Challans
Challans | |||||
Le clocher de l'ancienne église Notre-Dame. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | Les Sables-d'Olonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Challans-Gois Communauté (siège) |
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Maire Mandat |
Rémi Pascreau 2020-2026 |
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Code postal | 85300 | ||||
Code commune | 85047 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Challandais/Challandaise | ||||
Population municipale |
20 898 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 319 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
27 593 hab. (2016) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 50′ 48″ nord, 1° 52′ 41″ ouest | ||||
Altitude | 29 m Min. 1 m Max. 64 m |
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Superficie | 65,47 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Challans (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Challans (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Challans (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Challans est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire. Capitale du Marais breton vendéen, la ville compte 20 133 habitants en 2015 et 25 544 habitants dans son aire urbaine selon l'Insee en 2010.
Géographie[modifier | modifier le code]
Challans se situe dans le nord-ouest de la Vendée. La ville est située à 40 km de La Roche-sur-Yon et des Sables-d'Olonne, 55 km de Nantes (la partie vendéenne de la route Nantes-Challans est en 2×2 voies depuis 2005), 15 km de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et de Saint-Jean-de-Monts, 35 km de Noirmoutier. Géographiquement, Challans se situe en bordure du marais breton vendéen, à 15 km du littoral atlantique. La ville est traversée par le Grand Étier de Sallertaine.
Le territoire municipal de Challans s’étend sur 6 547 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 29 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 1 et 64 mètres[1],[2].
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
La Bloire[modifier | modifier le code]
Un ancien village, la Bloire, est aujourd'hui rattaché à la ville de Challans. Il avait sa propre école publique, sa chapelle (Chapelle de l'Immaculée conception construite à partir de 1857 et inaugurée le 19 septembre 1860)[3]. La Bloire tirait sa prospérité de la présence de nombreuses tuileries.
On y trouve également, chemin du Gué Monnier, un petit mégalithe : la Pierre au vinaigre, dont une légende dit qu'il était le centre géographique de Challans - mais ce pourrait être un bornage médiéval selon le préhistorien Gérard Bénéteau [4].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Challans est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Challans, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[8] et 27 942 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Challans, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Toponymie[modifier | modifier le code]
En poitevin, la commune est appelée Chaland[13].
Histoire[modifier | modifier le code]
Les origines de Challans remontent à la préhistoire comme en témoignent les sites mégalithiques retrouvés dans la région. Le nom de la ville viendrait du terme « kal » qui signifie abri, village.
De l'époque gallo-romaine, on connaît une villa gallo-romaine, située à la Filaudière, non loin de l'occupation antique de Pont Habert-La Caillaudière à Sallertaine. Durant le Moyen Âge, la ville est située sous le contrôle de la baronnie de Commequiers. C’est à cette époque que le village commence à se développer en accueillant ses premières foires. Après le démantèlement du château de Commequiers au XVIIe siècle, Challans devient le pôle administratif de la région.
La Révolution fait de Challans un chef-lieu de district. Mais la ville est également touchée par les guerres de Vendée et de nombreux affrontements y opposent les républicains et les royalistes. Ainsi dès le début de l’insurrection le 13 mars 1793, la ville est occupée par les royalistes. La première véritable bataille s’y déroule un mois plus tard, le 13 avril 1793, date à laquelle les républicains parviennent à reprendre la ville. Deux autres batailles ont lieu le 7 avril et le 6 juin 1794 lorsque les royalistes attaquent la ville. À chaque fois, les républicains sortent vainqueurs.
Au XIXe siècle, la ville prend son essor économique grâce au développement des voies de circulation et de la voie ferrée Nantes - La Roche-sur-Yon par Challans (devenue plus tard Nantes - Saint-Gilles-Croix-de-Vie), ainsi que la ligne de train sur route (tramway) qui la relie à Beauvoir-sur-Mer et donc à l'océan.
Le général de Gaulle, en tant que président de la République, fait une visite remarquée à Challans, le 19 mai 1965. Il est accueilli par les habitants place des Marronniers, devant l'église[14], en présence notamment du maire Jean Léveillé et de la doctoresse Colette Le Bret. Les micros ont été installés sur le parvis, qui est en hauteur, et qui a servi de tribune. Mais c'est la place des Petites halles, bien plus loin dans le centre-ville, qui sera ensuite baptisée Place de Gaulle.
