Saint-Georges-des-Groseillers
Saint-Georges-des-Groseillers | |
La Vère en limite de territoire. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Argentan |
Intercommunalité | Flers Agglo |
Maire Mandat |
Stéphane Terrier 2020-2026 |
Code postal | 61100 |
Code commune | 61391 |
Démographie | |
Gentilé | Georgiens |
Population municipale |
3 164 hab. (2021 ) |
Densité | 448 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 46′ 13″ nord, 0° 34′ 24″ ouest |
Altitude | Min. 172 m Max. 276 m |
Superficie | 7,06 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Flers (banlieue) |
Aire d'attraction | Flers (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Flers-2 |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
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Saint-Georges-des-Groseillers est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 3 164 habitants[Note 1].
Géographie[edit | edit source]
Le territoire communal s'étend sur la rive droite de la Vère (affluent du Noireau) en aval de Flers dont il est limitrophe. Le sud du territoire est par ailleurs compris dans la zone urbaine flérienne. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie place la commune au nord-est de l'unité des hauts pays de l’ouest ornais et du Mortainais située majoritairement au nord-ouest du département de l'Orne et caractérisée par un « paysage rude, marqué par un relief complexe modelé par les cours d’eau qui en divergent comme d’un château d’eau »[1].
Le bourg est à 2,5 km au nord de Flers et à 10 km au sud de Condé-sur-Noireau. La commune est parcourue par deux ramifications de la route départementale 962, l'une la reliant à Flers au sud et rejoignant l'autre au nord du territoire, s'unissant en direction de Condé-sur-Noireau et Caen. Cette autre ramification longe la limite nord-est, tantôt sur Saint-Georges, tantôt sur Aubusson, et rejoint la départementale 924 Flers-Argentan, servant ainsi de voie de contournement de l'agglomération.
Saint-Georges-des-Groseillers est dans le bassin de l'Orne, par son sous-affluent la Vère qui délimite le territoire du sud-ouest au nord. Trois de ses affluents parcourent le territoire communal : le ruisseau de la Planchette qui marque la limite avec Flers au sud, le ruisseau d'Aubusson qui marque la limite avec Aubusson à l'est et un ruisseau plus modeste au sud du bourg.
Creusé par la vallée de la Vère à l'ouest, le territoire est ponctué de quelques collines. Le point culminant (276/278 m) se situe à l'est, à proximité du lieu-dit le Haut Faix, près du château d'eau et de la D 807. La route remonte également à une hauteur comparable à la sortie du territoire, au carrefour de la Trigale. Le point le plus bas (172 m) correspond à la sortie de la Vère de la commune, au nord.
Le climat est océanique, comme dans tout l'Ouest de la France. La station météorologique la plus proche est Caen-Carpiquet, à 47 km, mais Alençon-Valframbert et Granville-Pointe du Roc sont à moins de 75 km[2]. Le bocage flérien s'en différencie toutefois pour la pluviométrie annuelle qui, à Saint-Georges-des-Groseillers, avoisine les 950 mm[3].
Les lieux-dits sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire : le Moulin de la Riptière, la Fosse, le Castel (au nord), la Poterie, la Riptière, le Bourg, les Groseillers, le Clos, Launay Cornu, les Bruyères (à l'est), Sotavie, le Haut Faix, le Bas Faix, le Bois de Flers, Bellevue (au sud), la Garenne, le Moulin de Launay, le Hameau de Vère, les Nouettes, la Bourdonnière et le Prieuré (à l'ouest)[4].
Climat[edit | edit source]
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[7]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 928 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Athis-Val de Rouvre à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 944,7 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme[edit | edit source]
Typologie[edit | edit source]
Saint-Georges-des-Groseillers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Flers, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[16] et 21 774 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Flers dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols[edit | edit source]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,5 %), zones urbanisées (26,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), terres arables (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,5 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie[edit | edit source]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancti Georgii des Groiseilliers vers 1350[22], Saint George des Groiseillers en 1793, Saint-Georges-des-Groseillers[23].
La paroisse est dédiée à Georges de Lydda, martyr chrétien du IVe siècle.
Pour Gérard Louise, le déterminant grosellier pourrait s'apparenter au substantif grève, le « gravier ». En effet, les noms de groue, groie, grève, grésil, auxquels s'ajoutent les diminutifs groisillon, grésillon, désignent très souvent une terrain caillouteux et pauvre. L'ancien français groe est le synonyme de gravier ou de cailloux ; la groéle est une terre mêlée de pierres, peu fertile[24].
Pour René Lepelley, l'origine de Groseillers est incertaine[25].
Le gentilé est Georgien.
Histoire[edit | edit source]
Lors de la bataille de Normandie, Saint-Georges est libéré le même jour que Flers le par la 11e division blindée britannique[26],
Politique et administration[edit | edit source]
Tendances politiques et résultats[edit | edit source]
Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :
- Régionales 2015[27] :
- 1er tour (58,22 % de votants) : Hervé Morin (Union de la droite) 30,25 %, Nicolas Mayer-Rossignol (Union de la gauche) 27,08 %, Nicolas Bay (FN) 22,48 %.
- 2e tour (68,69 % de votants) : Hervé Morin (Union de la droite) 40,45 %, Nicolas Mayer-Rossignol (Union de la gauche) 38,33 %, Nicolas Bay ([FN) 25,43 %.
- Européennes 2014[28] (53,07 % de votants) : UMP (Jérôme Lavrilleux) 26,47 %, FN (Marine Le Pen) 24,44 %, PS-PRG (Gilles Pargneaux) 14,44 %, UDI - MoDem (Dominique Riquet) 9,92 %, EÉLV (Karima Delli) 8,05 %, DLR (Jean-Philippe Tanguy) 5,94 %.
