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Mont-Saint-Aignan

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Mont-Saint-Aignan
Mont-Saint-Aignan
L'ancienne église Saint-Jacques.
Blason de Mont-Saint-Aignan
Blason
Mont-Saint-Aignan
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Catherine Flavigny
2020-2026
Code postal 76130
Code commune 76451
Démographie
Gentilé Mont-Saint-Aignanais
Population
municipale
20 066 hab. (2021 en évolution de +4,46 % par rapport à 2015)
Densité 2 527 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 45″ nord, 1° 05′ 14″ est
Altitude Min. 44 m
Max. 171 m
Superficie 7,94 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Mont-Saint-Aignan
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mont-Saint-Aignan
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Mont-Saint-Aignan
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Mont-Saint-Aignan
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Mont-Saint-Aignan
Liens
Site web montsaintaignan.fr

Mont-Saint-Aignan est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie, connue pour son campus universitaire (14 344 étudiants en 2019) et l'Espace Marc-Sangnier abritant la programmation culturelle de la ville et celle du Centre dramatique national de Normandie-Rouen.

Géographie

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Localisation

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Chef-lieu de canton, la commune est située sur une colline en surplomb et accolée à Rouen. Déville-lès-Rouen est l'autre commune du canton.

La ville compte quatre quartiers : la Vatine, le Village (Saint-Aignan), le Mont-aux-Malades et Saint-André.

Voies de communication et transports

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Mont-Saint-Aignan est desservie par la ligne T1 de l'infrastructure TEOR depuis son inauguration en 2002. La ligne relie le campus au centre-ville de Rouen à une fréquence d'un bus toutes les 6 minutes en heure de pointe. Depuis , cette ligne connait notamment une extension de ses horaires le soir (jusqu'à h 30 en semaine, et jusqu'à h 30 le vendredi).

La ligne T1 est complétée par quatre lignes régulières de bus (F2, F7, F8, 10 et 43) dont deux à haute fréquence qui relie le centre commercial La Vatine au centre-ville de Rouen. Ainsi que les communes aux alentours

Mont-Saint-Aignan est également desservie par le Noctambus, circulant jusqu'à plus d'une heure du matin les dimanches, lundis, mardis, mercredis et jeudis, et circulant jusqu'à un peu plus de h 30 du matin les vendredis, samedis et veilles de jours fériés.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 882 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Mont-Saint-Aignan est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (92,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (57,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (23,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,8 %), terres arables (2,9 %), forêts (2,8 %), prairies (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de Mont-Saint-Aignan provient des anciennes communes du Mont-aux-Malades et de Saint-Aignan.

Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctum Anianum au XIIe siècle[14].

L'hagiotoponyme Saint-Aignan se réfère à l'hagionyme Aignan d'Orléans, ancien évêque d'Orléans, saint patron de la paroisse[14].

Dès l'âge de la Tène finale (Ier siècle av. J.-C. en Gaule), on retrouve des traces d'une activité agricole sur la commune de Mont-Saint-Aignan. Les fouilles effectuées dans le cadre du contournement routier (de Bois-Guillaume) ont mis au jour quatre occupations gauloises et gallo-romaines liées à l'aménagement du territoire rural, parmi lesquelles on retrouve aujourd'hui le site des Bouillons[15].

En 933, Guillaume Ier Guillaume Longue Epée sortit de la ville de Rouen avec ses partisans pour s'installer sur une colline dite Le Mont aux Malades[16].

Commune formée au 1819 par la fusion des deux anciennes paroisses de Saint-Aignan (Sanctum Anianum, ancien évêque d'Orléans patron de la paroisse, cité au XIIe siècle) et du Mont-aux-Malades (Monte Infirmorum vers 1251 qui tire son nom d'un établissement hospitalier fondé au XIIe siècle). Une léproserie fut fondée vers 1119 sous la garde d'un prieuré de chanoines réguliers, par dix-neuf paroisses de Rouen sur le mont Saint-Jacques. Elle prit le nom de Mont-des-Lépreux ou Mont-des-Malades. Le prieuré, tombé en commende en 1518, fut dévasté par les protestants en 1562 et ses archives détruites. Henri II y adjoignit en 1176 une église dédiée à saint Thomas de Canterbury dont il espérait ainsi expier le meurtre. Ce prieuré devint église paroissiale en 1790 et servit sous la Révolution aux réunions de la « Société populaire et républicaine du Mont-Libre ».

Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée Mont-aux-Malades, porte provisoirement le nom du Mont-Libre[17].

En 1815, la commune absorbe une partie de celle voisine de Saint-Denis-de-Bondeville, qui se retrouve partagée entre Notre-Dame-de-Bondeville, Le Houlme, Maromme, Saint-Aignan et Saint-Jean-du-Cardonnay[17].

En 1819, elle absorbe celle de Saint-Aignan et devient Mont-Saint-Aignan[17].

Le passé rural de Mont-Saint-Aignan a été bouleversé par une urbanisation rapide à partir des années 1960.

Politique et administration

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Tendances et résultats politiques

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La ville de Mont-Saint-Aignan, tout comme sa voisine Bois-Guillaume, est très ancrée à droite (au sein d'une agglomération rouennaise nettement acquise à la gauche). Néanmoins, dans le cadre d'une élection triangulaire avec un candidat du MoDem, les élections municipales de 2008 ont porté, pour la première fois, une majorité de gauche aux responsabilités.

Lors du second tour des élections législatives de 2012, le candidat de l'UMP, Cyrille Grenot, a obtenu, dans la seule commune de Mont-Saint-Aignan, 17 voix de plus que Valérie Fourneyron, ministre des sports des gouvernements Ayrault et candidate PS, élue au niveau de la circonscription.

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales
Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours :

Référendums :

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1864   Mesnil    
1874   André Gouellain    
1876 1883 Pierre Bazière    
1884 1894 Pierre Bazière    
1897 1899 Henri Frère   Avocat
  1901 Houssard    
1902 1911 Barbier   Juge de paix
1913 1919 Alfred Campmas   Directeur des contributions directes
1921 27 novembre 1925 Ernest Lesueur   Receveur de rentes
Les données manquantes sont à compléter.
1926 1945 William Clamageran    
Les données manquantes sont à compléter.
1946 1947 Victor Boutrolle   Notaire
Les données manquantes sont à compléter.
1953 décembre 1961 Victor Boutrolle   Notaire
décembre 1961 juin 1980 Alain Brajeux MRP Avocat
juin 1980 mars 2001 Pierre Albertini UDF-PPDF Professeur de droit
Vice-président du conseil régional de Haute-Normandie (1992 → 1994)
Député de la Seine-Maritime (2e circ.) (2007 → 2017)
Maire de Rouen (2001 → 2008)
mars 2001 mars 2008 Françoise Guégot UDF puis UMP Consultante en informatique
Député de la Seine-Maritime (2e circ.) (1993 → 2007)
Vice-présidente de la CA Agglomération de Rouen (2001 → ? )
mars 2008 octobre 2012 Pierre Léautey PS Professeur de droit, conseiller général, vice-président du conseil général, président de Seine-Maritime Expansion
Démissionnaire
octobre 2012[29] 2014 Patrice Colasse PS Président du Centre d'information et de documentation jeunesse (CIDJ) à l'échelle nationale
2014 En cours
(au 10 août 2020)
Catherine Flavigny LR Professeure d'allemand
Réélue pour le mandat 2020-2026,[30]

La commune entretient des accords de coopération[31] avec :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 20 066 habitants[Note 5], en évolution de +4,46 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6259767541 6171 9292 1162 3822 3692 567
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6032 8883 0452 9092 9853 1153 4083 3793 729
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 1514 2424 3164 9425 2625 5885 8456 5857 358
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9 98916 03119 14619 73619 96121 26520 65919 33318 944
2021 - - - - - - - -
20 066--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune comprend la plus grosse partie du pôle universitaire, et est à ce titre, la ville de France où le taux d'étudiant est le plus élevé.

À sa population d'un peu plus de 21 000 habitants s'ajoutaient auparavant près de 20 000 étudiants. Depuis la répartition des différentes UFR sur l'ensemble de l'agglomération rouennaise, il reste environ 12 000 étudiants sur le campus historique de Mont-Saint-Aignan, principalement à travers l'UFR des lettres et sciences humaines, L'UFR des Sciences de L'Homme et de la Société, le pôle chimie/biologie de l'UFR des sciences, l'Institut régional de chimie organique fine, l'IUT de Rouen, l'UFR des STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) et l'ESPE.

