Retonfey

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Retonfey
Retonfey
Église Saint-Martin.
Blason de Retonfey
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Haut Chemin-Pays de Pange
Maire
Mandat
Christian Petit
2020-2026
Code postal 57645
Code commune 57575
Démographie
Gentilé Retonféens, Retonféennes. (anciennement et vulgairement Morious).
Population
municipale
1 338 hab. (2021 en diminution de 2,69 % par rapport à 2015)
Densité 137 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 13″ nord, 6° 18′ 21″ est
Altitude Min. 215 m
Max. 286 m
Superficie 9,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays messin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Retonfey
Géolocalisation sur la carte : France
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Retonfey
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Retonfey
Liens
Site web https://www.retonfey.fr

Retonfey est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village est situé à proximité de l'autoroute A4, sur l'axe Metz-Boulay, à l'intersection de quatre cours d’eau permettant l’exploitation des terres fertiles avoisinantes[1].

Vue de Retonfey depuis l'A4.

Accès[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Écarts et lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • Vaudreville

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Vallieres, le ruisseau de la Rigole et le ruisseau le Breuil[Carte 1].

Le ruisseau de Vallieres, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune de Glatigny et se jette dans un bras mort de la Moselle à Saint-Julien-lès-Metz en limite avec Metz, après avoir traversé neuf communes[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Retonfey.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau de Vallières, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 713,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,2 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Retonfey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,1 %), forêts (12,6 %), zones urbanisées (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), prairies (1,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

  • 1189 : Ritunfait
  • 1190 : Retonfait
  • 1201 : Ritunfait
  • 1255 : Retonfeyt
  • 1281 : Retonfays
  • 1307 : Retonfayt
  • 1404 : Artonfayt, Rettonfayt
  • 1429 : Retonfeys
  • 1481 : Rettonfay
  • 1429 : Restonfeys
  • 1535 : Artonfey
  • 1544 : Artonfay Artonfai, Retonfay
  • 1610 : Retenfay
  • 1756 : Retonfaye.
  • 1869 : Retonfey.
  • Pendant l’occupation (en allemand) : Raitenbuchen ou Reitenbuchen

Étymologie[modifier | modifier le code]

Du nom de personne germanique Retto (masculin) ou Raitun (feminin), que l’on retrouve dans Rethonvillers (Somme, Retunvillare 1200)[16] et du vieux français fey « hêtraie » (voir aussi Fay, Fy et les termes dialectaux fau et fou « hêtre »), issu du bas latin Fagetum (gallo-roman FAGETU). L'allemand -buchen « hêtres » traduit approximativement le nom roman.

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Dépendait de l’ancien pays messin et plus précisément du Haut-Chemin.
  • Vieux domaine de l’évêché donné en fief aux célèbres familles messines.
  • Vers 1500, Mangin Le Goullon est gouverneur, maitre-échevin de Metz et seigneur de Retonfey[17].

En 1844, le village a pour annexes la ferme de Vaudreville et la maison isolée du Petit-Marais. Il y a 423 habitants pour 74 maisons. Le village possède une tuilerie et 962 ha de territoires productifs dont 15 en vignes et 183 en bois. L’école compte 45 garçons et 33 filles ; les revenus de l’instituteur sont de 500 fr[18].

Durant la guerre de 1870, les batailles de Noisseville eurent lieu les et .

Le , des camions allemands arrivent à Retonfey. 152 des 255 habitants — dont le maire Charles Pister, le curé et l’institutrice — sont expulsés et emmenés à la gare de Metz pour une direction inconnue. Ils arrivent en gare de Lyon après plusieurs jours de voyage et sont accueillis par Mgr Heintz. Ils restent quelques jours à Mauvezin et s’installent finalement à Lombez. Le retour à Retonfey a lieu en . Les échanges entre les deux communes persistent, en , une plaque commémorative en pierre de Jaumont a été inaugurée sur le mur de l’école, la même a été offerte à Lombez[19].

Économie[modifier | modifier le code]

En 2011, la commune abrite 58 petites et moyennes entreprises[1]. Elle dispose d’une zone artisanale qui offre encore des possibilités d’accueillir de nouvelles activités.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
an VIII   Louis Nicolas Jacquinot    
1847 1887 Ernest Auricoste de Lazarque    
1945 1971 Charles Pister    
1983 1989 Philippe Hofmann    
mars 1995 septembre 2001 Alain Renaudin    
septembre 2001 En cours Christian Petit    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 1 338 habitants[Note 4], en diminution de 2,69 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
393402423357480423428416340
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
378370360361348333340343304
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
3042752602332783073327181 171
1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 -
1 2331 3721 3361 3291 3391 3751 3441 338-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23]. |recens-prem=2005 |no.)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (33,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,4 % la même année, alors qu'il est de 26,2 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 661 hommes pour 710 femmes, soit un taux de 51,79 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,08 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,7 
7,4 
75-89 ans
6,6 
23,3 
60-74 ans
24,3 
20,7 
45-59 ans
20,8 
17,6 
30-44 ans
19,7 
11,1 
15-29 ans
11,5 
19,4 
0-14 ans
16,4 
Pyramide des âges du département de la Moselle en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,5 
6,7 
75-89 ans
9,6 
16,9 
60-74 ans
18 
21,2 
45-59 ans
20,8 
19,4 
30-44 ans
18,5 
17,7 
15-29 ans
15,8 
17,5 
0-14 ans
15,9 

