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Développement étrusque brouillon histoire[modifier | modifier le code]

La lecture des indices archéologiques, épigraphiques tels que la tablette au lion" à cursus typographique suggérant l'hospitalité envers les voisins étrangers à Rome[a] et littéraires antiques, suggèrent de manière significative que Rome, au tournant du VIIe siècle av. J.-C. est terre d'accueil des multiples peuples provenant de l'Italie centrale et méridionale[b], mais toutefois présentant une forte majorité ethnique d'origine étrusque[2],[3]. De surcroît , l'ensemble des fouilles effectuées sur le site tibérien, mettent en évidence la présence certaine d'un quartier entier situé sur la rive droite du Tibre, et dont l'architecture et les différents biens domestiques découverts procèdent d'un substrat étrusque : il s'agit du litus tuscus[4],[5],[6], ou encore du « ripa veiens »[c][7],[8]. Dans ce cadre, il est possible de définir une véritable

« gens étrusque, la gens « Ruma » qui aurait ainsi donné son patronyme à la ville »

— Jean-Marc Irollo, Histoire des étrusques, 2010, page 166[7].

,[9],[10],[11]. Par conséquent, dans ce cadre historique, un fait invasif étrusque sur la métropole romaine semble invalidé. En contre-point, la thèse d'une installation étrusque de nature pacifique pourrait être privilégiée[3],[10],[11],[1],[12],[13]



Au cours de la première moitié du VIIe siècle av. J.-C., le cadre historique et événementiel des étrusques se détermine essentiellement au travers de leur expansion territoriale et politique au sein de la plaine padane, au Nord, et des aires géographiques septentrionales de la Campanie, du Latium, et de l'Ombrie, au Sud. Outre la confédération des cités-états étrusques fondée dans le courant du VIIIe siècle av. J.-C., la civilisation étrusque administre donc deux nouveaux territoires : la dodécapole padane et la dodécapole méridionale. Les étrusques fondent ainsi telles que « Pyrgi », « Caiatia », [[Heba (Étrurie)|« Heba »], dans la partie étrusco-méridionale et métropoles telles que « Atria »[d], Cesena,Felsina, Forcello di Bagnolo San Vito et « Kaituna », dans la partie étrusco-padane. En parallèle de cet élément et au cours de cette même période, le pouvoir politique étrusque semble entretenir et cultiver des relations diplomatiques tempérées, voire sereines avec ses proche voisins romains[e] et italo-grecs, lesquelles sont sous-tendues par des échanges commerciaux et culturels pérennes et intensifs[16],[17]{{,}[7],[3].

Toutefois, la seconde moitié du VIe siècle av. J.-C., est marquée par une déteriation de ses rapports d'entente internationales et politiques[18],[19].

Fragments de terre cuite architectonique, fouilles de la Regia. Section épigraphique du musée des thermes de Dioclétien, Rome


  • André Magdelain, De la royauté et du droit de Romulus à Sabinus, Rome, L'Erma di Bretschneider, coll. « Saggi di storia antica » (no 8), , 220 p.
  • Paul M. Martin, L'idée de royauté à Rome. 1, De la Rome royale au consensus républicain, Clermont-Ferrand, Adosa, coll. « Miroir des civilisations antiques » (no 1), , XXV-410 p. (ISBN 2-86639-020-2)
  • (it) Mario Amelotti, Lineamenti di storia del diritto romano, Milan, A. Giuffrè, , 762 p. (ISBN 88-14-01823-5)
  • (it) Lorenzo Fascione, Il Mondo nuovo: La costituzione romana nella "storia di Roma arcaica" di Dionigi d'Alicarnasso, Naples, Jovene Ed., , 222 p.
  • Riccardo Orestano, I fatti di normazione nell'esperienza romana arcaica, Turin, G. Giappichelli, , 278 p.
  • (it) Giovanni Pugliese, avec la collaboration de Francesco Sitzia et Letizia Vacca, Istituzioni di diritto romano, Turin, G. Giappichelli, , 1015 p. (ISBN 88-348-0165-2)
  • (it) Giuseppe Valditara, Studi sul magister populi: dagli ausiliari militari del rex ai primi magistrati repubblicani, Milan, A. Giuffrè, coll. « Pubblicazioni dell'Istituto di Diritto Romano », , 435 p. (ISBN 88-14-01886-3)
  • Claude Nicolet, Rome et la conquête du monde méditerranéen 264–27 av. J.-C., Paris, PUF, coll. « Nouvelle Clio, l'Histoire et ses problèmes », , 10e éd. (1re éd. 1979), 462 p. (ISBN 2-13-051964-4)

[f][21].


Ce constat d'usure des relations diplomatiques entre les 2 états de l'Italie antique, se concrétiserait par une prise du pouvoir institutionnel romain par les étrusques aux environs de -650 et ce, jusqu'à la conclusion du VIe siècle [22]. De facto, les périodes de règnes étrusques sur Rome semblent relever de multiples incursions militaires issuent des cités-états de « Tarchna »[g][21],[19], de « Velx »[h],[24],[26], et dans une moindre mesure, Chuisi[27]. En contrepoint, il est difficile de prendre en compte des faits invasifs provenant de « Tarchna » ou de « Velx ». Dans un cadre purement géostratégique, les 2 métropoles étrusques ne possédant ni frontières communes, ni une tangible proximité spatiale, ce postulat semble que peu plausible. Toutefois, l'argument décisif, se matérialiserait autour d'un éventuel statut de condottieri[28],[1].


Au début des années -610, « Lucius Tarquinius Pricus Lucomnies » (dit Tarquin l'Ancien), vient s'installer à Rome afin d'y exercer un rôle politique de premier plan. L'ambitieux descendant d'une riche famille de nobles et commerçants étrusques, évolue promptement au sein de la scène politique romaine, laquelle est représentée par deux assemblées : la comices curiates[29],[30],[31]


  • Claude Nicolet, Rome et la conquête du monde méditerranéen 264–27 av. J.-C., Paris, PUF, coll. « Nouvelle Clio, l'Histoire et ses problèmes », , 10e éd. (1re éd. 1979), 462 p. (ISBN 2-13-051964-4)


d'une part, et comices calates, d'autre part[29]. Grâce à ses dons naturel d'orateur et de stratège politique, le noble étrusque parvient à préscrire et apposer son empreinte sur la jeune monarchie démocratique et ce, probablement au détriment du 4e souverain romain d'origine sabine, Ancus Marcius. Ouvrageant pour son accession au siège suprème, Tarquin l'ancien réunit derrière lui les forces militantes de la plèbe romaine et, tout en éloignant les descendants d'Ancus Marcius, se fait proroger roi de Rome par cooptation démocratique des deux comices, en -616 [32],[33]

Notes étrusques 2[modifier | modifier le code]

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Présence étrusque en Gaule méridionale : http://dam.revues.org/1881

Rosa Plana-Mallart, « La présence grecque et ses effets dans le Nord-Est de la péninsule Ibérique (viie – début du ive siècle av. n. è.) », Pallas, 89 | 2012, 157-178.

Référence électronique

Rosa Plana-Mallart, « La présence grecque et ses effets dans le Nord-Est de la péninsule Ibérique (viie – début du ive siècle av. n. è.) », Pallas [En ligne], 89 | 2012, mis en ligne le 10 mars 2014, consulté le 01 juillet 2016. URL : http://pallas.revues.org/802


Bouquin intégral : http://mefra.revues.org/691

  • Michel Bats, « Les Grecs de l’Extrême Occident : Les Phocéens, Marseille et la Gaule (VIIIe siècle av. J.-C. - IIIe siècle av. J.-C. s. av. J.-C.) », dans Laurianne Martinez-Sève (directrice d'ouvrage), Les diasporas grecques du VIIIe à la fin du IIIe siècle av. J.-C. : Actes du colloque de la SOPHAU, tenu à l’Université Charles-de-Gaulle, Lille 3 les 11 et 12 mai 2012 (Halma - Ipel - UMR 8164 / Lille 3 Learning Center archéologie - Égyptologie), vol. 89, Lille, Presses Universitaires du Mirail, (ISBN 978-2-8107-0226-8, lire en ligne), pages 145 à 156


Michel Bats, « Les Phocéens, Marseille et la Gaule (viie-iiie s. av. J.-C.) », Pallas, 89 | 2012, 145-156. Michel Bats, « Les Phocéens, Marseille et la Gaule (viie-iiie s. av. J.-C.) », Pallas [En ligne], 89 | 2012, mis en ligne le 10 mars 2014, consulté le 30 juin 2016. URL : http://pallas.revues.org/792


Gilles van Heems, « Dynamiques dialectales en périphérie : le cas d’Aléria », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité [En ligne], 124-2 | 2012, mis en ligne le 25 juillet 2013, consulté le 01 juillet 2016. URL : http://mefra.revues.org/853


https://books.google.fr/books?id=J7dI6SluaywC&pg=PA180&lpg=PA180&dq=cit%C3%A9+%C3%A9trusque+d'Arezzo&source=bl&ots=oMgdm2vMn8&sig=O4VhtaiePyKSfJrXlycTddsXQSg&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwirn5XirdHNAhXkBZoKHcCYDWwQ6AEIKTAG#v=onepage&q=cit%C3%A9%20%C3%A9trusque%20d'Arezzo&f=false

  • Jean Gran-Aymerich et Prayon Friedhelm, « Les fouilles franco-allemandes sur le site étrusque de la Castellina del Marangone, près Civitavecchia, Italie : Les campagnes de 1995 et 1996 », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 140, no 4,‎ , p. 1095 à 1129 (DOI 10.3406/crai.1996.15665, lire en ligne, consulté le )


Gran-Aymerich Jean, Prayon Friedhelm. Les fouilles franco-allemandes sur le site étrusque de la Castellina del Marangone, près Civitavecchia, Italie. Les campagnes de 1995 et 1996. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 140ᵉ année, N. 4, 1996. pp. 1095-1129.

