La Genevraye

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La Genevraye
La Genevraye
La mairie.
Blason de La Genevraye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Moret Seine et Loing
Maire
Mandat
Pascal Otlinghaus
2022-2026
Code postal 77690
Code commune 77202
Démographie
Gentilé Genevriens
Population
municipale
814 hab. (2021 en augmentation de 6,54 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 15″ nord, 2° 44′ 59″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 79 m
Superficie 13,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nemours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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La Genevraye

La Genevraye est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

En 2021, elle compte 814 habitants.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisation de Genevraye dans le département de Seine-et-Marne.

La commune de Genevraye se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1]. Son territoire s'étend le long de la rive droite de la rivière le Loing et de son canal.

Elle se situe à 31,38 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 14,88 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture et à 8,72 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Nemours[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte des communes limitrophes de La Genevraye.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Montigny-sur-Loing (2,0 km), Épisy (3,3 km), Montcourt-Fromonville (3,6 km), Bourron-Marlotte (3,7 km), Grez-sur-Loing (4,3 km), Nonville (5,4 km), Darvault (5,6 km), Villemer (6,2 km).

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.

L'altitude varie de 51 mètres à 79 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 58 mètres d'altitude (mairie)[6].

Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire), à l'exception d'une très faible couche de craie blanche datant du Crétacé supérieur (Mésozoïque)[7],[8].

Géologie de la commune de La Genevraye selon l'échelle des temps géologiques[7],[8].
Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
X : Dépôts anthropiques, remblais.
LP : Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
Fz : Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
Fy : Alluvions anciennes (basse terrasse de 0–10 m) : sables et graviers, colluvions, alluvions et apports éoliens.
Pléistocène
Néogène Pliocène non présent.
Miocène non présent.
Paléogène Oligocène non présent.
Éocène
e7C : Calcaire de Champigny, Calcaire de Château-Landon, marnes de Nemours.
e4AP : Argile plastique sables et grès.
e4PP : Poudingue à chailles conglomérat à silex, formation de Pers-en-Gâtinais ((Loiret)).
Paléocène non présent.
Mésozoïque Crétacé Supérieur
C5Cr-BE : Craie blanche à silex à Belemnitida.
inférieur non présent.

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[9].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de La Genevraye.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de onze cours d'eau référencés :

  • la rivière le Loing, longue de 142,73 km[10], affluent en rive gauche de la Seine, ainsi que :
    • un bras[Note 3] de 2,64 km[11] ;
    • le cours d'eau 01 de la Trentaine, 0,31 km[12], et ;
    • la Clairette, 4,44 km[13], qui confluent avec le Loing ;
      • le ru de Décharge de l'Etang, 2,69 km[14], qui conflue avec la Clairette ;
    • la rivière le Lunain, longue de 51,45 km[15], affluent du Loing, en bordure est de la commune, ainsi que :
      • un bras du Loing de 2,28 km[16], qui conflue avec le Lunain ;
      • un bras de 0,89 km[17] ;
      • un bras de 1,23 km[18] ;
    • le canal du Loing, long de 47,84 km[19] ;
      • un bras de la Clairette de 0,36 km[20], qui conflue avec le canal du Loing.

Par ailleurs, son territoire est également traversé par un bras secondaire de l'aqueduc du Loing[21] de 1,73 km.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 14,58 km[22].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[23].

La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[24]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[25].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[26]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[27].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 680 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nemours à 7 km à vol d'oiseau[28], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,3 mm[29],[30]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[31].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[32],[33].

