Noviant-aux-Prés

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Noviant-aux-Prés
Noviant-aux-Prés
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Noviant-aux-Prés
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
François Mansion
2020-2026
Code postal 54385
Code commune 54404
Démographie
Gentilé Noviantais, Noviantaises [1]
Population
municipale
250 hab. (2021 en diminution de 4,94 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 28″ nord, 5° 52′ 58″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 314 m
Superficie 11,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Noviant-aux-Prés
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Noviant-aux-Prés

Noviant-aux-Prés est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Fig. 1 - Noviant-aux-Prés (ban communal).

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1 127 hectares comprend en 2011, plus de 80 % de terres arables et de prairies, près de 18 % de forêt, 3.3% de surfaces agricoles diverses et le solde de zones urbanisées[2].

Le territoire n'est arrosé par aucun cours d'eau, mais des sources intermittentes alimentent les ruisseaux d'Esch et de Déheyville voisins. (Fig. 1)

La commune est desservie par la route départementale no 100 (Meurthe-et-Moselle) mais les chroniques historiques et répertoires archéologiques signalent d'ancien chemins allant vers Manonville et Bernécourt.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 833 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Noviant-aux-Prés est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,3 %), forêts (17,7 %), prairies (6,1 %), zones urbanisées (2,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Novoiant-en-Hey (1239), Nouvoiant (1304), Nouviant-en-prei (1363), Novidens (1402) et Nouviant (1498), sont les graphies recensées dans le dictionnaire topographique du département de la Meurthe[16].

Le toponyme n'apparaît donc qu'en 1239 sous la forme Novoiant in Hey, puis l'on a Nouviant-en-Prei en 1363 ; il vient de novientum, ville neuve, nouvelle agglomération, qui vient lui-même du gaulois nouio, nouveau[17].

La micro-toponymie confirme l'affirmation de H. Lepage dans son ouvrage[18] indiquant : les fourches étaient dressées au lieu-dit la Justice, entre Noviant et Manonville.(cf fig. 1)

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité et préhistoire[modifier | modifier le code]

Beaupré signale dans son ouvrage sur la Meurthe-et-Moselle[19], un gisement de silex ouvrés entre la butte de Lironville et le chemin de Manonville, indiquant que les abords du site ont été fréquentés par l'homme en des temps très reculés.

Toutefois le ban de la commune n'a pas permis la découverte de traces concrète de l'occupation romaine ou du bas-empire à ce jour.

Moyen Âge et Renaissance[modifier | modifier le code]

Henri Lepage précise dans son ouvrage relatif aux communes de Meurthe :

« Le village de Noviant est ancien, car un seigneur de ce nom figure dans un titre de 1174, relatif à l'abbaye de Haute-Seille. En 1259,Henri, comte de Bar, donna à l'abbaye de St.-Benoît-en-Voivre, en aumône, toute la dîme de Noviant-en-Hey, « pourquoi les religieux s'obligent de fournir des hosties faites de bon froment, par tous les diocèses de Metz, Toul et Verdun, quand ils en seront requis.[20] »

Le tombeau[21] de René de Beauvau, mort en 1548, sénéchal de Bar et chambellan du duc Antoine, et de sa femme Claude Baudoche, dame de Pange, qui se trouvait dans l'ancienne église de Noviant-aux-Prés, a été transféré dans la salle des tombeaux du palais ducal à la fin du XIXe siècle puis dans la chapelle des Cordeliers de Nancy vers 1936[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2012 Nicole Morcel    
juillet 2012 En cours
(au 25 mai 2020)
François Mansion[23],[24]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Agriculteur sur moyenne exploitation

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 250 habitants[Note 4], en diminution de 4,94 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
388349370394393395402431435
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
430435388383365380356355335
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
327335221244247238232227219
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
203150155154177238247262260
2021 - - - - - - - -
250--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire a été baptisée du nom du photographe Yann Arthus-Bertrand.

Économie[modifier | modifier le code]

E. Grosse indique, en 1836, dans son dictionnaire statistique, quelques chiffres économiques :Territ. : 831 hect. , dont 601 en terres arables, 209 en forêts, et seulement 17 en prés[29]. H. Lepage y signalait, en 1843, 6 hectares de vignes[20] (cf. vignoble lorrain).