DOI : 10.3406/crai.1996.15665

www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1996_num_140_4_15665

  • Paul Fontaine, « À propos des inscriptions « Śuθinα » sur la vaisselle métallique étrusque », Revue des Études Anciennes, vol. 97 (Vaisselle métallique, vaisselle céramique. Productions, usages et valeurs en Étrurie, sous la direction de Jean-René Jannot), nos 1 et 2,‎ , p. 201 à 216 (DOI 10.3406/rea.1995.4618, lire en ligne, consulté le )


Fontaine Paul. À propos des inscriptions Śuθinα sur la vaisselle métallique étrusque. In: Revue des Études Anciennes. Tome 97, 1995, n°1-2. Vaisselle métallique, vaisselle céramique. Productions, usages et valeurs en Étrurie, sous la direction de Jean-René Jannot. pp. 201-216.

DOI : 10.3406/rea.1995.4618

www.persee.fr/doc/rea_0035-2004_1995_num_97_1_4618


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(it) Dominique Briquel, « La questione delle origini etrusche nella Francia dell’Illuminismo : Le proposte de Nicolas Fréret », dans Vincenzo Bellelli, Stéphane Bourdin, Maria Paola Castiglioni et Paola Santoro, Origines : percorsi di ricerca sulle identità etniche nell'Italia antica : Identity problems in Early Italy : a workshop on methodology, vol. 126-2, Rome, Publications de l'École française de Rome, coll. « Varia - Regards croisés », (lire en ligne)

Dominique Briquel, « La questione delle origini etrusche nella Francia dell’Illuminismo », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité [En ligne], 126–2 | 2014, mis en ligne le 17 décembre 2014, consulté le 19 juin 2016. URL : http://mefra.revues.org/2296



Pierre-Paul Bonenfant et Jean-Paul Guillaumet, « État des recherches effectuées par les auteurs sur la sculpture préromaine en Europe », Documents d’archéologie méridionale [En ligne], 25 | 2002, mis en ligne le 06 octobre 2006, consulté le 19 juin 2016. URL : http://dam.revues.org/309


ISSN électronique 1955-2432


Gabriel Zuchtriegel, « An open-air sanctuary on an amphora by the Pittore delle Gru and the cult of Artemis in early Etruria », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité, 123-1 | 2011, 5-11.


Gabriel Zuchtriegel, « An open-air sanctuary on an amphora by the Pittore delle Gru and the cult of Artemis in early Etruria », Mélanges de l'École française de Rome - Antiquité [En ligne], 123-1 | 2011, mis en ligne le 04 juin 2013, consulté le 18 juin 2016. URL : http://mefra.revues.org/472

Brouillon Plan de structure article étrusques[modifier | modifier le code]

Bloc-note Candes-Saint-Martin[modifier | modifier le code]

Hydrographie : [1] ; pluviométrie et débit fluvial : [2] ou ; http://www.eptb-vienne.fr/IMG/pdf/Diag_territorial_BV_Vienne_Aval_VF310111_allege1.pdf| il y a matière ; pas mal du tout ceci ; peut-être quelque-chose par-là... ; détail crue 2010 ; toujours dans les crues ; moins sûr, mais jettes-y un coup d'œil ; hydrographie et environnement ; historique plutôt

Histoire[modifier | modifier le code]

étymologie[modifier | modifier le code]

Origines et ethnogenèse[modifier | modifier le code]

L'histoire des étrusques avant la Fondation de Rome[modifier | modifier le code]

L'histoire des étrusques après la Fondation de Rome[modifier | modifier le code]

Période monarchique[modifier | modifier le code]

==== Période républicaine ==== ;;

éléments géographiques[modifier | modifier le code]

Territoire[modifier | modifier le code]

Cités-états[modifier | modifier le code]

Comptoirs[modifier | modifier le code]

= Péninsule ibérique[modifier | modifier le code]

= Gaule méditerranéenne[modifier | modifier le code]

Italie méridionale[modifier | modifier le code]

Îles méditéranéennes[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

Politique[modifier | modifier le code]

Religion[modifier | modifier le code]

= Philosophie religieuse[modifier | modifier le code]

Panthéon[modifier | modifier le code]

Rites funéraire[modifier | modifier le code]

Jeux et sport[modifier | modifier le code]

Arts[modifier | modifier le code]

Diffusion de la culture étrusque[modifier | modifier le code]

économie[modifier | modifier le code]

Industrie et artisanat[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Numismatique[modifier | modifier le code]

Héritage[modifier | modifier le code]

Empire Romain[modifier | modifier le code]

Moyen-âge italien[modifier | modifier le code]

Renaissance italienne[modifier | modifier le code]

époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Hypothèses encore d'actualité[modifier | modifier le code]

Muséographie[modifier | modifier le code]

thnogé
Femme étrusque (Terracotta)

Brouillon infra-réf-source Tolumnii[modifier | modifier le code]


la dynastie des « Tolumnii »[i]

[j]

Brouillon carte Tombe à char du monde celtique : Gros plan sur les sites hallstattiens moyens et ancien/C et D, laténiens anciens, moyens et récents/A, B et C et du Haut-Empire gallo-romain[modifier | modifier le code]

La carte qui suit représente les principaux sites archéologiques du Hallstatt moyen et final/C et D et laténiens et haut-empire romain présentant des sépultures dites à char et de culture celtique en Gallia comata et Gallia belgica[k]'[l]'[m],[n],[o],[p],[q]

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Ville

Bernard Lambot et Patrice Méniel, « La tombe à chars d'Évergnicourt (Aisne) : Le Tournant du Chêne », Revue archéologique de Picardie, vol. 22, no 1,‎ , p. 327 à 354 (DOI 10.3406/pica.2005.2737, lire en ligne, consulté le )

Lambot Bernard, Méniel Patrice. La tombe à chars d'Évergnicourt (Aisne), "Le Tournant du Chêne". In: Revue archéologique de Picardie. Numéro spécial 22, 2005. Hommages à Claudine Pommepuy. pp. 327-354.

DOI : 10.3406/pica.2005.2737

[3]

Raepsaet Georges. Franck PERRIN et Martin SCHÖNFELDER (Dir.), La tombe à char de Verna (Isère) : témoignage de l'aristocratie celtique en territoire allobroge. . In: L'antiquité classique, Tome 74, 2005. pp. 659-660.

[4]

La Côte-Saint-André longitude = 5.26138888889 | latitude = 45.3944444444

Légendes :

  1. Les principaux sites de tombes à char celtes du hallstatt moyen et final/C et D sont représentés par les triangles rouges.
  2. Les principaux sites de tombes à char celtes du laténien ancien, moyen et récent/A, B et C sont représentés par des points ocre/jaune.
  3. Les principaux sites de tombes à char celtes du haut-empire romain du sont représentés par des points rouges.

brouillon infobox et biblio char de Monteleone di Spoletto[modifier | modifier le code]

Char de Monteleone
Char dit de Monteleone vu de face, ici exposé à la galerie 170 du M.E.T. de New-York[r]
Char dit de Monteleone vu de face, ici exposé à la galerie 170 du M.E.T. de New-York[r]
Type char funéraire et d'apparat[68]
Dimensions 130,9 cm (longueur) x 51 cm (hauteur) x 209 cm (largeur)
Inventaire numéro 03.23.1[68]
Matériau bronze laminé ; ivoire ; bois
Méthode de fabrication sculpture en bas-relief ; cerclage ; laminage
Fonction artéfact à vocation funéraire
Période époque étrusco-archaïque ; 2(nd) quart du VIe siècle av. J.-C. (entre -575 et -550)
Culture faciès archéo-culturel étrusque
Date de découverte 1902
Lieu de découverte sépulture de Monteleone di Spoleto, agglomération de Spoleto, province de Pérouse, région de l'Ombrie
Coordonnées 42° 39′ 00″ nord, 12° 57′ 00″ est
Conservation M.E.T. de New-York
Signe particulier Il s'agit du plus imposant artéfact archéologique étrusque confectionné en bronze mis au jour
Fiche descriptive références techniques et muséographiques du M.E.T. de New-York[68]
Géolocalisation sur la carte : Pérouse
Géolocalisation sur la carte : Ombrie
Géolocalisation sur la carte : Italie
  • Mireille Cébeillac-Gervasoni (dir.) et Laurent Lamoine, Les élites et leurs facettes : les élites locales dans le monde hellénistique et romain, Presses Universitaires Blaise Pascal, , 792 p. (lire en ligne), pages 606 à 610
  • Philippe De Montebello, The Metropolitan Museum of Art Guide, New York, N.Y., Metropolitan Museum of Art, , 470 p. (lire en ligne), page 68
  • (en) Richard Daniel De Puma, Etruscan Art in the Metropolitan Museum of Art, New York, N.Y., Metropolitan Museum of Art, , 336 p. (lire en ligne), pages 46 à 52
  • (en) Otto Brendel et Francesca R. Serra Ridgway, « The Monteleone di Spoleto tomb group : colle del capitano », dans Otto Brendel, Francesca R. Serra Ridgway, Etruscan Art, vol. 42, New-York, Yale University Press, , 535 p. (lire en ligne), pages 46 à 95
  • Adriana Emiliozi, The Etruscan Chariot from Monteleone di Spoleto, Metropolitan Museum Journal, , 132 p. (lire en ligne)

