Argagnon

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Argagnon
Argagnon
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Gilles Leveque
2020-2026
Code postal 64300
Code commune 64042
Démographie
Gentilé Argagnonais
Population
municipale
700 hab. (2021 en diminution de 1,69 % par rapport à 2015)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 27″ nord, 0° 40′ 52″ ouest
Altitude Min. 66 m
Max. 209 m
Superficie 9,33 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Orthez
(banlieue)
Aire d'attraction Orthez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Artix et Pays de Soubestre
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Argagnon
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Argagnon
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Argagnon

Argagnon (en béarnais Arganhon ou Argagnoû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

Carte

La commune d'Argagnon se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 12 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Orthez[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Maslacq (2,1 km), Sarpourenx (2,4 km), Castétis (2,9 km), Sarpourenx (3,4 km), Balansun (4,1 km), Castétis (4,3 km), Mesplède (4,6 km), Castetner (5,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Argagnon fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Hydrographie

Carte en couleur présentant les réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Argagnon.
Le gave de Pau entre Argagnon et Maslacq, sur son trajet béarnais.

La commune est drainée par le gave de Pau, le ruisseau de Clamondé et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son flanc sud-ouest et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, après avoir traversé 88 communes[8].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

  • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 215 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lagor », sur la commune de Lagor, mise en service en 1962[14] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 111,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 21 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[20].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22],[Carte 2] : le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[23].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[25].

Urbanisme

Entrée dans Argagnon.

Typologie

Argagnon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[26],[27],[28]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Orthez, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[29] et 12 786 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30],[31].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orthez dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,3 %), forêts (21,5 %), prairies (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), zones urbanisées (5,2 %), eaux continentales[Note 11] (1,1 %)[34].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

Voies de communication et transports

Argagnon est une station sans service voyageurs (gare marchandises ou gare de triage) sur la ligne de Toulouse à Bayonne.

La commune est desservie par la route départementale D 817 et par la route départementale N 275.

Toponymie

Le toponyme Argagnon apparaît sous les formes Arganion (977[36] et XIe siècle[35], cartulaire de Bigorre[37] pour la deuxième date), Argalhoo (1376[35], montre militaire de Béarn[38]), Arguanhoo (1385[35], censier de Béarn[39]), Arganhoo (1546[35], réformation de Béarn[40]), Argagnon sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[41]) et Argagnon-Marcerin lors de sa réunion avec Marcerin le [35].

Son nom béarnais est Arganhon[42] ou Argagnoû[43]). Brigitte Jobbé-Duval[36] indique qu’Argagnon a pour origine le nom du premier propriétaire, Arcanius, et qu’augmenté du suffixe -onem, le toponyme signifie donc ’domaine d’Arcanius’.

Paul Raymond cite en 1863[35] un fief vassal de vicomté de Béarn, du nom de Castéra, déjà mentionné en 1538[35] sous la graphie Casterar (réformation de Béarn[40]).

Les Castets était un écart d’Argagnon-Marcerin, cité en 1779[35] par le terrier de Marcerin[44].

Marcerin est cité sous les formes Marcerii (1345[35], notaires de Pardies[45]), Marsserü (1385[35], censier de Béarn[39]), Marsery (1779[35], terrier de Marcerin[44]) et Marcery (1793[46] ou an II).

Histoire

En 1385, Argagnon et Marcerin dépendaient du bailliage de Pau[35]. Marcerin comptait à l'époque douze feux.

Les seigneurs d'Argagnon était la famille de Castéra[47],[48]

Jusqu'en 1846 Argagnon fit partie du canton de Lagor[35]. La commune s'unit à Marcerin le pour former la commune d’Argagnon-Marcerin.

C'était, sous l'Occupation, un des postes de contrôle officiels de la Ligne de démarcation.

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 mars 1995 Georges Vandesande SE  
mars 1995 mars 2001 Guillaume Defarge    
mars 2001 2020 André Cassou DVG  
2020 En cours Gilles Leveque    

Georges Vandesande a parrainé la candidature de Jacques Cheminade à l'élection présidentielle de 1995.

Intercommunalité

Argagnon appartient à cinq structures intercommunales[49] :

  • la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’Arthez-de-Béarn ;
  • le syndicat intercommunal d'eau et d'assainissement gave et Baïse ;
  • le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau.

Population et société

Démographie

En 1385, la commune comptait 9 feux[35]. Le nom des habitants est Argagnonais[50]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

En 2021, la commune comptait 700 habitants[Note 12], en diminution de 1,69 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
212193205227222238359366348
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
515491486457464502460442415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
415436411393408366330309323
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
374468505501695711707728703
2021 - - - - - - - -
700--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

Sobriquet et dicton

D’après Hubert Dutech[55], les habitants de Marcerin étaient appelés perautucs, ce qui signifie ’benêts’. Il cite également le diction A Marcerin, n'i a glèisa ni mouli, mes que i a ua houratèra, oun lou diable apèra, ce qui signifie « À Marcerin, il n'y a ni église, ni moulin, mais il y a une petite grotte d'où le diable appelle ».

Lieux et monuments

Patrimoine civil

Plusieurs camps préhistoriques ont été découverts sur la commune, témoignant de son passé ancien. Le plus important d’entre eux est le Turoû de Dous Garos[55], qui s’élève à 90 mètres. Des fossés l’entourent ainsi que trois remparts de terre. Des vestiges de l'âge de fer y ont été découverts. Le parc du château actuel est situé dans l’ancienne castéra.

Patrimoine religieux

L'église Saint-Pierre[56] datant de 1866, fut construite sur des vestiges provenant du XIe siècle. Elle est inscrite à l’Inventaire général du patrimoine culturel.

Personnalités liées à la commune

nées au XVIIIe siècle
nées au XIXe siècle
  • Henry de Pène, né en 1830 à Paris et décédé en 1888 dans cette même ville, est un écrivain et journaliste français. Henry de Pène se fit aussi appeler Henry de Pène d'Argagnon, du nom du château que possédait son père à Argagnon.
nées au XXe siècle

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
  4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  7. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  11. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Argagnon » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Argagnon », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Argagnon », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Argagnon et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Argagnon et Artix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Argagnon », sur www.villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az et ba Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
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  10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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  24. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Argagnon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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