Tremblecourt

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Tremblecourt
Tremblecourt
La mairie.
Blason de Tremblecourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Régis Favret
2020-2026
Code postal 54385
Code commune 54532
Démographie
Population
municipale
160 hab. (2021 en diminution de 15,79 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 22″ nord, 5° 56′ 27″ est
Altitude Min. 223 m
Max. 316 m
Superficie 6,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Tremblecourt
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Tremblecourt
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Tremblecourt
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Tremblecourt
Liens
Site web www.tremblecourt.fr

Tremblecourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

D’après les données Corine land Cover , le ban communal de 604 hectares comprend en 2011, plus de 77 % de terres arables et de prairies, 19 % de forêt et seulement près de 5 % de zones urbanisées[1].

Le territoire est arrosé par le ruisseau de Naly-fontaine et comporte plusieurs sources, ce ruisseau n'est pas recensé par le SANDRE. L'altitude moyenne de Tremblecourt est de 280 mètres environ.

communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 19 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tremblecourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,6 %), forêts (18,8 %), prairies (9,6 %), zones urbanisées (5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Tremblecurt (1127-1168), Tremblecort (1245), Tramblecourt (1249), Tranblecourt (1273) et Tramblecort (1275), sont les graphies recensées par le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[15].

Le toponyme n'apparaît pas avant 1127-1168, sous la forme « Tremblecurt » : l'on reconstitue la forme latine Tremuli curte, où le premier élément peut être un anthroponyme latin ou le nom de l'arbre. Le substantif curtis désignait au Haut Moyen Âge un centre d’exploitation rurale : ce type de toponyme est caractéristique du Haut Moyen Âge et dénote un terroir confié par le roi à un grand en vue d’une opération de défrichement[16].

L'abbé Grosse[17], érudit du XIXe siècle, voit dans la racine Tremul un sobriquet appliqué au village du fait de la réputation effrayante de ses seigneurs en s'appuyant sur l'étymologie latine qui a effectivement donné le verbe trembler (voir l'article Anecdote).

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Au lieu-dit Bois Lajus (fig. 1) une monnaie gauloise a été découverte à une époque indéterminée et un établissement gallo-romain a été mis en évidence lors de prospections aériennes[18], au XXe siècled'autres sites d'époque gallo-romaine datés du IIIe siècle av. J.-C. ont été signalés[19] sur la commune.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

H. Lepage rapporte, à la fin du XIXe siècle qu'un château-fort, dont les ruines se laissaient encore apercevoir vers 1500, se situait proche de l’église actuelle[20] :

« On peut remarquer, par la trace des fossés qui en dessinent l'enceinte ; que c'était un petit donjon s'élevant sur un plan à peu près carré,d'environ 20 mètres de côté, flanqué de tours aux angles, dont on a retrouvé les soubassements il y a près de vingt-cinq ans. À la même époque, on a découvert encore, sur cet emplacement, une citerne, une auge, des couperets... »

Il ajoute que des sépultures furent découvertes au pied du château vers 1870.

Jules Beaupré mentionne dans son répertoire l’existence d'une chemin reliant la voie romaine Langres-Metz passant à Rosières-en-Hayes[21]. Ces éléments permettent de supposer que le village s'est formé à proximité d'un établissement gallo-romain le long d'une voie secondaire reliant la voie romaine Toul-Metz à la commune de Pannes. (Fig. 1 - ban communal)

Epoque moderne[modifier | modifier le code]

Le village a été ravagé par la peste, incendié par les Suédois et détruit en grande partie pendant la guerre de Trente Ans[20].

Anecdotes[modifier | modifier le code]

  • L'abbé Grosse relate dans son ouvrage le souvenir laissé par les seigneurs de Tremblecourt en ces termes :

«On prétend que la terreur, inspirée par les seigneurs de ce village, lui a mérité primitivement le nom de Tremblecourt, Tremendi- Curia ou Tremuli- Curia : un de ses farouches barons, qui s'élançait comme un vautour sur les manants de la plaine , porta ses armes jusqu'à Condé-sur-Moselle (Custines), et périt dans la rivière aux acclamations de ses vassaux ; le repaire que ces maîtres féroces habitaient fut renversé dans le 15e siècle .»

