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Yvetot

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Yvetot
Yvetot
La mairie.
Blason de Yvetot
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité CC Yvetot Normandie
(siège)
Code postal 76190
Code commune 76758
Démographie
Gentilé Yvetotais
Population
municipale
11 385 hab. (2021 en diminution de 5,69 % par rapport à 2015)
Densité 1 524 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 04″ nord, 0° 45′ 15″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 157 m
Superficie 7,47 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Yvetot
(ville-centre)
Aire d'attraction Yvetot
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton d'Yvetot
(bureau centralisateur)
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Yvetot
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Yvetot
Liens
Site web https://www.yvetot.fr/

Yvetot est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

Description

Yvetot est une ville normande, capitale du pays de Caux, située à 32 km au nord-ouest de Rouen, 46 km du Havre, 28 km du littoral de la Côte d'Albâtre à Saint-Valery-en-Caux.

Elle fait partie du Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 952 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Le sud de la ville d’Yvetot est essentiellement composé de quartiers populaires telle que Rétimare ou Fief de Caux, alors que plus au Nord on retrouve des quartiers plus résidentiels comme le quartier du Fay où le Vallon Fleuri.

Typologie

Yvetot est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Yvetot, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[17] et 15 450 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yvetot, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (65,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,9 %), terres arables (16,8 %), prairies (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), forêts (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %)[22].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

Habitat et logement

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 6 407, alors qu'il était de 6 068 en 2014 et de 5 666 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 90,6 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 50,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 49,2 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Yvetot en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 38,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (36,6 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Yvetot en 2019.
Typologie Yvetot[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,6 87,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 4 9,7
Logements vacants (en %) 8,5 8,2 8,2

Le bailleur social historique de la ville est la SA HLM d’Yvetot, créée en 1922 et devenue Logeal, dont le patrimoine s'étend désormais sur les départements de la Seine-Maritime et de l’Eure[24].

Voies de communication et transports

Yvetot est desservie par la l'ancienne route nationale 15 (actuelle RD 6015) reliant Rouen au Havre en passant par le pays de Caux. Elle est également proche de l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 929), qui la relie à Amiens, et de l'autoroute A150 (tronçon nord), raccordée à l'autoroute A29.

La gare d'Yvetot est desservie par les trains Intercités Paris St Lazare -Rouen - Le Havre et aussi TER Normandie (ligne de Rouen-Rive-Droite au Havre).

Des correspondances par car pour Saint-Valery-en-Caux et Fécamp sont possibles à heures convenues[réf. nécessaire].

Depuis le , le Vikibus dessert le réseau de la ville d'Yvetot. Il est composé de 17 arrêts. Depuis 2009, un deuxième Vikibus serpente dans la ville afin de répondre au maximum aux attentes des habitants[réf. nécessaire].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ivetoht en 1025-1026, Ivetot en 1046-1048[25].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -tot, issu de l'appellatif toponymique d'origine norroise topt, toft, signifiant « emplacement, endroit constructible, ferme », dont on compte environ 350 exemples en Normandie.

Le premier élément est le nom de personne Ivo, anthroponyme d'origine franque et qui a donné les prénoms Yves (cas sujet) et Yvon Ce lien renvoie vers une page d'homonymie (cas régime) en français. Le nom de personne n'indique pas l'origine ethnique du propriétaire qui peut très bien être d'origine norroise ou anglo-scandinave. En effet, les colons ont souvent adopté, surtout au moment de leur baptême, des anthroponymes germaniques ou autres (cf. Hrólfr/Rollon, baptisé « Robert », ou encore Bernard le Danois, Stigand de Mézidon dit « Odon », et Turstin Haldup dit « Richard »).

François de Beaurepaire estime qu'un seul et même personnage pourrait se retrouver dans Ismesnil (Yvemesnil XIIe siècle), hameau situé à 5 km sur la commune voisine d'Allouville-Bellefosse et Yvecrique « l'église d'Yves » à 10 km de là[26].

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom d'Yvetot-la-Montagne[27].