Gros plan tombe à char région champagne-ardennes[modifier | modifier le code]

La carte qui suit représente les principaux sites archéologiques du Hallstatt moyen et final/C et D et laténiens et haut-empire romain présentant des sépultures dites à char et de culture celtique localisés dans le Nord-Est de la Gallia comata[s]'[t]'[u]'[v],[w],[x],[y],[z]

Essai Catégorie:Peuples celtes d'Italie[modifier | modifier le code]

Cette catégorie regroupe les articles portant sur les peuples celtes de l'Italie.

Catégorie:Peuple celte Catégorie:Histoire de l'Italie Catégorie:Peuple de la Rome antique

Essai Palette:Civilisation de Golasecca[modifier | modifier le code]

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Civilisation de Golasecca


Essai palette tombe à char[modifier | modifier le code]

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Civilisation de Golasecca


Notes étrusques 4[modifier | modifier le code]

[77],[78]

Dominique Briquel, « Philologie italique et latine », Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques, 144 | 2013, 67-72.

Référence électronique

Dominique Briquel, « Philologie italique et latine », Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques [En ligne], 144 | 2013, mis en ligne le 22 octobre 2014, consulté le 14 juillet 2016. URL : http://ashp.revues.org/1467


Small Marble Head LACMA 47.16
Etruscan - Pair of Feet - Walters 23161
Marble Bust LACMA 49.14.1
Etruskische Statue Priapus
Relief woman girl Musei Capitolini MC2176
Sarcophage au voyage
Cippo funerario
Calcarénite étrusque

[79],


[80],[81]

Contributeur : Stefano Camporeale <stefano.camporeale@gmail.com>
Soumis le : mardi 10 juillet 2012 - 17:11:03
Dernière modification le : lundi 28 septembre 2015 - 14:06:34
  • Compatangelo-Soussignan Rita. Modalités de la romanisation en Italie méridionale : fondations coloniales, structures portuaires et commerce maritime au début du IIe s. av. n. è. In: Histoire, espaces et marges de l'Antiquité : hommages à Monique Clavel-Lévêque. Tome 2. Besançon : Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, 2003. pp. 255-290. (Collection « ISTA », 899)

www.persee.fr/doc/ista_0000-0000_2003_ant_899_1_2001

Karageorghis Vassos. Chronique des fouilles et découvertes archéologiques à Chypre en 1986. In
Bulletin de correspondance hellénique. Volume 111, livraison 2, 1987. pp. 663-733.

www.persee.fr/doc/bch_0007-4217_1987_num_111_2_6813

  • Pallas, 50/1999. Mélanges C. Domergue 2.

www.persee.fr/issue/palla_0031-0387_1999_num_50_1

  • Vallet Georges, Villard François, Auberson Paul. Mégara Hyblaea. 1. Le quartier de l'agora archaïque. Texte et illustrations. Rome : École Française de Rome, 1976. 730 p. (Publications de l'École française de Rome, 1)

www.persee.fr/doc/efr_0000-0000_1976_arc_1_1

  • Coastal archaeology in north Etruria [North Coastal Etruria. Géomorphologie, archaeological, archive, magnetometric and geoelectrical researches ]

[Article]

North Coastal Etruria. Géomorphologie, archaeological, archive, magnetometric and geoelectrical researches

M. Pasquinuccisem-linksem-link S. Menchellisem-linksem-link R. Mazzantisem-linksem-link M. Marchisiosem-linksem-link L. D 'Onofriosem-linksem-link

/  Revue d'Archéométrie   /  Year 2001   /  Volume 25   /  Issue 1    /  pp. 187-201  


Abstracts

Bibliographical reference 


Pasquinucci Marinella, Menchelli Simonetta, Mazzanti Renzo, Marchisio Mario, D 'Onofrio Laurent. Coastal archaeology in north Etruria [North Coastal Etruria. Géomorphologie, archaeological, archive, magnetometric and geoelectrical researches ]. In: Revue d'Archéométrie, n°25, 2001. pp. 187-201.

DOI : 10.3406/arsci.2001.1014

www.persee.fr/doc/arsci_0399-1237_2001_num_25_1_1014

Marbre étrusque

Laurent Hugot, « La Grèce et l’Étrurie dans l’Ouest de la France », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, 115-2 | 2008, 107-120.

Référence électronique

Laurent Hugot, « La Grèce et l’Étrurie dans l’Ouest de la France », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest [En ligne], 115-2 | 2008, mis en ligne le 30 juin 2010, consulté le 11 juillet 2016. URL : http://abpo.revues.org/334 ; DOI : 10.4000/abpo.334

Magali Cabarrou, Christian Darles et Pierre Pisani, « Essai de description d’un bâtiment des eaux de Toscane, l’édifice mystérieux de Pietratonda (Gr) », Pallas, 90 | 2013, 389-403.

Référence électronique

Magali Cabarrou, Christian Darles et Pierre Pisani, « Essai de description d’un bâtiment des eaux de Toscane, l’édifice mystérieux de Pietratonda (Gr) », Pallas [En ligne], 90 | 2013, mis en ligne le 13 mars 2014, consulté le 11 juillet 2016. URL : http://pallas.revues.org/1099

Référence électronique

Suzanne Tassinari, « Digressions autour de vases domestiques en bronze », in Martine Denoyelle, Sophie Descamps-Lequime, Benoît Mille et Stéphane Verger (dir.), « Bronzes grecs et romains, recherches récentes » — Hommage à Claude Rolley, INHA (« Actes de colloques »), 2012, [En ligne], mis en ligne le 04 juillet 2016, consulté le 11 juillet 2016. URL : http://inha.revues.org/4028

Ariane Villemaux, « Les tombeaux étrusques de l’Ouest de la France », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, 115-2 | 2008, 121-130.

Référence électronique

Ariane Villemaux, « Les tombeaux étrusques de l’Ouest de la France », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest [En ligne], 115-2 | 2008, mis en ligne le 30 juin 2010, consulté le 11 juillet 2016. URL : http://abpo.revues.org/336 ; DOI : 10.4000/abpo.336

essai épigraphe de Prestino[modifier | modifier le code]

Inscription du Gradin de Prestino
Épigraphe en écriture Lépontique issue d'un architectural proto-historique du faubourg de Prestino, agglomération de Côme, en Lombardie.
Épigraphe en écriture Lépontique issue d'un architectural proto-historique du faubourg de Prestino, agglomération de Côme, en Lombardie.
Type Épigraphie / Inscriptions lapidaires
Dimensions 18 centimètres ( épaisseur ) x 380 centimètres ( longueur ) x 33 centimètres ( largeur )
Inventaire 8777
Matériau Linteau de pierre Calcaire
Méthode de fabrication Sculpture par intaille
Fonction Stèle dédicacée
Période Ve siècle av. J.-C.
Culture Culture de Golasecca
Date de découverte 1966 ( lors d'un sauvetage effectué à Lugano, près de Côme
Lieu de découverte Prestino di Como, agglomération de Côme, en Lombardie, Italie
Coordonnées 45° 49′ 00″ nord, 9° 05′ 00″ est
Conservation Musée Civique Archéologique Paolo Giovio, à Côme[82],[83],[84]
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1

Découverte du stego[modifier | modifier le code]

Lieu de la découverte[modifier | modifier le code]


Historique de la découverte[modifier | modifier le code]

À la fin des années 1990 / années 2000, en 1997, un calendrier de programmation de recherches et de fouilles paléontologiques est lancé à l'initiative conjointe des Hautes Écoles Universitaires d'Histoire naturelle des États-Unis et de l'Indonésie. Ce programme avait pour objet l'étude de période géologique du plio-quaternaire inférieur à moyen dans le Sud-Est asiatique, et tout particulièrement au sein des Petites îles indonésiennes de la Sonde orientales. Deux équipes de paléontologistes mettent en œuvre ces travaux : la première sous la direction de Mike Morwood, et la seconde sous le chapeautage conjoint de Gert van den Beert et Paul Sonaar[85],[86],[87],[88],[89].

Les options de recherches de terrain s'orientent essentiellement sur des structures cavernicoles subvolcaniques, dont notamment le complexe spéléologique de Liang Bua, située dans l'Ouest de l'île de Florès[90].

