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Carresse-Cassaber

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Carresse-Cassaber
Carresse-Cassaber
L'église Saint-Étienne de Carresse et le monument aux morts.
Blason de Carresse-Cassaber
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Patrick Loustalet
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64168
Démographie
Gentilé Carressiens-Cassaberriens
Population
municipale
660 hab. (2021 en évolution de +0,15 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 45″ nord, 0° 59′ 39″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 135 m
Superficie 13,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Salies-de-Béarn
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Carresse-Cassaber
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Carresse-Cassaber
Liens
Site web http://www.carresse-cassaber.fr

Carresse-Cassaber (en béarnais Carressa-Cassabè ou Carrésse-Cassabè) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

Carte

La commune de Carresse-Cassaber se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 70 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 53 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 24 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-Béarn[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Auterrive (1,3 km), Saint-Dos (2,3 km), Castagnède (2,7 km), Escos (3,5 km), Labastide-Villefranche (3,5 km), Saint-Pé-de-Léren (3,8 km), Oraàs (4,5 km), Léren (4,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Carresse-Cassaber fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Géologie

Gypse de Carresse.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Carresse-Cassaber.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Saleys, le ruisseau des Augas, Arriou de Poursuibes, Arriou Dous-Puts, un bras du gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, le ruisseau de Labarthe, le ruisseau de Pratou, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

Le Saleys, d'une longueur totale de 48,7 km, prend sa source dans la commune d'Ogenne-Camptort et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron sur le territoire communal, après avoir traversé 13 communes[10].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

  • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 295 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bellocq-Puyoo », sur la commune de Bellocq, mise en service en 1987[16] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 181,9 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 42 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[20], à 14,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[22].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[24], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[25],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : le « vallon du Bernatère et arriou de Poursuibes » (17,5 ha), couvrant 2 communes du département[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 8],[26],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28].

Urbanisme

Typologie

Carresse-Cassaber est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[29],[30],[31].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Salies-de-Béarn, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,6 %), forêts (20,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), mines, décharges et chantiers (8,7 %), prairies (7,3 %), zones urbanisées (6,6 %), eaux continentales[Note 11] (4,6 %)[34].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux

Voies de communication et transports

La commune est desservie par les routes départementales 17 et 29.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Carresse-Cassaber est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Saleys. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2006, 2009, 2018 et 2021[37],[35].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[38]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Carresse-Cassaber.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 32,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 12],[41].

Toponymie

Attestations anciennes

Le toponyme Carresse apparaît sous les formes Beatus Stephanus de Carressa (980[42], cartulaire de Lescar[43]), Curtis Carreissa (Xe siècle[42], titres de Pau[44]) et Caresse (1793[45] ou an II).

Le toponyme Cassaber apparaît sous les formes Cassave (XIIe siècle[42], titres de l'ordre de Malte[46]), Casaver (XIIIe siècle[42], fors de Béarn[47]), Casseve et Sent jacme de Cassever (respectivement 1440[42] et 1441[42], notaires de Labastide-Villefranche[48]), la gentillesse de Cassaver (1442[42], contrats de Carresse[49]), Sent-Christau de Casseber (1472[42], notaires de Labastide-Villefranche[48]), Casavee (1538[42], réformation de Béarn[50]), Cattaber (1793[51] ou an II) et Cassabé (1801[51], Bulletin des Lois).

Graphie béarnaise

Son nom béarnais est Carressa e Cassabè[52] ou Carrésse-Cassabè[53].

Histoire

Paul Raymond[42] note qu'en 1385, Carresse comptait quarante-et-un feux et Cassaber treize. Les deux villages dépendaient du bailliage de Sauveterre. Carresse était une dépendance du diocèse de Lescar. Il y avait à Cassaber une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

Le village béarnais a connu une histoire très riche liée à la présence prestigieuse d'une famille de grands d'Espagne de 1812 à 1933, la dernière famille noble qui habita le château, les Camarasa [1]. « On cultivait le savoir-vivre espagnol, la délicatesse de l'âme, la courtoisie légendaire des grands d'Espagne, et une générosité sans faille dont les habitants gardent un souvenir inaltérable. On parlait castillan ; la mode, les domestiques, les mœurs étaient espagnols[54]. »

Le village a vu habiter la marquise de Montehermoso, maîtresse du roi d'Espagne, les marquis de Camarasa et surtout Paul-Jean Toulet qui y passa son adolescence et y vécut jusqu'à l'âge de 29 ans.

Carresse a été réuni à Cassaber en 1972[55].

À Cassaber est né le docteur Foix, médaille d'or de médecine et grand chercheur.

