se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 22 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Lauret (3,4 km), Claracq (3,6 km), Pouliacq (3,8 km), Garlin (3,9 km), Ribarrouy (3,9 km), Coublucq (4,3 km), Baliracq-Maumusson (4,7 km), Garlède-Mondebat (4,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Boueilh-Boueilho-Lasque fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Boueilh-Boueilho-Lasque[6]
Poursiugues-Boucoue Lauret
(Landes)
Coublucq Boueilh-Boueilho-Lasque Garlin
Garlède-Mondebat Claracq Ribarrouy

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Boueilh-Boueilho-Lasque.

La commune est drainée par le Gabas, le Bahus, la Rimblé, L'Arriutort, la Brioulette, le Tourniquet, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 23 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Gabas, d'une longueur totale de 116,7 km, prend sa source dans la commune d'Ossun et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Souprosse, après avoir traversé 43 communes[8].

Le Bahus, d'une longueur totale de 47,9 km, prend sa source dans la commune de Claracq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Sever, après avoir traversé 16 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Pyrénées atlantiques »0[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 075 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 13 km à vol d'oiseau[13], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[17],[Carte 2] : la « retenue de Miramont » (119,69 ha), couvrant 4 communes dont 2 dans les Landes et 2 dans les Pyrénées-Atlantiques[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boueilh-Boueilho-Lasque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48 %), prairies (23 %), forêts (19,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), eaux continentales[Note 6] (1,5 %)[24].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Boueilh : Desblancs Pas, Lasmarrigues, Mère, Michou, Pébrocq, Plaux, Pédarnaud ; Routchet
  • Boueilho : Borny, Castéra, Dupouy-Manescau, Lapaloque quartier labarrère, Pébousquet ;
  • Grillot ;
  • Labrit ;
  • Lasque : Conte, Dupouy Lahitte, Fortisson, Roquehort

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route nationale 134 et les départementales 296, 297 et 946.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Boueilh-Boueilho-Lasque est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Bahus et le Gabas. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 2008, 2009 et 2013[27],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boueilh-Boueilho-Lasque.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 66,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[29].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 8]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Boueilh apparaît sous les formes Boeil (1681[32], réformation de Béarn[33]), Boeilh (1793[34] ou an II) et Boeilhe (1801[34]). Ce toponyme provient du latin bovillum qui désigne un domaine à bœufs[35].

Le toponyme Boueilho apparaît sous les formes Boilho et Boeilho (respectivement 1538[32] et 1673[32], réformation de Béarn[33]), Boeilho (1793[36] ou an II) et Boielho (1801[36]). Le nom Boueilho tire, comme Boueilh, ses origines du latin bovillum[35].

Le toponyme Lasque est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[32].

Le nom béarnais de la commune est Buelh-Buelhòu-Lasque[37] ou Boélh-Boelho-Làsquẹ[38].

Le toponyme Fortisson est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque qui indique que la ferme concernée tire son nom des seigneurs de Fortisson[32].

Le toponyme Roquefort apparaît sous la forme Arroquefort (XIIIe siècle[32], fors de Béarn[39]). Ce hameau est également appelé Roquefort-de-Tursan, pour le distinguer de Roquefort-de-Marsan.

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[32] note que Boueilh dépendait du Tursan et de la subdélégation de Saint-Sever, tout comme Boueilho.

La commune a été formée en 1843[32] par la réunion des villages de Boueilho et Lasque à Boueilh. Cependant cette union est pour le moins particulière : chaque village ayant gardé longtemps une sorte d’indépendance et des fonctionnements distincts. Chacun possède son église où la messe dominicale est célébrée à tour de rôle.

L’origine des 2 premiers noms aurait un lien avec « l’étable à bœufs ». Lasque serait plutôt d’origine ligure et signifierait « au-dessus du ruisseau ».

Ces 3 villages ne furent rattachés véritablement au Béarn que de 1240 à 1452, date à partir de laquelle ils furent annexés au royaume de France. Pointe avancée vers la Chalosse, les échanges se font indifféremment vers les Landes ou le Béarn.

