Saint-Mandrier-sur-Mer
Saint-Mandrier-sur-Mer | |||||
![]() La presqu'île de Saint-Mandrier-sur-Mer vue depuis Notre-Dame du Mai (Six-Fours-les-Plages) | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Toulon | ||||
Intercommunalité | Métropole Toulon Provence Méditerranée | ||||
Maire Mandat |
Gilles Vincent (LR) 2020-2026 |
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Code postal | 83430 | ||||
Code commune | 83153 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mandréen, Mandréenne | ||||
Population municipale |
5 979 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 1 168 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 05′ 00″ nord, 5° 56′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 124 m |
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Superficie | 5,12 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de La Seyne-sur-Mer-2 | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : Var
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Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Ville de Saint Mandrier | ||||
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Saint-Mandrier-sur-Mer est une commune du Var située sur la presqu'île de Saint-Mandrier, formant la partie sud de la petite rade de Toulon. Elle est reliée au massif du Cap-Sicié par l'isthme Les Sablettes.
Elle est membre de la métropole Toulon Provence Méditerranée.
Ses habitants sont appelés les Mandréens et Mandréennes.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune se situe dans le département du Var à 15 km de Toulon par la route, 7 km à l'est de La Seyne-sur-Mer et à 70 km de Marseille.
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
Sa superficie est de 512 hectares soit 5,12 km2. Son altitude la plus basse se situe au niveau de la mer, le point culminant se trouve à 123 m, la moyenne étant de 62 m[1].
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]
La commune de Saint-Mandrier se situant sur une presqu'île, elle est presque intégralement bordée par la mer Méditerranée, hormis une bande de terre d'environ 300 mètres de large, au nord-ouest. En revanche, aucun cours d'eau ne semble arroser ce territoire[2].
La commune bénéficie de la Station d'épuration de Toulon Ouest - Cap Sicié - Amphitria de 500 000 équivalent-habitant[3].
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat de la commune n'est guère différent de celui de Toulon, dont la rade est fermée en son côté sud par la presqu’île de Saint-Mandrier.
Ville | Ensoleillement![]() |
Pluie![]() |
Neige![]() |
Orage![]() |
Brouillard![]() |
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Moyenne nationale | 1 973 | 770 | 14 | 22 | 40 |
Toulon | 2 899 | 665 | 2 | 24 | 5 |
Paris | 1 661 | 637 | 12 | 18 | 10 |
Nice | 2 724 | 733 | 1 | 29 | 1 |
Strasbourg | 1 693 | 665 | 29 | 29 | 53 |
Brest | 1 605 | 1 211 | 7 | 12 | 75 |
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 6,2 | 6,3 | 8,2 | 10,1 | 13,6 | 17 | 19,7 | 19,8 | 16,9 | 14,1 | 9,8 | 7,2 | 12,4 |
Température moyenne (°C) | 9,6 | 9,9 | 12,1 | 14,2 | 18 | 21,7 | 24,7 | 24,8 | 21,9 | 17,7 | 13,1 | 10,4 | 16,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 12,9 | 13,5 | 16 | 18,3 | 22,3 | 26,4 | 29,6 | 29,7 | 25,9 | 21,3 | 16,4 | 13,5 | 20,5 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,9 2007 |
22,5 1990 |
26,4 2008 |
28,1 2009 |
31,6 2006 |
35,1 2008 |
40,1 1982 |
37 1975 |
34,7 1987 |
29,3 1985 |
24 1977 |
21,1 2011 |
40,1 1982 |
Ensoleillement (h) | 152 | 184 | 236 | 236 | 285 | 314 | 350 | 325 | 253 | 176 | 143 | 127 | 2 793 |
Précipitations (mm) | 83 | 70 | 49 | 66 | 43 | 29 | 7 | 30 | 56 | 108 | 73 | 71 | 684,8 |
Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

- Par la route : accès depuis La Seyne-sur-Mer (Les Sablettes) par la D 18 ;
- Par la mer : navettes depuis et vers le port de Toulon (durée de la traversée 20 min) ;
- En bus : lignes 18 et 28 du Réseau Mistral[5].
