Le Plessis-Placy

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Le Plessis-Placy
Le Plessis-Placy
L'église paroissiale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de l'Ourcq
Maire
Mandat
Charles-Auguste Benoist
2020-2026
Code postal 77440
Code commune 77367
Démographie
Population
municipale
288 hab. (2021 en augmentation de 5,49 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 03′ 28″ nord, 2° 59′ 20″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 149 m
Superficie 8,20 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Le Plessis-Placy est une commune française, située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ 15,5 kilomètres au nord-est de Meaux[Carte 1].

Localisation de la commune de Le Plessis-Placy dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte des communes limitrophes de Le Plessis-Placy.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier du Plessis-Placy.

Le réseau hydrographique de la commune se compose d’un seul cours d'eau référencé : le ru de Beauval[Note 1], long de 4,74 km[1], affluent de la Thérouanne. Sa longueur totale sur la commune est de 2,04 km[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Changis-sur-Marne à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[9],[10],[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Plessis-Placy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 32 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[17] dont deux hameaux : Beauval et Saint Faron.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,6 %), zones urbanisées (3,1 %), forêts (0,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[18].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[19],[20],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne Ourcq, approuvé le et porté par le syndicat mixte Marne-Ourcq regroupant 41 communes du Pays de l'Ourcq et du Pays Fertois[21].

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[22].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 115 dont 98,3 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 1,7 % d'appartements[Note 5].

Parmi ces logements, 83,5 % étaient des résidences principales, 2,6 % des résidences secondaires et 13,9 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 65,6 % contre 30,2 % de locataires et 4,2 % logés gratuitement[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Placeium en 1184[24] ; Plessetum de Placi en 1249[25] ; Domus de Plesseto de Placito en 1254[26] ; Placetum au XIIIe siècle[27] ; J. de Plesseto Placiaci en 1300[28] ; Le Plessier de Placy en 1557[29] ; Le Plessis du Placy en 1565[30] ; Le Plessier Placy en 1753[31].

Plessis : terme d’origine romane, désignant un endroit protégé par une palissade faite de branches entrelacées.

Le déterminant placy, est issu du nom primitif de l'endroit (du latin placitum). Le Plessis-Placy avait une place pour un marché ou un plaid[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1738, il existe un moulin à vent sur la commune. Il est localisé géométriquement sur une carte manuscrite de Maraldi-Cassini III[33].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2014 2020 Catherine Garnier   sans profession
2020 En cours Charles-Auguste Benoist[34]   Agriculteur

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [35],[36].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune du Plessis-Placy est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [37],[38],[39].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[40]. La communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[37],[41].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [37],[42].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur CCPO[43].

Population et société[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

En 2021, la commune comptait 288 habitants[Note 6], en augmentation de 5,49 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
329316379357328337307306315
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
302312298313332352288324314
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
303290255231333323277307294
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
244198204199224262264264276
2017 2021 - - - - - - -
268288-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le Plessis-Placy est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[48].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[49]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 7 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 172 ha en 1988 à 165 ha en 2010[48]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles du Plessis-Placy, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture au Plessis-Placy entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[48],[Note 8]
Nombre d’exploitations (u) 7 5 5
Travail (UTA) 20 11 9
Surface agricole utilisée (ha) 1 207 839 826
Cultures[50]
Terres labourables (ha) 1 197 831 821
Céréales (ha) 651 463 416
dont blé tendre (ha) 502 389 366
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 149 s 20
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) 96 52 81
Élevage[48]
Cheptel (UGBTA[Note 9]) 38 34 16

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L’église Saint-Victor des XIIIe et XVIe siècles est située à l'extérieur du village par suite d'une épidémie. il ne reste que quelques éléments de la tour du clocher et du mur nord du XIIe siècle. Cette église aurait été selon la légende le lieu d'un événement peu banal : Bernier, laboureur et la veuve Clairin ayant chacun 12 enfants les auraient unis les uns aux autres et convolèrent également le même jour. Le vitrail qui relatait cet événement a été détruit par un ouragan en 1770[51]. Le pignon de l'édifice s'étant affaissé en 1984, une campagne de restauration est alors lancée pour l'ensemble du bâtiment. L'église abrite du mobilier classé monument historique :
    • le retable Le martyre de saint Victor offert en 1707 par le curé du village Jean-Baptiste Guyard ;
    • la dalle funéraire de l'abbé Vincent à l'intérieur de l'église : l'effigie du défunt, curé de la paroisse au XVIe ou XVIIe siècle, y est gravée mais l'épitaphe est partiellement illisible (4e quart du XVIe siècle ou début du XVIIe siècle), classée en 1977 aux Monuments Historiques ;
    • le vitrail de sainte Barbe, verre transparent de forme ronde et d'un diamètre de 35 environ[à vérifier][52], sainte Barbe y est représentée avec sa tour, classé aux Monuments Historiques en 1908.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Le Plessis-Placy », p. 654–656
  • Maurice Pignard-Péguet, Histoire illustrée de Seine-et-Marne, Auguste Gout, Orléans, 1911. Lire en ligne

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Nature en attente de mise à jour.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de Trocy-en-Multien » sur Géoportail (consulté le 6 novembre 2018)..
  2. « Le Plessis-Placy - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 3 juillet 2018
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Le Plessis-Placy et Changis-sur-Marne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Changis » (commune de Changis-sur-Marne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Changis » (commune de Changis-sur-Marne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Liste des zones Natura 2000 de la commune duPlessis-Placy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Liste des ZNIEFF de la commune duPlessis-Placy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Liste des espaces protégés sur la commune duPlessis-Placy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  21. « Le SCOT Marne Ourcq », sur paysdelourcq.fr (consulté le ).
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  23. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 15 août 2020
  24. Cartulaire de La Charité, p. 11.
  25. Rôles des fiefs, 1613.
  26. Du Plessis, II, p. 161.
  27. Longnon, I, 455p. 310.
  28. Archives de l'Aube, G 3629.
  29. Terrier de May, fol. 129 v°.
  30. Archives nationales, S 1166.
  31. Archives nationales S 320.
  32. Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne.
  33. Accès en ligne à la carte.
  34. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur amf77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
  35. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  36. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
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  40. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
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  42. « CC du Pays de l'Ourcq (CCPO) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
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  52. Notice no PM77001357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.