Louis XIII à Challans[modifier | modifier le code]
Avant la fameuse Bataille de l'Ile de Rié, l'abbé Germain Regnaudineau, témoin oculaire, raconte que "le jeûdy quatorzieme jour du mois d'Avril 1622, le Roy Louis treizième vint de Legé" loger dans la ville de Challans "avec toute son Armée, ses Régiments d'Infanterie & Cavalerie, plus une grande partie de sa cour, dont Mgr le Cardinal de Retz, Mgr l'Archevêque de Rheims, et le Comte de Saint Pol (...) Le logis de Sa Majesté fut cheux Macé Grousteau, Sir de la Convoidoire ; celui de Monsieur le Prince cheux Madame de Logerie ; & celui de Monsieur de Soissons celui des héritiers défunt Plomin, devant la Halle, au bourg, vers le minage." Le lendemain matin, "levé dès 4 heures, le Roy eut le temps de faire sa prière dans l'église du village, ainsi que d'y entendre la sainte messe." Hélas, cette ancienne église de Challans sera pourtant détruite au XIXe siècle.
Emblèmes[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Blasonnement :
D'azur au chaland d'or, habillé et flammé d'argent, accompagné en chef à dextre d'une étoile aussi d'or et à senestre d'une tour du même ouverte du champ.
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Devise[modifier | modifier le code]
La devise de Challans : In Viam Prosperitatis Et Pacis. Dans la voie de la prospérité et de la paix.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
A l'instar des électeurs du département de la Vendée - soit 61,14 % de oui- lors du référendum du 27 avril 1969 proposé par le général de Gaulle, ceux de la commune de Challans votent majoritairement en faveur de la réforme proposée -soit 2 534 voix pour et 1 612 voix contre [note 6].
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Challans est la ville principale de l'aire urbaine qui porte son nom. Selon l'Insee, le découpage établi en 2010 inclut dans cette aire les communes de Sallertaine et Soullans. L'aire urbaine de Challans était peuplée de 25 059 habitants au 1er janvier 2008[22].
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[23],[Note 5]
En 2018, la commune comptait 20 898 habitants[Note 6], en augmentation de 7,16 % par rapport à 2013 (Vendée : +3,74 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 48,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 17 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 19,4 %, 45 à 59 ans = 20,2 %, plus de 60 ans = 26,3 %) ;
- 51,7 % de femmes (0 à 14 ans = 15,6 %, 15 à 29 ans = 14 %, 30 à 44 ans = 18,8 %, 45 à 59 ans = 21,8 %, plus de 60 ans = 29,8 %).
Économie[modifier | modifier le code]
- Challans compte plus de 300 commerces situés tant dans le cœur de la ville que dans les grandes surfaces alimentaires ou spécialisées en périphérie. La ville accueille quatre marchés hebdomadaires (mardi, vendredi, samedi et dimanche), le marché du mardi étant réputé comme étant le plus important du nord-ouest vendéen.
- La ville de Challans accueille une usine du groupe Bénéteau S.A. (no 1 mondial de la plaisance) et compte environ 1 500 entreprises (commerce + PME-PMI).
- Challans possède également une importante activité de menuiserie industrielle et d’ébénisterie.
- Challans est célèbre pour son aviculture dont notamment le célèbre « canard de Challans » qui est servi à « La Tour d'Argent » (Restaurant gastronomique parisien) et le poulet noir de Challans.
- La foire des Minées est l'une des plus importantes foires commerciales en Vendée, son origine remonte au Moyen Âge. De nos jours, elle a lieu une fois par an début septembre. Elle a été le thème de plusieurs flammes d'oblitération postale concernant le ville de Challans, intitulé dans les années 1960, Challans Foire exposition en septembre, et dans les années 1970 et 1980, Tradition séculaire en septembre foire des minées adorné de l'effigie d'un couple en habits maraîchins.
- La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de la Vendée.
- Challans compte deux hypermarchés avec leurs zones commerciales, un supermarché et trois hard discount.
Attrait touristique[modifier | modifier le code]
- De par sa position géographique, même si la rocade permet le contournement du centre-ville, Challans est une halte appréciée par de nombreux estivants qui se rendent sur les plages vendéennes (Saint-Jean-de-Monts, Saint-Gilles, Noirmoutier…). L’économie de la ville dépend en partie de cette manne touristique. En plus d’une implantation de nombreux commerces de qualité, pour attirer le tourisme à l’intérieur de la ville, Challans crée en 1987 une foire des quatre jeudis tendant à reproduire l’atmosphère des vieilles foires de la ville au début du XXe siècle avec son folklore local.
- Challans a obtenu trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2007) grâce notamment aux compositions florales de ses ronds-points et espaces verts.
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Deux monuments historiques se trouvent sur la commune, en plus d'édifices remarquables :
- L'église Notre-Dame de Challans construite entre 1893 et 1897. Elle dépend du diocèse de Luçon[28] et de la paroisse Saint-Martin de la Rive. La particularité de cette église est de ne pas avoir de clocher. On peut voir sur sa façade les "pierres d'attente" qui devaient faire la liaison avec un campanile, mais les fonds manquaient.