Histoire

Moyen Âge

Les origines d'Yvetot, et plus particulièrement du royaume d'Yvetot, restent obscures et de nombreuses hypothèses ont été avancées. Une chose est certaine, aux XIVe et XVe siècles, des actes officiels mentionnent effectivement la qualification de « roi d'Yvetot ». Plus loin dans le temps, la Chronique de Fontenelle du IXe siècle ne cite pas ce lieu. Le nom d'Yvetot est cité pour la première fois dans une charte de donation du duc de Normandie Richard II, en 1021, aux religieux de l'abbaye de Saint-Wandrille. Plusieurs familles (dont la famille d'Yvetot jusqu'en 1401) tinrent la seigneurie d'Yvetot, avec le titre de roi (ou de prince, notamment à partir de Martin du Bellay, vers 1551). On en connaît les généalogies.

Ces seigneurs portent souvent le titre de roi, bénéficiant de tous les privilèges de souveraineté jusqu'en 1551. Ce titre de noblesse est attesté en 1024. Détaché de tout hommage, au moins depuis 1203, ce territoire reste une principauté jusqu'en 1789. Cette principauté dépassait les limites actuelles de la commune d'Yvetot puisqu'il comprenait aussi les anciennes paroisses de Saint-Clair-sur-les-Monts et Sainte-Marie-des-Champs.

En , par ses lettres patentes, le roi Louis XI (1423-1483) confirme les droits de la seigneurie d'Yvetot[28].

Le royaume d'Yvetot est mentionné dans le testament de Jean Meslier, qui dit de lui qu'il est le seul royaume de la Terre qui puisse se voir du haut d'une montagne.

Temps modernes

La prospérité de la ville est liée à un commerce fort développé dès le XVIIe siècle, grâce à son statut de paradis fiscal, et à des filatures de coton en pleine expansion après 1794.

Révolution française et Empire

Yvetot est chef-lieu de district de 1790 à 1795[27].

Époque contemporaine

La gare vers 1900

Au XIXe siècle, la ville développe une production de tissu.

En 1847 est mise en service la gare d'Yvetot, sur la Ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre, facilitant le déplacement des parsonnes et le transport des marchandises, favorisant ainsi le développement économique de la ville.

Durant la guerre franco-allemande de 1870, Yvetot vit sous occupation prussienne une période difficile et brutale marquée par de nombreuses réquisitions. C'est durant cette occupation qu'un trésor de plusieurs dizaines de pièces d'or est caché rue de la Briqueterie.

Le , la ville reçoit le président Carnot.

Aux XIXe et XXe siècles, Yvetot connaît une forte activité dans le domaine de l'imprimerie.

Une église de la Reconstruction, l'église Saint-Pierre.

Pratiquement rasée en 1940 au début de la Seconde Guerre mondiale par les Allemands, elle est reconstruite dans un style classique. Elle reprend de l'ampleur au milieu du XXe siècle, .

Politique et administration

Jusqu'en 1926, Yvetot a été chef-lieu de l'ancien arrondissement d'Yvetot, supprimé à cette occasion et jamais reconstitué. Elle était donc siège d'une sous-préfecture.

La ville d'Yvetot est le chef-lieu du canton.

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune après avoir été le chef-lieu de l'arrondissement d'Yvetot de 1801 à 1926, fait désormais partie de l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Yvetot[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton d'Yvetot

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

Yvetot est le siège de la communauté de communes Yvetot Normandie, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 sous le nom de communauté de communes de la Région d'Yvetot et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances et résultats politiques

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales
Élections municipales
  • Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste menée par le maire sortant Émile Canu (PS) remporte le scrutin avec 56,71 % des suffrages exprimés et 2 016 voix, suivie par les listes menées respectivement par la candidate divers-centre Charlotte Masset (29,59 %, 1 052 voix) et par le divers-centre Laurent Benard (13,7 %, 487 voix), l'abstention s'élevant à 59,26 %[29].

