La Couvertoirade

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La Couvertoirade
La Couvertoirade
Blason de La Couvertoirade
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Larzac et Vallées
Maire
Mandat
Maryse Roux
2020-2026
Code postal 12230
Code commune 12082
Démographie
Gentilé lacuperturadais(se)
Population
municipale
189 hab. (2021 en augmentation de 1,61 % par rapport à 2015)
Densité 3,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 50″ nord, 3° 19′ 02″ est
Altitude Min. 640 m
Max. 900 m
Superficie 61,91 km2
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web lacouvertoirade.com

La Couvertoirade (La Cobertoirada en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Le patrimoine architectural de la commune comprend cinq immeubles protégés au titre des monuments historiques : les remparts, classés en 1895, l'Hôtel de Grailhe, inscrit en 1934, l'église Saint-Christol et le cimetière, classée en 1945, la commanderie, classée en 1945, et le presbytère, classé en 1945.

Géographie[modifier | modifier le code]

Panorama de La Couvertoirade.

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune, située au sud du Massif central, sur une partie du causse du Larzac, est membre du parc naturel régional des Grands Causses.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Cornus, L'Hospitalet-du-Larzac, Nant, Sainte-Eulalie-de-Cernon, Sauclières, Campestre-et-Luc, Le Caylar, Le Cros et Les Rives.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 932 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 4,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cornus à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 007,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Rempart de la Couvertoirade.

Le nom de Cubertoirata apparaît dès le XIe siècle lors de la délimitation des territoires appartenant à l’abbaye de Gellone, à Saint-Guilhem-le-Désert (Hérault) aujourd’hui. Depuis le XIIe siècle, les Templiers sont installés sur le Larzac et à La Couvertoirade. Leur implantation est due d’une part à la proximité de routes permettant de descendre vers la côte méditerranéenne pour s’embarquer vers l’Orient et la Terre sainte, d’autre part à des donations.

La Couvertoirade constitue dès l’origine pour les Templiers un centre d’exploitation agricole. Sur ces terres, ils font cultiver aux paysans des céréales, élever des chevaux (pour la guerre) et des moutons (pour la viande, les peaux, le lait). Un bourg se développe autour du château, encore visible de nos jours. En 1312, l’ordre du Temple est dissous. L’ensemble de leurs biens revient aux Hospitaliers qui deviennent les nouveaux maîtres de La Couvertoirade. La bourgade compte 135 feux en 1328, soit environ 800 personnes. Au milieu du XIVe siècle, les « Routiers » (des compagnies de mercenaires vivant en bandes plus ou moins organisées et souvent peu disciplinées) pillent le Larzac. Par crainte de ces bandes armées, les habitants finissent par faire fortifier le bourg de 1439 à 1445. C'est Déodat d'Alaus, maître maçon de Saint-Beauzély, qui est chargé d'exécuter ces travaux. Malheureusement, ce territoire se sera déjà fortement dépeuplé.

À ce siècle de fléaux succède un siècle de repeuplement et de reconstruction dont témoignent de nombreuses maisons ayant conservé des éléments de la fin du XVe au début du XVIe siècle. En 1562, au début des guerres de religion, les Huguenots tentent de prendre la cité — en vain. En 1702 les habitants s’arment et restaurent les portes par crainte des Camisards, mais le bourg ne sera plus jamais attaqué. Malgré les épidémies et les disettes s’instaure une certaine prospérité. En 1768 le bourg est érigé en commanderie indépendante, octroyée au chevalier Riquetti, baron de Mirabeau, déjà commandeur de Sainte-Eulalie. La Révolution confisque toutes les possessions hospitalières qui reviennent aux paysans. Au XIXe siècle, la commune est touchée par l’exode rural mais maintient son activité économique agricole. Puis, à partir des dernières décennies du XXe siècle, la commune exploite aussi son passé templier à des fins touristiques.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1995 Jacques Dupont DVG Instituteur
2001 2014 Marie José Laborie    
mars 2014 En cours Maryse Roux[7],[8]   Agricultrice sur moyenne exploitation
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[10].

En 2021, la commune comptait 189 habitants[Note 1], en augmentation de 1,61 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866
6448159691 0281 0751 020939906847
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
790812750736792648519478409
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
329335286256188160142120107
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
134148153173179178189189-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[12].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 87 ménages fiscaux[Note 2], regroupant 183 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 550 [I 1] (20 640  dans le département[I 2]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 3] 4,3 % 6,7 % 8,5 %
Département[I 4] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 5] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 106 personnes, parmi lesquelles on compte 83 % d'actifs (74,5 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 17 % d'inactifs[Note 3],[I 3]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 6]. Elle compte 71 emplois en 2018, contre 77 en 2013 et 65 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 86, soit un indicateur de concentration d'emploi de 82,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,5 %[I 7].

Sur ces 86 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 47 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 61,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 27,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

49 établissements[Note 4] sont implantés à la Couvertoirade au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 5],[I 10].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 49
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
19 38,8 % (17,7 %)
Construction 1 2 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
19 38,8 % (27,5 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
1 2 % (12,4 %)
Autres activités de services 9 18,4 % (7,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,8 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 49 entreprises implantées à La Couvertoirade), contre 27,5 % au niveau départemental[I 11].

