Nicolas Bay

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Nicolas Bay
Illustration.
Nicolas Bay en 2022.
Fonctions
Vice-président exécutif de Reconquête
En fonction depuis le
(2 ans, 2 mois et 6 jours)
Avec Guillaume Peltier
Marion Maréchal
Président Éric Zemmour
Prédécesseur Fonction créée
Député européen
En fonction depuis le
(9 ans, 9 mois et 23 jours)
Élection 25 mai 2014
Réélection 26 mai 2019
Circonscription France
(Nord-Ouest en 2014-2019)
Législature 8e et 9e
Groupe politique NI (2014-2015)
ENL (2015-2019)
ID (2019-2022)
NI (2022-2024)
CRE (depuis 2024)
Conseiller régional de Normandie
En fonction depuis le
(8 ans, 3 mois et 20 jours)
Élection 13 décembre 2015
Réélection 27 juin 2021
Circonscription Seine-Maritime
Président Hervé Morin
Groupe politique FN puis RN
Vice-président du groupe Identité et démocratie au Parlement européen

(2 ans, 7 mois et 14 jours)
Avec Jörg Meuthen
Élection
Président Marco Zanni
Législature 9e
Prédécesseur Création du groupe
Successeur Jordan Bardella
Co-président du groupe Europe des nations et des libertés au Parlement européen

(1 an, 10 mois et 19 jours)
Avec Marcel de Graaff
Prédécesseur Marine Le Pen (indirectement)
Successeur Marco Zanni (ID)
Vice-président du Front national[1]

(5 mois et 9 jours)
Avec Louis Aliot
Marie-Christine Arnautu
Jean-François Jalkh
Steeve Briois
Président Marine Le Pen
Successeur Steeve Briois
(unique vice-président)
Secrétaire général du Front national

(2 ans et 10 mois)
Président Marine Le Pen
Prédécesseur Steeve Briois
Successeur Steeve Briois
Conseiller régional de Haute-Normandie

(5 ans, 8 mois et 17 jours)
Élection 21 mars 2010
Circonscription Seine-Maritime
Président Alain Le Vern
Nicolas Mayer-Rossignol
Groupe politique FN (président)
Biographie
Date de naissance (46 ans)
Lieu de naissance Saint-Germain-en-Laye (France)
Nationalité Française
Parti politique FN (1992-1999)
MNR (1999-2008)
FN/RN (2009-2022)
REC (depuis 2022)
Diplômé de Université Paris-Nanterre
Religion Catholicisme

Nicolas Bay, né le à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), est un homme politique français d'extrême droite.

Membre du Front national (FN) à partir de 1992, il soutient la scission menée en 1998 par Bruno Mégret et rejoint son Mouvement national républicain (MNR), dont il est l'un des dirigeants.

Revenu au Front national en 2009, il est nommé porte-parole de la campagne présidentielle de 2012 de Marine Le Pen. Figure de l’aile identitaire et libérale du FN, il occupe au sein du parti les fonctions de secrétaire général (2014-2017) puis de vice-président (2017-2018).

Il est conseiller régional de Haute-Normandie et de Normandie depuis 2010 et député européen depuis 2014. Il est coprésident du groupe Europe des nations et des libertés au Parlement européen de 2017 à 2019, puis vice-président du groupe Identité et démocratie de 2019 à 2022.

À l'approche de l'élection présidentielle de 2022, exclu du Rassemblement national, il rallie le candidat Éric Zemmour et son parti Reconquête, dont il devient vice-président exécutif.

Situation personnelle[modifier | modifier le code]

Nicolas Bay naît à Saint-Germain-en-Laye le [2]. Après avoir été giscardiens, ses parents se rapprochent du Front national[3]. Nicolas Bay indique avoir passé une enfance dans un « environnement privilégié » à Maisons-Laffitte (Yvelines)[3]. Il fréquente les Scouts unitaires de France[3]. Sa sœur, Marie de Saint-Charles, est religieuse et devient la prieure générale des Dominicaines du Saint-Esprit en 2019[4].