Par ailleurs, on peut mentionner aussi la présence d'un centre de formation du CNAM et d'une partie de l'INSA de Rouen. Depuis 1965, la ville abrite le campus du groupe Rouen Business School, regroupant au sein de NEOMA Business School l'IFI, l'ECAL et l'ISPP. En 2008, l'Institut polytechnique UniLaSalle (ex ÉSITPA) est venu s'installer à Mont-Saint-Aignan alors que l'ESIGELEC l'a quitté en 2005 au profit de Saint-Étienne-du-Rouvray, campus que l'INSA de Rouen a également rejoint en .

L'enseignement du primaire est assuré par l'école Saint-André, l'école Albert-Camus, l'école Berthelot[34], l'école du Village, les écoles Pierre-et-Marie-Curie, et l'école Saint-Exupéry.

L'enseignement secondaire est assuré par le collège Jean-de-La Varende.

Manifestations culturelles et festivités

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  • L'espace Marc-Sangnier organise régulièrement des spectacles (danse, musique, théâtre) tout public et jeune public, ainsi que des expositions. Inauguré en après une longue période de travaux, il accueille en ses lieux la toute nouvelle bibliothèque municipale, l'école municipale de musique, les cours d'art dramatique, les cours de danse ainsi que l'école d'Improvisation Jazz-Christian-Garros (EIJ). Doté de deux salles de spectacle (l'une de 440 places et l'autre de 120 places), il propose à la fois une saison culturelle propre à la ville de Mont-Saint-Aignan et baptisée pour la saison 2020-2021 « La vi[ll]e demain! » mais également une partie de la programmation du Centre dramatique national de Normandie-Rouen dirigé par David Bobée de 2013 à 2021 ainsi que les concerts de jazz organisés par l'école d'improvisation Jazz (« Les Jazz Clubs de l'EIJ »).
  • Le cinéma Ariel, classé « art et essai », participe également à divers festivals comme « la Semaine italienne », « À l'Est du nouveau » ou encore « Le Courtivore ». Inauguré le , ce cinéma doté d'une salle unique propose aujourd'hui une programmation sur cinq jours dès le mercredi et des séances Galopins plus particulièrement destinées aux enfants. Des soirées thématiques sont régulièrement organisées qui permettent aux spectateurs de dialoguer et débattre avec des réalisateurs ou des producteurs venus présenter leur travail. Le responsable de ce cinéma poursuit, au travers d'un dispositif d'éducation à l'image soutenu par le pôle Normandie Images[35], un travail d'initiation à la sémiologie de l'image avec les élèves des classes primaires de la commune.
  • La ville est labellisée « Ville en poésie », « Ville amie des enfants ».
  • La commune a obtenu en 2017 le niveau 3 du label 0 % phyto de la charte d'entretien des espaces publics.
  • Depuis le , la ville est labellisée « Terre Saine communes sans pesticides ».
  • Depuis 2020, Mont Saint Aignan participe à l'initiative « Territoire engagé pour la Nature » qui vise à faire émerger, reconnaître et valoriser des plans d'actions en faveur de la biodiversité portés par des collectivités locales.
  • Mont-Saint-Aignan Basket Club
  • Le Rugby Club Mont-Saint-Aignan au stade Boucicaut
  • Golf de Rouen Mont-Saint-Aignan
  • Rink hockey
  • L'ASRUC (Association Sportive Rouen Université Club), club universitaire dont les installations sont situées sur la commune de Mont-Saint-Aignan, rue de la Croix-Vaubois. Le club est constitué de nombreuses sections (tennis, rugby, hockey sur gazon, judo, apnée, etc.).
  • Le Judo club de Mont-Saint-Aignan au centre sportif des Coquets
  • Le SUAPS (Service Universitaire des Activités physiques et sportives)

Le secteur agricole en tant qu'exploitation a totalement disparu de la commune - Il subsiste une seule ferme maraîchère, non exploitée[36] - mais reste présent sur la ville notamment par la coopérative agricole Cap Seine qui y a son siège (plus d'un milliard d'euros de CA en 2013).