Référendums :

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1798 1830 Charles Delalande[30]    
1830 1840 Jean-Louis Bourdon-Bénard   Conseiller général d'Yvetot (1833 → 1842)
    Alexandre Roussel[31]   Président de la Caisse d'épargne (1856 → 1862 et 1874 → 1880)
    Augustin Buisson[32]   Avocat
Député de la Seine-Inférieure (1869 → 1870 et 1871 → 1876)
1846   Pierre Lefèvre[33],[34] Droite
Légitimiste
Filateur,
Conseiller général d'Yvetot (1848 → 1852)
Représentant du peuple (1848 → 1849)
Chevalier de la Légion d'honneur
1881 1905 Ferdinand Lechevallier[35],[Note 8] républicain modéré Manufacturier
Député de la Seine-Inférieure (1881 → 1905)
    Robert Lemonnier Républicain Manufacturier
Conseiller général d'Yvetot (1883 → 1910)
1908 1925 Eugène Bocheux[36],[Note 9] URD Directeur de la caisse d'épargne
Conseiller général d'Yvetot (1910 → 1925)
Fondateur de la société d’HBM en 1922, actuellement Logéal Immobilière
Les données manquantes sont à compléter.
1933 mars 1959 Marcel Richard   Médecin
Conseiller général d'Yvetot (1931 → 1940 et 1945 → 1958)
mars 1959 juin 1995 Pierre Bobée[37],[Note 10] SE puis
Rad. puis MRG
Médecin
Conseiller général d'Yvetot (1960 → 1994)
Officier de la Légion d'honneur
juin 1995 mars 2008 Philippe Décultot[38] DVD Médecin
Conseiller général d'Yvetot (1994 → 2008)
Président de la CC Yvetot Normandie (2002 → 2004)
mars 2008 septembre 2022[39] Émile Canu[40] PS Docteur ès lettres, proviseur de lycée retraité
Conseiller général d'Yvetot (2008 → 2015)
Démissionnaire

Distinctions et labels

En 2011, la commune d'Yvetot a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[41].

Jumelages

Ainsi, la Ville est jumelée depuis 1967 avec Hemmingen en Allemagne, depuis 1975 avec Lanark en Écosse, et elle a souhaité s'ouvrir sur les pays de l'Est en signant officiellement une charte de jumelage avec Kyjov, ville de Moravie en République tchèque le Ce jumelage tripartite a tissé des liens très forts entre les populations et les différentes générations de ces trois villes. Des échanges sont régulièrement organisés entre les établissements scolaires, les sapeurs pompiers, les employés de la Poste, les clubs sportifs, les écoles de musique...

En 2007, un protocole de coopération décentralisée entre le département de Seine-Maritime, la Ville d'Yvetot, la province de Bam (Burkina) et la ville de Bourzanga (Burkina Faso) a été signé.

Un futur jumelage est enfin prévu avec la ville polonaise de Murowana-Goslina. Une délégation des habitants et élus de cette ville a été récemment reçue[Quand ?] par la municipalité et le comité des échanges.

Équipements et services publics

Enseignement

Liste des établissements scolaires[42]
Écoles maternelles Écoles primaires Collèges Lycées

Écoles maternelles publiques :

  • École Elisabeth Cottard
  • École Léopoldine Hugo
  • École Auguste Rodin

École maternelle privée :

  • École Saint-Michel

Écoles primaires publiques :

  • École Cahan-Lhermitte
  • École Jean Prévost

École primaire privée :

  • École Saint-Michel

Établissement public :

  • Collège Albert Camus

Établissement privé :

  • Collège Bobée

Établissement public :

  • Lycée Raymond Queneau

Établissement public agricole :

  • Lycée Agricole et Agro-alimentaire / CFA-CFPPA

Établissement privé :

  • Lycée Jean XXIII

L'école Saint-Michel est la plus vieille école maternelle et primaire (317 ans ans). Elle a été ouverte le [réf. nécessaire]. Elle était auparavant une école mixte et un pensionnat pour filles. La ville dispose également d'une école maternelle et primaire publique, d'un collège public, d'un collège privé, d'un lycée polyvalent public, d'un lycée privé et d'un lycée agricole.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[43],[Note 11].

