Bourdonnay
Bourdonnay | |
Église Saint-Remi. | |
Héraldique |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Sarrebourg-Château-Salins |
Intercommunalité | Communauté de communes du Saulnois |
Maire Mandat |
Armelle Barbier 2020-2026 |
Code postal | 57810 |
Code commune | 57099 |
Démographie | |
Population municipale |
241 hab. (2021 ) |
Densité | 14 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 43′ 13″ nord, 6° 43′ 47″ est |
Altitude | Min. 217 m Max. 283 m |
Superficie | 17,4 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Dieuze (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Saulnois |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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Bourdonnay est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Le principal écart est le hameau de Marimont.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du Saulnois, du parc naturel régional de Lorraine[1] et de la ZNIEFF du pays des étangs[2].
Accès
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le canal de la Marne au Rhin, le canal de flottage des Salines, le ruisseau de Gueblange, le ruisseau de Bru, le ruisseau de la Gamirotte, le ruisseau de l'Étang des Moines, le ruisseau de l'Étang Harmand et le ruisseau du Neuf Etang[Carte 1].
Le canal de la Marne au Rhin, d'une longueur totale de 314 km, et 178 écluses à l'origine, relie la Marne (à Vitry-le-François) au Rhin (à Strasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie[3].
Le canal de flottage des Salines, d'une longueur totale de 15,8 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Seille en limite de Marsal et de Moyenvic, après avoir traversé huit communes[4].
Le ruisseau de Gueblange, d'une longueur totale de 16,6 km, prend sa source dans la commune de Maizières-lès-Vic et se jette dans la Seille à Blanche-Église face à la commune de Mulcey, après avoir traversé six communes[5].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du canal de la Marne au Rhin, du canal de Flottage des Salines et du ruisseau de Gueblange, peut être consultée sur un site spécial géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Lorraine, plateau de Langres, Morvan » et « Vosges »[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 898 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe à 21 km à vol d'oiseau[8], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 737,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,1 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site spécial publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bourdonnay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieuze, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,2 %), prairies (31,7 %), forêts (16,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), zones urbanisées (1,7 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %), zones humides intérieures (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La toponymie du village vient du nom de personne gaulois Bourdonus avec le suffixe -arium, la dénomination Bourdenniers est attestée en 1256[18]. Il s'est ensuite appelé Bourdonniers (1256), Bourdonier (1306), Bourdeney (1352)[19], Portenach (XIVe siècle), Bortnach (1455), Bortnachen (1460), Borthenachen (1461)[20], Borenach (XVe siècle)[21], Bourdonney (1801).
En allemand : Bordenach[22], Bortenach (1915-1918).
Sobriquet
[modifier | modifier le code]Les Cagneux, cette appellation s’applique à des personnes marchant de travers ou celles qui font intentionnellement les boiteux pour apitoyer le public, sobriquet sombré dans l'oubli après 1870[22].
Histoire
[modifier | modifier le code]Cette ancienne seigneurie des comtes de Réchicourt dépendait de la principauté épiscopale de Metz. Le village a été entièrement détruit pendant la guerre de Trente Ans et n'a été reconstruit qu'au début du XVIIIe siècle.
En 1790, la province de Lorraine est découpée en départements et la commune est rattachée à la Meurthe. La commune a été un chef-lieu de canton en 1790, avant que celui-ci ne fusionne avec le canton de Vic-sur-Seille vers 1801. Le canton de Bourdonnay regroupait les communes de Bezange-la-Petite, Coincourt, Donnelay, Lagarde, Ley, Maizières-lès-Vic, Moncourt, Ommeray Hellocourt et Xures[19].
En 1791 Marie-Anne Collot-Falconet, achète le domaine de Marimont qui comptait 316 hectares. Sa fille Marie Lucie Collot/Falconet, née en 1778 à Saint-Pétersbourg, épouse le baron Antoine-Stanislas-Nicolas-Pierre-Fourrier De Jankovitz De Jeszenicze en 1792. Le baron est né le 7 juillet 1763 à Lunéville. Son parrain est Stanislas Leszczynski, dont son père Joseph est l'intendant. Le couple a un fils unique, mais 9 janvier 1830 leur fils unique, Anselme-Stanislas-Firmin-Léon Jankovitz, docteur en droit, lieutenant de louveterie à peine âgé de 24 ans a, dans une chasse aux loups, le genou fracassé par une balle de son fusil, le coup étant parti inopinément au moment où il remontait à cheval. Il meurt dans d’atroces souffrances le 22 janvier au château de Marimont. Il est en premier enterré au cimetière du village Bourdonnay.
En 1842, le couple adopte un neveu en Hongrie, Vincent-Ferdinand-Joseph Jankovitz. Vincent épouse en 1846 à Versailles Louise-Simone-Félicie de Vaulchier du Deschaux, fille d’un ancien préfet et ex-directeur général des postes.
En 1843, la baron fait construire sur les ruines d’une tour du château médiéval une crypte funéraire. En 1847, les restes d’Anselme sont transférés dans la crypte.
Marie Anne Collot décède à Nancy le 24 février 1821 et est enterrée à la crypte funéraire.
Le baron Antoine Jankovitz décède à Versailles le 6 juin 1847, ses restes sont transférés dans la crypte funéraire. La baronne Marie Lucie De Jankovitz décède à Versailles en 1866. Elle repose dans le crypte de Marimont.