Il se présente comme catholique pratiquant, il est marié et père de trois enfants[5].

Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]

Nicolas Bay entame une préparation militaire parachutiste en 1995[6]. Il obtient un DEUG en droit en 2000 à l'université Paris-Nanterre ; il s'inscrit ensuite en licence de droit, mais il ne la finit pas, privilégiant son engagement politique[7].

Il dirige une société informatique[3] et gère le site du MNR[8]. Pendant deux mois, il travaille au sein de la société Riwal, dirigée par Frédéric Chatillon[9].

Parcours politique[modifier | modifier le code]

Débuts militants au Front national[modifier | modifier le code]

Il indique avoir adhéré au Front national en 1992, à l'âge de 15 ans, après un meeting à Paris de Jean-Marie Le Pen[3]. Il devient par la suite responsable départemental dans les Yvelines et régional en Île-de-France du Front national de la jeunesse et adhère parallèlement au syndicat étudiant d'extrême droite Renouveau[7].

En 1998, il fonde, avec Jean-Baptiste Péron et Guillaume Peltier, l'association Jeunesse action chrétienté, un mouvement qui se mobilise contre le PACS[7],[10].

Au Mouvement national républicain[modifier | modifier le code]

Lors de la scission du Front national de 1998-1999, Nicolas Bay s'engage aux côtés de Bruno Mégret et devient directeur national adjoint du Mouvement national de la jeunesse, la branche jeune du Mouvement national républicain[11].

Il est élu conseiller municipal de la commune de Sartrouville (Yvelines) à l'issue des élections municipales de 2001, où sa liste obtient 11,3 % des voix exprimées et deux élus.

Lors des élections législatives de 2002 dans la cinquième circonscription des Yvelines, il se présente avec comme suppléant René Schleiter, beau-frère de Robert Faurisson[12], et recueille 1,8 % des voix[13].

En 2004, il est tête de liste du MNR en Île-de-France aux élections régionales se retrouvant face à Marine Le Pen, qui représente le FN[11], puis aux élections européennes.

Nicolas Bay est directeur de la campagne du MNR aux élections législatives de 2007. En 2007, il devient secrétaire général du parti[14].

Il se représente aux élections municipales de 2008 à Sartrouville et sa liste obtient 5,2 % des voix, ce qui lui permet de siéger à nouveau au conseil municipal[15].

Nicolas Bay est exclu du parti MNR lors du conseil national du [16].

Retour au Front national[modifier | modifier le code]

Participation aux élections nationales et locales de 2009-2015[modifier | modifier le code]

Lors des élections européennes de 2009, Nicolas Bay est candidat en dernière position sur la liste du Front national conduite par Marine Le Pen dans la circonscription Nord-Ouest (Nord-Pas-de-Calais, Picardie, Basse-Normandie et Haute-Normandie)[17].

Le , la commission nationale d'investiture du FN désigne Nicolas Bay comme tête de liste du parti aux élections régionales de 2010 en Haute-Normandie. Marine Le Pen présente cette désignation comme une étape dans « l'union des patriotes »[18] mais est perçue par certains partisans comme un « parachutage »[19],[20].

Au premier tour des élections régionales de 2010, la liste conduite par Nicolas Bay obtient 11,8 % des suffrages exprimés. À l'issue du second tour, la liste FN réunit 14,2 % des voix et obtient six élus régionaux. Il devient président du groupe FN au conseil régional de Haute-Normandie[21],[22].

Aux élections cantonales de 2011, il est candidat dans le canton de Grand-Couronne (Seine-Maritime), il obtient 21,4 % des suffrages, ce qui ne lui permet pas de se maintenir au second tour[23].

Nicolas Bay en 2012.

Nicolas Bay est candidat aux élections législatives de 2012 dans la quatrième circonscription de la Seine-Maritime. Il recueille 18,4 % des suffrages exprimés face à Laurent Fabius, qui est élu au premier tour[24]. Durant cette campagne, il utilise un emploi fictif auprès de la société de communication Riwal de Frédéric Chatillon, ce qui vaudra au Front national une condamnation pour « recel d'abus de biens sociaux »[25].

