Garos

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Garos
Garos
La mairie de Garos
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Jean-Marc Theulé
2020-2026
Code postal 64410
Code commune 64234
Démographie
Gentilé Garossiens
Population
municipale
264 hab. (2021 en augmentation de 8,64 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 30′ 26″ nord, 0° 28′ 19″ ouest
Altitude Min. 94 m
Max. 236 m
Superficie 12,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Artix et Pays de Soubestre
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Garos
Géolocalisation sur la carte : France
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Garos

Garos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Map

La commune de Garos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 29 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 23 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arzacq-Arraziguet[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Louvigny (2,5 km), Bouillon (2,6 km), Piets-Plasence-Moustrou (3,1 km), Fichous-Riumayou (3,1 km), Larreule (3,2 km), Uzan (3,8 km), Cabidos (4,0 km), Géus-d'Arzacq (4,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Garos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Garos.

La commune est drainée par le Luy, le Larritou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[8].

Le Larritou, d'une longueur totale de 4 km, prend sa source dans la commune de Fichous-Riumayou et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy à Peyre, après avoir traversé 8 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 143 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pomps à 6 km à vol d'oiseau[13], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 062,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Garos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (58,7 %), terres arables (25 %), forêts (16,2 %), prairies (0,1 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Bergerot
  • Boy
  • Cabané
  • Corbun
  • Hillot
  • Jagou

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D262, D271, D279 et D946.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Garos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Luy et le ruisseau de la Rance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Garos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 98,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[30].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Garos est mentionné au XIIe siècle[33] (titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[34]) et apparaît sous les formes Guaros (1342[33], notaires de Pardies[35]) et Gayros (1385[33], censier de Béarn[36]).

Le toponyme Corbun apparaît sous les formes Corbuü (1343[33], hommages de Béarn[37]), Corbun de Jago et Courbun (respectivement[33] 1538 et 1675, réformation de Béarn[38]).

Le toponyme Jagou apparaît sous les formes Jago (1343[33], hommages de Béarn[37]), Jaguo (1538[33], réformation de Béarn[38]) et Jagon (1749[33], règlement du Parlement de Navarre[39]).

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[33] note que la commune de Garos et le hameau de Jagou comptaient tous deux une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn et que le bailliage de Garos, aussi appelé bailliage de Morlanne, comptait en 1343 les communes et villages de Cassaigne, Caubios, Corbun, Garos, Jagou, Morlanne, Moustrou et Riumayou. Garos était également le chef-lieu du Soubestre. En 1385, on y comptait 89 feux.

Garos, ainsi que la commune voisine Bouillon, fut un centre potier à partir du Moyen Âge. La production s'effectuait à domicile par les femmes, et constituait une source de revenus complémentaire pour le foyer. Cette production se termina vers 1930[40].

Anecdote : En 1607 (sous Henri IV), à Garos, les cagots (population exclue du reste de la population dans la région, et contrainte à n'exercer que des métiers du bois) refusèrent de faire les cercueils et les tréteaux pour les supporter; les jurats et députés de la ville firent alors une ordonnance par laquelle ils obligeaient les cagots à exécuter ces funèbres travaux, à toute sommation, et cela moyennant un salaire fixe, que paierait le maître de la maison ou se serait produit le décès. Les cagots récalcitrants étaient passibles d’une « loi majeure »[41].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Entrée dans Garos.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Jean-Laurent Dupouy    
2001 2008 Jean-Marc Theulé    
2008 2014 Jean-Marc Theulé    
2008 En cours Jean-Marc Theulé    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Garos appartient à quatre structures intercommunales[42] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].

En 2021, la commune comptait 264 habitants[Note 7], en augmentation de 8,64 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
758556724768753719760729723
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
676658627576551540530536502
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
503508450388364358342330292
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
271239203207186191209212230
2017 2021 - - - - - - -
257264-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

La commune possède un ensemble[47] église, motte et basse-cour datant des XIVe et XVIe siècles.

Garos possède des fermes[48] des XVIIIe et XIXe siècles classées aux monuments historiques.

Le moulin[49] du village date du XIXe siècle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Barthélemy

L'église Saint-Barthélemy[50] date du XIXe siècle. Elle recèle neuf verrières[51] et divers mobiliers et objets[52] recensés par le ministère de la Culture.

Le cimetière de Garos possède une stèle discoïdale[53] du XVIIIe siècle.

Garos dans les arts[modifier | modifier le code]

Dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[54], le poète se réfère à un village qu'il appelle Garosse. Ce village n'existe pas sous cette orthographe.

Il peut donc s'agir de deux villages:

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Garos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Garos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Garos et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Garos et Artix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Garos », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Garos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Luy ».
  9. Sandre, « le Larritou ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Garos et Pomps », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Pomps » (commune de Pomps) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Pomps » (commune de Pomps) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Garos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Garos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune de Garos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Garos », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. Article R214-112 du code de l’environnement
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  33. a b c d e f g h et i Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  34. titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem - Archives départementales de la Haute-Garonne
  35. Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  37. a et b Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  39. Titres du Parlement de Navarre - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Anne Berdoy, « Garos et Bouillon La vérité au fond du pot », Le festin, vol. Hors-série « L'Aquitaine archéologique »,‎ .
  41. Dr H.-M. Fay, Histoire de la lèpre en France. I. Lépreux et cagots du Sud-Ouest, notes historiques, médicales, philologiques, suivies de documents, Paris, h. champion (lire en ligne), page 230.
  42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble église, motte et basse-cour
  48. [1][2][3][4] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les fermes de Garos
  49. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le moulin
  50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Note sur l'église Saint-Barthélemy
  51. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Barthélemy
  52. [5][6] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Barthélemy
  53. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la stèle discoïdale
  54. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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