La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est également un espace protégé présent sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[34],[35],[36],[37].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[38].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[39],[Carte 1] : les « Rivières du Loing et du Lunain », d'une superficie de 400 ha, deux vallées de qualité remarquable pour la région Île-de-France accueillant des populations piscicoles diversifiées dont le Chabot, la Lamproie de Planer, la Loche de Rivière et la Bouvière[40],[41].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Genevraye comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 4],[42],[Carte 2] :

  • le « Bois du Larris Vert » (1,26 ha)[43] ;
  • les « Champs Captants de Villeron » (32,56 ha), couvrant 2 communes du département[44] ;
  • les « Étangs de Pleignes » (33,65 ha), couvrant 2 communes du département[45] ;
  • les « prairies et bois de la Herse » (23,02 ha), couvrant 2 communes du département[46] ;
  • la « vallée du Bois-Guyon » (41,49 ha)[47] ;

et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[42] :

  • la « vallée du Loing entre Moret et Saint-Pierre-Lès-Nemours » (1 749,77 ha), couvrant 13 communes du département[48] ;
  • la « vallée du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » (1 224,01 ha), couvrant 9 communes du département[49].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Genevraye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[50],[51],[52].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[53],[54].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,27 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terre arable (47,04 %), forêts (40,99 %), eaux continentales[Note 8] (7,13 %), zones urbanisées (3,60 %), prairies (1,23 %)[55].

Occupation des sols en 1990 et 2018[55].
Type d’occupation 1990 2018 Bilan
Territoires artificialisés
(zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
28,29 ha 2,12 % 48,02 ha 3,60 % 19,74 ha en augmentation
Territoires agricoles
(terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
672,78 ha 50,49 % 643,30 ha 48,27 % −29,49 ha en diminution
Forêts et milieux semi-naturels
(forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
536,56 ha 40,26 % 546,31 ha 41,00 % 9,75 ha en augmentation
Surfaces en eau
(eaux continentales, eaux maritimes)
94,97 ha 7,13 % 94,97 ha 7,13 % 0 ha en stagnation

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[56],[57],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[58].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[59]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Carte du cadastre de la commune de La Genevraye.

La commune compte 48 lieux-dits administratifs[Note 9] répertoriés consultables ici[60] (source : le fichier Fantoir).

  • Cugny, dont la population compte pour moitié de celle de La Genevraye, situé à 1 km. Anciennement, site d'une usine d'explosifs, créée en 1887 et fermée en 1987, entourée d'une cité ouvrière construite vers 1926-1927.
  • Pleignes, les Genévriers (lotissement).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 356 dont 91,1 % de maisons et 6,9 % d'appartements[Note 10].

Parmi ces logements, 86,3 % étaient des résidences principales, 10 % des résidences secondaires et 3,7 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 76,2 % contre 19,9 % de locataires et 4 % logés gratuitement[61].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Deux routes départementales relient La Genevraye aux communes voisines :

  • la D 40, à Moret-Loing-et-Orvanne, au nord-est ; et à Montcourt-Fromonville, au sud-est ;
  • la D 58, à Nonville, au sud-ouest.

Transports[modifier | modifier le code]

La Genevray est desservie par quatre lignes du réseau de bus Vallée du Loing - Nemours :

  • la ligne 7A, qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Fontainebleau ;
  • la ligne 7B, qui relie Nemours à Avon ;
  • la ligne 8B, qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Héricy ;
  • la ligne 18A, qui relie qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Montereau-Fault-Yonne.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes La Genevraia vers 1200[62] ; Genuperia en 1369[63] ; La Genevroye vers 1380[64] ; La Genevrois en 1485[65].

« Lieu où poussent, ou planté de genévriers »[66].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La sépulture de Pleignes, sur la commune, fait partie d'un alignement de six mégalithes orienté N. 25° O, qui inclut le menhir de Chevannes (Loiret), la Pierre aux Aiguilles (Nanteau-sur-Lunain), l'une des Pierres de Saint Barthélémy (Treuzy), la Haute Borne et la Pierre Levée du Moque Baril (tous deux à Nonville)[67].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
février 1874 janvier 1881 Germain Trébuchet    
décembre 1899 juillet 1922 François Alexandre dit "Xavier" Bender   Directeur de la dynamiterie de Genevraye
chevalier de la Légion d'honneur[68]
juillet 1922 mai 1925 Armand Vilain    
mai 1925 mai 1935 Emile Depresles    
mai 1935 mai 1945 François Hyronimus   Directeur d'usine
mai 1945 novembre 1946 Arthur Cloez    
novembre 1946 décembre 1956 Jean Astruc    
décembre 1956 mars 1977 Suzanne Burnod    
mars 1977 juillet 1980 Gérard Xavier    
juillet 1980 juin 1986 Christiane Josien    
juin 1986 mars 1989 Albert Bude    
mars 1989 mars 2001 Jean-Pierre Aunier    
mars 2001 novembre 2006 Élisabeth Grosshans   Agricultrice
novembre 2006 mai 2022 Marie-Claire Périni   Retraitée
mai 2022 En cours Pascal Otlinghaus[69]    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [70],[71].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de La Genevraye est assurée par le SIDASS de Moret Seine et Loing pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [72],[73],[74].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[75]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[72],[76].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEAU Moret Seine et Loing qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [72],[77],[78].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[79].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[80]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[81].

