Abère

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Abère
Abère
Clocher de l'église paroissiale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Myriam Cuillet
2020-2026
Code postal 64160
Code commune 64002
Démographie
Gentilé Abérois
Population
municipale
162 hab. (2021 en augmentation de 1,89 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 26″ nord, 0° 10′ 28″ ouest
Altitude Min. 239 m
Max. 346 m
Superficie 5,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Abère

Abère est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Abère se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 11 km de Morlaàs[3], bureau centralisateur du canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Laurent-Bretagne (2,0 km), Gerderest (2,3 km), Anoye (3,1 km), Monassut-Audiracq (3,7 km), Lespourcy (3,8 km), Baleix (3,9 km), Gabaston (4,2 km), Maspie-Lalonquère-Juillacq (4,3 km).

Paysages et relief[modifier | modifier le code]

Les Pyrénées depuis Abère.

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Abère.

La commune est drainée par le Léès, l'Arriutort et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6,03 km de longueur totale[7].

Le Léès, d'une longueur totale de 39 km, prend sa source dans la commune de Sedzère et s'écoule du sud vers le nord. Il longe le territoire communal et en constitue la limite séparative avec Saint-Laurent-Bretagne et Monassut-Audiracq, puis se jette dans le Léez à Lannux, après avoir traversé 21 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hiver très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 169 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ger à 18 km à vol d'oiseau[12], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 344,5 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Abère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,3 %), forêts (17,8 %), prairies (5,1 %), zones urbanisées (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Abère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léès. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2007, 2009 et 2018[27],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Abère.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 56 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Abère est mentionné au Xe siècle[30] (d'après Pierre de Marca[31]), et apparaît sous les formes Oere et Bere (1385[30] pour ces deux formes, censier de Béarn[32]), Vere et Avere (1385[33] pour ces deux formes, recensement de Morlaàs, mais s'agit-il de la même localité[33] ?), Oeyre (1487[30], registre des Établissements de Béarn[34]) et Abere (XVIIIe siècle[33], carte de Cassini, 1793[35], 1801[35] Bulletin des lois).

Michel Grosclaude[33] propose une étymologie latine abellana ou abella, dérivée en abera en béarnais (d’après Brigitte Jobbé-Duval[36]) qui signifie « noisette » et par extension « la coudraie ».

Son nom béarnais est Avera[37] ou Abére[38].

Histoire[modifier | modifier le code]

À la fin du Xe siècle, l’évêque de Lescar obtint les droits sur le village réclamés alors le seigneur de Miossens qui les lui abandonna contre 100 mesures de froment et de vin[39]. Paul Raymond[30] note qu'en 1385, Abère comptait huit feux et dépendait du bailliage de Pau. La seigneurie appartenait en 1538 à Bernard seigneur d'Abère, en 1566 à Johanot de Cauna tué en 1569 devant Navarrenx et dont les biens furent saisis en 1570 ; en 1612 à Jean de Laplace, en 1615 à Thimothée de Béarn. Reste dans cette famille, pour laquelle elle est érigée en baronnie, vassale de la vicomté de Béarn, en 1672, puis passe par mariage après 1695 dans celle de Bordenave jusqu'au XIXe siècle. La commune faisait partie de l'archidiaconé de Vic-Bilh, qui dépendait de l'évêché de Lescar et dont Lembeye était le chef-lieu[30].

Son abbaye laïque[40], l'ostau de Bosom d'Abadie, est citée en 1385.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Jean-Pierre Lortet    
2008 2014 Claude Conte-Hourticq    
2014 En cours Myriam Cuillet[41] SE Agricultrice exploitante

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Abère fait partie de trois structures intercommunales[42] :

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections européennes de 2019, Abère possède un taux de participation supérieur à la moyenne (68,10 % contre 50,12 % au niveau national). La liste de La République en Marche arrive en tête avec 26,39 % des suffrages, contre 22,41 % au niveau national. La liste du Rassemblement National obtient 20,83 % des voix, contre 23,31 % au niveau national. La liste des Républicains obtient 9,72 % des votes, contre 8,48 % au niveau national. Les listes du Parti Socialiste et de Debout la France arrivent ex æquo avec 8,33 % des suffrages, contre respectivement 6,13 % et 3,51 % des voix au niveau national. Les listes du Parti Animaliste et d’Europe-Écologie-les Verts obtiennent 5,56 % des votes, contre respectivement 2,16 % et 13,48 % au niveau national. Les autres listes obtiennent des scores inférieurs à 5 %[43].

Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[44] :

Candidat Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Eva Joly (EÉLV) 2 1,92
Marine Le Pen (FN) 22 21,15
Nicolas Sarkozy (UMP) 24 23,08 57 59,38
Jean-Luc Mélenchon (FG) 8 7,69
Philippe Poutou (NPA) 0 0,00
Nathalie Arthaud (LO) 0 0,00
Jacques Cheminade (SP) 0 0,00
François Bayrou (MoDem) 35 33,65
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) 0 0,00
François Hollande (PS) 13 12,50 39 40,63
Inscrits 121 100,00 121 100,00
Abstentions 15 12,40 17 14,05
Votants 106 87,60 104 85,95
Blancs et nuls 2 1,89 8 7,69
Exprimés 104 98,11 96 92,31

Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[45] :

Candidat Premier tour Deuxième tour
% Voix % Voix
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) 6,06 6
Marine Le Pen (FN) 18,18 18 32,98 31
Emmanuel Macron (EM) 27,27 27 67,02 63
Benoît Hamon (PS) 2,02 2
Nathalie Arthaud (LO) 0,00 0
Philippe Poutou (NPA) 1,01 1
Jacques Cheminade (SP) 0,00 0
Jean Lassalle (RES) 15,15 15
Jean-Luc Mélenchon (LFI) 12,12 12
François Asselineau (UPR) 1,01 1
François Fillon (LR) 17,17 17
Inscrits 122 100,00 122 100,00
Abstentions 19 15,57 19 15,57
Votants 103 84,43 103 84,43
Blancs 4 3,88 5 4,85
Nuls 0 0,00 4 3,88
Exprimés 99 96,12 94 91,26

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[47].

En 2021, la commune comptait 162 habitants[Note 6], en augmentation de 1,89 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
296199256194170259285272291
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
261264257230247238225226201
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
212196200180160154165154149
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
150140133132123133144148160
2021 - - - - - - - -
162--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Abère fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Baptiste.
Le monument aux morts.
La salle polyvalente d'Abère.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Un château se trouve au lieu-dit Bordenave, son éloignement de l'église laisse penser qu'il s'agit du château seigneurial et non de l'abbaye laïque. Les maçonneries du corps de bâtiment principal doivent remonter au XVIe siècle. Le château de Bordenave d'Abère a été très fortement remanié dans la première moitié du XVIIIe siècle[39].

Abère présente un ensemble de demeures et de fermes[49] du XIXe siècle.

Au lieu-dit la Teulère se trouve une tuilerie[6] déjà mentionnée au XVIIe siècle et reportée sur la carte de Cassini.

Le presbytère[50] fut racheté par la mairie en 1809 puis restauré vers 1867.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Baptiste d'Abère[51] date partiellement du XIe siècle. Elle recèle du mobilier[52], un tableau[53], des statues[54] et des objets[55] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel. Un projet de reconstruction complète de 1868 ne fut pas mené, et se transforma, pour des raisons d'économie, après 1883 en une restauration[39]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Nouvelle-Aquitaine[51]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[51].

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Métadonnées de la commune d'Abère », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Abère et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Abère et Morlaàs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Abère », sur villorama.com (consulté le ).
  5. a b c d e f g h i j k et l Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  6. a et b « Tuilerie », notice no IA00027108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  7. « Fiche communale d'Abère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Lées ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Abère et Ger », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Ger » (commune de Ger) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Ger » (commune de Ger) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Abère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Abère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Abère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Abère », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. a b c d et e Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  31. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  32. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  33. a b c et d Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)., page 214
  34. Manuscrits du XVe siècle et du XVIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
  37. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  38. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  39. a b et c Ouvrage Collectif, Vic-Bilh, Morlaas, Montaneres, Pyrénées Atlantique, Inventaire Topographique, Paris, Imprimerie Nationale, , 720 p. (ISBN 2-11-080952-3), p. 234.
  40. « Abbaye laïque », notice no IA00027107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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  42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  43. « Abère : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le ).
  44. Ministère de l'Intérieur - Pyrénées-Atlantiques (Aquitaine), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Abère » (consulté le ).
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  46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. « Ferme dite maison Menyucq », notice no IA00027103, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture et « Maisons, Fermes », notice no IA00027102, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Presbytère », notice no IA00027106, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. a b et c « Église Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00027104, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste (liste supplémentaire) », notice no IM64000447, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, Notice no IM64000443, Notice no IM64000440, Notice no IM64000439, Notice no IM64000438.
  53. « Le tableau de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64000444, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Les statues de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64000441, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « Objets référencés de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64000446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, Notice no IM64000445, Notice no IM64000442.