Nicolas Bay en 2015.

Lors des élections européennes de 2014, il figure en quatrième position sur la liste Front national de la circonscription Nord-Ouest, conduite par Marine le Pen. Il est élu avec 33,6 % des suffrages exprimés[26].

En vue des élections régionales de 2015, il est désigné pour conduire la liste FN dans la nouvelle région Normandie[27]. La liste obtient 27,5 % des voix, derrière celles de l'union de la droite, menée par l'ancien ministre Hervé Morin (36,4 %), et de l'union de la gauche, menée par le président sortant de Haute-Normandie, Nicolas Mayer-Rossignol (36,1 %) ce qui à Nicolas Bay de se présenter au second tour. À l'issue du scrutin, il est élu conseiller régional de la nouvelle région[28].

Secrétaire général puis vice-président du Front national[modifier | modifier le code]

En , Nicolas Bay est nommé secrétaire général adjoint du Front national et directeur de campagne du parti pour les élections municipales de 2014 dans les communes de plus de 1 000 habitants[29].

Nicolas Bay se présente aux élections municipales de 2014 à Elbeuf, la liste remportant 35,6 % des voix et six élus municipaux[30]. Il y est élu conseiller municipal, ainsi que conseiller communautaire à la communauté d'agglomération Rouen Elbeuf Austreberthe. En application de la loi limitant le cumul des mandats électifs, Nicolas Bay renonce à ses deux mandats d'Elbeuf le [31].

Lors du congrès de Lyon de , Nicolas Bay est élu au comité central, en arrivant en dixième position. Lors du congrès de Lyon de , Nicolas Bay est élu au comité central, en arrivant en dixième position. Il est nommé secrétaire général du Front national par Marine Le Pen, succédant à Steeve Briois. D'après Abel Mestre, journaliste au Monde, il est nommé pour « sa fine connaissance de la carte électorale, ses analyses politiques », « mais aussi pour doter la direction du FN d’un pôle « libéral conservateur », face à Florian Philippot et ses orientations plus étatistes »[3].

Il dirige la campagne du FN pour les élections législatives de 2017[32]. Lui-même candidat dans la 6e circonscription de la Seine-Maritime, il est éliminé au premier tour avec 22,8 % des suffrages exprimés face au candidat communiste[33].

En 2017, Nicolas Bay quitte sa fonction de secrétaire général du FN et est nommé vice-président du parti chargé des affaires européennes[34]. En 2018, lors du XVIe congrès du Front national, il est élu au conseil national du FN, devenu Rassemblement national[35].

Co-président du groupe ENL au Parlement européen[modifier | modifier le code]

Après l'élection de Marine Le Pen à l'Assemblée nationale, il succède à cette dernière à la co-présidence du groupe Europe des nations et des libertés au Parlement européen[36].

Lors des élections européennes de 2019, il figure en 7e position sur la liste du RN[37].

Vice-président du groupe ID au Parlement européen[modifier | modifier le code]

À la suite des résultats des élections européennes de 2019, lors desquelles il est réélu député européen, il devient vice-président du nouveau groupe Identité et démocratie au Parlement européen[38].

En juillet 2020, il perd sa place au sein de la commission nationale d'investiture du RN après une « purge des cadres identitaires »[39].

Il est tête de liste du Rassemblement national pour les élections régionales de 2021 en Normandie[40]. Ses listes obtiennent près de 20 % des voix dans le cadre d'une quadrangulaire au second tour.

Soutien à Éric Zemmour et vice-président exécutif de Reconquête[modifier | modifier le code]

Éric Zemmour entouré des trois vice-présidents exécutifs de Reconquête, Nicolas Bay, Marion Maréchal et Guillaume Peltier (2022).

