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Bullecourt

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Bullecourt
Bullecourt
La mairie.
Blason de Bullecourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Sud-Artois
Maire
Mandat
Éric Bianchin
2020-2026
Code postal 62128
Code commune 62185
Démographie
Gentilé Bullecourtois
Population
municipale
227 hab. (2021 en évolution de −6,97 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 11′ 35″ nord, 2° 55′ 43″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 104 m
Superficie 6,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bullecourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bullecourt
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Bullecourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Bullecourt

Bullecourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Bullecourtois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 059 habitants en 2021.

Géographie

Localisation

Le village est situé vers le sud-est d'Arras et dans le triangle entre l'autoroute A1, la route D 930 et la D 939.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Hydrographie

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].

Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[1].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 10 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 699 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

Paysages

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3],[2]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[3].

Urbanisme

Typologie

Bullecourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[4],[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,8 %), zones urbanisées (4,2 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

Voies de communication et transports

Voies de communication

La commune est desservie par la route départementale D 956.

Transport ferroviaire

La commune se trouve à 18 km de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[11].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bullecortis (1096) ; Builicurt (1142) ; Bulecult (vers 1154) ; Bulicourt (vers 1154) ; Buillicurt (1154-1159) ; Bulicurt (XIIe siècle) ; Builcourt (1215) ; Builecort (1237) ; Bulecourt (1238) ; Bulecort (1266) ; Buillencourt (1290) ; Bulecourt (1301) ; Burlecourt (1319) ; Bullescourt (1429) ; Buillecourt, Bullecourt (1435)[12], Bulcourt (1793) et Bullecourt depuis 1801[13].

Histoire

Avant la Révolution française, Bullecourt est le siège d'une seigneurie, longtemps possédée par des membres de la famille de Beauffort.

Photo d'un poste allemand de tranchées, prise en 1917 sur le secteur Croisilles - Bullecourt.

Comme tout l'Arrageois, Bullecourt a été le théâtre de violents combats durant la Première Guerre mondiale. En 1917, les Alliés envisagent la rupture du front grâce à deux offensives : l'une française au Chemin des Dames, l'autre britannique devant Arras. L'attaque de Bullecourt est une opération limitée.

Le , deux brigades australiennes attaquent Bullecourt, appuyées par douze tanks mais sans soutien d'artillerie. Pris sous un feu d'enfilade, les Australiens doivent se replier. Les pertes de la 4th Brigade s'élèvent à 2 258 sur un effectif de 3 000 hommes. Les Allemands capturent 27 officiers et 1 137 hommes et n'ont que 750 tués.

Le , une deuxième attaque est menée par les 62e et 2e division australienne sur les deux flancs du village. Bullecourt est reprise mais la percée de la ligne Hindenburg n'a pas eu lieu. Au total, les pertes britanniques et australiennes s'élèvent à 14 000 hommes[14],[15].

Jean Letaille (maire de 1977 à 1995) a rassemblé différents objets dans un musée relatif à cette période[16].

Politique et administration

Découpage territorial

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[13].

Commune et intercommunalités

La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.

Circonscriptions administratives

La commune est rattachée au canton de Croisilles de 1801[13] à 2014, puis, depuis 2015 au canton de Bapaume.

Circonscriptions électorales

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1812 Joseph Ledru    
1813 1834 François Auguste Lenoir    
1835 1838 Pierre Antoine Callau    
1839 1865 Jean Baptiste Canone    
1865 1865 Adrien Grodecoeur    
1865 18 Augustin Régniez    
1977 1995 Jean Letaille   Agriculteur
1995 2014[17] Jules Laude UMP Agriculteur
2014 2020[18] Gladys Dickson    
25 mai 2020 En cours
(au 3 février 2022)
Eric Bianchin   Profession intermédiaire de la santé et du travail social[19],[20]

Équipements et services publics

Justice, sécurité, secours et défense

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[21].

Population et société

Démographie

Les habitants de la commune sont appelés les Bullecourtois[22].

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 227 habitants[Note 6], en évolution de −6,97 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
490522522532583556601617593
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
543503490527559547488512506
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
458423396181273281288321330
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
296264245248260251239250239
2021 - - - - - - - -
227--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 122 hommes pour 112 femmes, soit un taux de 52,14 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,7 
90 ou +
0,0 
6,6 
75-89 ans
11,0 
19,0 
60-74 ans
20,0 
24,5 
45-59 ans
19,5 
21,9 
30-44 ans
19,7 
11,1 
15-29 ans
10,6 
15,2 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Monuments

L'église Saint-Vaast.
  • L'église Saint-Vaast.
  • Dans la mairie, un tableau du peintre James Scott représentant la mort du Major P. Black qui conduisit ses hommes à travers le réseau de barbelés intacts. Son bataillon captura la première puis la seconde ligne allemande. Le Major Black fut retrouvé mort sur les barbelés

Lieux de mémoire de la guerre

  • Le monument aux morts[28].
  • Devant l'église, le monument du Souvenir français qui commémore l'engagement des troupes britanniques et australiennes en 1917. À côté, est exposé un morceau de chenille du tank Mark IV du lieutenant Davies qui a participé à l'attaque d'avril 1917[29].
  • La croix aux Disparus qui commémore les 2 423 soldats australiens qui n'ont pas de tombe connue et qui reposent encore dans le no man's land ou dans un cimetière avec la mention Known unto god.
  • Le mémorial du Digger - statue de bronze de 2,4 m de haut, œuvre du sculpteur australien Peter Colett, érigée en 1993, qui a représenté le visage de son père qui a combattu à Bullecourt[30].
  • Le Bullecourt 1917 - Musée Jean-et-Denise-Letaille.

Héraldique

Blason de Bullecourt Blason
D'or à la fasce de gueules accompagnée de trois maillets de sable[31].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Adopté par la municipalité le .

Personnalités liées à la commune

  • Saint Vindicien, né à Bullecourt en 632.
  • Antoine de Croix, dit Drumez, seigneur de Bullecourt est reconnu noble le 26 janvier 1580. Il a pour armes « D'argent à la croix d'azur »[32].
  • Romain de Beauffort, (famille de Beauffort), chevalier, seigneur de Bullecourt, mort en 1562, a servi au couronnement du roi d'Espagne (Charles Quint) en tant que guidon de la compagnie d'ordonnance du seigneur de Bugnicourt et Montigny, est ensuite resté au service des rois Charles Quint et Philippe II, et a consumé au dit service une grande partie des anciennes terres de sa maison[33].

Pour approfondir

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  11. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  12. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 76.
  13. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  14. Sur les traces des Australiens de Bapaume à Bullecourt par l'Association Souvenir, Sauvegarde et Histoire Militaire Régionale.
  15. voir aussi www.cheminsdememoire-nordpasdecalais.fr: Parc mémorial australien de Bullecourt
  16. Article dans la Voix du Nord du 09/08/2010] Consulté le 1er septembre 2010
  17. Laurent Boucher, « Bilan du maire à Bullecourt : Jules Laude ne se représentera pas : Au conseil municipal depuis 1967 et maire depuis 1995, Jules Laude ne se représentera pas en mars prochain. À 75 ans, « il y a une limite, il faut savoir s’arrêter. » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  19. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  21. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  22. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bullecourt (62185) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  28. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  29. « Monument aux britanniques et australiens », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  30. « Parc commémoratif et monument aux forces australiennes », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  31. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  32. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 4.
  33. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 35-36, lire en ligne.