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Villers-en-Haye

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Villers-en-Haye
Villers-en-Haye
Blason de Villers-en-Haye
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes du Bassin de Pont-à-Mousson
Maire
Mandat
Marie Delacour
2020-2026
Code postal 54380
Code commune 54573
Démographie
Gentilé Potas[1]
Population
municipale
162 hab. (2021 en évolution de −10,5 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 42″ nord, 6° 00′ 46″ est
Altitude Min. 201 m
Max. 316 m
Superficie 7,29 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Villers-en-Haye
Géolocalisation sur la carte : France
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Villers-en-Haye
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Villers-en-Haye

Villers-en-Haye est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie

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Fig. 1 - Villers-en-Haye (ban communal).

Le village, proche de la forêt de Haye, est situé à 24 kilomètres de Nancy, 23 kilomètres de Toul et 7 kilomètres de Domèvre-en-Haye.

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 737 hectares comportait en 2011, 56 % de zones agricoles, 34 % de forêts et 10 % de prairies. Le territoire communal est arrosé par le ruisseau d'Esche sur un peu plus de 3 kilomètres[2].

Communes limitrophes

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Cartographie

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Réprésentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Communes environnantes
Communes environnantes

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau d'Esche[3],[Carte 1].

L'Esch, d'une longueur de 46 km, prend sa source dans la commune de Geville et se jette dans la Moselle à Blénod-lès-Pont-à-Mousson, après avoir traversé 19 communes[4]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Esch sont données par la station hydrologique située sur la commune de Jezainville. Le débit moyen mensuel est de 1,38 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 34,9 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 37,3 m3/s, atteint le même jour[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Villers-en-Haye[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Rupt de Mad, Esch, Trey ». Ce document de planification concerne les bassins versants du Rupt de Mad, de l’Esch et du Trey. Le périmètre a été arrêté le 2 juin 2014, la commission locale de l'eau (CLE) a été créée le , puis modifiée le 0. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Parc naturel régional de Lorraine[6].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 805 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 22 km à vol d'oiseau[9], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 3],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Villers-en-Haye est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,2 %), forêts (33,9 %), prairies (9,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villaris, 965 - Villare, 1137 - Vileirs, 1305 - Villarium, 1402 - Viller, 1420 - Villers-en-heix, 1441 - Villey-en-heix, 1498 - Villers-en-hey, 1551 - Viller-en-hey, 1702 ; sont les différentes graphies recensées par le Dictionnaire topographique de la Meurthe[19].

Jusqu'en 1420 environ, Il s'agit d'une toponymie germanique comme celle de Villers-la-Montagne ou de Bergweiler (près de Trêves), par exemple. (Germanité à mettre en relation avec un diplôme de l'empereur germanique Otton, voir ci-dessous en section histoire) ; en effet, Villers-en-Haye se trouvait alors du côté germanique de la frontière linguistique mosellanne.

Forêt de Haye

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Haye est une forme ancienne du mot haie. Le germanique haga et ses dérivés - haye, haie - désignent à l'origine, non pas une « clôture végétale », qui est le sens actuel du terme en français, mais une forêt qui entoure un territoire et le protège contre l'ennemi puis, à partir du IXe siècle carolingien, une forêt servant de réserve de chasse, entourée d'une clôture, avant de ne plus désigner que la clôture elle-même. L'emploi de haye dans les lieux-dits les plus anciens indique donc la présence d'une forêt[20].

Écarts et lieux-dits

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H. Lepage mentionne un écart dont la trace est difficile à trouver dans les archives et les cartes[Note 5] :

« Il existait aussi, autrefois, dans le bois de Villers-en-Haye, une habitation assez considérable, dont il ne reste, depuis longtemps, que des décombres. Le canton où elle était située a conservé le nom de Vaux-des-Rapes, Raptes ou Ropes. C'était, dit-on, dans l'origine, un hôpital qui devint ensuite un ermitage et fut détruit. »[21]

Comme dans la plupart des départements français, les toponymes en rapport avec d’anciens lieux d’exécution et d’exposition (« Justice(s) », « Fourche(s) », « Pilori(s) »…) sont nombreux, la commune en partage un avec Rogéville.

Antiquité et préhistoire

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H. Lepage indique, dans sa notice sur ce bourg[21] qu'il aurait existé deux installations romaines, près du lieu-dit Formont, mais que toute trace en avait disparu lors de sa rédaction. Cette hypothèse n'est pas incohérente si l'on ajoute les découvertes de monnaies romaines faites sur le territoire des communes voisines de Saizerais et Rozières-en-Haye, ainsi que sur le territoire même de Villers d'après le répertoire archéologique du comte Beaupré :

« Au Fortmont, à 1200 mètres à l'Ouest du village, substructions avec tuiles plates, meules, etc. En 1882, on trouva deux sépultures formées de pierres plates et recouvertes de dalles, elles contenaient des ossements qui furent laissés en place. »[22]

L'occupation serait même plus ancienne puisque ces mêmes sources citent la découverte près du lavoir communal, de pointes de flèches en silex.

