Bonnut

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Bonnut
Bonnut
L'église Sainte-Marie de Castèth.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Amandine Painset
2020-2026
Code postal 64300
Code commune 64135
Démographie
Gentilé Bonnutien
Population
municipale
827 hab. (2021 en augmentation de 9,1 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 01″ nord, 0° 45′ 54″ ouest
Altitude Min. 66 m
Max. 161 m
Superficie 22,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Orthez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Artix et Pays de Soubestre
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bonnut
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Bonnut
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Bonnut
Liens
Site web bonnut.pagesperso-orange.fr

Bonnut (prononcé [bɔnyt] ; en gascon Bonnut) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé français est Bonnutien[1], le gentilé est inusité en gascon, sauf sur le mode plaisant on dira los bonnutòts, las bonnutòtas.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Bonnut se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 55 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 34 km d'Artix[4], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Orthez[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Arsague (4,2 km), Saint-Boès (4,4 km), Amou (5,1 km), Sallespisse (5,2 km), Saint-Girons-en-Béarn (5,2 km), Bonnegarde (5,5 km), Tilh (6,3 km), Orthez (6,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Bonnut fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Bonnut.

La commune est drainée par l'Ourseau ou Oursoô, le ruisseau de Bédéra, le ruisseau de Cabin, le ruisseau du Pas de Salles, le ruisseau de Hourquet, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Oursoû, d'une longueur totale de 11,4 km, prend sa source dans la commune d'Orthez et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Luy du Béarn à Castel-Sarrazin, après avoir traversé 5 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 231 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orthez à 7 km à vol d'oiseau[13], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 211,5 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bonnut est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orthez, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,8 %), zones agricoles hétérogènes (29,5 %), forêts (16,7 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Quartier Saint-Martin, ou du Bourg
  • Quartier Sainte-Marie, ou de Castèth
  • Quartier de l'arrue de Manes
  • Quartier du Biélè (lo Vielèr)

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bonnut est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bonnut.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 62,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[29].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 2009, par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1983[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Bonnut apparaît sous les formes Bonut (XIIe siècle[30], cartulaire de Sorde[31]), de Bonuto (1279[32], rôles gascons), Bonut (1385[32], censier de Béarn[33]), Bonut et Bonuyt (respectivement 1493[30] et 1582[30], cartulaire d'Orthez[34]) et Bonnut (fin XVIIIe siècle[32], carte de Cassini).

Son nom gascon est Bonnut[35], la graphie Bounut[36] est à rejeter, en effet, en langue gasconne, dont les divers parlers du Béarn, un "-n-" entre deux voyelles tombe (chute du "n" intervocalique), sur la commune de Bonnut, il y a au moins deux noms de maisons qui en témoignent, Bouat (de Bonatus) et Douat (de Donatus).

Ce nom vient du latin médiéval bonda « limite » avec réduction du groupe -nd- en -nn- (comme landa > lanna), avec un suffixe adjectif -ut, et signifie « limitrophe » ou « frontalier »[37]. Le maintien du n redoublé est audible, le nom se prononce [boun-nut] en gascon.

L'Oursoô, Orsòu en gascon, est un de ces nombreux cours d'eau portant un nom avec le radical oss-, comme les Ousse, Ossau, Osse… communs dans toute l'Europe et fréquents en Gascogne, la terminaison -òu est un diminutif, comme dans Pujòu (Puyoô). Cet hydronyme est souvent écrit abusivement Ourseau par influence de « eau ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[30] note que la commune faisait partie de la Chalosse et de la subdélégation de Saint-Sever. La carte de Cassini montre que la limite de la sénéchaussée des Landes passait au sud de Bonnut.

Les ancêtres des Bonnutiens sont les Tarbelles (capitale Dax, Aquæ Tarbellicæ), un des neuf peuples principaux de l'Aquitaine primitive, la Novempopulanie.

Les paroisses qui forment aujourd'hui la commune de Bonnut n'appartenaient pas au Béarn et ne sont pas mentionnées dans le recensement de 1385 de Gaston Fébus. Toutefois, on y parle un occitan gascon très proche de celui d'Orthez mais gardant de forts caractères chalossais.

Le nom de la maison Tilh, située à 100 m à l'est de l'église Saint-Martin, évoque le seigneur Fort Garsie de Tilh, cité dans le Cartulaire de l’abbaye Saint-Jean-de-Sorde, à l'occasion de sa « conversion » en 1105, certainement pour remettre à cette abbaye conventuelle les biens de l'abbaye laïque, dont il était l'abbé. La maison elle-même est récente, elle porte le nom d'un édifice disparu dont il ne reste qu'un plateau sur lequel on a construit la salle des sports.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Claude Demarsan    
1995 2001 Jean Poeydarrieu    
2001 2014 Jean Lacazedieu    
2014 2020 Patrick Tasserie    
2020 En cours Amandine Painset    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de trois structures intercommunales[38] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

En 2021, la commune comptait 827 habitants[Note 6], en augmentation de 9,1 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1521 0091 2161 1761 2021 2141 1631 1331 193
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1241 0541 0731 0611 0861 0581 0601 0591 035
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0141 0201 018909890837810735680
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
707707715704682668668668737
2018 2021 - - - - - - -
782827-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages) et l'horticulture paysagère.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le bourg de Bonnut est un bourg castral adossé à un château primitif dont il reste la motte (le Casalot). Le bourg était « encasalé », c’est-à-dire que le seigneur du casau (l'intendant du fief) demandait aux habitants (les voisins) de « faire rue » pour mieux se protéger, selon le modèle béarnais des fors de Morlaàs, un modèle très courant dans la région.
Il reste dans le paysage des traces de fortifications médiévales, en particulier le Tarruc de Montargon.
Un quartier Bièlèr (Vielèr) et une maison Capdevielle (extrémité du village) font penser à une autre abbaye laïque disparue.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église de Saint-Martin, éloignée du bourg, était l'église d'une abbaye laïque. Un seigneur du Tilh, mentionné au XIIe siècle, en était sans doute l'abbé.

Le quartier de Castèth, ou de Sainte-Marie, était une possession de l'abbaye de Sorde sous le nom de Senta Maria de Castanhèda. C'est sans doute une abbaye laïque primitive récupérée par l'Église. L'église de Castèth est une petite église bâtie en alios dont le chevet est roman et présente des décors assez dégradés caractéristiques (décors à billettes). La crête qui porte l'église se termine par un important système de fortifications, motte, enceinte, fossés, basses-cours, portant le nom de Tarruc de Montargon. Ce nom semble être un calque de prestige à partir de la célèbre forteresse de Montearagón, près de Huesca.

Le caractère frontalier des paroisses, la nature hospitalière de l'abbaye de Sorde, le fait que la rue principale de Brassempouy, à 20 km au nord, se nomme « route de Bonnut », font penser à une étape de la route de Compostelle.

Équipements[modifier | modifier le code]

La commune disposait de deux écoles remplacées par un groupe scolaire dans les années 1950[43],[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pierre Forsans, né à Bonnut en 1853 et mort en 1919 à Biarritz, est un homme politique français.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Bonnut » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Bonnut », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Bonnut et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Bonnut et Artix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Bonnut », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Bonnut », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Oursoû ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Bonnut et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bonnut », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bonnut », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune de Bonnut », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Orthez », sur insee.fr (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bonnut », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. a b c et d Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  31. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  32. a b c et d Site de la commune
  33. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  34. Cartulaire d'Orthez, dit Martinet, manuscrit du XIVe au XVIIe siècle - Archives de la mairie d'Orthez
  35. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  36. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  37. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 294..
  38. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Le site de l'école primaire