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Joannas

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Joannas
Joannas
Église de Joannas.
Blason de Joannas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes Val de Ligne
Maire
Mandat
Bernard Vedovato
2020-2026
Code postal 07110
Code commune 07109
Démographie
Population
municipale
305 hab. (2021 en évolution de −1,93 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 59″ nord, 4° 15′ 09″ est
Altitude Min. 309 m
Max. 1 207 m
Superficie 11,93 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vallon-Pont-d'Arc
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Joannas
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Joannas
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Joannas

Joannas est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Situation et description

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Joannas est un petit village cévenol à l'aspect essentiellement rural du sud du département de l'Ardèche. Il est rattaché à la communauté de communes Val de Ligne.

Communes limitrophes

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Joannas est limitrophe de sept communes[1], toutes situées dans le département de l'Ardèche et réparties géographiquement de la manière suivante :

Rose des vents Jaujac Prunet Rose des vents
Rocles N Rocher
O    Joannas    E
S
Sanilhac Tauriers Chassiers

Géologie et relief

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Joannas est un petit village adossé à la Cham du Cros (1 202 m), l’un des premiers contreforts du Tanargue (montagne de moyenne altitude au sud du Massif Central dont le nom signifie « la montagne du tonnerre »).

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Sud-est du Massif Central »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 352 mm, avec 8,4 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Croix Millet », sur la commune de Prunet à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 590,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie

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Le Roubreau est une petite rivière qui prend sa source au sud de la commune de Joannas avant de rejoindre la Ligne au nord de la commune de Montréal.

Voies de communication

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Le territoire communal est traversé par la route départementale 24 (RD24).

Au , Joannas est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,9 %), prairies (5,3 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux

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La Blache et Serre-Champ sont deux hameaux situés sur la route départementale D5, en direction du col de la Croix de Millet. Le hameau de Blaunac qui se situe au nord-ouest du village faisait partie jusqu'en 1833 de Rocles ; il possédait jadis sa propre école.

Risques naturels

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Joannas est situé en zone de sismicité no 2 dite faible (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise, mais à proximité de la zone de sismicité no 3, dite modérée, située plus à l'est et correspondant la vallée du Rhône[13].

Terminologie des zones sismiques[14]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 2 Sismicité faible accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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Les noms traditionnels en occitan sont Joanàs (prononcé « djounas ») pour le village, et Los Joanèls (prononcé « lous djounèl ») pour les habitants.

Joannas fait partie du Vivarais. Après les invasions barbares, puis les attaques sarrasines, Charlemagne a mis en place une organisation de l'empire carolingien basée sur la division des diocèses, elle-même issue des divisions de l'empire romain en nommant des comtes. Il n'y a plus de comte représentant l'empereur dans le Vivarais après la mort de Louis le Pieux. Depuis la division de l'empire carolingien prévue dans le traité de Verdun de 843, le Vivarais fait partie de la Lotharingie de l'empereur Lothaire. L'affaiblissement du pouvoir de l'empereur, la division de la Lotharingie et l'absence de comte va permettre à l'évêque de Viviers de devenir la puissance principale dans le Vivarais. Les barons du Vivarais lui prêtaient le serment de fidélité avec assistance en cas de guerre. Partie du royaume de Bourgogne, le Vivarais est devenu une partie du Saint-Empire romain germanique en 1032. L'empereur a donné à l'évêque de Viviers de nouveaux droits, droit de battre monnaie et droits de péage. Face à l'affaiblissement de l'empereur, le comte de Toulouse va s'implanter dans le Vivarais entraînant un conflit avec l'évêque sur les mines d'argent de Largentière. Le comte de Toulouse fait construire des châteaux autour de Largentière pour contrôler les mines. Pour assurer la protection de son domaine féodal, l'évêque a fait construire le château de Largentière. La croisade des Albigeois a entrainé le transfert de la propriété du comté de Toulouse aux Capétiens, l'évêque de Viviers s'emparant des domaines du comte dans le Vivarais. Cependant, au cours du XIIIe siècle, les rois de France vont profiter des difficultés des empereurs du Saint-Empire pour faire valoir leurs droits dans le Vivarais faisant partie du domaine des comtes de Toulouse. En 1307, Philippe le Bel obtient de l'évêque de Viviers qu'il se reconnaisse son vassal. Les seigneurs de Joannas rendent hommage aux évêques de Viviers[15]. Dans la répartition des revenus des paroisses entre l'évêque et le chapitre de Viviers, ceux de la paroisse de Joannas sont attribués au chapitre de la cathédrale.