Nicolas Bay occupe la fonction de porte-parole de la candidate Marine Le Pen jusqu'au 15 février 2022, lorsque le parti le suspend, l'accusant de transmettre des informations depuis des mois à l'équipe d'Éric Zemmour ce qu'il réfute[41]. Le lendemain, il porte plainte contre le RN pour diffamation[42].

Il annonce le son ralliement au candidat Éric Zemmour pour l'élection présidentielle[43]. Il est nommé vice-président exécutif de Reconquête, au côté de Marion Maréchal et Guillaume Peltier[44].

Prises de position[modifier | modifier le code]

Immigration et grand remplacement[modifier | modifier le code]

Particulièrement critique envers l'immigration, comme la plupart des anciens du MNR, il est partisan de la théorie complotiste et raciste du grand remplacement[3],[45] et appelle au rétablissement des frontières nationales[46]. Il est aussi favorable à la « remigration »[47].

Économie[modifier | modifier le code]

S'affirmant « pour l'économie de marché » tout en appelant l'État à assurer les « protections fondamentales », il est considéré comme étant libéral sur les questions économiques[48],[49]. En 2017, il juge que « la question monétaire est une question qui n'est pas prioritaire » et appelle le Front national à assouplir sa volonté de faire sortir la France de la zone euro, une idée qui aurait dissuadé beaucoup d'électeurs, notamment âgés, de voter aux élections nationales de 2017 pour le Front national[50],[51].

Sujets sociétaux[modifier | modifier le code]

Sur l'avortement, il déclare en 2011 que « les positions moralistes peuvent avoir légitimement leur place en matière religieuse, mais pas en matière politique » ; pour le sociologue Sylvain Crépon, « en dissociant opportunément positions morales et axes de lutte politique », il prend ainsi acte du fait que « l'accès à l'IVG ne fait plus partie des combats prioritaires de son parti »[52].

Il participe aux manifestations contre la loi de 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe[3].

Politique internationale[modifier | modifier le code]

Durant le conflit syrien, il se rend en Syrie avec Thierry Mariani, fervent soutien de Bachar el-Assad, et d'autres élus d'extrême droite. Leur selfie pris aux alentours de la prison de Saidnaya en 2019, où sont disparus et torturé des milliers de Syriens, provoque une polémique[53],[54],[55].

Novaïa Gazeta, journal russe indépendant, publie un « classement des eurodéputés « pro-Poutine » selon leur historique de vote en 2019-2023 ». Il situe Nicolas Bay à la 16e place sur 20 eurodéputés s'étant opposés à des résolutions anti-russes dans le cadre du conflit ukrainien (9 votes contre, 7 abstentions)[56].

Affaires judiciaires[modifier | modifier le code]

Assistants parlementaires du Front national[modifier | modifier le code]

Le 8 juin 2018, dans le cadre de l'affaire des assistants parlementaires du Front national au Parlement européen, il est mis en examen pour « abus de confiance »[57]. Le 5 septembre 2018, sa mise en examen est requalifiée en « détournement de fonds publics »[58].

Le 22 septembre 2023, le parquet de Paris requiert un procès contre le Rassemblement national et 27 personnes liées au parti, dont Nicolas Bay[59]. L'audience sur l’organisation du procès pour détournement de fonds publics et complicité qui a lieu le 27 mars 2024 précise les dates des débats au fond qui se dérouleront du 30 septembre au 27 novembre 2024[60],[61].

Mise en examen pour diffamation envers le rappeur Médine[modifier | modifier le code]

À la suite de propos de Nicolas Bay accusant le rappeur Médine de proximité avec les Frères musulmans, Médine porte plainte contre Nicolas Bay pour diffamation en juin 2021. Nicolas Bay est mis en examen en mai 2022[62],[63]. Le procès a lieu le et le verdict est prévu pour le de la même année[64].

Enquête pour provocation à la haine raciale[modifier | modifier le code]

En mai 2021, une enquête est ouverte à son encontre pour « des faits supposés de provocation à la haine raciale » après un discours devant une mosquée en construction à Évreux qui a été diffusée sur les réseaux sociaux[65]. Le 2 février 2023, le Parlement européen lève son immunité parlementaire à la suite de la demande du parquet d’Évreux[66].

