Montselgues

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Montselgues
Montselgues
Clocher de l'église, centre de la commune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes Pays des Vans en Cévennes
Maire
Mandat
Joël Fournier
2020-2026
Code postal 07140
Code commune 07163
Démographie
Gentilé Montselguois
Population
municipale
85 hab. (2021 en diminution de 2,3 % par rapport à 2015)
Densité 2,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 31′ 27″ nord, 4° 00′ 20″ est
Altitude Min. 355 m
Max. 1 229 m
Superficie 35,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Cévennes ardéchoises
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Montselgues
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Montselgues
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Montselgues

Montselgues est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Montselguois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

La commune de Montselgues, à l'aspect essentiellement rural, est située dans le sud-ouest du département de l'Ardèche. Rattachée à la communauté de communes Pays des Vans en Cévennes, elle est limitrophe de la Lozère et proche du Gard.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Comme une grande partie du Tanargue voisin, le territoire communal de Montselgues est majoritairement granitique, en présentant parfois des chaos. La localité comprend également des schistes sur certains affleurements.

Placé à l'extrême sud de la montagne ardéchoise et en bordure des vallées cévenoles, le village de Montselgues est sis sur le plateau de Montselgues situé à 1 020 mètres d'altitude.

L'est de la commune est occupé par la corniche du Vivarais cévenol, qui s'étend dans une direction nord - sud et domine de la même hauteur les vallées de la Drobie au nord-est et de la Thines au sud-est.

Formant la limite ouest de communes, la Borne a taillé une vallée profonde de 500 mètres. Son affluent le Chamier a lui aussi taillé sa vallée coupant la commune d'une vallée presque aussi profonde dans le sens nord-sud.

La localité fait partie de la zone périphérique du parc national des Cévennes et du parc naturel régional des Monts d'Ardèche, au sein d'une zone très faiblement artificialisée. On y accède par une route longeant la corniche du Vivarais cévenol, route présentant un fort intérêt paysager.

Le plateau de Montselgues vu depuis Montselgues.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 678 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sablières Oara », sur la commune de Sablières à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 787,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Thines[9], affluent du Chassezac et longue d'environ 15 km, prend source sur la commune au nord-est du village et coule vers le sud. Sur la commune, elle ne s'appelle pas encore la Thines ; elle porte d'abord le nom de ruisseau de Chaptines puis ruisseau du Petit Paris, d'après les noms de deux hameaux qu'elle arrose dans les débuts de son parcours. Sa source, près du hameau des Bessèdes, a été aménagée de façon à former 27 petits étangs en terrasses successives.

Le ruisseau de Montselgues, affluent de la Thines, prend source à 500 m au nord-est du hameau de Teste Rouge. Il coule d'abord vers le sud et vers Montselgues sur environ 1,7 km, suivant le haut du plateau. Immédiatement au sud du village il rencontre le mont de la Planasse, qui le détourne vers l'est et vers la Thines avec laquelle il conflue sur la commune voisine Thines.

La Borne, sert de limite de communes avec Pied-de-Borne. Son affluent le Chamier, nommé ruisseau de la Camargue puis Chaillassouse dans l'amont de son parcours, prend source dans la pointe nord de la commune sur le flanc sud de la Serre de Montgros.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montselgues est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Montselgues.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (47,3 %), prairies (1,6 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Montselgues est situé en zone de sismicité no 2 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise (massif cévenol)[16].

Terminologie des zones sismiques[17]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 2 Sismicité faible accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Deux versions s'opposent quant à l'origine du nom « Montselgues » :

  • dans la première, Montselgues voudrait dire « le mont au seigle » puisque c'est l'une des rares céréales qui pousse dans cette région montagneuse. La population se serait longtemps nourrie presque exclusivement de seigle et, bien que de nos jours on ne puisse le voir, la plupart des terrains étaient employés à le cultiver. Doit-on voir un indice dans le fait que sur la carte du « Gouvernement Général de Languedoc », datant de 1742, Montselgues soit écrit « Montciagle » ?
  • Dans la seconde version, qui s'appuie sur une bulle du pape Clément IV de 1262, Montselgues voudrait dire « le mont des cieux » en hommage à l'église implantée là au XIIe siècle par les moines de Saint-Chaffre en Velay.

Histoire[modifier | modifier le code]

Panorama sur les gorges du Chassezac depuis la route menant à Montselgues.
Chaos granitique typique sur la commune de Montselgues.

L'histoire de la commune a été principalement marquée par les muletiers qui passaient par là pour aller au Puy-en-Velay. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des maquis ont été recensés non loin de Montselgues, à Thines, et des parachutages d'armes auraient été effectués sur le plateau de Montselgues.

En 1832, les hameaux de Rouveyrol, du Jou, du Soulié et du Pont sont séparés de Montselgues et rattachés à Sainte-Marguerite-Lafigère, beaucoup plus proche.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1998 En cours
(au )
Joël Fournier[18],[19] DVG Agriculteur

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 85 habitants[Note 2], en diminution de 2,3 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
710684637755797774753781731
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
650621592576602593565470465
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
400394398328290267261199138
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
12411373806976909184
2021 - - - - - - - -
85--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias[modifier | modifier le code]

La commune de Montselgues est située dans la zone de distribution de deux organes locaux de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas-Vallée du Rhône.