Vie associative[modifier | modifier le code]

La commune possède neuf associations[1] dont :

  • Le Club omnisports de Retonfey (COR) http://coretonfey.free.fr
  • Retonfey Loisirs (13 activités sportives et culturelles) ;
  • Club de football RENOM (Retonfey, Noisseville et Montoy-Flanville). Les seniors sont déjà montés en première division de district ;
  • les Anciens combattants ;
  • le conseil de fabrique.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Le Lion de Retonfey.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Passage d'une voie romaine.
  • Château construit en 1792 par Gédéon-Charles Blaise de Rozérieulles, mousquetaire du roi, avec tours et parc : « une construction vaste, simple et massive, sans tourelle, ni toit pointu »[26].
  • Dans le cimetière de l’église se trouve la tombe de Gédéon Charles Blaise de Rozérieulles, ainsi que celle d’Ernest Auricoste de Lazarque.
  • Monument aux morts : proche de la mairie, un monument en l’honneur de ceux qui ont perdu la vie pour notre liberté a été inauguré le . Le monument, porteur d’un message de paix, a été sculptée par Gaby Salomon dans une pierre de Jaumont de trois tonnes. Il porte quatre colombes, deux sur chaque face, à tir d’aile au-dessus d’un globe terrestre. Sur le socle est inscrit « Souviens-toi ».
  • Le Lion de Retonfey : monument du 1er corps d’armée prussien érigé en souvenir des centaines de pertes prussiennes durant le siège de Metz en 1870. Située à la limite des bans communaux de Montoy-Flanville, Retonfey et Noisseville, il est classé parmi les monuments historiques.
  • La mairie : bâtiment datant de 1600 qui a servi de presbytère jusqu’en 1986.
  • Foyer construit le et bâti sur l’ancien lavoir[27].
  • École maternelle (51 enfants en 2011) et primaire (86 enfants en 2011) ainsi qu’un accueil périscolaire[1].
  • Équipements : deux terrains de football, deux courts de tennis, un city stade, plusieurs aires de jeux, une salle multisport de 2 000 m2 (en construction depuis l'été 2011 et dont la disponibilité est prévue pour )[19].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin : un premier édifice est construit vers le milieu du XIIe siècle. Henri, comte de Salm fait donation de sa fondation à l’église Notre-Dame-la-Ronde (sise en la cathédrale de Metz) en 1189 à la veille de son départ en croisade. Il ne reste de cette église primitive que les deux tiers inférieurs du clocher de style roman. Le chœur et la nef actuels ont été édifiés entre 1769 et 1771 et orientés nord-sud perpendiculairement aux anciens. Ils sont restaurés dans leur état actuel à l’occasion d’importants travaux réalisés dans les dernières années du XIXe siècle : la façade est remaniée en 1882. La nef, de forme « grange », peut contenir 400 personnes assises. Le plafond trilobé, en plâtre et stucs sur lattis et ossature de bois, est de très belle facture. Le , des éléments se sont détachés de la voûte indiquant une fragilisation de cette dernière et entraînant la fermeture de l’édifice. Un chantier de restauration est entrepris grâce à l'aide financière des collectivités locales, de la fondation du patrimoine et de la population. Les premiers travaux de confortation permettent la réouverture de l’édifice pour Noël 2004. La restauration des boiseries reste à finaliser[1].
  • Grotte bénie érigée par Louis Pister, ses enfants et des bénévoles, le . M. Pister avait fait vœu de construire cet édifice s’il sortait vivant de la Deuxième Guerre mondiale.
  • Ogive de l’église Saint-Clément de Metz, exposée rue du château.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Ernest Auricoste de Lazarque
  • Gédéon-Charles Blaise de Rozérieulles, mousquetaire de la 1re compagnie du roi puis conseiller au parlement de Metz.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Retonfey est jumelée avec Lombez (Gers), commune où les habitants se sont réfugiés pendant la Seconde Guerre mondiale.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Blason de Retonfey Blason
Fascé d’or et d’azur de huit pièces chapé d’azur[28],[29].
Détails
Les bandes horizontales d’or et d’azur sont les armes du Haut-Chemin, partie du Pays messin à laquelle appartenait Retonfey. La « chape » d’azur est le symbole du manteau de saint Martin qui est le patron de la paroisse. La médaille militaire est accrochée au bas de l’écusson[1].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Retonfey » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f CCPP, Vies Communes, no 9, février 2011, p. 5.
  2. Sandre, « le ruisseau de Vallieres »
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Retonfey et Augny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. p. 564.
  17. Emmanuel Michel, Biographie du Parlement de Metz, , 653 p. (lire en ligne), p. 299.
  18. Verronnais, 1844.
  19. a et b « En passant par… Les souvenirs de Retonfey » dans Le Républicain Lorrain, dimanche 8 mai 2011, p. 14.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Retonfey (57575) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Moselle (57) », (consulté le ).
  26. Atalone, biographie sur Ernest Auricoste de Lazarque, 1905.
  27. Rapport des Ponts et Chaussées de Metz.
  28. « genealogie-lorraine.fr/blasons… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  29. « Présentation de la commune », sur retonfey.fr (consulté le ).