Le couple Vincent et Louise Simone De Jankovitz reposent au cimetière de Bourdonnay, dans la tombe qui avait été faite pour Anselme-Stanislas-Firmin-Léon Jankovitz.
Une tour de Chappe a été en service entre 1798 et 1852 sur la butte de Marimont. Elle servait de relais entre Lezey et Languimberg sur la ligne Paris-Strasbourg[23].
En 1871, le village est annexé au district de Lorraine et prend en 1915 le nom allemand de Bortenach. Le village est rebaptisé Bourdonnay à la fin de la Première Guerre mondiale. Il est alors intégré, comme le reste de l'arrondissement de Château-Salins, au département de la Moselle.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].
En 2021, la commune comptait 241 habitants[Note 4], en évolution de +1,26 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La seigneurie appartint jusqu'à la Révolution aux comtes de Réchicourt et fut érigée en baronnie. Village détruit au cours de la guerre de Trente ans et abandonné. Reconstruit au début 18e.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules au bourdon d'or posé en pal, accosté de deux saumons adossés d'argent. |
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Détails |
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Édifices civils
[modifier | modifier le code]- Vestiges du château de Marimont du XVe siècle : il est inscrit aux monuments historiques depuis le [28]. Il possède une chapelle funéraire de la famille Jankovitz[29] de style néoclassique construite vers 1837 où repose Marie-Anne Collot.
- Ancienne école des filles (1839) située au 1, rue Principale.
- Guéoir de 1864 en forme de fer à cheval encore alimenté en eau par un ruisseau et une fontaine. Autrefois utilisé pour les chevaux, c'est aujourd'hui un lieu de détente et une aire de pique-nique situé à l'entrée du village au bord de la route d'Ommeray.
- Croix de chemin : 1801-1802 sur le chemin de Marimont, 1827 sur la route de Lezey, début XIXe sur la route de Maizières-lès-Vic.
- Maisons ouvrières du XIXe siècle aux 116, 118 route de Lagarde.
- Fermes : 1762 au 77, rue Principale, 1801 au no 78, XIXe siècle aux no 61,87, 96 et 103.
- Mairie-école datant de la transition XVIII-XIXe siècle.
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Remi, moderne, construite en 1960 (date portée par la pierre de fondation encastrée dans le mur ouest) sur les plans de l'architecte Pierre Pagnon en remplacement de l'ancienne église détruite par un commando SS. C’est la seule église à pan unique du Saulnois. Sa hauteur a été contenue à l’échelle des façades qui l’entouraient. Ses vitraux sont de Pierre Gaudin, qui est également intervenu sur la cathédrale de Metz.
- Chapelle de Marimont : un projet de restauration[30] soutenu par la Fondation du patrimoine est en cours
- Chapelle ronde du cimetière Notre-Dame-de-Pitié.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Sébastien DIEULIN (Xures 1794, + Nancy1847), curé de Bourdonnay de 1819 à 1834, puis Vicaire-général de Mgr l'évêque de Nancy de 1834 à 1847.
- Marie-Anne Collot (1748-1821), sculptrice, enterrée sur son domaine de Marimont à Bourdonnay..
- Arthur Benoit, érudit, historien et archéologue, né en 1828.
- [Le Très Honoré Frère Athanase Émile] XX° successeur de Saint Jean Baptiste de la Salle : né Louis Arthur RITIMANN à Bourdonnay le 06 août 1880 décédé à Rome le 10 septembre 1952 https://www.chapelle-marimont-bourdonnay.org/
- Wilhelm Schaeffler (1908-1980) et son frère Georg (1917-1996) sont nés tous deux au domaine de Marimont dont leur père était administrateur à l’époque du Reichsland. Ils sont les fondateurs de Schaeffler, équipementier automobile et d’autres industries, et l'un des plus grands fabricants de roulements mécaniques au monde.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Bourdonnay » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[31]
[modifier | modifier le code]- Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, Décret no 2015-73 du 27 janvier 2015 portant renouvellement du classement du parc naturel régional de Lorraine (région Lorraine), (lire en ligne)
- Comité Z.N.I.E.F.F. Lorraine, « ZNIEFF 410010373 - Pays des étangs » [PDF], sur inpn.mnhn.fr.
- Sandre, « le canal de la Marne au Rhin »
- Sandre, « le canal de flottage des Salines »
- Sandre, « le ruisseau de Gueblange »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bourdonnay et Rodalbe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bourdonnay ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieuze », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, A.Dauzat et Ch.Rostaing, Larousse 1963
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe.
- Siedlungsnamen zwischen Spätantike und frühem Mittelalter - Monika Buchmüller-Pfaff
- Die Fränkischen und Alemannischen Siedlungen in Gallien Par Adolf Schiber
- Passé-Présent : La Moselle dévoilée No 7 (septembre-Octobre-Novembre 2012)
- Ligne Paris- Metz - Strasbourg
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Château des Seigneurs de Réchicourt », notice no PA00107053, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « ARCM accueil », sur chapelle-marimont-bourdonnay.org (consulté le ).
- « Chapelle marimont a bourdonnay », sur fondation-patrimoine.org via Wikiwix (consulté le ).
- « Je vous parle avec mon cœur », sur Lulu (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Bourdonnay sur le site de l'Institut géographique national