Héraldique

Blason Blasonnement :
Écartelé : au 1er de gueules à deux vaches d'or, accornées, colletées et clarinées d'azur, passant l'une au-dessus de l'autre, au 2e d'argent à l'arbre au naturel ; au 3e d'argent au cristal de gypse fer-de-lance au naturel, au 4e de gueules à deux épis de maïs d'or, posés en pal et rangés en fasce.

Politique et administration

Situation administrative

Caresse-Cassaber a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[56].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 En cours Michel Lansalot DVD Retraité[57]

Intercommunalité

Carresse-Cassaber fait partie de six structures intercommunales[58] :

  • la communauté de communes de Salies-de-Béarn ;
  • le SIGOM ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de regroupement pédagogique de Carresse-Cassaber, Escos et Labastide-Villefranche ;
  • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[60].

En 2021, la commune comptait 660 habitants[Note 13], en évolution de +0,15 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
557559532690722746710699657
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
608590590586588654623650588
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
601611648540567591554530491
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
551577697589536468498503639
2015 2020 2021 - - - - - -
659664660------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[61] puis Insee à partir de 2006[62].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

Patrimoine civil

Château de La Salle de Cassaber, du XVIIe siècle. (Classé au titre des monuments historiques - arrêt de classement de décembre 2010).

Patrimoine religieux

L'église Saint-Étienne[63], de 1841, fut construite à Carresse en remplacement d'un ancien édifice détruit par la marquise de Montehermoso[réf. nécessaire].

L'église Saint-Jacques[64], de Cassaber, date du XIXe siècle et possède un chevet gothique.

Il a existé une chapelle Notre-Dame au quartier de Chrestiaa qui a abrité une léproserie.

À Carresse se trouve un calvaire en pierre d'Arudy offert par la marquise de Monein.

Le cimetière accueille la chapelle funéraire de la marquise de Montehermoso.

Dans les arts

Carresse est citée (orthographiée « Caresse ») dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine en 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[65].

Équipements

Enseignement

Carresse-Cassaber dispose de deux écoles primaires, l'une publique et l'autre privée (école Saint-Ignace). http://stignace.toutemonecole.com

Sport et équipements sportifs

Le Carresse Salies Football Club (CSFC) est issu de la fusion du Carresse Sport et des Jeunes Salisiens.

Personnalités liées à la commune

Paul-Jean Toulet y passait ses vacances d'enfant. Plus tard il y a vécu neuf années, de 1889 à 1898, soit de 21 à 29 ans. Ce séjour aurait « fourni le cadre et donné la saveur à ses premiers romans »[66].

Le général baron Jean Pierre Lanabère, qui figure sur les piliers de l'arc de triomphe à Paris a été baptisé à Carresse.

D'autres personnages ont marqué l'histoire de Carresse-Cassaber, tels que la marquise de Montehermoso (1785-1869), maîtresse du roi d'Espagne, décédée au château ; son mari le comte d'Echauz, officier de la Garde impériale qui fut aussi conseiller général et maire de Carresse ; la duchesse de Castro Terreno qui servit de modèle à Goya ; le général-baron Lanabère, héros de la campagne de Russie, né à Salies-de-Béarn en 1770 et baptisé à Carresse.

Voir aussi

Bibliographie

  • Alexis Ichas, Historial de Carresse, Éditions Atlantica
  • Alexis Ichas, Historial de Cassaber, Éditions Atlantica
  • Alexis Ichas, Chroniques béarnaises du Gave et du Saleys, Biarritz, Éditions Atlantica, (ISBN 978-2-84394-984-5)
  • Alexis Ichas, Historial des gaves, Biarritz, Éditions Atlantica, , 281 p. (ISBN 978-2-7588-0170-2)
  • Alexis Ichas, Paul-Jean Toulet : au bord du Gave, Anglet, Éditions Atlantica, , 97 p. (ISBN 978-2-84394-653-0)
  • Alexis Ichas, Madame de Montehermoso marquise des plaisirs et dame de Carresse, Biarritz, Éditions Atlantica,
  • Alexis Ichas, Le Béarn en toutes lettres, Editions Gascogne 2018 (lettres de la marquise de Montehermoso et de la duchesse de Castroterreño).
  • Alexis Ichas, Portraits béarnais, Éditions Gascogne,

Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
  4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  11. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  12. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Carresse-Cassaber » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Carresse-Cassaber », sur www.geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Carresse-Cassaber », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Carresse-Cassaber », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Carresse-Cassaber », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Carresse-Cassaber et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Carresse-Cassaber et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Carresse-Cassaber et Orthez », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Carresse-Cassaber », sur www.villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Carresse-Cassaber », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  10. Sandre, « le Saleys ».
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  16. « Station Météo-France Bellocq-Puyoo - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Orthodromie entre Carresse-Cassaber et Bellocq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France Bellocq-Puyoo - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Orthodromie entre Carresse-Cassaber et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  20. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  21. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  22. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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