Après quelques déblaiement de surface réalisés à la brosse et au pinceau, les scientifiques parviennent à extraire des vestiges fossilisés de type osseux. Ces derniers étaient incorporés au sein des premières couches sédimentaires de la caverne de Liang Bua. Par le biais d'analyses morphologiques et anatomiques, les paléontologistes identifient les restes squelettiques du spécimen comme appartenant l'ordre des Elephantidae[91],[92].

famille des Stegodontidae  Stegodon trigonocephalus florensis[N 2],[88],[92],[90],[N 3]. L'individu paléontologique était incorporé aux premières couches stratigraphiques de la Grotte de Liang Bua[86],[93],[94],[90]. Par l'obtention d'une analyse au (14C), les deux équipes de chercheurs indexent les restes osseux[N 4] du pachyderme nain[N 5],[95],[96] dans une fourchette chronologique comprise entre −75 000 et −30 000[86],[85],[97],[92],[90],[88]. Par conséquent, on détermine que ce dernier aurait vécu à la subdivision chrono-géologique du pléistocène supérieur[88],[98],[86],[85],[97],[94],[99],[92],[90].

Études, analyses et taxonomie[modifier | modifier le code]

Les études phylogénétiques effectuées sur l'individu fossilisé, révèlent que ce dernier appartient à la famille des Stegodontidae. Par ailleurs, les chercheurs déterminent que celui-ci présente les caractéristiques phénotypiques des espèces du genre biologique des Stegodons. Compte-tenu des spécificités morphologiques du Stegodon de Liang Bua, on atteste que ce type d''espèce biologique n'avait été, jusqu'alors, non-repertoriée. En biais de ce nouvel élément, les scientifiques s'accordent consensus omnium pour définir le nom scientifique[N 6] du spécimen holotype par les termes : Stegodon trigonocephalus florensis,[88],[92],[100],[101],name="vandenbergh25">Van den Bergh Awe Due, p. 25</ref>.


,(en) G.D. Van Den Bergh, Rokhus Due Awe et al., « Insularity and its Effects : The youngest stegodon remains in Southeast Asia from the Late Pleistocene archaeological site Liang Bua, Flores, Indonesia », Quaternary international, vol. 182,‎ , p. 18-46 (DOI 10.1016/j.quaint.2007.02.001, lire en ligne, consulté le ).</ref>,[N 7]. L'individu paléontologique était incorporé aux premières couches stratigraphiques de la Grotte de Liang Bua[86],[93],[94],[90]. Par l'obtention d'une analyse au (14C), les deux équipes de chercheurs indexent les restes osseux[N 8] du pachyderme nainErreur de référence : Balise fermante </ref> manquante pour la balise <ref>,[96] dans une fourchette chronologique comprise entre −75 000 et −30 000[86],[85],[97],[92],[90],[88]. Par conséquent, on détermine que ce dernier aurait vécu à la subdivision chrono-géologique du pléistocène supérieur[88],[102],[86],[85],[97],[94],[99],[92],[90].

Essais Stégo oriental et Lepto robuste[modifier | modifier le code]

Stego oriental[modifier | modifier le code]

Essai taxobox intro, plan et sources : Marabout robustus / Leptoptilos robustus[modifier | modifier le code]

Leptoptilos orientalis



Essais "Je suis Bruxelles"[modifier | modifier le code]

Essais cartes Europe/Points[modifier | modifier le code]

Carte de l'île de Florès : la Grotte Liang Bua et les trois volcans qui l'encadrent
a


Essai multi-infobox sites archéo, grotte, patrimoine, grotte, etc...[modifier | modifier le code]

Oppida celtes
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Un oppidum celte typique datant du Ier siècle av. J.-C..
Localisation
Pays Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, Croatie, France, Espagne, Hongrie, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, République Tchèque, Suisse.
Europe Europe Celtique
Superficie Varie de 4 hectares à plus de 100 hectares
Histoire
Époque Hallstatt D et période Laténienne.

Essai multi-infobox Tombe à char[modifier | modifier le code]

Tombe à char du monde celtique
Sépulture à char
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Exemple type d'une tombe à char : sépulture princière de Vix, mise au jour au sein du site de l'oppidum du Mont Lassois dans la commune éponyme de Vix en Côte-d'Or, datant du VIe siècle av. J.-C..
Localisation
Pays Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, Croatie, France, Hongrie, Italie, Luxembourg, Pologne (essentiellement les régions de Basse-Silésie et Voïvodie d'Opole), République tchèque, Slovaquie, Suisse.
Europe Civitates celtes
Histoire
Époque Hallstatt D et période Laténienne et début de la période romaine
Tombe à char du monde celtique
Description de cette image, également commentée ci-après
Sépulture à char de Châlons-en-Champagne, mise au jour en 1890 par Albert Poinchy de Richebourg et comportant un char gaulois de type laténien A1/A2, ainsi que deux ensembles complets, l'un guerrier, et l'autre destiné à un équidé[N 9]'[103],[104],[105]. La tombe champenoise est attribuée au Ve siècle av. J.-C. ( entre -475 et -425)[106],[105].
Définition
Auteur Historiens et archéologues français, belges et allemands
Caractéristiques
Répartition géographique Europe celtique
Période Âge du fer celtique et début de l'empire romain (Ier siècle av. J.-C. - IIIe siècle)
Chronologie VIIIe siècle av. J.-C. / Ier siècle av. J.-C.
Type humain associé Celtes et romano-celtes
Tendance climatique Tempéré : continental à océanique et méditerranéen
Signe particulier Accroissement exponentiel du nombre de sépultures dites à char à partir du VIe siècle av. J.-C.
Description de l'image Hallstatt LaTene.png.

Subdivisions

Hallstatt moyen et final/C et D ; La Tène A ; La Tène B ; La Tène C ; début de la période romaine

Objets typiques

char de guerre, d'apparat et de rituel religieux ; harnachement d'équidés (selle, mors, étriers, bride à cheval, baudrier, harnais et différents enrênements) ; kiné ; éléments de vaissellerie ; artéfacts ouvragés de bronze ; οἰνοχόη / oinokhóê ; urne et ciste cinéraire ; tumulus de pierre brute et de terre.


Plan de l'oppidum Triguères.

{{Multi-infobox

Grotte de Ban Fa Suai
Tham Ban Fa Suai ; soit en Thaï : ได้ แต่พิจารณาตรวจสอบผลการค้นหาด้านล่างเพื่อดูว่ามีหัวข้อนี้เขียนขึ้นแล้วหรือยัง
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Massif de Chiang Dao ou ผาสองฤดู.
Localisation
Pays Drapeau de la Thaïlande Thaïlande
Province de Chiang Mai ou Changwat de Chiang Mai Province de Chiang Mai
Indochine Indochine
Protection site archéologique
Coordonnées 19° 24′ 06″ nord, 98° 49′ 26″ est
Altitude 915,2 m
Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
(Voir situation sur carte : Thaïlande)
Grotte de Ban Fa Suai
Grotte de Ban Fa Suai
Géolocalisation sur la carte : Monde
(Voir situation sur carte : Monde)
Grotte de Ban Fa Suai
Grotte de Ban Fa Suai
Internet
Site web http://mapcarta.com/27914148

{{Infobox Grotte

| nom              = Grotte de Ban Fa Suai
| image            = ผาสองฤดู.jpg
| légende = Montagnes de Chiang Dao
| latitude         = 19.4018
| longitude        = 98.8239
| pays             = Thaïlande
| région           = Province de Chiang Mai
| lien région      = Province de Chiang Mai
| subdivision      = Mae Daeng
| lien subdivision = Mae Daeng
| massif           = [[Doi Chiang Dao]
| vallée           = 
| localité         = Ban Fa Suai
| voie             = 
| altitude         = 915.2
| longueur         = 50 mètres
| âge              = Oligocène final - miocène moyen
| type             = Site paléontologique
| déco             = 
| température      = 
| rivière          = 
| occupation       = Rhinocéros laineux
| protection       = Patrimoine classé
| géolocalisation  = Thaïlande

}} }}

Asia laea relief location carte


Monts Chiang Dao

Brouillon montagne[modifier | modifier le code]

Pyrénées
Carte des Pyrénées.
Carte des Pyrénées.
Géographie
Altitude 3 404 m, Aneto
Longueur 430 km
Largeur 150 km
Superficie 19 000 km2
Administration
Pays Drapeau de la France France
Drapeau de l'Espagne Espagne
Drapeau d'Andorre Andorre
Régions
Communautés autonomes
Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées et Aquitaine
Catalogne, Aragon, Navarre et Pays basque
Géologie
Âge Éocène (env. 40 Ma)
Roches Roches métamorphiques et sédimentaires

Brouillon carte en coin[modifier | modifier le code]


Brouillon légende de carte[modifier | modifier le code]

1000 km
1:76 833 000
Capitale nationale
Capitale fédérale
Ville importante

celtes et des pôles d'exportations en relations avec le territoire golaseccien[modifier | modifier le code]


Légendes :

  • Les principaux sites celtes sont représentés par les triangles rouges ;
  • Les 3 pôles exportateurs outre-celtiques[N 11] sont symbolisés par les points de couleur ocre/jaune.