Les archéologues ont analysé le site du For(t)mont comme un oppidum de type éperon-barré ayant pu connaitre une réoccupation romaine puis médiévale, mais sans certitude, ils signalent la présence de débris d'époque romaine dans le Bois-le-Bailly[23].

L'analyse des archives historiques fait remonter la fondation du village, d'après Lepage, avant l'an 965, suivant un diplôme de l'empereur Othon, plus tard, écrit-il, les habitants furent sous la protection du chatelain de Mousson (1342) et du comte de bar (1361)[21] Mais il est probable que les seigneurs locaux se sont plusieurs fois institués protecteurs, comme les comtes de Pierrefort dont le château était tout proche[24].

Époque contemporaine

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Politique et administration

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Maires de la commune

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Inconnue Inconnue Nicolas Urion    
1815 1872 Sébastien Urion   Chevalier de la légion d'honneur
1872 1884 Eugène Urion    
1884 1930 Edmond Urion   Conseiller général du Canton
mars 2001 mars 2008 Rémy Guerard    
mars 2008 2014 Dominique Mithouard    
2014 En cours Marie Delacour    

Par arrêté préfectoral de la préfecture de la région Grand-Est en date du 9 décembre 2022, la commune de Villers-en-Haye a intégré l'arrondissement de Nancy au [25].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 162 habitants[Note 6], en évolution de −10,5 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
206256239254272297290269288
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
297313296290290278251277258
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
254233173184197184163200201
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
174163161148181177167180181
2020 2021 - - - - - - -
165162-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et faiblement viticole au XIXe siècle :

« Surf. territ. : 728 hect., 528 en terres lab., 21 en prés, 10 en vignes, 427 en bois. »[24],[21]

Les cartes et sources historiques mentionnent plusieurs moulins, mais curieusement le Moulin de Villers est sur la commune de Griscourt, celui de Villersvaux sur la commune de Gézoncourt ou Rogéville (?), seul la mention Ancien moulin de Villers en Haye est visible sur les cartes modernes. (voir l'article Hydraulique de la rivière Esche).

Une canalisation souterraine de transport de gaz naturel, exploitée par GRTgaz, est présente sur le territoire de la commune.

Secteur primaire ou agriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[30]), la commune de Villers-en-Haye était majoritairement orientée[Note 7] sur la production de céréales et d'oléagineux (auparavant polyculture et poly- élevage) sur une surface agricole utilisée[Note 8] d'environ 1100 hectares (supérieur à la surface cultivable communale) en hausse depuis l'an 2000 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 610 à 350 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 6 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 8 unités de travail[Note 9].

Culture locale et patrimoine

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Ancienne vue de l'église.

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Mansuy datant du XVIIIe.
  • Château XVIIIe, remanié XIXe.
  • Anciens moulins.
Bâtiments et jardins de la maison forte de Villers-en-Haye - (1932).
Vallée du ruisseau d'Esse en 1907.


Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de Villers-en-Haye Blason
D'azur au chevron d'argent, accompagné de trois losanges d'or.
Détails
Il s'agit des armes de Laurencet de Villers en Haye, seigneur du lieu

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Bibliographie

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  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 639 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/09/1969 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le lieu-dit Val des Ropes est inconnu au fichier FANTOIR pour cette commune : http://cadastre.openstreetmap.fr/fantoir/liste_brute_fantoir.html#insee=54573
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  8. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  9. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. « Réseau hydrographique de Villers-en-Haye » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Enquête sur le nom des habitants. Bassin mussipontain : dis-moi où tu habites, je te dirai qui tu es ! », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Villers-en-Haye », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  4. Sandre, « l'Esch »
  5. « Station hydrométrique L'Esch à Jezainville », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  6. « SAGE Rupt de Mad, Esch, Trey », sur gesteau.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Villers-en-Haye et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Villers-en-Haye ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : rédigé sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, Paris, coll. « Dictionnaire topographique de la France », (lire en ligne), p. 155.
  20. Mario Rossi, Les Noms de lieux du Brionnais-Charolais : témoins de l'histoire du peuplement et du paysage, Paris, Publibook, , 579 p. (ISBN 978-2-7483-5072-2, lire en ligne), p. 376.
  21. a b c et d Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative : publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 610.
  22. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 163 Villers-en-haye, puis Rogéville, Rozières-en-haye et Saizerais..
  23. Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 978-2-87754-091-9, OCLC 890475393, lire en ligne).
  24. a b et c E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne).
  25. Arrêté préfectoral n° 2022/810 du 9 décembre 2022 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Meurthe-et-Moselle, p. 178.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  31. Raymond de SOUHESMES, Journal du président Bourcier, 1649-1726, (OCLC 503916172, lire en ligne), p. 398

    « Jean-Baptiste-Joseph Bourcier, seigneur de Villers et baron d'Amermont. »

    .