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[30]), la commune de Noviant-aux-Prés était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 900 hectares (surface cultivable communale) en légère hausse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est renforcé de 525 à 754 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 4 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 12 unités de travail[Note 7].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Carte postale de la gare vers 1910.
Chapelle Notre-Dame-de-Pitié.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Vestiges d'un château médiéval qui existait en 1574, rasé et reconstruit en 1752 par Nicolas-François Le Prudhomme de Fontenoy, démoli en 1800.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Jean-Baptiste XVIIIe siècle.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié XVe et XVIe siècles, au cimetière.

Cimetière militaire[modifier | modifier le code]

La Nécropole nationale de Noviant-aux-Prés.
  • la Nécropole nationale de Noviant-aux-Prés est un cimetière militaire français de la Première Guerre mondiale, créé en 1920, rassemblant, sur une superficie de 1,6 ha, 3 343 dépouilles de soldats (3 336 Français tombés en 1914-1918) dont 2 523 dans des tombes individuelles et 820 dans deux ossuaires. On compte également 4 Russes, 2 Italiens et 1 Roumain inhumés en ce lieu[31].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Charles Jeanmaire (1844-1912), né à Noviant-aux-Prés, fils du maire de l'époque. Après des études au lycée de Nancy, il est admis en 1866 à l'École normale supérieure. Il enseignera les lettres à Bourg-en-Bresse puis la philosophie au lycée d'Alger où il prépare et obtient l'agrégation. Charles Jeanmaire découvre le Maghreb où il revient en 1884 comme recteur à Alger. Il se lance alors - contre la presse coloniale - dans la scolarisation des "indigènes", crée des écoles supérieures ainsi qu'un bulletin universitaire de l'Académie d'Alger, une section spéciale à l'école normale de Bouzaréah et réforme les medersas. Charles Jeanmaire reste près d'un quart de siècle en Algérie, faisant passer la scolarisation des musulmans dans le système français de 5 500 à près de 35 000. Républicain convaincu, il souhaitait que les indigènes éduqués deviennent des agents de diffusion du "progrès". Les colons obtiendront en 1908 le départ de celui qu'ils surnommaient Jeanmaire-Mohammed, mais qui ne fut jamais désavoué par le ministère.
  • Le P. Anne-François de Beauvau, jésuite distingué, naquit à Noviant le [32].
  • Maurice Lepage (1904-1945), plongeur français né à Noviant-aux-Prés, médaillé d'argent aux championnats d'Europe en plongeon tremplin à 3 mètres.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Noviant-aux-Prés Blason
Coupé : au premier parti au I d'argent aux quatre lionceaux de gueules, armés, lampassés et couronnés d'or, et au II losangé de gueules et d'or, au second de sinople à l'agneau pascal d'argent.
Détails
Les lions et le losangé sont les armes de la famille Beauvau-Craon pour laquelle Noviant est devenu un marquisat. L'agneau pascal symbolise Saint Jean Baptiste, patron de la paroisse. Il est sur champ de sinople pour rappeler les prés qui entourent la commune.
Utilisé depuis septembre 1985.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « SIGES Ma commune », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Noviant-aux-Prés et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Henri Lepage et Société d'archéologie lorraine, Dictionnaire topographique de la France. Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, (lire en ligne), p. 104
  17. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
  18. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain, Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, Nancy, Gustave Crépin-Leblond, (lire en ligne), p. 320-322.
  19. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, Nancy, A. Crépin-Leblond, (lire en ligne), p. 87-88

    « Lironville (c. de Thiaucourt). — Gisement de silex ouvrés à 1 kil. Sud-Est du village, entre le chemin de Manonville et la forêt (lames, couteaux, hache polie en serpentine). »

    .
  20. a et b Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative, Nancy, Peiffer, (lire en ligne), partie II, p. 444
  21. Louis Benoît et Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain, Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, Nancy, A. Lepage, (lire en ligne), p. 39-47
  22. Ligier Richier — Gisants de René de Beauvau et de Claude Baudoche.
  23. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Étienne Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe, contenant une introduction historique sur le pays, avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, hameaux, censes, rivières, ruisseaux, étangs et montagnes., t. II, Lunéville, Creusat - Waltrin, 1836-1838 (lire en ligne), p. II - 313.
  30. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  31. « La nécropole nationale de Noviant-aux-Prés », sur cheminsdememoire.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Les communes de la Meurthe, par Henri Lepage. », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 17, no 1,‎ , p. 444 (lire en ligne, consulté le ).