Brouillon monument ou site[modifier | modifier le code]

Grotte de Khao Luang
en thaï : ไแต่พิจารณาตรวจสอบผลการค้นหาด้านล่างเพื่อดูว่ามีหัวข้อนี้เขียนขึ้นแล้วหรือยัง
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
La Grotte de Khao Luang
Localisation
Pays Drapeau de la Thaïlande Thaïlande
Nakhon Si Thammarat Province de Nakhon Si Thammarat
Asie-Pacifique Asie-Pacifique
Coordonnées 8° 29′ 39″ nord, 99° 43′ 48″ est
Altitude 1 835 m
Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
(Voir situation sur carte : Thaïlande)
Grotte de Khao Luang
Grotte de Khao Luang

Temple de Khao Luang
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Temple bouddique de Khao Luang
Présentation
Culte Bouddha
Géographie
Pays Drapeau de la Thaïlande Thaïlande
Coordonnées 8° 29′ 39″ nord, 99° 43′ 48″ est
Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
(Voir situation sur carte : Thaïlande)
Temple de Khao Luang

Grotte de Khao Luang
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
La Grotte de Khao Luang]]
Localisation
Pays Drapeau de la Thaïlande Thaïlande
Nakhon Si Thammarat Province de Nakhon Si Thammarat
Coordonnées 8° 29′ 39″ nord, 99° 43′ 48″ est
Altitude 1 835 m
Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
(Voir situation sur carte : Thaïlande)
Grotte de Khao Luang
Grotte de Khao Luang

thumb|center|Sur la carte

Caractères spéciaux ( utilisation wiki pour articles wiki via interface portable mobile )[modifier | modifier le code]

  • caractères spéciaux æ Æ à À â  ä Ä á Á · ç Ç · € é É è È ê Ê ë Ë · î Î ï Ï í Í · œ Œ ô Ô ö Ö ó Ó · ù Ù û Û ü Ü ú Ú · ÿ Ÿ · « » {{subst:}} {{}} {{|}} [[]] [[|]] [] “” · — – → • ’ | … ~ ± # @ ¹ ² ³ ⁴ ⁵ ⁶ ⁷ ⁸ ⁹ ⁰ ½



  • symboles mathématiques : ≠ ≤ ≥ < > ≡ ≈ ≅ ∝ · − × ÷ ± ⊥ ⊕ ⊗ ∗ · … ¼ ½ ¾ ¹ ² ³ ° ‰ · ∂ ∫ ∑ ∞ ∏ √ ∇ · ← → ↔ ⇐ ⇒ ⇔ · ⌈ ⌉ ⌊ ⌋ · ¬ ∧ ∨ ∃ ∀ · ∈ ∉ ∋ ∅ ⊆ ⊇ ⊃ ⊂ ⊄ ∪ ∩ ℵ
  • formules mathématiques et diactriques : ^{} _{} \sqrt[]{} \frac{}{} \int_{}^{} \lim_{\rightarrow} \sum_{=}^{}

\sin{} \cos{} \tan{} · \cot{} \sec{} \csc{} · \exp{} \ln{} \log{} · \sinh{} \cosh{} \tanh{} \coth{} · \arcsin{} \arccos{} \arctan{}

\acute{} \breve{} \check{} \grave{} \tilde{}


Essais infobox artefact[modifier | modifier le code]

1[modifier | modifier le code]

Statue de Casa Nocera
Statue B de Casa Nocera, à Casale Marittimo, en Toscane
Statue B de Casa Nocera, à Casale Marittimo, en Toscane
Type Sculpture anthropomorphe
Matériau calcaire à grain fin
Méthode de fabrication ronde-bosse
Fonction funéraire
Période fin du VIIIe siècle av. J.-C. / début du VIIe siècle av. J.-C..
Culture Étrusques
Lieu de découverte Casale Marittimo
Coordonnées 43° 18′ 00″ nord, 10° 37′ 00″ est
Géolocalisation sur la carte : Italie
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1

Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Période
Culture
Lieu de découverte
Coordonnées 43° 18′ 00″ nord, 10° 37′ 00″ est
Géolocalisation sur la carte : Italie
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1

Carte points géolocalisation sites de la Culture de Golasecca en Lombardie[modifier | modifier le code]

Italy Lombardy location map
Carte des différents sites archéologiques de la Culture de Golasecca.

[112]

Carte géoloc musées Joanneum[modifier | modifier le code]

Italy Lombardy location map
Carte des différents sites des établissements muséographiques de Joanneum

Brouillon d'essai contrat avec contributeur WP[modifier | modifier le code]

Bonjour, je viens ici pour mettre un terme définitif à notre différent. Avec ton aide, je souhaite parvenir à un consensus qui nous permettent l'un et l'autre d'envisager une collaboration positive et un travail constructif. Ces derniers tes multiples modifications quasi-systématiques sur mes propres contributions, y compris des pages WP sur lesquelles tu n'avais jamais été auparavent ([5] ; [6] ; [7] ; [8] ; [9] ; [10] ; [11] ; [12] ; [13] ; [14] ; [15] ; [16] ; [17] ; [18] ; [19] ; [20] ; [21] ; [22] ; [23] ; [24] ; [25] ; [26] ; [27] ; etc...). À ce titre, je me sens particulièrement visé et incidemment, démotivé. J'ai été, de mon côté, relativement consensuel, en écoutant, puis en appliquant à maintes reprises tes remarques sur les recommandations en modèle harvsp, par exemple. Apparemment, cela n'a pas été suffisant. Si tu penses que je n'ai pas ma place sur WP, en raison d'un mauvais travail de ma part, autant me l'annoncer tout de suite. Si il y a d'autres raisons (et à priori, je ne vois pas lesquelles), évoques-les maintenant. Je joue franc-jeu, et j'attends de toi la même chose. Il me sera impossible d'entreprendre seul une telle coopération : il s'agit donc d'un contrat sur l'avenir sur lequel je demande ton aval. Dans cette même optique, je te propose l'intervention de Racconish, afin que ce contrat soit positif et concrêt pour l'un, comme pour l'autre. C'est donnant-donnant. Cordialement,--signature.

Brouillon d:essai B.U. Je suis Bruxelles[modifier | modifier le code]

Vue panoramique de la Grande Place de Bruxelles.
Vue panoramique nocturne de la Grande Place de l'Hotel de la Monnaie, à Bruxelles.
Grande Place de l'Hotel de la Monnaie en lumière, à Bruxelles.
Grand place de l'Hotel de la Monnaie, à Bruxelles.


Essai Ca'Morta/Sites Celtes[modifier | modifier le code]


Infobox hallstatt[modifier | modifier le code]

Civilisation de Hallstatt
Description de cette image, également commentée ci-après
Torque ouvragé en or massif daté du début du Ve siècle av. J.-C. ( -480 ). Le collier d'apparat provient de la tombe de Vix de type dit tombe à char, mise au jour au sein de l'actuelle ville éponyme de Vix, département de la Côte d'Or, en Bourgogne-Franche-Comté. Cet artéfact est un objet d'artisanat typique de la civilisation celte hallstatto-laténienne.
Définition
Autres noms Culture hallstattienne : période chronologique propre à la civilisation celte
Lieu éponyme Site archéologique de la ville de Hallstatt dans le Landër de Salzkammergut, en Autriche.
Auteur L'historien et archéologue suédois Hans Olof Hildebrand.
Caractéristiques
Répartition géographique L'aire géographique hallstattienne couvre un espace allant de Avaricum à l'Ouest jusqu'aux contreforts des Carpates à l'Est et de la Bavière septentrionale au Nord, jusqu'aux chaînes préalpines suisses, au Sud.
Période 1er Âge du fer
Chronologie Fin du XIIe siècle av. J.-C. / fin du Ve siècle av. J.-C.
Type humain associé Civitas celtes
Tendance climatique Tempéré de types océanique et continental
Signe particulier L'ère de la civilisation hallstattienne prend fin tandis que l'ère chronologique de La Tène ( second âge du fer débute ).
Description de l'image Hallstatt culture.png.

Subdivisions

Hallstatt A, Ha B, Ha C et Ha D

Objets typiques

Torque ; char celto-hallstattien ; casque de Negau ; poignard à antennes

Infobox civilisation égéenne[modifier | modifier le code]

Civilisation Égéenne
Description de cette image, également commentée ci-après
Ruines de la cité protohistorique d'Akrotiri, sur l'île grecque de Santorin, attribuées à l'Âge du bronze en mer Égée
Définition
Autres noms Âge du bronze égéen
Lieu éponyme Mer Égée
Caractéristiques
Répartition géographique Côtes et îles de la Mer Égée, Grèce continentale
Période Âge du bronze
Chronologie Du XXXIIe siècle av. J.-C. au XIe siècle av. J.-C. ( −3 200 à -1100 )
Type humain associé Grecs
Tendance climatique Climat méditerranéen
Description de l'image Aegean Sea map-fr.svg.