Détail des mandats et fonctions[modifier | modifier le code]

Parlement européen[modifier | modifier le code]

Mandats locaux[modifier | modifier le code]

  • 2001 - 2014 : conseiller municipal de Sartrouville (Yvelines)
  • -  : conseiller régional de Haute-Normandie, président du groupe FN au conseil régional
  • -  : conseiller municipal d'Elbeuf (Seine-Maritime)
  • depuis le  : conseiller régional de Normandie, président du groupe Normandie Bleu Marine au conseil régional

Fonctions politiques[modifier | modifier le code]

  • 1997 - 1998 : secrétaire départemental du Front national de la jeunesse (FNJ) des Yvelines
  • 2005 - 2008 : secrétaire général du Mouvement national républicain (MNR)
  • depuis le  : membre du bureau politique du Front national (FN)
  • -  : porte-parole de la campagne présidentielle de Marine Le Pen
  • -  : secrétaire général adjoint du Front national
  • -  : secrétaire général du Front national
  • - 11 mars 2018 : vice-président du Front national, chargé des affaires européennes

Dans la fiction[modifier | modifier le code]

Dans la bande dessinée d'anticipation de François Durpaire et Farid Boudjellal, La Présidente, où Marine Le Pen gagne l’élection présidentielle de 2017, Nicolas Bay devient ministre de l'Intérieur, de l'Immigration et de la Laïcité[67].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Chargé des Affaires européennes.
  2. Stéphanie Séjourné, « Élections régionales. Nicolas Bay poursuit son travail de front en Normandie », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  3. a b c d e f g et h Abel Mestre, « Nicolas Bay, ou l’ascension d’un apparatchik FN », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  4. Ariane Chemin, « “Je tremble d’être définitivement chassée de ma vocation” : chez les dominicaines du Saint-Esprit, une religieuse dans la tempête », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  5. « Nicolas Bay, numéro deux par défaut », sur la-croix.com, .
  6. Pierre Durand-Gratian, « Législatives 2017. Législatives 2017, Seine-Maritime, 6e circonscription : Nicolas Bay, FN », sur tendanceouest.com, (consulté le ).
  7. a b et c « FN: Nicolas Bay, la revanche d'une ombre », sur lexpress.fr, .
  8. Cécile Ducourtieux et Stéphane Mandard, « Même sur Internet, les "petits candidats" recueillent peu d'audience », sur lemonde.fr, .
  9. Laurent-David Samama, « Frédéric Chatillon, l'homme que le FN voudrait faire oublier », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  10. Abel Mestre, « Front national : la discrète ascension de Nicolas Bay », sur lemonde.fr, .
  11. a et b Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Marine Le Pen démasquée, Grasset, coll. « Le Livre de Poche », , 411 p..
  12. Alexandre Sulzer, « FN : Nicolas Bay, la revanche d'une ombre », sur lexpress.fr, .
  13. « Résultats des élections législatives 2002 », sur interieur.gouv.fr.
  14. « FN : 10 choses à savoir sur Nicolas Bay, celui qui veut évincer Florian Philippot », sur nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
  15. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales 2008 », sur mobile.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Décision du BN du  », sur m-n-r.fr (consulté le ).
  17. « Résultats des élections européennes 2009 », sur interieur.gouv.fr.
  18. « Le Pen refuse de baisser le Front », sur libération.fr, (consulté le ).
  19. « FN : fronde contre le »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur paris-normandie.fr, (consulté le ).
  20. « Présidentielle 2017. Nicolas Bay, l'élu de Normandie qui veut faire gagner Marine Le Pen », sur normandie-actu.fr, (consulté le ).
  21. « Résultats des élections régionales 2010 », sur interieur.gouv.fr.
  22. « Rouen. Qui est Nicolas Bay ? », sur lecourriercauchois.fr (consulté le ).
  23. « Résultats des élections cantonales 2011 », sur interieur.gouv.fr.
  24. « Résultats des élections législatives de 2012 : Seine-Maritime - 4e circonscription (résultats officiels) », sur interieur.gouv.fr, site officiel du ministère de l'Intérieur français (consulté le ).