  • Comme le rapporte l'exemplaire du Pays lorrain de 1914, c'est à Griscourt que le brigadier chargé du ravitaillement des troupes s'aperçût de la disparition d'un petit cochon acquis à Tremblecourt, le ton et l'orthographe de son rapport firent sourire de nombreux mobilisés de Toul lors de la grande guerre :

«Étant de passage à Tremblecourt ayant là mission d'acheter un petit cochon pour le 39e d'artillerie camper à Jezainville… »[22]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1995 2014 Marie-José Fournier    
2014 mai 2020 Marie-Jeanne Chrétien    
mai 2020 En cours Régis Favret [23]    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 160 habitants[Note 4], en diminution de 15,79 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
231259263292316312295320314
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
302305293283276287277266282
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
292254218215200196202189189
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
172175199167152185190197171
2021 - - - - - - - -
160--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

E Grosse indique dans son dictionnaire pour le XIXe siècle :

«Territ. : 596 hect., dont 259 en labours, 68 en bois, 81 en prés et 63 en vignes,dont les produits sont durs, froids et peu généreux : on en fait cependant une assez grande exportation.»[17]

indiquant ainsi le caractère essentiellement agricole de l’économie à cette époque..(cf. carte historique du vignoble lorrain)

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[28]), la commune de Tremblecourt était majoritairement orientée [Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant production de céréales et d'oléagineux ) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 865 hectares (surface cultivable communale) en hausse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est renforcé de 558 à 595 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 4 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 7 unités de travail[Note 7].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Epvre.
  • Château fort au XIIIe (disparu).
  • Puits avec margelle et treuil.
  • Église Saint-Epvre, chœur XVe, nef XVIIIe agrandie XIXe.
  • Vestiges de trois fontaines de dévotion : Saint-Roch, Sainte-Jeanne-d'Arc, Sainte-Philomène.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Dans la sacristie de l'église Saint-Epvre, une inscription rappelle que le sieur François Bernard, greffier en chef de la Cour souveraine, natif de Tremblecourt et décédé à Nancy, le 19 février 1750, a fait diverses fondations dans l'église et a légué, dans ce but, 500 livres à la fabrique, suivant l'acte d'acceptation de l'évêque, en date du 22 septembre 1733.

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Tremblecourt Blason
D'argent au tremble de sable feuillé de sinople mouvant de la pointe, cantonné de quatre lionceaux de gueules armés, lampassés et couronnés d'or
Détails
Le tremble (ou peuplier) de Tremblécourt est cantonné des quatre lions de Jean de Beauveau, seigneur du lieu.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Tremblecourt et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  16. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
  17. a et b Abbé E. Grosse, Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe contenant une introduction historique sur le pays avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, Creusat, (OCLC 611479374, lire en ligne), p. 519.
  18. Clément Féliu, « Leuques et Médiomatriques à La Tène moyenne et finale ; deux cités du nord-est de la Gaule à la fin de l'âge du fer », Bulletin de l'AFEAF, vol. 2 Annexes,‎ , p. 23–27 (lire en ligne, consulté le ).
  19. Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 978-2-87754-091-9, OCLC 890475393, lire en ligne).
  20. a et b « Gallica - », sur visualiseur.bnf.fr (consulté le ) : « Type :PERIODIQUE Auteur :Société d'archéologie lorraine Titre(s) : Mémoires de la Société d'archéologie lorraine Publication : A. Lepage (Nancy) Cote : NUMM-33691 », p. 325.
  21. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 124.
  22. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte et Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Le Pays lorrain : revue régionale bimensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, (consulté le ) : « P 618 petits cotés de la guerre ... ».
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».