Subdivisions

Civilisation des Cyclades / Civilisation Minnoienne / Civilisation Mycénienne

golac[modifier | modifier le code]

Culture de Golasecca
Description de cette image, également commentée ci-après
Extrémité du garde-corps latéral droit du char de guerre. Élement en bronze fusionné et laminé de sytillistique typiquement étrusque. Cette pièce assignée à la période GIIA. L'artéfact est actuellement conservé et exposé au Musée Archéologique de la Villa Mirabello, à Varèse, en Lombardie.
Définition
Autres noms Période chronologique protohistorique de tribus celtes d'Italie médio-septentrional
Lieu éponyme Le site archéologique de Golasecca, dans la province de Varese, en Lombardie, Italie, inauguré par l'Abbé Giovanni Batista Gianni en 1822.
Auteur L'Abbé Giovanni Batista Giani[113], l'archéologue Gabriel de Mortillet[114],[115],[116] et l'archéologue et ancien directeur du Musée national d'archéologie Alexandre Bertrand[117].
Caractéristiques
Répartition géographique Aire spatiale recouvrant l'actuelle Lombardie, l'Est du Piémont, le canton du Tessin en Suisse et la Vénétie occidentale
Période IXe siècle av. J.-C. / milieu du IVe siècle av. J.-C.
Chronologie G I / G II / G III
Type humain associé Les celtes d'Italie médio-septentrionaux
Tendance climatique Tempéré à caractère montagnard
Signe particulier L'ère dite de Golasecca commence à partir des premières migrations celtes en Italie du Nord vers -850 et se conclut avec le début des premières vagues d'invasions gauloises de la plaine du Pô, vers -375[118],[119].
Description de cette image, également commentée ci-après

Subdivisions

G IA ; G IB / G IIA ; G IIB ; GIIC / G IIIA ; G IIIB ; G IIIC

Objets typiques

Casque de Negau, char de type hallstattien, épée courte dite à antennes celte, fibules en bronze d'importation étrusque, vase dit de Schnabelkanne, ciste dite à cordons, kyatos, en bronze, divers objets de vaissellerie d'importation étrusque, italique, et grecque.

Refs en mode Harvard[modifier | modifier le code]

  • Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[120] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[111]; l'ouvrage Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au e ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells de Ruth et Vincent Megaw[121],[122] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Age du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [123]

,[124],[125] ; et enfin, selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[126] :

Brouillon d'essai tableau récap chrono europe hallstatt[modifier | modifier le code]

  • Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[120] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[111],[127] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Age du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [123] ; et enfin selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[128] :
Système de datation archéologique de l'Europe Chronologie Évènements en Europe Monde hellénistique Monde italique - etétrusque Monde celtique
Celtes d'Allemagne du Sud Celtes de la Gallia comata/Gaulois Celtes d'Europe de l'Est Celtes golasecciens / Italie du Nord-Ouest
-1300 - -1200 av. J..C. Civilisation mycénienne Helladique récent IIIC Culture de Terramare Hallstatt A1 Bronze final IIA Hallstatt A1 Culture de Canegrate
-1200 - 1100 av. J.C. / XIIe siècle av. J.-C. EV2 Culture submycénienne Proto-villanovien Hallstatt A2 Bronze final IIB Hallstatt A2 Culture de Canegrate
-1100 - -1000 av. J.C / XIe siècle av. J.-C. Linéaire A Culture protogéométrique Proto-villanovien Hallstatt B1 Bronze final IIB Hallstatt B1 Proto-golasseccien
-1000 - -900 av. J.C.
Migration celtes Période géométrique Villanovien I Hallstatt B2/B3 Bronze final IIIB Hallstatt B2/B3 Proto-golasseccien
-900 - -800 av. J.C. /
Fondation de Carthage -814 avant J.C. Géométrique récent Villanovien I Hallstatt C Hallstatt ancien Hallstatt C Golassecca IA
-800 - -700 av. J.C. /
Fondation de Rome -753 avant J.C. Géométrique récent Villanovien II Hallstatt C Hallstatt ancien Hallstatt C Golasecca IA
-700 - -600 av. J.C. / VIe siècle av. J.-C. Grands tumuli du Baden-Würtenberg / Acquisition de l'écriture à Golasecca Période orientalisante Villanovien III Halstatt C/Ha C Hallstatt Ancien Halstatt C/Ha C Gollasecca 1B / 1C
-600 - -500 av. J.C. / VIe siècle av. J.-C. Monarchie romaine Grèce archaïque Culture étrusque Hallstatt D Hallstatt moyen à final Hallstatt D Golasecca 2A / 2B
-500 - -400 av. J.C. / Ve siècle av. J.-C. Fondation de Massillia -400 Grèce archaïque Monarchies étrusques Hallstatt D/Ha D Hallstatt moyen - final/Ha moyen - final Hallstatt D/Ha D Golasecca 2B / 2C
-400 - -300 av. J.C. / IVe siècle av. J.-C. Sac de Rome ( -384 ) Fondation de Massillia - Période classique République romaine La Tène A La Tène Ancienne La Tène orientale Golasecca III


Système de datation archéologique de l'Europe Chronologie Évènements en Europe Monde hellénistique Monde italico - étrusque Monde celtique
Celtes d'Allemagne du Sud Celtes de la Gallia comata/Gaulois Celtes d'Europe de l'Est Celtes golasecciens / Italie du Nord-Ouest
     
0,6 — 0,25 Europe, Afrique, Chine 1,8 60 1100 — 1400 Nombreux 1908
? Afrique du Sud 1,5 45 465 — 563 Au moins 15 individus 2013 / 10 Septembre 2015
0,23 — 0,03 Europe, Ouest de l'Asie 1,6 55 — 70 1200 — 1700 Nombreux (1829) / 1864
-700 /
Géométrique récent Villanovien II Hallstatt C / Ha C Hallstatt ancien / Ha ancien Hallstatt C Golasecca I A
-600 / VIe siècle av. J.-C. Grèce orientalisante Villanovien III Halstatt C/Ha C Hallstatt Ancien Halstatt C/Ha C GIC / GIIA
-500 / Ve siècle av. J.-C. Fondation de Massillia -400 Grèce archaïque Étrusques Hallstatt D/Ha D Hallstatt moyen - final/Ha moyen - final Hallstatt D/Ha D GIIB
-300 / IVe siècle av. J.-C. Sac de Rome ( -384 ) Fondation de Massillia - Période classique Étrusques La Tène A La Tène Ancienne La Tène orientale GIIC - GIIIA

Perspective chrono-culturelle[modifier | modifier le code]

  • Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[120] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[111]; l'ouvrage Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au e ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells de Ruth et Vincent Megaw[121],[122] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Age du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [123],[124],[125] ; et enfin selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[126] :


Système de datation archéologique de l'Europe Chronologie Évènements en Europe Monde hellénistique Monde italico - étrusque Monde celtique
Celtes d'Allemagne du Sud Celtes de la Gallia comata/Gaulois Celtes d'Europe de l'Est Celtes golasecciens / Italie du Nord-Ouest
-1200 - 1100 av. J.C. / XIIe siècle av. J.-C. Déclin de la civilisation mycénienne / Linéaire C Helladique récent IIIC1 Culture de Terramare Hallstatt A1 Bronze final IIA Hallstatt A1 Culture de Canegrate
-1100 - -1000 av. J.C / XIe siècle av. J.-C. Fin de la civilisation mycénienne / Linéaire C Helladique récent IIIC2/IIIC3 / Culture submycénienne Proto-villanovien Hallstatt A2 Bronze final IIB Hallstatt A2 Culture de Canegrate
-1000 - -900 av. J.C.
Migration celtes Période protogéométrique Proto-villanovien Hallstatt B1 Bronze final IIIA Hallstatt B1 Proto-golasseccien
-900 - -800 av. J.C. /
Fondation de Carthage -814 avant J.C. Géométrique Villanovien I HallstattB2/B3 Bronze final IIIB Hallstatt B2/B3 Proto-gollaseccien
-800 - -700 av. J.C. /
Fondation de Rome -753 avant J.C. Géométrique récent Villanovien II Hallstatt C Hallstatt ancien Hallstatt C Golasecca IA
-700 - -600 av. J.C. / VIe siècle av. J.-C. Grands tumuli du Bade-Wurtemberg / Acquisition de l'écriture à Golasecca / premiers sites proto-urbains celtes Période orientalisante Villanovien III Halstatt C/Ha C Hallstatt ancien Halstatt C/Ha C Gollasecca 1B / 1C
-600 - -500 av. J.C. / VIe siècle av. J.-C. Monarchie romaine Grèce archaïque Culture étrusque Hallstatt D Hallstatt moyen à final Hallstatt D Golasecca 2A / 2B
-500 - -400 av. J.C. / Ve siècle av. J.-C. Fondation de Massillia -400 Grèce archaïque Monarchies étrusques Hallstatt D/Ha D Hallstatt moyen - final/Ha moyen - final Hallstatt D/Ha D Golasecca 2B / 2C
-400 - -300 av. J.C. / IVe siècle av. J.-C. Sac de Rome ( -384 ) et extension de la koinè celtique Fondation de Massillia - Période classique République romaine La Tène A La Tène Ancienne La Tène orientale Golasecca III

Chrono culturel La Tène[modifier | modifier le code]