On trouve à l'intérieur de Notre-Dame de Challans :
- Un tableau représentant la Vierge de l'Assomption peint par Jean-Jacques Lagrenée en 1807. Huile sur toile de 2,20 m par 1,60 m. Ce tableau est classé par arrêté du 19 décembre 1977 et est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Beaux-arts. Il est la propriété de la commune de Challans.
- Un chemin de croix remarquable par le réalisme figuratif de ses personnages. Il fut présenté à l’Exposition universelle de Paris[précision nécessaire].
- Une croix mérovingienne provenant de l'ancienne église de Challans et encastrée dans le mur de la nouvelle, à gauche du chœur.
- Le clocher de l'ancienne église de Challans, partie sauvegardée d'un édifice du XIe siècle (construit sur un oratoire chrétien du VIe siècle), et détruit en 1899. Mais il en était le clocher neuf, élevé entre 1862 et 1865. Cette ancienne église, elle, avait donc deux clochers, l'ancien se dressant entre le chœur et la nef.
- L'ancienne commanderie de Coudrie est une chapelle du XIIe siècle, légèrement remaniée au XVe siècle, classée monument historique par arrêté du 30 janvier 1995.
- Le logis de La Vérie est une maison du XVIIe siècle, inscrit par arrêté du 12 octobre 1964.
- La ferme de la Terrière, bâtiment de la fin du XIXe siècle, abrite notamment l'association Autrefois Challans[29] qui, au travers d'animations (la principale étant Les Foires à l'ancienne, ou la Foire des 4-Jeudis) et d'expositions, perpétue les coutumes du nord-ouest vendéen.
Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]
Plusieurs sculptures ou bas-reliefs des frères Jan et Joël Martel :
- Monument Milcendeau (1947), jardin de l'ancienne mairie - Espace Jan et Joël Martel.
- Fronton du théâtre Le Marais (1950).
- Calvaire du Puits Jacob (1951), route de Froidfond.
- Perrette et le pot au lait (1962) - école maternelle Le Bois du Breuil.
Culture[modifier | modifier le code]
La ville de Challans est équipée d’une médiathèque moderne, la médiathèque Diderot, incluant un cyber-centre. De nombreuses rencontres d'auteurs sont organisées, ainsi que des "samedi-concert" et des expositions.
Challans est une ville d’accueil privilégiée de la Région des Pays de la Loire pour la Folle Journée de Nantes en Région.
De nombreuses manifestations culturelles (théâtre, musique, danse, etc.) sont également programmées tout au long de l’année, notamment dans le cadre de la saison culturelle municipale.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Julien-Urbain-François-Marie-Riel Lefebvre de La Chauvière, (1757-1816), né à Challans, membre de la Convention, député au Conseil des Cinq-Cents.
- Jacqueline Auriol (nom de jeune fille, Jacqueline Douet), née à Challans le 5 novembre 1917 ; aviatrice, pilote d’essai.
- Jean et Joël Martel, sculpteurs (nés à Nantes).
- Ambroise Viaud-Grand-Marais (1833-1913), né à Challans, professeur à l'école de Médecine de Nantes, naturaliste, historien, écrivain.
- L'abbé Charles Grelier (1879-1968), né et décédé à Challans, historien et archéologue, dont les ouvrages font l'objet d'un fonds spécifique aux Archives départementales de la Vendée.
- Henry Murail, sculpteur[30]. Né à Paulx en 1932 et mort à Challans en 2012. La commune de Challans lui a commandé le buste de Marianne qui se trouve dans la salle des mariages du nouvel hôtel de ville.
- Colette Le Bret, médecin et alpiniste[31].
- Le champion de motocross Thierry Béthys[32] est né à Challans le 7 juillet 1971. Il a notamment gagné l’enduro du Touquet à trois reprises.
- François Boux de Casson, député sous la Troisième République fut conseiller général et municipal de Challans.
- Maurice Fillonneau (1930-2000), né à Machecoul et décédé à Challans, artiste peintre, aquarelliste, ayant notamment été le directeur artistique des crèches monumentales de l'église de Challans réalisées par une centaine de bénévoles de 1971 à 1976.
- Jean-Charles Gaudin, scénariste de bande dessinée.
- Anthony Michineau, né à Challans en 1973, comédien, metteur en scène, auteur.
- Cassandra Guilaine, née à Challans, twirler française.
- Arnold Jeannesson, cycliste professionnel, membre du VC Challandais.
- Hélène Mourain-Desproges, née à Challans en 1947, productrice, épouse de l'humoriste Pierre Desproges.
- Ulrich Ramé, footballeur professionnel ayant fait ses débuts au Sporting-Club de Challans.