Lignes SNCF[modifier | modifier le code]
Transports aériens[modifier | modifier le code]
Les aéroports les plus proches sont :
Toponymie[modifier | modifier le code]
L'origine du nom de la commune remonte au VIe siècle lorsque Mandrianus et Flavianus, deux illustres soldats saxons de l'armée des Ostrogoths, baptisés par saint Cyprien prêtre de Toulon, vinrent se réfugier sur « l'Isle de Cépet » où ils vécurent jusqu'à leur mort[6].
Histoire[modifier | modifier le code]

L'Île Cépet[modifier | modifier le code]
Fermant la célèbre rade, tel un verrou, la presqu'île de Saint-Mandrier, aux temps les plus reculés, était formée de trois îles rapprochées devenues au cours des siècles « l'Isle de Cépet ». Les Phéniciens, les Rhodiens, les Ligures, les Massadiens et les Romains s'y arrêtèrent. Ainsi, la baie du Creux Saint-Georges abrita de nombreux navigateurs et quelques huttes apparurent sur le rivage.
Au VIe siècle, Six-Fours, La Seyne, l'Île de Cépet ne formaient alors qu'un seul territoire. Du VIe au XIe siècle, cette île n'était qu'un ensemble de fermes. Sa renommée provenait de la présence sur ses terres d'une tour phocéenne transformée en chapelle en 566 et de la chapelle Saint-Honorat avec son prieuré, datant de 1020.
La Seyne-sur-Mer[modifier | modifier le code]
En 1657, La Seyne obtient son indépendance communale avec bornage des terrains s'étendant jusqu'à la presqu'île de Cépet, car l'île était devenue presqu'île entre 1630 et 1657 grâce à la formation de l'isthme des Sablettes. Le village, appelé aussi le Cros Saint-Georges commence à prendre forme et devient alors une section de la commune-mère La Seyne.
En 1670, on construisit l'infirmerie royale Saint-Louis remplacée en 1818 par l'hôpital maritime de Saint-Mandrier. Tout au long du XVIIIe siècle, la vie à Saint-Mandrier a été intimement liée aux événements se déroulant dans la rade.
Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Après le sabordage de la flotte française à Toulon, les Allemands ont réinstallé au cap Cépet, dans un ouvrage fortifié construit au début des années 1930 et désarmé en 1940 après l'armistice avec l'Italie, des canons de 340 mm/45, prélevés sur l'épave du cuirassé Provence, ayant une portée maximale d'environ 35 km. Lors du débarquement de Provence en 1944, la batterie, qui n'a eu très vite qu'un canon opérationnel, fut engagée par plusieurs cuirassés et croiseurs alliés, parmi lesquels, le cuirassé Lorraine — navire-jumeau du Provence et porteur même type de canon. La batterie a été finalement réduite au silence le [7],[8].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Création de la commune[modifier | modifier le code]
L'indépendance de la commune a été proclamée le et menée par Louis Clément, son premier maire.
Le , Saint-Mandrier devient Saint-Mandrier-sur-Mer[9].
Gilles Vincent est actuellement maire de la commune depuis 1995.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Budget et fiscalité 2017[modifier | modifier le code]
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[11] :
- total des produits de fonctionnement : 6 831 000 €, soit 1 159 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 6 398 000 €, soit 1 085 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 5 004 000 €, soit 849 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 2 816 000 €, soit 478 € par habitant.
- endettement : 704 000 €, soit 120 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 12,54 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 18 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 52,30 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : Médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 527 €[12].
Services publics[modifier | modifier le code]
- Mairie
- Pompiers
- Office du tourisme
- Résidence de retraite
- Groupe scolaire (maternelle, primaire, collège) à Saint-Mandrier
- Groupe scolaire (maternelle, primaire) au Pin Rolland
- Crèche parentale, halte-garderie.
Jumelages[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
La commune ayant été créée en 1950, la population n'est pas indiquée pour les dates antérieures[13].
Le recensement de 2004 fait état de 58,1 % d'hommes et 41,9 % de femmes[14].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1954. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].
En 2018, la commune comptait 5 979 habitants[Note 1], en augmentation de 3,44 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune fait partie de l'académie de Nice.
Établissements d'enseignements :
- sur la commune[19] :
- Écoles maternelles et élémentaires,
- Collège.
- Lycées à Toulon et La Seyne-sur-Mer[20].
Santé[modifier | modifier le code]
Professionnels et établissements de santé :
- Médecins à Toulon, Ollioules, La Seyne-sur-Mer[21].