Entreprises[modifier | modifier le code]

L'économie de la commune est caractérisée par une agriculture traditionnelle extensive basée sur l'élevage pour la production laitière de brebis destinée à l'élaboration des fromages de Roquefort, pérail, tome, et pour la production de veaux et agneaux destinés à l'engraissement. Une diversification existe tournée vers l'apiculture et la production de bois de chauffe et le tourisme rural. Les agriculteurs de la commune et des communes voisines vendent leurs productions transformées ou pas devant le bourg les dimanches de la saison estivale. Des artisans d'art et artistes créateurs vivent et travaillent dans la commune.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron[13]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 13 12 12 12
SAU[Note 7] (ha) 4 448 3 856 3 692 3 240

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 13 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 12 en 2000 puis à 12 en 2010[15] et enfin à 12 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 8 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[16],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 4 448 ha en 1988 à 3 240 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 342 à 270 ha[15].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • les remparts, classés monument historique depuis 1895[17] ;
  • le château, classé monument historique depuis 1945[18] ;
  • l'hôtel de Grailhe, inscrit monument historique en 1934[19] ;
  • l'hôtel de la Scipione.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • l'église Saint-Caprais de la Blaquererie ;
  • l'église Saint-Christol, classé monument historique en 1945[20] ;
  • le presbytère, classé monument historique en 1945[21] ;
  • le cimetière, classé monument historique en 1945[20].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Lavogne.
  • Le moulin de Redounel.

Sentier de grande randonnée[modifier | modifier le code]

Un chemin rural qualifié de sentier de grande randonnée (GR 71C, 83 km) part de La Couvertoirade et permet, en quatre jours, de s'immerger dans les replis les plus reculés du causse et de faire connaissance avec sa population.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de La Couvertoirade Blason
De sable aux deux lions rampants d'or affrontés[22].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Bouloc, La Couvertoirade : visites guidées (3e éd. modifiée), La Couvertoirade, les Amis de La Couvertoirade, , 56 p., ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 22 cm (BNF 42130929)
  • André Soutou, La Couvertoirade, La Couvertoirade, Association des amis de La Couvertoirade, , 40 p., ill., couv. ill. ; 19 cm (BNF 34592987)
  • Alain Salasc et Jean-Pierre Amalvy, Guide de visite, La Couvertoirade, La Couvertoirade, Association des amis de La Couvertoirade, , 48 p.-[1] f. de carte dépl. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm (BNF 34903752)
  • Michel Renaud, Yannick Zaballos et Sylvie Fournier (Collaboratrice) (ill. Laurence Stéfanon, photogr. Ivan Anger), Cité de La Couvertoirade : fondation templière et commanderie hospitalière du Larzac : guide aide-mémoire..., Gavaudun, Éd. Fragile, coll. « La mémoire des pierres », , 1 dépl. (8 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 29 cm (ISBN 2-910685-11-X (édité erroné), ISSN 1258-1445, BNF 36695295)
  • Alphonse Caubel (préf. Jacques Bousquet ; Jean Delmas, ill. Robert Aussibal), L'"Écho des remparts" de La Couvertoirade (Recueil d'études précédemment parues dans "L'Echo des remparts", bulletin paroissial, de 1922 à 1925.), Rodez, Sauvegarde du Rouergue, , 132 p., ill., couv. ill. en coul. ; 25 cm (BNF 37077823)
  • Institut géographique national (France) et Fédération française de la randonnée pédestre, Le Caylar : La Couvertoirade : Cirque du bout du monde (document cartographique, monographie), Paris, IGN, , 1 flle : en coul. ; 136 x 96 cm, pliée 23 x 12 cm (ISBN 978-2-7585-2591-2, BNF 42561417)

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. René Quatrefages), Nant : La Cavalariá, La Cobertoirada, L'Espitalet, Sauclièiras, Sent-Joan-del-Bruèlh / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Nant, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-20-3, ISSN 1151-8375, BNF 36685848)
  • (en) Michel Renaud, Yannick Zaballos et Sophie Fournier (Collaboratrice) (trad. Beryl Degans, ill. Laurence Stéfanon, photogr. Ivan Anger), City of La Couvertoirade : a templar foundation and hospitaller commandery on the Larzac : guide-book memento... [« Cité de La Couvertoirade : fondation templière et commanderie hospitalière du Larzac »], Gavaudun, Éd. Fragile, coll. « La mémoire des pierres », , 1 dépl. (8 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 29 cm (ISBN 2-910685-11-X (édité erroné), ISSN 1258-1445, BNF 36695296)

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • [vidéo] François Chayé La Couvertoirade - Villages de France - Arte - Mai 2012 sur YouTube
  • Jean-Louis Pieux (Réalisateur) et Jean-Paul Azam (Voix parlée ; photographe), La Couvertoirade ou le vrai trésor des Templiers (image animée, monographie), S.l., La Couvertoirade (Production), , 1 cass. vidéo (18 min) : coul., SECAM ; 1/2 pouce VHS (BNF 38321771)
  • Alain Boyer (Réalisateur), La Couvertoirade : le don de l'eau (image animée, monographie), Paris, Fédération française de cinéma et vidéo, , 1 fichier vidéo numérique (18 min 07 s) : coul. (PAL), son. (BNF 42102881)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  5. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[14].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre La Couvertoirade et Cornus », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cornus » (commune de Cornus) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Cornus » (commune de Cornus) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
  8. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  9. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  10. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  12. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  13. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  14. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  15. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de La Couvertoirade - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
  17. Notice no PA00094009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  18. Notice no PA00094005, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. Notice no PA00094007, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  20. a et b Notice no PA00094006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. Notice no PA00094008, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. « La Couvertoirade », sur moncanals12.canalblog.com (consulté le ).