En 2021, la commune comptait 11 385 habitants[Note 12], en diminution de 5,69 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9 8009 5009 4189 7589 0219 0209 0839 1838 922
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8 6048 9218 8738 2828 4448 3977 9727 6177 545
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7 3527 1337 1267 0107 1347 1627 2146 8046 885
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7 9329 51010 43310 60510 80710 77010 94311 72511 888
2021 - - - - - - - -
11 385--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs

Yvetot abrite de nombreux clubs sportifs, parfois de haut niveau, comme ceux de handball et de hockey sur gazon. On y trouve également le football, le basket, le rugby, la gymnastique, l'athlétisme, le VTT, le tennis, la pétanque, le judo, le karaté, le full contact, le tennis de table et l'escrime et d'autres. La MJC Yvetot propose des animations sportives également.

L'équipe féminine d'Yvetot de hockey sur gazon entraînée par Hubert Verrier est montée en élite en 2009, soit la première division française.

La Maison des Jeunes et de la Culture Yvetot

Logo de la MJC Yvetot

La MJC Yvetot[45] est une association laïque régie par la loi 1901 et agrée Jeunesse et Éducation populaire. Elle fut fondée en 1962 par l'équipe municipale de Pierre Bobée et une quarantaine de jeunes.

Elle repose sur l’apprentissage de la citoyenneté des jeunes en favorisant leur accès à la responsabilité. La MJC est affiliée Réseau des MJC Normandes (RMJCN), elle-même membre de la Confédération des MJC de France (CMJCF).

La démocratie se vivant au quotidien, la MJC a pour mission d’animer des lieux d’expérimentation et d’innovation sociale répondant aux attentes des habitants. Ses actions et services encouragent l’initiative, la prise de responsabilité et une pratique citoyenne.

Activités régulières

La MJC Yvetot propose une pratique conviviale de différentes activités tout au long de l'année et à destination du plus grand nombre avec pour objectif de permettre l'accès à la culture et à l'éducation pour tous et toutes :

  • Activités Cirque : Baby cirque / pratique pour enfants / ados - adultes
  • Activités Gymniques : Baby gym / pratique loisirs, pré-compétition et compétition DR
  • Activités culturelles : Batterie, percussions, scrapbooking, scrabble, créations manuelles, théâtre...
  • Activités d'arts martiaux : Capoeira, ju-jitsu, self défense, karaté, judo...
  • Activités de lâcher prise : Placement corporel, yoga, réveil et renforcement musculaire, circuit training...
  • Activités danses contemporaine, modern jazz, classique, hip hop, danse de salon...

Animation Jeunesse

La MJC Yvetot met en place, avec son équipe d'animation jeunesse, des ateliers et activités à destination des 12 / 25 ans sur le territoire Yvetotais.

Le Point Information Jeunesse

La MJC Yvetot est également labellisée d'un Point Information Jeunesse. Le PiJ est un espace d’accueil et de conseils donnant accès à différents outils d’informations, une documentations complète, pratique et actualisées sur un grand nombre de thèmes. L'informateur Jeunesse accompagne les jeunes dans leurs recherches, qu’il s’agisse de scolarité, formation, emploi, logement, loisirs, mobilité internationale, ou encore de monter un projet de vie, associatif ou professionnel.

Les Juniors Associations

La MJC Yvetot accompagne des groupes de jeunes sur la création et la gestion de « Juniors Associations », permettant aux jeunes âgés de moins de 18 ans de s’organiser et de réaliser leurs projets en découvrant la dynamique associative.

Les Samedis Culturels

Les Samedis Culturels sont des rendez-vous musicaux et conviviaux se déroulant dans le jardin « Imagine » de la MJC Yvetot. Nés d'une dynamique bénévole initiée par des jeunes du territoire, les samedis culturels perdurent dans l'environnement Yvetotais. Ils mettent en avant la scène locale et rassemblent autour de la pratique artistique en amateur dans un jardin citoyen conçu par des jeunes volontaires internationaux.

Cette action permet d'accompagner l’expression et la pratique artistique en amateur, de s’ouvrir culturellement sur de nouvelles pratiques, de découvrir des personnes et des lieux venant d’horizons différents et d'organiser des moments de convivialité et de discussions sur le territoire.

