Euvezin

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Euvezin
Euvezin
La place avec le château, la mairie, et le monument aux morts.
Blason de Euvezin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Mad et Moselle
Maire
Mandat
Sabine Parmentelot
2020-2026
Code postal 54470
Code commune 54187
Démographie
Gentilé Euvezinois, Euvezinoises [1]
Population
municipale
109 hab. (2021 en augmentation de 6,86 % par rapport à 2015)
Densité 9,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 55′ 29″ nord, 5° 50′ 20″ est
Altitude Min. 208 m
Max. 328 m
Superficie 11,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pont-à-Mousson
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Euvezin
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Euvezin

Euvezin est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Village dans un vallon, sur le Rupt-de-Mad, à 45 km de Nancy, 31 de Toul, 5 de Thiaucourt.

Fig. 1 - Euvezin (ban communal).

D’après les données Corine Land Cover, le ban communal de 1132 hectares comportait en 2011, 50 % de zones agricoles et 50 % de forêts.

communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 809 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Euvezin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pont-à-Mousson dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,4 %), terres arables (43 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), prairies (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Unvisin ou Uuvisin , 1288 - Euvisin, 1436 - Uvezin, 1594 sont les graphies recensées par le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe.[15]

Concernant l'étymologie du nom de ce village, on peut chercher un début d'explication en comparant Euvezin avec les communes de Beuvezin (en patois lorrain prononcez Bûv'zet) et Pleuvezin (nom actuel que le patois lorrain rend par Piow'zet) dont les différentes orthographes ont été analysées par l'instituteur de Tramont-Saint-André, M. Pernot, dans une note publiée par la société savante de Nancy[16].

Ecarts et lieux-dits[modifier | modifier le code]

HAYE (la), moulin d'Euvezin[17].

L'abbé Grosse signale dans son ouvrage de 1836 quelques lieux importants :

« Il y a près du village une cense appelée Robert-ménil, on voit aussi deux moulins à grains, un moulin à vent, qui est peut-être l'unique dans le pays, et deux brasseries. Le principal commerce consiste en vins. »[18]

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune a longtemps produit du vin (jusqu'au début du XXe siècle), commercialisé sous l'appellation vin de Thiaucourt. Certains disent même que des bouteilles de ce vin auraient été embarquées à bord du Titanic.[19]

D'après les sources, le village pourrait être de fondation assez récente car dépendait primitivement de la commune de Bouillonville[20].

Antiquité et préhistoire[modifier | modifier le code]

Outre la présence à proximité du ban communal de liaisons d'importance historique (Chemin Brabant, voie Brunehautetc.), Beaupré signale des traces d'occupations anciennes de l'âge des métaux et de l'occupation romaine dans son répertoire archéologique :

« Au lieudit Corée-Colas, débris de tuiles et de pierres de taille. A la Côte belle tache, tumulus contenant une forte épée de fer, un vase de terre et un squelette. Près de là, à 2 mètres de profondeur, découverte de pièces de monnaies romaines en bronze, os taillés, poteries. »[21]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

H. Lepage parle de ce village dans son ouvrage :

« Un document de 1299 fait état d'une chapelle située au lieu-dit Robert-ménil , puis , en 1458 Jean Guiotin, habitant de Pont-à-Mousson, vend au seigneur d'Apremont, tout ce qui peut lui appartenir en la ville, ban et finage d'Euvezin, on trouve également des actes de dénombrement de la seigneurie ou de partie de la seigneurie d'Euvezin, donnés à Jacomin Simon (1435) ; Poince Baudoche (1457) ; Varry Roucel (1466) et Pierre Baudoche (1479), tous habitants de Metz… »[17]

Cette terre fut érigée en comté, le 17 mars 1736, par le duc François III, en faveur de Charles-Gabriel comte de Rosières, d'une maison originaire de Touraine, établie dans le Barrois trois siècles auparavant[20] . C'est à cette période que le château d'Euvezin, qui date peut être de 1611[22], est décrit dans les sources comme installé dans un méandre du Mad qui en facilitait la défense :

« la seigneurie d'Euvezin, consistant en un château et chapelle castrale, cour, basse-cour, colombier, bergerie, moulin, pressoirs et fours banaux, etc., »[17]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Anecdote[modifier | modifier le code]

