Lucarré

Lucarré
Lucarré
La mairie de Lucarré.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Christian Roumigou
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64357
Démographie
Gentilé Lucarréens
Population
municipale
62 hab. (2021 en augmentation de 6,9 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 24′ 21″ nord, 0° 04′ 58″ ouest
Altitude Min. 230 m
Max. 337 m
Superficie 3,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lucarré
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Lucarré
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Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Lucarré

Lucarré est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Carte

La commune de Lucarré se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 30 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Bentayou-Sérée (2,0 km), Momy (2,1 km), Luc-Armau (2,3 km), Peyrelongue-Abos (2,7 km), Maure (2,7 km), Castéra-Loubix (4,0 km), Samsons-Lion (4,4 km), Villenave-près-Béarn (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Lucarré fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Lucarré[6]
Peyrelongue-Abos Luc-Armau
Lucarré
Momy Bentayou-Sérée

Hydrographie[edit | edit source]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lucarré.

La commune est drainée par le Petit Lées, le ruisseau de Lanamia et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Petit Lées, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune de Momy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léez à Os-Marsillon, après avoir traversé 5 communes[8].

Climat[edit | edit source]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 092 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Vic-en-Bigorre à 11,25 km à vol d'oiseau[12], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 937,3 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Lucarré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,9 %), forêts (20,1 %), eaux continentales[Note 5] (4,8 %), zones urbanisées (0,2 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[edit | edit source]

  • Andoins ;
  • Les Anglas ;
  • Salis.

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Elle est desservie par les routes départementales 47 et 224.

Risques majeurs[edit | edit source]

Le territoire de la commune de Lucarré est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lucarré.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 91 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[28].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1990 et 2009[25].

Toponymie[edit | edit source]

Le toponyme Lucarré apparaît[29] sous les formes Lucarree (XIIIe siècle[29], fors de Béarn[30]), Luccarrer et Lucarer (respectivement 1385[29] et 1402[29], censier de Béarn[30]), Lucarrer (1538[29], réformation de Béarn[31]) et Luccarré (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[29]).

Son nom béarnais est Luc Arrèr[32] ou Luc-Arrè[33].

Andoins, fief vassal de la vicomté de Béarn, est mentionné en 1773[29] dans le dénombrement de Lucarré[34].

Les Anglas, ancienne école, est indiquée en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[29].

Histoire[edit | edit source]

Situé sur l’ancien camin roumieu à la frontière du Montanérès, le village de Lucarré détient une importance stratégique dès le Moyen Âge. On y recense d’ailleurs la présence d’une abbaye laïque.

Mentionnée dès 1385, l’abbaye laïque de Lucarré a la particularité d’appartenir aux seigneurs de Lucarré, qui détiennent pendant très longtemps le titre d’abbés laïques, jusqu’à la Révolution, avec une coupure entre 1622 et 1662.

Possession de Gauthier de Cofitte en 1570, l’abbaye laïque lui est confisquée par Jeanne d’Albret pour sa confession catholique lors des guerres de Religion. Restituée à sa famille, elle se voit complètement reconstruite. Il reste de cette époque une tour hexagonale hors d’œuvre sur la façade sud du logis ancien. Le château passe ensuite aux mains de Samuel de Lafargue (1656), des Samsons-Miossens (1662) puis des Nays-Candau avant d’être vendu comme bien national à Jean Lamude-Bayle à la Révolution.

Le château de Lucarré a aujourd’hui l’aspect d’une vaste demeure paysanne et fait d’ailleurs office de ferme.

En 1385, Lucarré comptait douze feux et dépendait du bailliage de Montaner.

Les Hospitaliers[edit | edit source]

Paul Raymond[29] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. Lucarré était membre de la commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

Politique et administration[edit | edit source]

Liste des maires de Lucarré
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2014 Marcel Lamarque    
2014 En cours Christian Roumigou    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[edit | edit source]

Lucarré fait partie de quatre structures intercommunales[35] :

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 62 habitants[Note 7], en augmentation de 6,9 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
193196422207223222217236238
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
228211197177158157166110107
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1081091131049186948582
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
807580786551484660
2014 2019 2021 - - - - - -
586362------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Patrimoine civil[edit | edit source]

La demeure, dite château[40], date des XVIe et XVIIe siècles.

Une ferme[41] du lieu-dit Salis date de 1797, alors que la maison Manescau[42] du bourg porte les dates 1807 et 1840 sur sa façade.

Patrimoine religieux[edit | edit source]

L'église Saint-Pierre[43], d'origine médiévale, fut remaniée aux XVIe et XVIIIe siècles. Elle recèle du mobilier[44], un tableau[45], des statues[46] et des objets[47] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Notes et références[edit | edit source]

Notes et cartes[edit | edit source]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Lucarré » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Lucarré », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Lucarré et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lucarré et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Lucarré », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Lucarré », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Petit Lées ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Lucarré et Vic-en-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Vic-en-Bigorre » (commune de Vic-en-Bigorre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Vic-en-Bigorre » (commune de Vic-en-Bigorre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lucarré », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lucarré », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Lucarré », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lucarré », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  29. a b c d e f g h et i Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  30. a et b Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  31. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  32. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  33. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  34. Manuscrits du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Notice no IA00026563, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Notice no IA00026564, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Notice no IA00026561, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
  44. [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10][11][12][13][14][15][16] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Pierre
  45. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'église Saint-Pierre
  46. [17][18] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les statues de l'église Saint-Pierre
  47. [19][20][21][22][23] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Pierre

Voir aussi[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

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