En 2021, la commune comptait 814 habitants[Note 11], en augmentation de 6,54 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
168141151195175206225237242
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
270262271216270244255331383
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
386401397403533540576592630
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
581541507507528579639632619
2015 2020 2021 - - - - - -
764809814------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[82] puis Insee à partir de 2006[83].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La Genevraye dispose d’une école élémentaire “Maurice Martin”, située 2 route de Montigny. Cet établissement public, inscrit sous le code UAI (Unité administrative immatriculée) : 0770760H, comprend 60 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[84].

Il ne dispose pas d’un restaurant scolaire.

La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, La Genevraye est en zone C.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 307, représentant 795 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 340 euros[85].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 170, occupant 395 actifs résidants.

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 76,4 % contre un taux de chômage de 6 %.

Les 17,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 6,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,8 % de retraités ou préretraités et 6 % pour les autres inactifs[86].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 63 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 1 dans l’industrie, 12 dans la construction, 35 dans le commerce-transports-services divers et 8 étaient relatifs au secteur administratif[87].

Ces établissements ont pourvu 106 postes salariés.

  • Entreprise la plus importante : Adisco-Daugeron et Fils.
  • Sablières (inexploitées), horticulture, pisciculture (à Grattereau).

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La Genevraye est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 12] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[88].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[89]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 5 en 1988 à 3 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 134 ha en 1988 à 98 ha en 2010[88]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Genevraye, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à La Genevraye entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[88],[Note 13]
Nombre d’exploitations (u) 5 6 3
Travail (UTA) 10 16 4
Surface agricole utilisée (ha) 670 606 293
Cultures[90]
Terres labourables (ha) 654 599 293
Céréales (ha) 512 465 s
dont blé tendre (ha) 259 243 s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 166 s s
Tournesol (ha) 59 19
Colza et navette (ha) 43 77 s
Élevage[88]
Cheptel (UGBTA[Note 14]) 11 1 12

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Architecture civile[modifier | modifier le code]

  • Château de la Tour
  • Château de Berville
  • Cité ouvrière de Cugny construite entre 1926 et 1927 par l'architecte Georges-Henri Pingusson pour le compte de la Société française des explosifs.
  • Canal du Loing (canal à petit gabarit)

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Rives du Loing, rives du canal du Loing (écluses de Berville et de Bordes), bois des Bauges, étangs et les marais.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

parti : au 1) mi parti de gueules à l'aigle d'argent armée et lampassée d'or, au 2) d'argent à la croix pattée au pied fiché de gueules et à la champagne d'azur chargée de trois fasces ondée du champ.

La signification du blason[modifier | modifier le code]

  • L'aigle de Pologne commémore le général polonais Kościuszko qui vécut à la fin du Premier Empire de 1807 à 1814 dans le Château de Berville.
  • La croix attachée rappelle la communauté templière du XIIIe siècle.
  • Les lignes ondulées bleues rappellent les trois rivières qui traversent la ville : le Loing, le Lunain et le canal Loing)[92].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « La Genevraye », p. 1141–1143.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Nature en attente de mise à jour.
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  9. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  10. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  12. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  14. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
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Références[modifier | modifier le code]

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