Tableau récapitulatif des différents systèmes de datation en Europe au cours de la période celtique dite de Hallstatt d'après l'ouvrage collectif, La culture de Golasecca[120] ; selon l'article "Golasecca : Les Celtes du nord de l'Italie", rédigé par Brigitte Postel et issu du périodique mensuel Archéologia ( numéro 476 ) [45] ; l'ouvrage de Venceslas Kruta : Les Celtes, histoire et dictionnaire : des origines à la romanisation et au christianisme[129],[130],[131] ; l'ouvrage "Celtes : Trésors d'une civilisation disparue", sous la direction de Daniele Vitali[132]; l'ouvrage Art de la celtique. Du VIIe siècle av. J.-C. au VIIIe siècle ap. J.-C. : Des origines au livre de Kells de Ruth et Vincent Megaw[133],[134] ; également d'après l'ouvrage de Patrick Brun : Princes et princesses de la Celtique : Le premier Age du Fer ( -850 - -450 av. J.-C. ) [123] ,[124],[125] ; et enfin, selon le recueil collectif et universitaire L'Europe Celtique à l'Âge du Fer VIIIe - Ier siècles[126] :


Système de datation archéologique de l'Europe Chronologie Évènements en Europe Monde hellénistique Monde italico - étrusque Monde celtique
Celtes d'Allemagne du Sud Celtes de la Gallia comata/Gaulois Celtes d'Europe de l'Est Celtes golasecciens / Italie du Nord-Ouest
-600 - -500 av. J.C. / VIe siècle av. J.-C. Monarchie romaine ( jusqu'en -509 ) Grèce archaïque Culture étrusque Hallstatt D Hallstatt moyen à final Hallstatt D Golasecca 2A / 2B
-500 - -400 av. J.C. / Ve siècle av. J.-C. Fondation de Massillia -400 Grèce archaïque Monarchies étrusques Hallstatt D/Ha D Hallstatt moyen à final /Ha moyen - final Hallstatt D/Ha D Golasecca 2B / 2C
-400 - -300 av. J.C. / IVe siècle av. J.-C. Sac de Rome ( -384 ) ; Bataille de l'Allia ; conquêtes d'Alexandre le Grand et extension de la koinè celtique Fondation de Massillia - Période classique République romaine La Tène A La Tène Ancienne La Tène A Golasecca III
-300 à -200 / IIIe siècle av. J.-C. Bataille de Sentinum ( -295 ) / Expédition militaire celte par le chef de guerre Brennos contre Delphes ( -279 ) Période hellénistique ( jusqu'en -227 ) République romaine La Tène B La Tène moyenne La Tène B La Tène moyen / La tène B
-200 à -100 / IIe siècle av. J.-C. Siège et chutte de Numance ( -133 ) / Victoire romaine sur la coalition celte sur le Rhône des Arvernes et des Allobroges menée par le roi Bituitos ( -121 ) Grèce romaine République romaine La Tène C La Tène tardive La Tène C Romanisation du territoire des celtes d'Italie
-100 à -27 / Ier siècle av. J.-C. Guerre des Gaules ( -58/-50 ) / Bataille d'Alésia -52 / Avènement de l'Empire romain ( -27 ) Grèce romaine République romaine La Tène D La Tène récente La Tène D Province de la république romaine

Carte mondial elephantidae nains[modifier | modifier le code]

Légendes :

  • Les principaux sites méditerranéens sont représentés par les triangles rouges ;
  • Les 3 sites archéologiques Indonésiens sont symbolisés par les points rouges ;
  • Les 3 sites archéologiques d'Amérique du Nord sont symbolisés par les points de couleur ocre/jaune.

sauvegarde étrusque 5[modifier | modifier le code]

Dans un premier temps, on distingue deux lignes longitudinales : tout d'abord un ligne occidentale formée par les plaines côtières longeant la mer Tyrrhénienne, dont l'épicentre est approximativement déterminé par « Rusellæ »[135],[136],[137],[138],[139],[140] ; et dans un second temps, un vaste espace centrale de faible altitude évoluant du Nord au Sud[141].

D'autre part, le territoire étrusque observe et s'organise par le biais de deux axes latitudinaux, lesquels coïncident et correspondent aux cours fluviaux (l'Arno et l'Ombrone), se développant d'Est en Ouest[142],[143],[144],[145],[146],[147],[148].


Brouillon de sauvegarde étrusque 2[modifier | modifier le code]

Notes étrusques 3[modifier | modifier le code]

Les années de règne de Tarquin le Superbe se manifestent et se présentent sous le signe de la tyrannie. En -509, le 6e roi de Rome se fait proscrire de la magistrature suprème, par une coalition patricienne essentiellement composée de 4 principaux intervenants : Lucius Brutus, son propre neveu et dont on attribue traditionnellement la création et la paternité de l'avènement républicain de Rome ; Lucius Tarquinius Collatinus, dit « Tarquin Collatin », et également membre de la dynastie des Tarquins ; Valerius Publicola ; et enfin Lucrèce Tricipitin. La trame historique retraçant l'expulsion de Tarquin le Superbe, et l'avènement de la République romaine au détriment de ce dernier, nous est notamment fournie au travers des écrits antiques de Tite-Live, Denys d'Halicarnasse et Fabius Pictor (-254 - 204)[149],[150],[151],[152],[153],[154],[155].

Notes 6[modifier | modifier le code]

Jean Peyras, « Le vocabulaire militaire des arpenteurs latins du Haut-Empire », dans Jean Peyras, Les vocabulaires techniques des arpenteurs romains : Actes du colloque international (Besançon, 19-21 septembre 2002), vol. 993, Besançon, Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, coll. « ISTA », (lire en ligne), chap. 1, pages 137 à 148 Peyras Jean. Le vocabulaire militaire des arpenteurs latins du Haut-Empire . In: Les vocabulaires techniques des arpenteurs romains. Actes du colloque international (Besançon, 19-21 septembre 2002) Besançon : Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, 2006. pp. 137-148. (Collection « ISTA », 993)

  • Vincent Jolivet, « Exportations étrusques tardives (IVe-IIIe siècles) en Méditerranée Occidentale », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 92, no 2,‎ , pages 689 à 724 (DOI 10.3406/mefr.1980.1255, lire en ligne, consulté le )
BibTex
  • Jean Jehasse et Laurence Jehasse, Aléria : Nouvelles données de la nécropole., vol. 34, t. Tome I : Texte ; Tome II : Planches, Lyon, Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, , 638 p. (lire en ligne)


Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, 2001. 638 p. (Travaux de la Maison de l'Orient méditerranéen, 34) 

http://www.persee.fr/doc/mom_1274-6525_2001_mon_34_1

  • Jehasse Jean, Jehasse Laurence. Aléria. Nouvelles données de la nécropole. Tome I : Texte. Tome II : Planches. Lyon : Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, 2001. 638 p. (Travaux de la Maison de l'Orient méditerranéen)

http://www.persee.fr/issue/mom_1274-6525_2001_mon_34_1

  • book intégral : Italie avant Rome - Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, tome 100, n°1. 1988.

http://www.persee.fr/issue/mefr_0223-5102_1988_num_100_

  • Florence Hérubel, « Mobilier étrusque en Languedoc occidental (VIe - Ve s. av. J.-C.) », Documents d'Archéologie Méridionale, vol. 23,‎ , pages 87 à 112. (DOI 10.3406/dam.2000.1136, lire en ligne, consulté le )


Cités-États[modifier | modifier le code]

Vue d'ensemble[modifier | modifier le code]

Organisation politique et sociale

La société étrusque était en apparence organisée et sa vie politique et sociale structurée. Le Lucumon est au sommet de la hiérarchie aidé par la classe oligarchique des maîtres, et enfin les esclaves et les paysans. L'Étrurie était dirigée par 12 rois dirigeant les 12 villes-états (12 lucumonies) de la confédération dodécapole de l'Étrurie : Véies, Cisra (Caere des Romains), Tarquinia, Vulcia, Velzna déplacée à Volsinii nova, Clusium, Perusia, Cortone, Arretium, Volaterrae, Vetulonia, Fiesole[156]. Les lucumonies étaient unies uniquement par des liens religieux. Les villes étrusques étaient très individualistes, aucune ne dominait et il n'y avait pas de solidarité politique.

« N'allez pas penser que cette ligue de douze villes étrusques impliquait une solidarité entre elles. Chaque cité était son propre royaume. Et c'est cet esprit individualiste qui a fait chuter les Étrusques devant Rome. »

— Jean-Paul Thuillier, le Sourire des Étrusques[157]

Il y avait 3 dodécapoles étrusques (ligues ou « mech »), chacunes composées de 12 lucumonies : la dodécapole formée des {{unité|12|cités-états initiales, également appellée la ligue étrusque ; la dodécapole padanne ; et enfin la dodécapole campanienne[158],[159],[160],[161],[162].

Dodécapole initiale[modifier | modifier le code]

Dodécapole campanienne et padanne[modifier | modifier le code]

Carte[modifier | modifier le code]

Oppidum de Comum/Ca'Morta au sein de l'Europe Hallstattienne

Ça y est, c'est dans la boîte...[modifier | modifier le code]

Huile de Jean-Louis David. Napoléon franchissant les Alpes.
Bonjour, Pascal, l'article Guerrier de Capestrano a été reconnu comme étant un bon article. Merci d'avoir aidé à cette étoile grâce à ton vote, tes conseils, tes contributions et tes appréciations. Amicalement,--— Ruy [C'est l'or, mon Seignor] 14 mars 2016 à 12:29 (CET).