Roquefort faisait partie du Tursan et de la subdélégation de Saint-Sever[32].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la commune de Boueilh-Boueilho-Lasque, a joué un rôle important pour les résistants. En effet, sur les terres appelées « Landes », longues parcelles de terre noire, les résistants aménagèrent une piste d'atterrissage pour leur convois. Lorsque les habitants entendaient le message suivant à la radio : « les feux d'Albanie doivent être éteints », cela signifiait qu'il fallait éteindre toutes les lumières afin que les lampes à huile disposées les unes derrière les autres sur la Lande pour délimiter la piste deviennent visibles.[réf. nécessaire]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 En cours Pierre Costedoat    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Boueilh-Boueilho-Lasque fait partie de six structures intercommunales[40] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

En 2021, la commune comptait 387 habitants[Note 9], en augmentation de 14,84 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
287288610342335397860881855
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
800787752712731673691630614
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
615621553527456454439411389
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
350347302283323329336342364
2014 2019 2021 - - - - - -
342375387------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Un des habitants de ce village, Jean Lacoste, alias « Jan de Mounic », a signé un ouvrage bilingue (patois béarnais/ français) contant la vie dans ce village avant 1950[45].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

L'ensemble fortifié[46] de Boueilho-Castéra pourrait être un ancien camp préhistorique.

L'édifice fortifié[47], dit Moutha, sis au lieu-dit Lasque-Roquefort, date des XIIIe et XIVe siècles.

Un château[48] datant du XVIIIe siècle se dresse au lieu-dit Lasque-Fortisson.

La commune présente un ensemble de fermes et de maisons[49] datant des XVIIIe et XIXe siècles. Le presbytère[50] de Boueilh date, quant à lui, de 1843.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Aignan[51], à Boueilh, date de 1850. Son cimetière[52] est également inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel, tout comme les objets[53], tableaux[54], statues[55] et divers mobiliers[56] qu'elle renferme.

L'église Saint-Jean[57], à Boueilho, pourrait tirer ses origines du haut Moyen Âge. On y trouve des objets[58] et une lithographie (chemin de croix[59]) référencés par le ministère de la Culture.

L'église Saint-Martin[60], de Lasque, a été reconstruite, quant à elle, au début du XXe siècle, mais son abside provient du XIIe siècle. Elle recèle du mobilier[61], des tableaux[62], des statues[63] et des objets[64] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements[modifier | modifier le code]

éducation

La commune dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[30].
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Boueilh-Boueilho-Lasque » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « ZNIEFF de type I sur la commune de Boueilh-Boueilho-Lasque », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Boueilh-Boueilho-Lasque », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Boueilh-Boueilho-Lasque et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Boueilh-Boueilho-Lasque et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Boueilh-Boueilho-Lasque », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Boueilh-Boueilho-Lasque », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Gabas ».
  9. Sandre, « le Bahus ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Boueilh-Boueilho-Lasque et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Boueilh-Boueilho-Lasque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF la « retenue de Miramont » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Boueilh-Boueilho-Lasque », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. Article R214-112 du code de l’environnement
  31. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  32. a b c d e f g h et i Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  33. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  34. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Boueilh », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  35. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1859 Lire en ligne
  36. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Boueilho », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  37. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  38. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  39. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Titre du livre : Atàu bibè lou biladje (Mon village était vivant) - Achevé d'imprimer le 11 juillet 1994 sur les presses de l'imprimerie Bihet (64320 Bizanos)
  46. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la Castéra
  47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'édifice fortifié dit Moutha
  48. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château
  49. [1][2][3][4][5] [6][7][8][9][10][11] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons des XVIIIe et XIXe siècles.
  50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le presbytère
  51. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Aignan
  52. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le cimetière
  53. [12][13][14][15][16][17][18][19][20] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets de l'église Saint-Aignan
  54. [21][22] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église Saint-Aignan
  55. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'église Saint-Aignan
  56. [23][24][25][26] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Aignan
  57. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean
  58. [27][28][29][30][31] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets de l'église Saint-Jean
  59. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la lithographie de l'église Saint-Jean
  60. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
  61. [32][33] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Martin
  62. [34][35] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église Saint-Martin
  63. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'église Saint-Martin
  64. [36][37][38][39][40][41][42][43][44] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Martin