- Législatives 2012[29] :
- 1er tour (68,04 % de votants) : Yves Goasdoué (DVG) 43,35 %, Jérôme Nury (UMP) 36,72 %, Francine Lavanry (FN) 8,17 %.
- 2e tour (69,84 % de votants) : Yves Goasdoué (DVG) 53,01 %, Jérôme Nury (UMP) 46,99 %.
- Présidentielle 2012[30] :
- 1er tour (88,60 % de votants) : Nicolas Sarkozy (UMP) 30,04 %, François Hollande (PS) 28,31 %, Marine Le Pen (FN) 14,84 %, François Bayrou (MoDem) 11,87 %, Jean-Luc Mélenchon (FG) 8,91 %.
- 2e tour (88,33 % de votants) : Nicolas Sarkozy (UMP) 50,07 %, François Hollande (PS) 49,93 %.
- Européennes 2009[31] (46,21 % de votants) : Majorité présidentielle (Dominique Riquet) 27,48 %, PS (Gilles Pargneaux) 18,17 %, LV (Hélène Flautre) 14,56 %, Centre-MoDem (Corinne Lepage) 11,02 %, FN (Marine Le Pen) 5,77 %.
Administration municipale[edit | edit source]
Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et cinq adjoints[36].
Démographie[edit | edit source]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2021, la commune comptait 3 164 habitants[Note 4], en diminution de 3,21 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Saint-Georges-des-Groseillers a compté jusqu'à 3 405 habitants en 1982.
Économie[edit | edit source]
Lieux et monuments[edit | edit source]
- Église Saint-Georges du XIXe siècle.
- Monument consacré aux soldats de la 11e division blindée britannique[41], au Pont de Vère.
- Stèle à la mémoire des soldats alliés[41].
Activité et manifestations[edit | edit source]
Sports[edit | edit source]
L'emblème du sport georgien est le léopard, en référence à son tout premier partenaire[réf. nécessaire].
En football, l'Association sportive des Léopards de Saint-Georges a été créée en 1968[réf. nécessaire]. Le club fait évoluer une équipe en ligue de Normandie et deux autres en divisions de district[42].
En 2024, le club compte 346 licenciés, comportant les U7-U9-U9F-U11-U11F-U13-U15-U18-Séniors-Séniors F-Foot Loisir[réf. nécessaire].
Manifestations[edit | edit source]
- Fête communale à la mi-mai, avec salon des collectionneurs et vide-greniers[43].
Personnalités liées à la commune[edit | edit source]
- François Morel, acteur, né en 1959 à Flers, a résidé à Saint-Georges-des-Groseillers durant toute son enfance.
- Zéphirin Jegard, cycliste et espérantophone, réside dans la commune.
Voir aussi[edit | edit source]
Bibliographie[edit | edit source]
- Saint-Georges-des-Groseillers (Orne) : de la commune à l'intercommunalité (1790-1994), Le Pays bas-normand, n° 281-282, 2011, 204 p.
Articles connexes[edit | edit source]
Liens externes[edit | edit source]
- Saint-Georges-des-Groseillers sur le site de la communauté de communes
- Résumé statistique de Saint-Georges-des-Groseillers sur le site de l'Insee
Notes et références[edit | edit source]
Notes[edit | edit source]
- Population municipale 2021.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes[edit | edit source]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[edit | edit source]
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- [PDF] « www.donnees.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 7.4.2 : Les hauts pays de l’ouest ornais et du Mortainais » (consulté le ).
- Distances orthodromiques selon le site Lion 1906
- « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 » (consulté le ) (archive Wikiwix du site www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr)
- « Saint-Georges-des-Groseillers » sur Géoportail..
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Saint-Georges-des-Groseillers et Athis-Val de Rouvre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Athis-de-L'orne » (commune d'Athis-Val de Rouvre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Athis-de-L'orne » (commune d'Athis-Val de Rouvre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Flers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Flers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Georges-des-Groseillers », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Gérard Louise, L'origine des noms de communes du canton de Flers : Le Pays Bas-Normand, numéro spécial Connaissance du Bocage, vol. 3, .
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2, BNF 36174448), p. 222.
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- « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats des élections européennes 2009 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Jennifer Chainay, « Saint-Georges-des-Groseillers. Jacques Jousse, figure de la commune, n'est plus : Celui qui a été impliqué dans la vie municipale de Saint-Georges-des-Groseillers, dans l’Orne, pendant 30 ans, est décédé lundi 11 novembre. Il avait 89 ans. », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « Anna Gerbet, maire, conduira une liste », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- Maxime Arnoult, « Bocage. Décès d’Anna Gerbet, ancienne maire de Saint-Georges « à la trajectoire hors du commun » : Maire de Saint-Georges-des-Groseillers de 1995 à 2008, Anna Gerbet est décédée à son domicile à l’âge de 88 ans, lundi 29 août 2022, vers 20 h. », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélection 2014 : « Saint-Georges-des-Groseillers (61100) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Saint-Georges-des-Groseillers. Stéphane Terrier a été élu à l’unanimité », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Normandie 44 La Mémoire - Flers/Saint-Georges-des-Groseillers/Aubusson » (consulté le ).
- « Site officiel de la Ligue Normandie – A. Les Léopards de St Georges ».
- « Ouest-france.fr - Une fête communale sous le signe indien ce week-end - Saint-Georges-des-Groseillers » (consulté le ).