- Pharmacies[22].
- Centres médicaux à Toulon et La Seyne-sur-Mer[23].
Cultes[modifier | modifier le code]
La paroisse catholique de Saint-Mandrier-sur-Mer dépend du diocèse de Fréjus-Toulon, doyenné de La Seyne-sur-Mer[24],[25].
- paroisse de Saint-Mandrier (place du ), église Saint-Joseph-au-Pin-Rolland. À noter que la cloche de l'église provient d'Oranie[26].
Temples et mosquées à Toulon[27].
Sports[modifier | modifier le code]
- Clubs de football, rugby à XV (US Saint-Mandrier), basket-ball, aïkido, tennis, cyclisme, danse, country, chasse, boulistes, plongée, rame traditionnelle...
- Manifestations : combat de franc-jouteurs provençaux de juin à septembre, régate vers Le Pradet en juillet, concours de beach-volley de juin à septembre.
Vie culturelle[modifier | modifier le code]
- Salle Marc-Baron : cinéma, théâtre, concert.
- Salle de théâtre, galerie de peintures.
- Diverses associations culturelles, patriotiques, de loisir et de tradition provençale.
- Manifestations : fête de la Saint-Pierre (fête des pécheurs) le 29 juin.
- Le Banc de la promenade.
Récompenses[modifier | modifier le code]
- Une étoile au Concours des villes et villages fleuris depuis 2006 qui récompense les communes pour leur patrimoine paysager et végétal et leurs efforts dans l'amélioration du cadre de vie et du développement durable[28].
- Titulaire Pavillon bleu d'Europe depuis 2006 : celui-ci distingue et valorise les communes et ports de plaisance français qui répondent à des critères d'excellence pour la gestion globale de leur environnement[29].
Économie[modifier | modifier le code]
- Tourisme estival, station balnéaire[30].
- Activités liées à la plaisance.
- Marine nationale (Centre d'instruction naval, École des mécaniciens, École de plongée, commando Hubert, phare du cap Cépet).
- Huile d'olive de Provence AOC.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Patrimoine religieux :
- Église Saint-Mandrier[31].
- Les chapelles :
- La chapelle du centre d'instruction naval Sud.
- La chapelle Forcat du centre d'instruction naval Nord (Ex. GEEM).
- La chapelle Saint-Louis (ou « chapelle des Mécaniciens », ou encore « chapelle de l'ancien hôpital », conçue en 1827 par l'ingénieur Honoré Bernard, a été consacrée en 1840[32] et « chapelle des Bagnards »)[33] datant de la première moitié du XIXe siècle a été inscrite à la protection des Monuments Historiques le [34].
- La chapelle du parc d'activités marines de l'ex-BAN[35],[36].
- La chapelle Saint-Joseph du Pin Rolland[37],[38].
- Le monument aux morts[39].
- Cimetière militaire franco-italien[40].
Patrimoine naturel et paysager :
- Sentier des Douaniers.
- Divers points de vue sur le mont Faron, la rade de Toulon, la mer Méditerranée.
- Plages de sable (Pin Rolland, la Vieille, Saint-Asile, le Touring, le Canon) ou de galets (Coudoulière, Grave).
- Le jardin botanique de la Marine à Saint-Mandrier, aujourd'hui disparu[41]. Ce jardin, créé à Toulon en 1786 sur le site de l'actuel Jardin Alexandre-1er, est transféré à Saint-Mandrier en 1850. Un de ses directeurs fut Justin-Benjamin Chabaud qui y introduisit de nombreux palmiers et cycas. Ce jardin cesse d'exister en 1884 et les plantes sont transférées à la Porte de France à Toulon[42].
Autres patrimoines :
- Hôpital Saint-Louis dit hôpital de Saint Mandrier[43].
- Darse et l'hôpital Saint-Louis à Saint-Mandrier[44].
* Base aérienne dite hydrobase ou base aéronautique maritime[45].
* Ports et aménagements portuaires :
- Port de plaisance[46],[47],[48].
- Cale de halage du port de Saint-Mandrier[49].
- Le creux Saint-Georges[50]. Port de Saint-Mandrier, l'anse du creux Saint-Georges[51].
- Port Pin Rolland[52].
- Digue du port de Saint-Mandrier[53].
- Port dit appontement pétrolier du Lazaret[54].
- Phare du cap Cépet[55].