- Philippe Violeau, footballeur professionnel de 1988 à 2006, champion de France avec Auxerre (1996) et Lyon (2002, 2003 et 2004).
- Joseph-Alexis Robert, baron de La Lézardière, député de la Vendée.
- Pauline de Lézardière, historienne née à Challans, au château de la Vérie, le 25 mars 1754.
- Eric Raffin, né en 1981 à Challans, driver de trot attelé.
Maurice Fillonneau,
artiste peintre, aquarelliste.
Sports[modifier | modifier le code]
- Challans a un passé sportif plutôt dynamique. En effet, durant les années 1970-1980 la ville est restée pendant une dizaine d’années au plus haut niveau du championnat national de basket-ball ; l’équipe évolue désormais en Nationale masculine 1, troisième échelon national, sous la dénomination de Vendée Challans Basket.
- La ville a accueilli le Tour de France en 1999 et le départ de cette compétition y a été donné en 2005.
- Avec ses courses hippiques mais aussi son jumping national (juillet), Challans est une place forte de l'équitation.
- Le Roller Skating de Challans participe également aux compétitions, grâce notamment à ses équipes de vitesse et de hockey.
- L'ESM section athlétisme a organisé en 2006 à Challans à l’hippodrome des Noues le championnat de France de cross-country hommes et femmes, dit le National.
- L'ESM twirling de Challans compte de nombreux titres grâce à ses nombreux licenciés.[précision nécessaire]
- Le cyclotourisme est représenté à Challans. Il compte 150 adeptes qui se retrouvent tous les dimanches matin au petit palais de la foire pour un départ en groupes de différents niveaux. L'association VCC, vélo club challandais de cyclotourisme, fait partie du VCC compétition qui a une très bonne école de cyclisme. Les CRM (Cyclos-Randonneurs du Marais) constituent l'autre club essentiellement orienté vers le cyclotourisme, en dehors de toute compétition.
Jumelages[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- (Source : bulletin municipal de janvier 2002) (Société d'histoire de Challans in Ouest-France pages Challans des 29-30 mars 2014, page 12)
- Conseiller municipal depuis 1904, il le reste ensuite jusqu'en 1925, tout en étant vice-président de la chambre de commerce de la Vendée de 1909 à sa mort en 1935. Il est le père de l'abbé et historien Charles Grelier.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
6. Journal Ouest-France, édition Vendée Ouest, du lundi 28 avril 1969 : résultats en pages 8 et 9.
Références[modifier | modifier le code]
- « Commune 13413 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « Challans », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- Association Sauvegarde de la chapelle de la Bloire
- Gérard Bénéteau : http://gvep.fr/bulletins/archives/GVEP_1992_27/GVEP_27_1992_Beneteau.pdf
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 5 avril 2021).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 5 avril 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 5 avril 2021).
- « Unité urbaine 2020 de Challans », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 5 avril 2021).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le 5 avril 2021).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le 5 avril 2021).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Challans », sur insee.fr (consulté le 5 avril 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 5 avril 2021).
- Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 79.
- « De Gaulle à Challans », sur tvvendee.fr.
- Letenneur, Jean François - Dictionnaire historique des vendéens, Archives départementales de la Vendée
- Bulletin de la Shenov, juin 2015.
- « Il y a 20 ans, la disparition de Louis-Claude Roux », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Challans : Ducept réélu de peu », Ouest-France, (lire en ligne).
- Philippe Gilbert, « Serge Rondeau intronisé hier maire pour six ans », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Municipales à Challans. Avec 75,40% des voix, Serge Rondeau haut la main », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Challans. Rémi Pascreau élu maire par le conseil municipal », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Aire urbaine 2010 de Challans (226) », sur le site de l'Insee (consulté le 24 janvier 2012).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population », sur insee.fr (consulté le 4 juin 2011).
- « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 », sur insee.fr (consulté le 4 juin 2011).
- Site officiel de la paroisse
- Lien vers le site de l'association Autrefois Challans.
- Hommage estival à Henry Murail avec la Biennale de la sculpture sur ouest-france.fr
- Colette Le Bret, la survivante du Cho Oyo sur ouest-france.fr
- Thierry Bethys
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative à la géographie :
- Site de la mairie
- Commune dans la Vendée
- Commune dans l'arrondissement des Sables-d'Olonne
- Commune dans le canton de Challans
- Commune de Challans-Gois-Communauté
- Villes et villages fleuris
- Ancien chef-lieu de district
- Unité urbaine de Challans
- Aire urbaine de Challans
- Commune du Bas Bocage vendéen
- Commune du Marais breton
- Ville-étape du Tour de France en Vendée