  25. « L’ex-Front national condamné pour « recel d’abus de biens sociaux » dans l’affaire des kits de campagne », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  26. « Résultats des élections européennes 2014 », sur interieur.gouv.fr.
  27. Emmanuel Galiero, « En Paca, le FN désigne Marion Maréchal-Le Pen », Le Figaro,‎ samedi 18 / dimanche 19 avril 2015, p. 4 (lire en ligne).
  28. « Elections régionales de 2015 en Normandie », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  29. Abel Mestre, « Nicolas Bay, ex-mégrétiste et figure émergente du FN », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  30. « Résultats des élections municipales 2014 : Elbeuf (76500) | Elections Actu », sur elections.actu.fr (consulté le ).
  31. « Cumul des mandats : Nicolas Bay renonce à son mandat d'élu municipal à Elbeuf », sur lejournaldelbeuf.fr, (consulté le ).
  32. Béatrice Houchard, « Nicolas Bay patron de la campagne des législatives », sur L'Opinion.fr, (consulté le ).
  33. « Ces personnalités balayées dès le premier tour », sur lefigaro.fr, .
  34. Emmanuel Galiero, « Nicolas Bay : "Pourquoi je me retire du secrétariat général du FN" », sur lefigaro.fr, .
  35. « Marine Le Pen, seule candidate, réélue présidente du Front national », sur europe1.fr (consulté le ).
  36. Marc de Boni, « Malgré la trève estivale, le débat sur la ligne n'est toujours pas tranché au FN », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  37. Ivanne Trippenbach, « Le casting de la liste RN aux européennes », sur L'Opinion.fr, (consulté le ).
  38. valeursactuelles.com, « Parlement européen : le groupe “identité et démocratie” comptera 73 élus », sur Valeurs actuelles (consulté le ).
  39. Charles Sapin, « Marine Le Pen purge la direction de son parti avant les régionales », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  40. « Régionales 2021. Nicolas Bay sera le candidat du RN en Normandie », sur paris-normandie.fr, (consulté le ).
  41. « Le Rassemblement national accuse Nicolas Bay de transmettre des informations à Eric Zemmour et le suspend de ses fonctions », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  42. Loïc Besson et Anthony Audureau, « Nicolas Bay a porté plainte pour diffamation contre le Rassemblement national », sur bfmtv.com, (consulté le ).
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  57. « Emplois présumés fictifs : Nicolas Bay (RN) mis en examen », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  58. « La mise en examen de Bay requalifiée en "détournements de fonds publics" », sur lepoint.fr, .
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  60. « Assistants d’eurodéputés du FN : Marine Le Pen, le parti et 26 personnes renvoyées en procès », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  61. « Affaire des assistants d’eurodéputés du FN : Marine Le Pen (RN) jugée à partir du 30 septembre 2024 », sur Le Nouvel Obs, (consulté le )
  62. Ludovic Séré, « «Proche des Frères musulmans»: Nicolas Bay mis en examen après la plainte pour diffamation de Médine » Accès libre, sur Libération, (consulté le ).
  63. Nicolas Bay, le vice-président de Reconquête, mis en examen après une plainte du rappeur havrais Médine, francebleu.fr, 18 mai 2022, par Olivia Cohen
  64. Par Lucie de Perthuis Le 19 mars 2024 à 19h11, « Procès en diffamation de Nicolas Bay contre le rappeur Médine : les faits ne sont pas caractérisés pour le ministère public », sur leparisien.fr, (consulté le )
  65. « Une enquête pour provocation à la haine raciale ouverte contre Nicolas Bay », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  66. « Ce lieutenant d’Éric Zemmour pourra être poursuivi pour incitation à la haine raciale », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  67. François Durpaire et Farid Boudjellal, La Présidente, Les Arènes, , p. 55.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]