- Fort Saint-Elme[56].
- Batterie de Saint-Elme[57].
- Batterie de la Coudoulière[58].
- Batterie du Puits[59].
- Batterie de la Pointe Saint-Georges[60].
- Batterie de la Carraque[61].
- Batterie de Saint-Mandrier. 1757[62].
- Batterie et poste photo électrique de Marégau[63].
- Batterie de Mord'huy Batterie de Mord'huy.
- Batterie du Lazaret[64].
- Batterie annexe de la Piastre, dite également batterie basse du Lazaret[65].
- Batterie de Cépet, dite fort de Cépet[66].
- Batterie de 340 de Cépet[67].
- Ouvrage fortifié : batterie de la Croix des Signaux[68].
- Batterie de la Piastre[69].
- Batterie du Gros-Bau[70].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- L'amiral Latouche-Tréville y est enterré (mausolée en forme de pyramide situé dans le cimetière militaire franco-italien)[71].
- George Sand, qui a écrit le roman Tamaris, dépeint le paysage avoisinant de la presqu'île au XIXe siècle et livre ses impressions[72].
Blasonnement[modifier | modifier le code]
Les armoiries de Saint-Mandrier-sur-Mer se blasonnent ainsi :
|
Le blason[74] de Saint-Mandrier, fut imaginé par Jean-Baptiste Clément (qui par ailleurs était le fils de Louis Clément). Il est apparu officiellement en 1950, date de la séparation de La Seyne et de Saint-Mandrier. La lance et le casque évoquent le soldat romain Mandrianus qui donna son nom à la presqu'île. Le chef de gueules chargé de deux poissons rappelle les armoiries de La Seyne, commune mère, mais aussi que Saint-Mandrier est le port de pêche le plus important de l'Inscription maritime de Toulon. La pointe d'azur chargée d'une ancre rappelle que le port de Saint Mandrier a toujours été un havre contre le mauvais temps[75].
Films tournés à Saint-Mandrier[modifier | modifier le code]
- 1964 : L'Âge ingrat de Gilles Grangier (domicile de Lartigue et lieu de villégiature « forcé » des Malhouin)
- 1965 : Pierrot le fou de Jean-Luc Godard
- 1968 : Le Petit Baigneur de Robert Dhéry
- 2001 : Une fille dans l'azur de Jean-Pierre Vergne (téléfilm)
- 2007 : Enfin veuve d'Isabelle Mergault
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- « Superficie et altitude de Saint-Mandrier-sur-Mer » (consulté le 19 novembre 2010)
- L'eau dans la commune
- Description de la station
- Données climatiques Climat MétéoFrance.com consulté en février 2013
- « Réseau Bus et Bateaux de la Communauté d'Agglomération Toulon Provence » (consulté le 18 novembre 2010)
- « Histoire de Saint Mandrier » (consulté le 18 novembre 2010)
- Karig, Commander Walter ; Burton, Lieutenant Earl ; Freeland, Lieutenant Stephen L., Battle Report (Volume 2) ; The Atlantic War, New York/Toronto, Farrar and Rinehart, Inc., , p. 386–387
- (en) Earl Burton et JH Pincus, « The Other D-Day : The Invasion Of Southern France », Sea Classics, vol. 37, no 9, , p. 60–70 (PMID 37452, lire en ligne, consulté le 23 juin 2009)
- « Histoire de Saint-Mandrier-sur-Mer » (consulté le 19 novembre 2010)
- La fiche biographique de JUVÉNAL Maximin, Victor, Juvénal dit Max sur le Maitron en ligne
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Notice explicative des résultats de l'enquête de recensement 2004 à Saint-Mandrier-sur-Mer comparés au recensement 1999 », sur saint-mandrier.com (consulté le 18 novembre 2010)
- « La population de Saint-Mandrier-sur-Mer », sur annuaire-mairie.fr (consulté le 19 novembre 2010)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Établissements d'enseignements sur la commune
- Lycées
- Médecins
- Pharmacies
- Centres médicaux
- paroisse de Saint-Mandrier
- Cultes
- Cloches d'Oranie. Cloches du diocèse d'Oran dans les paroisses de France : Aïn Fekan « Jeanne d'Arc » à Masevaux (68)
- Temples et mosquées
- « Palmarès des communes labellisées (Var) », sur Concours des villes et villages fleuris (consulté le 31 juillet 2018)
- « Lauréats communes 2010 », sur pavillonbleu.org (consulté le 19 novembre 2010)
- « station balnéaire », notice no IA83000436, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Les églises et édifices religieux, recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
- hôpital Saint-Louis dit hôpital de Saint Mandrier
- La chapelle Saint-Louis dite "des bagnards"
- « Monuments historiques », sur culture.gouv.fr (consulté le 19 novembre 2010)
- Histoire de la BAN Saint-Mandrier (1997-2003)
- L'Aéronautique Navale à Saint-Mandrier
- Église Saint-Joseph
- La cloche Sainte Léonie « Johanna Octava » se trouve à la chapelle Saint Joseph du Pin Rolland
- Le monument aux morts : Conflits commémorés 1914-1918 ; 1939-1945 ; Indochine (46-54)
- Cimetière militaire franco-italien
- « Le voyage des plantes, le jardin botanique de la marine » (consulté le 31 juillet 2018).