  • Parc d'activités technologiques de la Vatine : siège de Ferrero France ; siège de la société Replitec (duplication CD, DVD, clés USB et disquettes 3" ½)
  • Centre commercial Carrefour La Vatine.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine naturel

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  • 80 hectares de forêts.
  • Trois grands massifs forestiers : le bois du Cotillet, le bois l'Archevêque et le bois des Compagnons.
  • 3 169 arbres en milieu urbain, hors parc et bois, soit l'équivalent de 30 hectares d'espaces boisés.
  • Plus de 200 espèces de plantes.
  • 121 arbres remarquables recensés en 2015.
  • 70 espèces d'oiseaux.
  • 20 espèces de papillons.
  • De nombreux arbres centenaires : chênes, magnolias, cèdres bleus, désespoir des singes

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Armes de Mont-Saint-Aignan

Les armes de Mont-Saint-Aignan se blasonnent ainsi :

D'or au léopard de gueules accosté de branches de laurier de sinople, les tiges passées en sautoir liées de gueules, au chef endenté d'azur chargé de trois fleurs de lys et de deux demies d'or.


Le léopard des armoiries de Mont-Saint-Aignan rappelle les armes de la Normandie.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Claude Boudin et Patrice Macqueron (préf. Pierre Albertini et Étienne Rousseau), Mont-Saint-Aignan à la Belle-Époque, Mont-Saint-Aignan, MIL/Maury, , 125 p. (ISBN 978-2-9504019-0-8, OCLC 34500688)
  • Claude Boudin et Patrice Macqueron, Mont-Saint-Aignan : naissance d'une ville, éditions des Falaises, , 176 p. (ISBN 978-2-84811-147-6)
  • Philippe Deschamps et François Gay (ill. Marcel Laquay et Christophe Ronel), Mont-Saint-Aignan, hier, aujourd'hui, Mont-Saint-Aignan, MIL/CRDP, , 106 p. (OCLC 461737229)
  • Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen : De Maromme à Ymare, vol. 2, Rouen, Éd. des Falaises, , 512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9).
  • Albert Tougard, Le Clocher de l'église du Mont-aux-Malades et la cérémonie de la bénédiction des cloches, Rouen, Imprimerie Nouvelle Paul Leprêtre, 1889.
  • « Mont-Saint-Aignan », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5)
  • « Saint André, histoire d'un quartier de l'agglomération », Études normandes, no 2, 2010

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Mont-Saint-Aignan et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Mont-Saint-Aignan ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1), p. 132.
  15. [1], Philippe Fargeon, « Les Implantations des habitats ruraux antiques », Revue archéologique de Picardie, Année 2003, 1-2, p. 7-22.
  16. André Davy, La véritable histoire des ducs de Normandie, , 194 p. (ISBN 978-2-35593-144-4, OCLC 743277575, lire en ligne).
  17. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
  19. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
  20. « Mont-Saint-Aignan (76130) : résultats élections législatives 2017 », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
  22. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 18/06/2012.
  23. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.
  24. Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le .
  25. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site des Echos. Consulté le .
  26. Résultats de l'élection municipale 2014 sur le site du Monde.fr. Consulté le .
  27. Mélanie Bourdon, « Municipales. Catherine Flavigny reste maire de Mont-Saint-Aignan à l’issue du second tour : La maire sortante remporte, haut la main, ces municipales. Mais pour son second mandat, elle va devoir composer avec deux groupes d’opposition », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le .
  29. Thomas Blachere, « Patrice Colasse, maire de Mont-Saint-Aignan : "Je suis un homme de dialogue" : La démission de Pierre Léautey puis l'élection du nouveau maire de Mont-Saint-Aignan a provoqué des remous. Les écologistes ont quitté l'exécutif, reprochant "un manque de concertation" », Tendance Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Sophie Bogatay, « À Mont-Saint-Aignan, Catherine Flavigny retrouve son fauteuil de maire avec huit adjoints : Sans surprise, Catherine Flavigny a retrouvé son fauteuil de maire avec une équipe de huit adjoints », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dans le public limité à douze personnes, Bertrand Bellanger, président du Département avait tenu à être présent pour clore son engagement municipal (de 2014 à 2020) et marquer sa proximité avec les élus de terrain. Sans surprise, Catherine Flavigny a été élue maire avec 25 voix, et deux votes blancs (du groupe de Stéphane Holé), tandis que le groupe des six élus de Sylvie-Nicq-Croizat n’a pas pris part au scrutin à bulletin secret ».
  31. « Jumelage(s) de Mont-Saint-Aignan », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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