Médias

Économie

Concours d'animaux de boucherie en 2013.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Abbaye d'Yvetot
Vitrail de l'église Saint-Pierre
  • Église Saint-Pierre, construite de 1949 à 1956 après les destructioçns de la Seconde Guerre mondiale sur les plans de Pierre Chirol, Robert Flavigny et Yves Marchand:sur un plan circulaire destiné à favoriser des innovations liturgiques, mais l'emplacement de l'autel et du chœur surélevé lui donnent un fonctionnement proche d'une église à plan basilical.
    L'édifice a un diamèrre de 40 m et une hauteur de 20 m. Le campanile, séparé du bâtiment, a une hauteur de 44 m et a été construit en 1963. L'entrée est surmontée d'une sculpture monumentale de René Collamarini représentant Saint Pierre
    Son vitrail (considéré comme le plus grand d'Europe avec 1 046 m2) achevé en 1956 par Max Ingrand est un puzzle minutieux d'une douzaine de pièces en verre qui présente des saints, avec un large volet consacré aux normands du diocèse de Rouen. Il donne une ambiance lumineuse particulière à l'édifice.[46]
  • Musée municipal des ivoires
  • Manoir du Fay : Un manoir typiquement cauchois construit en 1613 par Pierre Houel de Valleville. Ce manoir fut notamment la résidence de vacances de Pierre Corneille. Il a été classé Monument historique en 1996. D'une exceptionnelle qualité architecturale, en pierre calcaire et briques à motif de losanges dans le style Henri IV, il est maintenant à l'abandon[47], mais le parc et la cour sont régulièrement utilisés pour des représentations artistiques ou théâtrales et des feux d'artifice. Le club de tir à l'arc utilise également des installations sur le territoire du Manoir du Fay.


Institution ecclésiastique

L'Institution ecclésiastique[C'est-à-dire ?], fondée en 1826, a eu comme élèves l'écrivain Guy de Maupassant (de 1863 à 1868), l'évêque de Soissons, Mgr Jean-Baptiste Théodore Duval, l'évêque d'Arras, Mgr Eugène Julien, Louis Deschamps, Edward Montier, Raymond Mensire et Léonard-Auguste Beaucousin.

Yvetot dans les arts et la culture

Coiffe d'Yvetot.

À l'entrée « Yvetot » du Dictionnaire des idées reçues de Gustave Flaubert, on trouve l'article suivant : « YVETOT : Voir Yvetot et mourir ! (v. Naples et Séville) ».

De nombreux ouvrages de l'auteure Annie Ernaux ont pour cadre la ville d'Yvetot, parmi eux : La Place, Les Années, Retour à Yvetot

Citée dans une chanson de Béranger : le Roi d'Yvetot[48].

Film tourné à Yvetot

Personnalités liées à la commune

Natifs d'Yvetot :

Monument funéraire du Colonel Trupel.
  • Jean-Aimable Trupel (1771-1850) - Forgeron de formation, il s'engage dans l'armée en 1791 comme simple soldat et finit sa carrière en tant que colonel de l'armée impériale, baron d'Empire, commandeur de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis. Il a participé à de nombreuses batailles du Premier Empire dont Wagram, Leipzig, Waterloo et a subi de multiples blessures. Les soldats impériaux disaient d'ailleurs : « Brave comme Trupel ». Il est né à Yvetot le , est mort à Rouen le et est inhumé au cimetière monumental de Rouen[49],[50] ;

Y ont passé leur enfance ou leur adolescence :

Y est mort :

Héraldique

Blason de Yvetot Blason
De gueules à deux gerbes de blé en chef et deux navettes passées en sautoir en pointe, le tout d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

  • « Yvetot », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
  • « Yvetot » sur Géoportail.