En 1733, Valos et Valousset sont séparés de Joannas pour former la nouvelle paroisse de Laboule.

En 1790, Rocher est détaché de Joannas.

En 1833, Le Jal, le Vernet, L'Elze, Freyssenet, et Constant sont séparés de Joannas et rattachés à Rocles. La même année, Blaunac et le Clos sont séparés de Rocles et rattachés à Joannas.

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 mars 2008 Maurice Vaschalde    
mars 2008 mars 2014 Jean Labrot    
mars 2014 2020 Roger Vaschalde[16] DVG Retraité
2020 En cours
(au )
Bernard Vedovato[17]    

Population et société

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Démographie

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Les habitants de Joannas sont appelés les Jounels.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

En 2021, la commune comptait 305 habitants[Note 1], en évolution de −1,93 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8267839169249168379139551 003
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
961919928888826796759776727
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
677699674595527439396332292
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
295249191214224304327331315
2017 2021 - - - - - - -
302305-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Fête patronale le , fête communale le dernier dimanche de juillet.

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition d'Aubenas, Privas et la Vallée du Rhône.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Notre-Dame de l'Annonciation, romane de la fin du XIIe siècle, restaurée et agrandie aux XVe et XVIe siècles, modifiée au XIXe siècle : l’église, construite au XIIe siècle, ne conserve plus que la nef de cette époque. Le chœur et les deux chapelles ont été rajoutés entre le XVe et XVIe siècles. Le clocher-peigne a été remplacé par un clocher-tour.
  • Château de Joannas (XIe et XIIe siècles) : le château de Joannas, bâtisse médiévale à base carrée, est inscrit en 1985 au titre des monuments historiques. Le château possède une belle cour intérieure. Il présente également des tourelles de style Renaissance et son donjon roman est une grande tour carrée dont l'accès se trouvait au premier étage. À sa construction au Moyen Âge, il était bien plus imposant qu'à présent. Il a été en partie rétrécit vers le XVIIe siècle, sous Richelieu (Jean Régné). Propriété des familles Montréal-Balazuc, Marcha de Saint Pierreville Il est à présent le siège de la mairie, d’associations et de salles d’expositions.
  • Ancien château féodal de Logères du XIIe siècle, reconstruit au XVIIIe siècle sur les fondations d'une ancienne bâtisse du XIVe siècle : deuxième château se trouvant sur le territoire du village, il était la propriété de la famille Fontaine de Logères, fut reconstruit au XVIIIe siècle sur les fondations d’une ancienne bâtisse du XIVe siècle. Son parc de quatre hectares offre la possibilité d'y découvrir un verger observatoire de variétés anciennes de fruits (pommes, poires, pêches…), un jardin potager cultivé selon des méthodes traditionnelles et un jardin botanique de plantes aromatiques et médicinales.
  • Château de Pugnères.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Joannas Blason
De gueules au sautoir d'or cantonné de quatre fleurs de lys du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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  • Raymond de Gigord, Le mandement de Joanas et ses seigneurs, Valence, Éditions la Bouquinerie, coll. « Vivarais ancien », .
    Republié en 2001, p. 351 (ISBN 2-908287-51-X).
  • Jean Régné, Joannas en Vivarais et la psychologie du peuple Ardèchois, Vaison-la-Romaine, La bonne presse du midi, .
  • Albert Rey, Joannas : dans ses origines, son passé, aux temps modernes, hier et aujourd'hui, Vaison-la-Romaine, La bonne presse du midi, .

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Direction départementale de l'Équipement, « Carte en relief de l'Ardèche avec limites communales »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur ardeche.equipement.gouv.fr, (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Joannas et Prunet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Croix Millet », sur la commune de Prunet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Croix Millet », sur la commune de Prunet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  14. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  15. Melchior de Vogüé, Une famille vivaroise : histoires d'autrefois racontées à ses enfants, t. 1, Sancerre, Imprimerie de Michel Pigelet, (lire en ligne), p. 355-356.
  16. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  17. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.