Arros-de-Nay

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Arros-de-Nay
Arros-de-Nay
La mairie.
Blason ville fr Arros-de-Nay (Pyrénées-Atlantiques)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nay
Maire
Mandat
Gérard d'Arros
2020-2026
Code postal 64800
Code commune 64054
Démographie
Gentilé Arrosiens
Population
municipale
800 hab. (2021 en diminution de 0,99 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 01″ nord, 0° 17′ 09″ ouest
Altitude Min. 230 m
Max. 421 m
Superficie 13,47 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Pau
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ouzom, Gave et Rives du Neez
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Arros-de-Nay
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Arros-de-Nay
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Arros-de-Nay
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Arros-de-Nay
Liens
Site web arrosdenay.fr

Arros-de-Nay [aʁɔs də naj] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Arros-de-Nay se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 15 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 4 km de Nay[3], bureau centralisateur du canton d'Ouzom, Gave et Rives du Neez dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Abit (0,9 km), Bourdettes (1,0 km), Pardies-Piétat (1,9 km), Baudreix (2,5 km), Nay (2,9 km), Boeil-Bezing (2,9 km), Mirepeix (3,1 km), Baliros (3,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Arros-de-Nay fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Accès[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 37, 288 et 936.

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Arros-de-Nay.

La commune est drainée par le Luz, le Luz de Casalis, un bras du Luz, Canal de la Grau, Canal de l'Escourre, le Luz de Cazelis, le Petit Béez, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Luz, d'une longueur totale de 15,2 km, prend sa source dans la commune de Lys et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Assat, après avoir traversé 9 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 349 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bénéjacq à 6 km à vol d'oiseau[13], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 244,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[18], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[19],[Carte 2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arros-de-Nay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau, une agglomération intra-départementale regroupant 55 communes[23] et 204 037 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[26],[27].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,8 %), forêts (31,4 %), prairies (15,9 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (2,2 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Arros-de-Nay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Luz. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 2007, 2008 et 2009[31],[29].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arros-de-Nay.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[32]. 83,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Arros apparaît sous les formes Arrossium (1100[7], titres de Mifaget), Arros (1120[34], Pierre de Marca[35]) Arrode et Rode (XIIe siècle[7] pour ces deux formes, Pierre de Marca[35]), B. d’Arros, sieur d’Arrode (1137[34], règlement de la Cour Major, Pierre de Marca[35]), Arros (1286, cartulaire du château de Pau[36]), et Arros sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[34]). Michel Grosclaude[34], quoiqu'avec les plus grandes réserves, penche pour une racine aquitaine (h)arr (« pierre, rocher ») augmenté du suffixe -ossum, qui donnerait donc « endroit où il y a des rochers ». Mais on pensera aussi au mot arro, désignant un précipice ou encore le bassin d'une rivière.

Son nom béarnais est Arròs-de-Nai[37] ou Arros-de-Nay[38].

Microtoponymie[modifier | modifier le code]

Bées est un hydronyme désignant le Petit Béez, déjà mentionné sous la graphie le Bée en 1675[7] (réformation de Béarn[39]).

Bié est le nom d’une ferme dont mention est faite en 1385[7] sous la forme Bier (censier de Béarn[40]).

Bozom est le nom d’une ferme d’Arros, qui apparaît sous les formes la Monyoge de Bosom (1536, réformation de Béarn[39]) et Bouzoum (1863[7], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

Le château d’Espalungue est mentionné dans le dictionnaire de 1863[7].

Laragnous (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque) était une ferme d’Arros dont l’existence est attestée en 1385[7] (censier de Béarn[40]) sous la graphie Laranhoet.

Le 27 janvier 1932, le préfet invoquant des méprises administratives consécutives à la pluralité des Arros dans le département, (Arros canton de Nay, Arros canton d'Oloron) décidait d'associer le nom du chef-lieu de canton à celui de la commune et demandait au conseil municipal d'entériner sa décision. Le conseil de l’époque s'exécuta.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.

Les premières traces du village remontent au XIe siècle, cité sous le nom d’Arrossium ('lieu ou l’on trouve les rochers'). Au XIIe siècle, une famille noble (de Rode, d’Arrode puis d’Arros) qui possédait les seigneuries de Rode, Vauzé et la viguerie de Lembeye prit possession du fief qui devint par la suite Arrode puis Arros.

Paul Raymond[7] note qu'en 1385, Arros comptait quarante-quatre feux et dépendait du bailliage de Pau. Arros, et ses hameaux jusqu’à Bosdarros ('bois d’Arros'), constituait en 1385, la septième[7] des douze grandes baronnies du Béarn.

