Elbeuf

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Elbeuf
Elbeuf
Le quartier du Puchot.
Blason de Elbeuf
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Djoudé Merabet
2014-2020
Code postal 76500
Code commune 76231
Démographie
Gentilé Elbeuviens
Population
municipale
15 951 hab. (2021 en diminution de 3,42 % par rapport à 2015)
Densité 977 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 12″ nord, 1° 00′ 33″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 133 m
Superficie 16,32 km2
Élections
Départementales Elbeuf (bureau centralisateur)
Localisation
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Elbeuf
Liens
Site web mairie-elbeuf.fr

Elbeuf[Note 1] (API : [ɛlbœf]) est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

La commune est dénommée localement Elbeuf-sur-Seine[Note 2], pour faire la distinction avec les communes d'Elbeuf-en-Bray et d'Elbeuf-sur-Andelle, toutes trois dans le même département.

Ancienne cité drapière située à 23 km au sud de Rouen et 40 km au nord-ouest d'Évreux, Elbeuf est le bureau centralisateur du canton d'Elbeuf. Depuis 2010, elle fait partie de la Métropole Rouen Normandie, qui atteint ainsi 486 519 habitants, ainsi que de l'unité urbaine de Rouen.

Elbeuf a obtenu le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris.

La ville a le label « Villes et Pays d'art et d'histoire ».

Géographie

Localisation

Elbeuf est un chef-lieu de canton situé dans la Seine-Maritime sur un méandre de la Seine, à 18 kilomètres de Rouen.

Communes limitrophes

La commune a pour principale commune limitrophe Caudebec-lès-Elbeuf.

Géologie et relief

Le territoire de la commune occupe une surface de 1 632 hectares.

Hydrographie

Du fait de sa position sur la Seine, la ville a été périodiquement sujette aux inondations. La plus importante d'entre elles se produisit en 1910.

Les digues ont été relevées et les routes surélevées en bordure du fleuve. Deux ponts franchissent la Seine en direction de Saint-Aubin-lès-Elbeuf : le pont Guynemer et le pont Jean-Jaurès.

Toponymie

À la fin du Xe siècle, un village, attesté sous la forme Wellebou dans une charte de Richard Ier de Normandie, se développe. On trouve aussi Guellebo en 1021 - 1025 et Wellebuoht en 1070 - 1081[2] (lire Wellebuoth).

Il s'agit d'un type toponymique médiéval fréquent en Haute-Normandie, où l'on trouve aussi deux autres communes portant ce nom : Elbeuf-sur-Andelle (Wellebotum 1218) et Elbeuf-en-Bray (Wellebof 1046 - 1048). Le déterminant complémentaire -sur-Seine, parfois ajouté à Elbeuf, sert à éviter la confusion avec ces deux autres communes situées également dans le département de la Seine-Maritime.

Le premier élément El- représente l'ancien scandinave vella « source, cours d'eau »[3] ou son correspondant anglo-saxon wella « source, cours d'eau »[4]. Il apparaît dans la toponymie normande de manière générale comme second élément d'un composé toponymique sous diverses formes, à savoir : la plus courante -vel(le) (Jersey, Moulin de Quétivel ; Seine-Maritime, Moulin de Quenarvelle en 1539 ; nombreux Caquevel), -ouelle (Rouelles, Seine-Maritime, Rodewella 1035 ; Fontaine de Mirouel, Exmes, Orne), voire -gueule (le Radegueule, affluent de la Béthune, Seine-Maritime, Radevele XIIe siècle cf. Radwell, Angleterre)[5] et en emploi autonome dans la Veules (source et rivière à Veules-les-Roses, Wellas 1025, Welles XIVe siècle).

La forme Guellebo est une forme francisée, correspondant au normand Wellebo(u), elle ne s'est pas imposée. En revanche, le W- initial s'est amuï, conformément à ce qu'on observe dans la toponymie de la Haute-Normandie et ce, devant e ou i, cf. Incarville (Eure, Wicardi villa 1025)[4].

Le second élément -beuf est issu de l'ancien scandinave bóð « cabane, baraque » (cf. vieux danois both, danois bod, anglais booth, d'origine scandinave). En Normandie, il a généralement pris la forme -beuf ou -bot et est souvent noté -b(u)oth ou -bod dans les attestations les plus anciennes, exemple : Daubeuf-la-Campagne (Eure, Dalbuoth 1011). François de Beaurepaire donne à both le sens de « village »[6].

Le sens global est donc celui de « cabane au bord du cours d'eau » ou « village au bord du cours d'eau »

Histoire

L'industrie drapière

Vers 1514, les premières draperies d'Elbeuf voient le jour. Après la corporation des tisserands, Jean-Baptiste Colbert donnera en 1667 un élan supplémentaire à l'industrie drapière avec la Manufacture royale de draps d'Elbeuf.

Le 3 novembre 1802, Napoléon visite les manufactures.