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église (propriété de la commune) et la communauté catholique de Montselgues sont rattachées à la paroisse Saints Pierre et Paul de Païolive, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[24].

Économie[modifier | modifier le code]

Tourisme et loisirs[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Autres monuments et lieux touristiques[modifier | modifier le code]

  • Voie dite « romaine », dont l’authenticité est incertaine.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Espaces protégés et gérés[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de trois espaces protégés et gérés[25] :

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

Montselgues est concernée par neuf zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

  • la ZNIEFF continentale de type 2 de l'« ensemble fonctionnel formé par l’Ardèche et ses affluents (Ligne, Baume, Drobie, Chassezac…) »[29], soit 22 630,21 ha, concerne 61 communes dont Montselgues et vise la rivière Ardèche, ses milieux annexes et ses principaux affluents dont la Ligne, la Baume, la Drobie, le Chassezac ;
  • la ZNIEFF continentale de type 2 du « Plateau de Montselgues et corniche du Vivarais cévenol »[30] ;
  • la ZNIEFF continentale de type 1 des « Tourbières du plateau de Montselgues »[31] ;
  • la ZNIEFF continentale de type 1 des « Landes et prairies humides du plateau de Montselgues »[32],[33] compte 473 hectares sur les communes de Montselgues et Sablières ;
  • la ZNIEFF continentale de type 1 du « Plateau des Chanaux, serre de la Font d'Aoussay »[34] ;
  • la ZNIEFF continentale de type 1 des « Escarpement rocheux, bois et landes de Féreyrolles »[35] couvrent 270 hectares du flanc Est de la vallée de la Borne, en rive droite de celle-ci (elle coule du nord au sud), sur les communes de Montselgues au nord et Sainte-Marguerite-Lafigère au sud. Sur le terrain, c'est 3,4 km de versants de plateau aux pentes abruptes et hautes (moyenne de 500 m de dénivelé sur 900 m de distance linéaire environ) sillonnées de nombreux ruisseaux saisonniers. ;
  • la ZNIEFF continentale de type 1 des « Corniches de la Cévenne méridionale »[36]
  • la ZNIEFF continentale de type 1 de la « Vallée de la Thines »[37] ;
  • la ZNIEFF continentale de type 1 du « Vallon de la Borne »[38] ;

Site d'intérêt communautaire[modifier | modifier le code]

Zones spéciales de conservation[modifier | modifier le code]

La commune est incluse dans deux Zones spéciales de conservation (ZSC) (des sites d'intérêt communautaire (SIC) selon la directive Habitat) :

  • la ZSC du « Plateau de Montselgues »[39] ;
  • la ZSC des « Cévennes ardèchoises »[40].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Montselgues possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre-Albert Clément, En Cévennes avec les bergers : récits de transhumances, Les Presses du Languedoc/Max Chaleil, (ISBN 2-85998-085-7)
  • Pierre-Albert Clément, Les chemins à travers les Âges en Cévennes et bas Languedoc, Les Presses du Languedoc, (ISBN 2-85998-009-1)
  • Chastel Sandra, Mutations économiques et sociales à Montselgues (1850-1914) (Mémoire de maîtrise). Disponible en consultation aux archives départementales d'Ardèche ou en mairie.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Montselgues sur habitants.fr (consulté le 3 août 2019).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Montselgues et Sablières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Sablières Oara », sur la commune de Sablières - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Sablières Oara », sur la commune de Sablières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Thines (V5040780) ».
  10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  17. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  18. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  19. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse de Saints Pierre et Paul de Païolive.
  25. Montselgues - Données sur inpn.mnhn.fr.
  26. « Parc national des Cévennes, aire d'adhésion » - FR3400004. Fiche et cartographie Natura 2000.
  27. « Réserve de biosphère des Cévennes, zone de transition » - FR6500005. Fiche et cartographie Natura 2000.
  28. « Parc naturel régional des Monts d'Ardèche » - FR8000041. Fiche et cartographie Natura 2000.
  29. « Ensemble fonctionnel formé par l’Ardèche et ses affluents (Ligne, Baume, Drobie, Chassezac…) » - 820002843. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  30. « Plateau de Montselgues et corniche du Vivarais cévenol » - 820030104. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  31. « Tourbières du plateau de Montselgues » - 820030108. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  32. « Landes et prairies humides du plateau de Montselgues » - 820030109. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  33. « Portail des données communales: Montselgues », Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement.
  34. « Plateau des Chanaux, serre de la Font d'Aoussay » - 820030906. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  35. « Escarpement rocheux, bois et landes de Féreyrolles » - 820030128. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  36. « Corniches de la Cévenne méridionale » - 820030110. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  37. « Vallée de la Thines » - 820030048. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  38. « Vallon de la Borne » - 820030902. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.
  39. « Plateau de Montselgues » - FR8201660. Fiche et cartographie ZSC Natura 2000.
  40. « Cévennes ardèchoises  » - FR8201670. Fiche et cartographie ZSC Natura 2000.