Nota bene : J'espère que tu n'as pas pris ombrage de petit sobriquet Gente Détective sur la pdd du guerrier ; c'est juste amicale Émoticône sourire. À bientôt sur des articles WP, et qui sait, peut-être sur l'un de ceux afférent à Monsieur Vian.

essais infobox langue morte[modifier | modifier le code]

sud-picène
Période Ier millénaire av. J.-C.
Pays Italie
Région sud du Picenum , versant centro-septentrional adriatique ( sud de la province italienne Marches et province italienne des Abruzzes )
Nombre de locuteurs Sud-picéniens
Nom des locuteurs Picéniens méridionaux
Typologie langue flexionnelle
Classification par famille
Codes de langue
ISO 639-1 639-3 spx
Type langue morte
Glottolog sout2618
Carte
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Picenum méridional

Brouillon infobox ouvrage[modifier | modifier le code]

Le chant du Cosmos
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Roland C. Wagner, dec. 2010, aux Modèle:7èmes Rencontres de l'Imaginaire, à Sèvres dans les Hauts-de-Seine, en décembre 2010.

Auteur Roland C. Wagner
Pays France
Genre Science-Fiction
Éditeur Atalante
Lieu de parution Nantes
Date de parution 1999
Type de média Livre
Illustrateur Philippe Caza ( illustration des en-têtes de chapitres )
Couverture Philippe Caza
Nombre de pages 322
ISBN 2-84172-098-5

[28] [29]

  • {{Infobox Livre
| titre              = La science du Disque-Monde
| auteur1             = Terry Pratchett
| auteur2             = Jack Cohen
| auteur3             = Ian Stewart
| pays               = 
| préface            = 
| directeur          = 
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| précédent

essai infobox peuple ou ethnie antique[modifier | modifier le code]

Insubres
Langue(s) Lépontique
Villes principales Sesto Calende, Mediolanum, oppidum de Côme
Région d'origine Aire de la culture de Golasecca
Région actuelle Lombardie
Vestins
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Statue funéraire anthropomorphe du Guerrier de Capestrano, découverte sur le site de la nécropole de Capestrano, dans la province italienne des Abruzzes. VIe siècle av. J.-C.. sculpture élaborée en ronde-bosse. Actuellement exposée et conservée au Musée archéologique national des Abruzzes, Villa Frierj, à Ancona.

Période VIIIe siècle av. J.-C. au IVe siècle av. J.-C.
Ethnie Picéniens
Langue(s) Sud-picène
Religion polythéïste
Villes principales Aufinum
Région d'origine Gran Sasso, région médio-adriatique
Région actuelle province italienne des Abruzzes
Rois/monarques Nevius Pompuledius, gouverneur romain
Frontière territoire des osques, au Nord; aire géographique des dauniens, au Sud; massifs du Gran Sasso, à l'ouest.

Essais infobox alphabet langue morte[modifier | modifier le code]

Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1
Caractéristiques
Historique

Nouvelle signature wiki[modifier | modifier le code]

RuyC'est l'or, mon Seignor !

Essai Taxobox[modifier | modifier le code]

Grenouille x

Répartition géographique

Description de l'image Panthera tigris tigris distribution map.png.

Essai infobox personnage fictif : Don Salluste[modifier | modifier le code]

Don Salluste
Personnage de fiction apparaissant dans
Ruy Blas.

Huile des Six personnages de Victor Hugo, par le peintre Louis Boulanger. Le personnage de Don Salluste est représenté en haut, à gauche de la toile.
Huile des Six personnages de Victor Hugo, par le peintre Louis Boulanger. Le personnage de Don Salluste est représenté en haut, à gauche de la toile.

Nom original Don Salluste
Origine Espagnol
Sexe Masculin

Créé par Victor Hugo
Films La Folie des grandeurs
Pièces Ruy Blas


Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jacques Bachelier, « Dossier pédagogique "Ruy Blas" de Victor Hugo », La Mesnie H. Cie J. Bachelier,‎ , p. 1 à 24 (lire en ligne, consulté le )
  • Collectif ( Compagnie Chatôt-Vouyoucas Théâtre Gyptis, « Dossier de presse : "Ruy Blas" Victor Hugo », Académie de Lettres d'Aix-en-Provence / Marseille ( site web officiel ),‎ , p. 1 à 9 (lire en ligne, consulté le )

http://www.lettres.ac-aix-marseille.fr/Presse_ruy_blas.pdf http://www.lamesnieh.com/pdf/rb_dossier_pedagogique.pdf http://souhaib.etude-fr.over-blog.com/article-25301229.html

Bandeau label B.A.[modifier | modifier le code]


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « apha », mais aucune balise <references group="apha"/> correspondante n’a été trouvée
  1. a b et c Piel et Mineo 2011, p. 69
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées jeanmarirollo166
  3. a b c et d Irollo 2010, p. 167
  4. (it) « Litus tuscus », sur Roma citta eterna, (consulté le )
  5. (it) Jean-Marc Irollo, Gli etruschi : alla nostra origini civlità, (lire en ligne), page 139 et 140
  6. (it) arte de la Antigüedad clásica (volume 2), Ediciones AKAL (lire en ligne), pages 35 et 36
  7. a b et c Irollo 2010, p. 166
  8. jean Gagné, « Sur les origines du culte de Janus (deuxième article) », Revue de l'histoire des religions, vol. tome 195, no 2,‎ , page 134 (DOI 10.3406/rhr.1979.6852, lire en ligne, consulté le )
  9. Dominique Briquel, « Rome comme ville étrusque », dans P. Fleury, O. Desbordes (dir.), Roma illustrata, Caen, Presses Universitaires de Caen, (lire en ligne), pages 63 à 84
  10. a et b Philippe Dain, Mythographe du Vatican I : traduction et commentaire, Presses Univ. Franche-Comté, (lire en ligne), page 31
  11. a et b Eugeen Roegiest, Vers les sources des langues romanes : un itinéraire linguistique à travers la Romania, ACCO, (lire en ligne), pages 42, 43, 44 et 45
  12. Piel et Mineo 2011, p. 70
  13. Piel et Mineo 2011, p. 71
  14. Strabon, « Géographie », sur Méditerranées
  15. Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/1 » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, (lire sur Wikisource)
  16. Irollo 2010, p. 158
  17. Irollo 2010, p. 159
  18. Irollo 2010, p. 164
  19. a et b Irollo 2010, p. 165 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « jeanmarcirollo165 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  20. Piel et Mineo 2011, p. 63
  21. a b c et d Piel et Mineo 2011, p. 64
  22. Alain Hus, Les Étrusques et leur destin, Paris, Picard, (ISBN 2-7084-0047-9), pages 249, 250 et 253
  23. Irollo 2010, p. 96
  24. a et b Irollo 2010, p. 168
  25. Piel et Mineo 2011, p. 65
  26. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées jeanmarcirollo169
  27. Heurgon 1993, p. 240-241
  28. Piel et Mineo 2011, p. 68
  29. a et b Mireille Cébeillac-Gervasoni, Alain Chauvot et Jean-Pierre Martin, Histoire romaine, Paris, Armand Colin, (ISBN 2200265875), pages 27, 28 et 75
  30. Michel Christol et Daniel Nony, Rome et son empire : des origines aux invasions barbares, Hachette, (1re éd. 1974) (ISBN 2-01-145542-1)
  31. Jacques Heurgon, Rome et la Méditerranée occidentale jusqu'aux guerres puniques, Paris, Presses universitaires de France, (réimpr. 1980) (1re éd. 1969), 477 p. (ISBN 2-13-045701-0 et 978-2-13-045701-5, ISSN 0768-2379, BNF 35585421, présentation en ligne)
  32. (es) Jorge Martínez-Pinna, Tarquinio Prisco : ensayo histórico sobre Roma arcaica, Ediciones Clàsicas, 1996. (ISBN 8478822119)
  33. Hinard (dir.), Dominique Briquel, Giovanni Brizzi et Jean-Michel Roddaz, Histoire romaine, t. I : Des origines à Auguste, Paris, Fayard, , 1076 p. (ISBN 9782213031941)
  34. (en) « Lays of ancient Rome, with Ivry, and The Armada », sur archives stream, (consulté le )
  35. Vladimir Georgiev, « État actuel du déchiffrement de la langue étrusque », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 115e année, no 4,‎ (lire en ligne, consulté le )
  36. (en) Bernard Mineo et Gary Forsythe, A companion to Livy, John Willey & sons, , 504 p. (lire en ligne), page 322
  37. Dominique Briquel, « Langue etrusco-italique », École pratique des hautes études. 4e section, sciences historiques et philologiques, vol. Livret 6. Rapports sur les conférences de l'année 1989-1990,‎ , page 51 (lire en ligne, consulté le )
  38. Robert Lucot, « Problèmes de création chez Properce », Pallas, vol. 10,‎ , pages 60 à 68 (DOI 10.3406/palla.1961.983, lire en ligne, consulté le )
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  120. a b c et d {{ouvrage Christine Lorre, Veronica Cicolani 2009, p. 164 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « cicolani164 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
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  122. a et b Megaw 2005, p. 11 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « megaw11 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
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  125. a b et c Patrice Brun 1991, p. 219 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « brun219 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
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