La concurrence étrangère aura raison de cette activité économique de la ville, qui chutera pendant le contrôle allemand lors de la Seconde Guerre mondiale. Les bombardements de 1944 détruisent une partie du centre-ville. La ville se reconstruit mais dans les années 1950, l'industrie drapière doit faire face à l'apparition des textiles synthétiques. Cette concurrence va amener la disparition progressive de cette industrie. La firme Prudhomme est la dernière à fermer en 1990[7].

La « ville aux cent cheminées », telle qu'elle fut surnommée, s'est tournée vers une activité industrielle plus moderne : industrie chimique et mécanique, avec notamment les usines Renault et Sanofi.

Une forte immigration alsacienne

Le 12e Manitoba Dragoons canadien franchissant la Seine à Elbeuf le 28 août 1944.

Après la guerre de 1870, un grand nombre d'Alsaciens qui refusaient l'annexion ont choisi Elbeuf pour s'y installer. Beaucoup de ces nouveaux habitants travaillaient dans l'industrie textile en Alsace. Or les clauses douanières du traité de Francfort leur fermaient dorénavant le marché français[8].

Paul Lévy écrit : « Des 4 000 Bischwillerois qui ont quitté leur ville natale entre 1869 et 1874 — dont 75 fabricants sur 96 et plus de 3 000 ouvriers sur 5 000 — plus de la moitié s'est retrouvée à Elbeuf, où ils continuaient à former un groupement original au sein de la population autochtone. D'abord beaucoup d'entre eux étaient luthériens au milieu d'une population catholique. Leur pasteur leur faisait un sermon en allemand tous les quinze jours et, l'office terminé, s'entretenait avec eux en dialecte. Car le dialecte a subsisté, parlé couramment chez tous les vieux, fidèlement conservé par beaucoup de jeunes[9] » et il cite Delahache : « Je les ai entendus [en 1914], entre eux ou avec les patrons, et d'entendre ce langage ici, dans une petite ville normande, à 500 km de l'Alsace […] je me croyais là-bas, chez eux, chez moi […] Ils se sont longtemps mariés entre « pays », et cette tradition non plus n'est pas perdue[10] ».

Parmi cette communauté d'origine alsacienne se trouvaient les familles Blin, Fraenckel et Herzog[11]. L'écrivain André Maurois, de son vrai nom Émile Herzog, appartenait à cette dernière famille. Il est né à Elbeuf.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs[12]
Période Identité Étiquette Qualité
1768 1772 Jean-Nicolas Lefèbvre   nommé par Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf
1775 1776 Charles Leroy   nommé par Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf
1776 1778 Jean-Louis Maille   nommé par Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf
1778 1782 Mathieu Quesné   nommé par Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf
1782 1785 Michel Grandin de L'Eprevier   nommé par Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf
1785 1785 Jacques Delacroix   nommé par Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf
1785 1788 Benoît Delarue   nommé par Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf
1788 1790 Bernard Delarue   nommé par Charles-Eugène de Lorraine, duc d'Elbeuf
1790 1791 Pierre Lingois   élu
1791 1792 Pierre Galeran   élu
1792 1796 Nicolas Saillant   élu
1796 1797 Nicolas-Félix Lefèbvre   président de l'administration municipale du canton d'Elbeuf
1797 1798 David Delarue   président de l'administration municipale du canton d'Elbeuf
1798 1799 Louis-Pierre-François Lemercier   président de l'administration municipale du canton d'Elbeuf
1799 1800 Henri Delarue   président de l'administration municipale du canton d'Elbeuf
1800 1801 Thomas-Mathieu Frontin   nommé par Bonaparte
1802 1808 Prosper Delarue    
1808 1823 Pierre-Henry Hayet   nommé par Napoléon 1er
1823 1830 Georges-Paul Petou   nommé par Louis XVIII
1830 1830 Augustin-Mathias Henry   proclamé président de la Commission municipale provisoire
1831 1833 Marie-Mathieu-Constant Leroy   nommé maire par ordonnance royale
1833 1834 Augustin Laurents   nommé maire par ordonnance royale
1835 1840 Pierre-Nicolas-Désiré Lefort   nommé maire par ordonnance royale
1840 1848 Mathieu-Pierre Bourdon Droite nommé maire par ordonnance royale
1848 1848 Pierre Henri Sevaistre   nommé maire par arrêté du gouvernement provisoire
1848 1874 Jean-Louis Buée   nommé maire par arrêté du gouvernement provisoire
1875 1878 Léon-Mathieu Sevaistre    
1878 1888 Jules Louis Eugène Doublet   conseiller général, chevalier de la Légion d'honneur (1883)[13]
1888 1894 Émilien-Louis-Marie Nivert   élu, de même que ses suivants.
1894 1911 Charles-Antoine Mouchel    
1911 1912 Emile-Paul Lafosse    
1912-1914 1919 Armant Constant Alexandre Périer   transporteur, officier de la Légion d'honneur (1934)[14], natif d'Igoville
1914 1919 Marcel-Élias Olivier   maire provisoire pendant la présence aux Armées d'Armant Périer
1919 1928 Jean Antoine Abel Devillers   avocat, conseiller général, chevalier de la Légion d'honneur (1925)[15]
1928 juin 1940 René Lebret Socialiste Journaliste, député (1928-1942)
Nommé membre de la Commission administrative départementale en 1941[16]
juin 1940 ? Abbé Becquet[17]    
1944 1947 Paul Bonvoisin   Médecin
1947 1959 Joseph Perret    
1959 1971 Pierre Lebret DVD-UNR conseiller général
1971 1977 Michel Beaufils    
1977 1997 René Youinou PS conseiller général, député suppléant de Laurent Fabius (1978-1981)
1997 2004 Didier Marie PS démissionnaire, président du conseil général
avril 2004 mars 2008 Françoise Guillotin PS  
mars 2008 En cours
(au 30 septembre 2018)
Djoudé Merabet PS  

Finances locales

Elbeuf se situe dans la strate des communes de 5 000 à 10 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (TPU).