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Une rue de la commune porte le nom de ce maire
  9. Une cité de logements municipaux porte son nom.
  10. Le nom de ce maire a été donné en 2014 à l'IME situé rue Joseph-Coddeville : « Merci Monsieur Bobée » : À l’occasion de la pose de la première pierre de sa réhabilitation, l’institut médico-éducatif a révélé son nouveau nom : Pierre Bobée. Le chantier durera deux ans pour un budget de six millions d’euros », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

Site de l'Insee

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Yvetot » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Yvetot - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Yvetot - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Yvetot et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Yvetot et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 d'Yvetot », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Yvetot », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  24. Ghislain Annetta, « Yvetot : logement social, Logeal soigne ses locataires : Vendredi, le bailleur social Logeal a signé, avec les représentants des locataires de son parc, le plan de concertation 2017-2020. Cette cérémonie officielle s’est déroulée au siège, à Yvetot. », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 167.
  26. François de Beaurepaire, op. cit..
  27. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Lettres patentes de Louis XI, Rouen, octobre 1464 (lire en ligne).
  29. a et b « Yvetot 76190 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
  30. « Charles Delalande », Les célébrités, sur https://seine76.fr (consulté le ).
  31. « Alexandre Roussel », Les célébrités, sur https://seine76.fr (consulté le ).
  32. « Augustin, François Buisson (1812-1876) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  33. « Pierre, Nicolas, Pascal Lefèvre (1798-1865 », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  34. « Lefèvre Pierre Nicolas Pascal », base Léonore, ministère français de la Culture.
  35. « Ferdinand Lechevallier (1840-1905) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  36. « Eugène Bocheux », Célébrités, sur https://seine76.fr (consulté le ).
  37. « Yvetot: Pierre Bobée, maire pendant 36 ans : Figure historique de la commune, Pierre Bobée est décédé samedi à l'âge de 85 ans. Estimé par ses concitoyens, il est à l'origine de nombreuses institutions », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire pour la première fois en 1959, l'homme de gauche fut réélu cinq fois.Au cours de ses trente-six années de mandature, Pierre Bobée participa activement à l'essor d'Yvetot, tant sur le plan social que culturel.MJC, IME, hôpital…Il est notamment à l'origine de la MJC ».
  38. François Manoury, Éléonore Sinoquet, « Municipales 2020 : l’ancien maire d’Yvetot, Philippe Décultot, veut rassembler le centre et la droite : Philippe Décultot rêve que la ville retombe dans l’escarcelle de la droite. Probable futur allié de Charlotte Masset, l’ancien maire prône le rassemblement et cherche à dissuader Laurent Bénard de se présenter », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À 72 ans, Philippe Décultot (Modem) estime avoir encore des choses à apporter à la ville d’Yvetot, dont il fut maire de 1995 à 2008. Battu par Émile Canu (DVG) lors des deux dernières élections municipales, ce médecin retraité milite pour rassembler les forces du centre et de droite. Et pourrait bien répondre à l’appel du pied de la candidate Charlotte Masset ».
  39. Mireille Loubet, « À Yvetot, Émile Canu, maire de la ville depuis 2008 démissionne de son mandat pour raisons de santé : C’est par un courrier lu par le premier adjoint à la toute fin du conseil municipal du mercredi 21 septembre 2022 que sa décision de se retirer de la vie politique cauchoise a été annoncée », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Yvetot. Emile Canu vise un troisième mandat : "L'âge, c'est dans la tête" : Émile Canu, maire d'Yvetot depuis 2008, vise une troisième mandat. Il sera à nouveau tête de liste aux prochaines élections », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
  42. http://www.yvetot.fr/?q=node/95
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Site de la MJC d'Yvetot
  46. Jean-Louis Rinuy et Pascal Lemaître (Photographies), XXe-XIXe siècle Patrimoine sacré : Les lieux de culte en France depuis 1905, Paris, Éditions du patrimoine, , 232 p. (ISBN 978-27577-0344-1), p. 108-109.
  47. Pierre Jamme et Jean-François Dupont-Danican, Gentilhommes et gentilhommières en pays de Caux, Éditions de la Morande, 1996, pages 300 et 301
  48. [1]
  49. « Trupel pur produit de la révolution... », sur Paris-Normandie, (consulté le ).
  50. Rémy GODBERT (modérateur du site), « TRUPEL Jean Aimable », sur Les amis du patrimoine napoléonien (consulté le ).