La famille d'Arros[41] était l'une des douze grandes baronnies du Béarn, son fief était Arros-de-Nay. Jean-François d'Arros (1726-1791) commença sa carrière maritime comme garde de la marine dès 14 ans. Devenu capitaine d'artillerie en 1762, il devint capitaine de Frégate en décembre 1766. Jean-François commanda la marine de l'îsle de France (aujourd'hui Maurice, dans l'océan Indien) en 1770 et 1771 à l'époque où une expédition française visita les îles Seychelles. Commandée par Durosland et de la Biolière, l'expédition lui rendit hommage en donnant son nom à un atoll de 2,5 km². Arros, île au climat paradisiaque, à l’écart de la route des cyclones, va beaucoup faire parler d’elle en France car devenue la propriété privée de Liliane Bettencourt de 1999 à 2012.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires d'Arros-de-Nay[42]
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1796 Jean Laban dit Mousempez    
1796 1799 Jean Lassus    
1799 1802 Jean Grilhere (fils) dit Grilhou    
1802 1805 Joseph Miramon    
1805 1809 Jean-Baptiste d'Espalungue    
1835   Miramon fils    
1867 1871 Miramon    
1871 1882 Suberbielle    
1882 1887 Henri d'Espalungue    
1887 1888 Alexis Barrère    
1888 1896 Marcel Miramon    
1896 1900 Armand d'Espalungue    
1900 1904 Jean-Alexis Dufau    
1904 1912 Armand d'Espalungue    
1912 1919 Jean Dufau    
1919 1923 Édouard Meniche    
? 1942 M. Porte   Révoqué par le Gouvernement de Vichy[43]
1961 1977 Léonce Fiol    
1977 1983 Jean Buisson    
1983 1995 Jean Berrette    
1995 2001 André Broqué    
2001 2014 Georges Bordenave    
2014 2026 Gérard d'Arros    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Arros-de-Nay appartient à cinq structures intercommunales[44] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Arrosiens[45],[46].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

En 2021, la commune comptait 800 habitants[Note 8], en diminution de 0,99 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0698421 0171 1581 1001 1701 1641 1101 121
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1241 1641 1041 007965986928903932
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
907911837751725764712629643
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
605582681816817728728815795
2021 - - - - - - - -
800--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Arros-de-Nay fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Arros-de-Nay dispose d'une école primaire.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2019, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 160  alors que la moyenne départementale s's'établissait à 22 110 [51],[52].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 468 personnes, parmi lesquelles on comptait 74,0 % d'actifs dont 66,4 % ayant un emploiet 7.6 % étant au chômage[53].

On comptait alors 162 emplois dans la zone d'emploi, contre 182 en 2013. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 315, l'indicateur de concentration d'emploi est de 51.3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un nombre insufisant d'emploi par rapport au nombre d'actifs[54]. Ainsi, 80,7 % des actifs travaillaient en dehors de la commune en 2018 contre 79.8 en 2013[55], les déplacements se faisant en majorité par voiture, camion ou fourgonnette[56].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au 31 décembre 2019, Arros-de-Nay comptait 64 établissements : 14 dans la construction, 14 dans les activités spécialisées diverses, 9 dans le commerce-transports-services divers, 7 dans l'immobilier, 6 dans l'industrie, 5 dans l'administration, 1 dans les finances, 1 dans l'information-communication et 1 était relative au secteur des finances[57]. En 2020, 11 entreprises ont été créées, dont 5 par des auto-entrepreneurs[58].

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 2010, la commune comptait 39 exploitations agricoles contre 40 en 2000. La surface agricole utilisée moyenne par exploitation est de 21.8 hectares contre 17.5 à ces mêmes dates. La surface agricole totale occupe de 897 hectares soit 31,5 % du territoire[59].

Arros-de-Nay fait partie de la zone d'appellation de l'Ossau-Iraty[60].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château d'Arros[61] date partiellement du XVIIe siècle. Son inscription par les monuments historiques date de 1988.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jacques-le-Majeur.

L'église Saint-Jacques-le-Majeur[62] fut édifiée en 1835. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'or à cinq losanges de sable ordonnées trois et deux.
Commentaires : Chacune des fusées représente un des cinq quartiers : le Bourg (ou quartier du château), Moun de Rey, Bois de Bié, Les Labassères, le Petit Hameau[63],[64].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Arros-de-Nay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Arros-de-Nay et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Arros-de-Nay et Nay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Arros-de-Nay », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs et bt Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. a b c d e f g h i j k et l Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
  8. « Fiche communale d'Arros-de-Nay », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le Luz ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Arros-de-Nay et Bénéjacq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Benejacq » (commune de Bénéjacq) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Benejacq » (commune de Bénéjacq) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arros-de-Nay », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Unité urbaine 2020 de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  24. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Arros-de-Nay », sur Géorisques (consulté le ).
  30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  31. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  33. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  34. a b c et d Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
  35. a b et c D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  36. Manuscrits en deux volumes, XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  38. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  39. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  40. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  41. L. V., « Affaire Bettencourt : les attaches béarnaises de l'Ile d'Arros », La République des Pyrénées,‎ (lire en ligne).
  42. Liste des maires sur le site de la mairie
  43. https://gallica.bnf.fr/services/image/highlighter/ark:/12148/bpt6k96275459/f5.image.r=canton.highres
  44. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  45. Gentilé sur habitants.fr
  46. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Insee, « Dossier complet − Commune d'Arros-de-Nay (64054) », sur insee.fr (consulté le ).
  52. Insee, « Comparateur de territoire − Commune d'Arros-de-Nay (64054) », sur insee.fr (consulté le ).
  53. EMP T1, Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  54. EMP T5, Emploi et activité.
  55. ACT T4, Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  56. ACT G2, Part des moyens de transports utilisés pour se rendre au travail en 2018.
  57. DEN T5, Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019.
  58. DEN T4, Créations d'établissements par secteur d'activité en 2020.
  59. « Géoclip - France découverte », sur france-decouverte.geoclip.fr (consulté le ).
  60. « Décret du 21 mars 2007 modifié relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Ossau-Iraty » », sur inao.gouv.fr (consulté le ).
  61. « Le château d'Arros », notice no PA00084318, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. « L'église Saint-Jacques-le-Majeur », notice no IA64000597, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. Armorial de France
  64. Page culture et histoire du site de la commune