Jumelages

Drapeau de l'Allemagne Lingen (Allemagne), voir Lingen (de).

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[18],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 15 951 habitants[Note 4], en diminution de 3,42 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 8625 6006 3519 09010 25813 36614 64616 31817 534
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
18 82120 69221 78422 84822 21323 15222 10421 40420 542
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
19 05018 72918 29018 67217 96418 37917 50615 95817 293
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
18 98819 40719 11617 22416 60416 66617 27716 80016 503
2021 - - - - - - - -
15 951--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Elbeuf s'appuie[Quoi ?] aussi sur les communes de son agglomération dont la démographie se situe dans les mêmes ordres : Caudebec-lès-Elbeuf (10 000 habitants), Saint-Aubin-lès-Elbeuf (8 000 habitants) et Saint-Pierre-lès-Elbeuf (8 000 habitants).

Enseignement

  • Lycées
  • Collèges
  • Écoles
    • Saint Jean (privé)
    • Immaculée (privé)
L'IUT d'Elbeuf.

La ville dispose de l'antenne de l'IUT de Rouen, axée sur les NTIC.

Santé

Centre hospitalier intercommunal Elbeuf-Louviers/Val de Reuil, localement appelé Hôpital des Feugrais. Il se situe sur la commune de Saint-Aubin-lès-Elbeuf.

Ouverture du Pôle Thérapeutes inauguré le 16/02/2018.

Manifestations culturelles et festivités

La fête foraine appelée Foire Saint-Gilles, située sur le Champ de Foire en bordure de Seine, se déroule pendant le mois de septembre.

Économie

Hôtel de ville.

Elbeuf est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie d'Elbeuf. Elle gère le CFA, le port fluvial d'Elbeuf, la Zone Angot, le Bâtiment 3 et l'Hôtel des Compétences.

La compétence économique d'Elbeuf est gérée par la Métropole Rouen Normandie.

Une monnaie locale, l'agnel[21], a été lancée en novembre 2015.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Jardin René-Youinou.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi la Catégorie: Naissance à Elbeuf.

Héraldique

Image Nom de la commune et blasonnement
Elbeuf

Parti, au premier d'or à la croix patriarcale de gueules, posée sur une terrasse de sinople, supportant une vigne du même fruitée de pourpre, au second d'azur à une ruche d'or, posée sur une terrasse de sinople, entourée d'abeilles sans nombre du même.

Elbeuf (Seine-Inférieure)

Pendant le Premier Empire : d'argent, à une ruche d'azur, posée sur une terrasse de sinople et entourée d'un essaim, au chef de gueules, chargé de trois abeilles d'or[24].

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Le nom officiel de la commune est Elbeuf dans le code officiel géographique de la République française, [lire en ligne].
  2. Le site de la mairie utilise l'appellation Elbeuf sur Seine, sans tiret, [Site de la mairie lire en ligne].
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  2. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et des anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5 et 2-708-40040-1, OCLC 6403150), p. 70
    Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
    .
  3. Jean renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie : dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Cully, éditions OREP, , 54 p. (ISBN 978-2-915762-89-1).
  4. a et b François de Beaurepaire 1979.
  5. Jean renaud, op. cit.
  6. François de Beaurepaire 1979, p. 100.
  7. Emmanuel de Roux, Patrimoine industriel, Paris, Éditions du Patrimoine Éditions Scala, , 270 p. (ISBN 978-2-86656-406-3), p. 166-177.
  8. Connaissance du patrimoine de Haute-Normandie.
  9. Paul Lévy, Histoire de la langue allemande en France, Éditions IAC, 1952, tome II, p. 153.
  10. Georges Delahache, L'Exode, Paris, 1914.
  11. Site de la mairie d'Elbeuf.
  12. Charles Brisson, Elbeuf, histoire de ses rues..., éditions du Pt'it Normand, 1980.
  13. « Notice LH/795/72 », base Léonore, ministère français de la Culture
  14. « Notice 19800035/1323/53194 », base Léonore, ministère français de la Culture
  15. « Notice 19800035/754/85590 », base Léonore, ministère français de la Culture
  16. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9617384f/f4.image.r=commission%20administrative
  17. [1]
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. http://www.monnaiedugrandrouen.fr
  22. Notice no IA00020772, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. Notice no PA76000086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. http://www.euraldic.com/txt_vbh058_elbeuf.html.