- A. Robertson – Proschowsky, G. Roster et B. Chabaud, La résistance au froid des palmiers, Marly-le-Roi, Champflour, , 264 p. (ISBN 2-87655-039-3), p. 247.
- Hôpital Saint-Louis dit hôpital de Saint Mandrier
- Darse et l'hôpital Saint-Louis à Saint-Mandrier
- Base aérienne dite hydrobase ou base aéronautique maritime
- Ports et aménagements portuaires de la commune de Saint-Mandrier-sur-Mer
- Port de Saint-Mandrier
- Vue sur le port de Saint-Mandrier
- Cale de halage du port de Saint-Mandrier
- Le creux Saint-Georges.
- Port de Saint-Mandrier, l'anse du creux Saint-Georges, vers 1920]
- Anse du Cros Saint-Georges. Plan du port de Saint-Mandrier en 1906.
- Port Pin Rolland
- Digue du port de Saint-Mandrier
- Port dit appontement pétrolier du Lazaret
- « Phare du cap Cépet à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur culture.gouv.fr, (consulté le 19 novembre 2010)
- Fort Saint-Elme
- Batterie de Saint-Elme
- batterie de la Coudoulière
- Batterie du Puits
- Batterie de la Pointe Saint-Georges
- Batterie de la Carraque
- Batterie de Saint-Mandrier. 1757
- Batterie et poste photo électrique de Marégau
- Batterie du Lazaret
- Batterie annexe de la Piastre, dite également batterie basse du Lazaret
- Batterie de Cépet, dite fort de Cépet
- Batterie de 340 de Cépet
- Ouvrage fortifié : batterie de la Croix des Signaux
- Batterie de la Piastre
- Batterie du Gros-Bau
- « L'amiral Latouche-Treville », sur ville-saintmandrier.fr (consulté le 19 novembre 2010) : « Une pyramide de 7,25 m de hauteur qui renferme la dépouille mortelle de l'amiral Latouche-Treville »
- George Sand, Tamaris, Clermond-Ferrand, éditions Paléo, , 254 p. (ISBN 978-2-84909-499-0)
- La période gallo-romaine en héraldique : Saint-Mandrier-sur-Mer
- Le blason , pp. 47-48
- Dominique Cureau, « Vexillologie provençale » (consulté le 18 novembre 2010)
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Saint-Mandrier-sur-Mer, par le service régional de l'inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Henri Ribot (dir.), Jean Ajello, Jean-claude Autran, Céline Chicharo, Robert Hervé, Antoine Peretti, Jacqueline Viollet-Repetto et al., La Seyne-sur-Mer, Saint-Mandrier-sur-Mer : Regards sur deux terroirs, Sanary-sur-Mer et Toulon, Éditions du Foyer Pierre Singal et Centre archéologique du Var, coll. « Cahier du Patrimoine Ouest Varois » (no 14), , 711 p., 21 cm × 15 cm (ISBN 978-2-9511673-0-8 et 2-9511673-0-X)
- Archives de l'association Spiritualité et Art sur les édifices religieux construits en France entre 1945 et 2000 (Paris) : Chapelle Pin Rolland
- Chapelle des Mécaniciens, dite aussi chapelle Saint-Louis ou chapelle de l'ancien Hôpital sur la base Patrimages
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Saint-Mandrier-sur-Mer