La revue de Guerre "Pages de guerre écrites au jour le jour" relate :

« La population d'Euvezin a été évacuée par ordre des Allemands le 24 juillet 1915 et dirigée sur Arnaville, Conflans et Bruville. Les évacués dirigés sur Bruville ayant demandé à rentrer en France libre, furent emmenés en Allemagne, au camp d'Holzminden, où ils restèrent neuf mois. »[23]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 André Defaux    
mars 2008 mai 2020 Jacques Perantoni[24]   Retraité de la fonction publique
mai 2020 En cours Sabine Parmentelot[24],[25]   Profession libérale

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 109 habitants[Note 4], en augmentation de 6,86 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
366447446387400417404390407
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
384377354355346356337341314
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
307277166158146149136151139
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
133118107818410995108109
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et viticole, au XIXe siècle,

« Surf. territ. 1 200 ha : dont 487 hect. en terres lab., 17 en prés, 73 en vignes, 504 en bois, 17 en jardins, chènevières, pâtures et vergers. L'hectare semé en blé peut rapporter de 5 à 6 hectol., en orge de 6 à 7, en seigle de 3 à 4, mais on en sème en petite quantité, en avoine de 6 à 7, planté en vignes de 60 à 75. Chevaux, vaches, porcs ; ces derniers sont d'un grand rapport, à cause de la quantité qu'on en élève. Culture des terres avec assez de développement, des vignes avec toute la perfection désirable. Deux moulins à grains. »[18],[20]

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[30]), la commune de Euvezin était majoritairement orientée[Note 5] sur la production de céréales et d'oléagineux sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 610 hectares (au delà de la surface cultivable communale) en légère hausse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 258 à 189 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 4 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 7 unités de travail[Note 7].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Gorgon.
  • Le château d'Euvezin, qui date du XVe siècle, a été entièrement restauré au XVIIIe siècle. Il comporte des canonnières à la base des deux tours carrées du château primitif. En outre, il fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [31].
  • Église Saint-Gorgon, tour romane remaniée, nef XVIIIe.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Antoine de Rozières, président des Grands Jours de Saint-Mihiel, mort en 1611[32].
  • Pillot, instituteur d'Euvezin (Meurthe-et-Moselle) en poste vers 1880[33], contributeur à la Revue Géographique de l'Est.

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Euvezin Blason
D'or à deux léopards contournés d'azur, lampassées de gueules, passant l'un au-dessus de l'autre ; à la bordure engrelée de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Il s’agit des armes de la famille De Rosières. En effet, François III érigea la terre d’Euvezin en comté en faveur de Charles Gabriel De Rosières[34].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune :  production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure  en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Euvezin et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Dictionnaire topographique de la France. Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : réd. sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine par M.Henri Lepage,..., (lire en ligne).
  16. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte et Comité du Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain », sur Gallica, (consulté le ) : « « Notes sur les noms de Beuvezin et de Pleuvezain, et sur Frédéric de Pluvoise, évêque de Metz  »,P 140 ».
  17. a b et c Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 : par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 333.
  18. a et b Grosse, E., abbé., Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe : contenant une introduction historique sur le pays avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages ..., Creusat, (OCLC 65309428, lire en ligne), p. 18.
  19. Sur le lieu de naufrage du Titanic, on n’a à ce jour retrouvé aucune bouteille de vin de Thiaucourt. Mais la présence supposée de ce pinot noir lorrain à bord est entretenue de génération en génération dans la mémoire collective de cette petite commune du Rupt-de-Mad en Meurthe-et-Moselle (républicain lorrain Le 08/04/2012 à 05:00)
  20. a b et c Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative : publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 179.
  21. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 61.
  22. Notice no PA54000072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  23. « Pages de guerre écrites au jour le jour », sur Gallica, (consulté le ).
  24. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  31. « Château d'Euvezin », notice no PA54000072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Henri Lepage et Alexandre de Bonneval, Les Offices des duchés de Lorraine et de Bar et la maison des ducs de Lorraine, par Henri Lepage, avec la collaboration de M. Alexandre de Bonneval, L. Wiener, (lire en ligne).
  33. Société de géographie de l'Est Auteur du texte, « Bulletin de la Société de géographie de l'Est », sur Gallica, (consulté le ).
  34. Louis Alexandre Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, (lire en ligne), p. 811.