Glatigny (Moselle)

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Glatigny
Béville
Glatigny (Moselle)
Blason de Glatigny Béville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Haut Chemin-Pays de Pange
Maire
Mandat
Victor Stallone
2020-2026
Code postal 57530
Code commune 57249
Démographie
Population
municipale
262 hab. (2021 en augmentation de 6,5 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 49″ nord, 6° 20′ 06″ est
Altitude Min. 215 m
Max. 298 m
Superficie 6,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays messin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Glatigny
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Glatigny
Béville

Glatigny [glatiɲi] est une commune française située dans le département de la Moselle à douze kilomètres au nord-est de Metz. Elle possède pour annexe Béville et la ferme de La Bruyère.

Géographie[modifier | modifier le code]

Accès[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Vallieres et le ruisseau de la Rigole[Carte 1].

Le ruisseau de Vallieres, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune et se jette dans un bras mort de la Moselle à Saint-Julien-lès-Metz en limite avec Metz, après avoir traversé neuf communes[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Glatigny.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau de Vallières, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 825 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny à 18 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 713,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,2 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Glatigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,4 %), forêts (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Glatignei en 1192[15],[16] ; Gletinei au XIIIe siècle ; Gletigney en 1206, Glatigney, Glaiteney en 1339 ; Glaitigney en 1404 ; Glaitegney en 1514 ; Glattigney en 1516.

La prononciation dialectale en lorrain roman est « Guiaitni »[17].

Il s'agit d'un toponyme formé avec le suffixe gallo-roman -(I)ACU ou -IN-IACU, autrement noté -(i)-acum. Le premier élément est généralement expliqué par un anthroponyme par les spécialistes. On a ici affaire à un type toponymique extrêmement répandu dans le Nord de la France (par exemple, on compte près de 40 lieux portant ce nom en Normandie, dont Glatigny, Manche, Glatigneio vers 1170. On note aussi des variantes comme Glatiney (Eure), Glatigné (Mayenne), jusqu'au sud ouest comme en témoigne Glatignat (Haute-Vienne), etc.). La forme initiale de ce type toponymique devait être *GLATTINIACU.

Xavier Delamarre citant François Falc'hun envisage, pour Glatigny (Manche), une explication par le gaulois *Glasso-tanno, chêne vert (cf. vieux cornique glastannen)[18]. On retrouve une explication analogue chez Albert Dauzat et Charles Rostaing qui envisagent, pour Glatigny (Manche), un nom de personne gaulois Glastinus sur *glas-to « vert » aussi suivi du suffixe (-i)-acum[19].

François de Beaurepaire, pour Glatigny (Manche), propose un composé de ce même suffixe (-i)-acum, précédé du nom de personne germanique *Glattinus, hypocoristique de l'anthroponyme *Glatto, postulé par le nom de personne germanique dérivé Glatoldus, cité par Marie-Thérèse Morlet et le toponyme Glatens, suivi du suffixe germanique -ing(-os)[20]. En outre, certains noms en (-i)-acum sont basés sur un anthroponyme germanique, surtout dans le domaine de la langue d'oïl, ainsi trouve-t-on Botto / Bottinus dans Boutigny, Brekko / Brekkinus dans Brécquigny ou Iso / Isinus dans Isigny[21].

Les explications de X. Delamarre et A. Dauzat, phonétiquement possibles, se heurtent à une double difficulté : l'absence d'attestation d’un [s] (c'est-à-dire *Glasteniacum). En effet, aucune des formes anciennes pour les différents Glatigny ne témoigne de la présence de cette consonne. En outre, les formations de ce type sont plutôt typiques du domaine d'oïl, ainsi, la signification d'« endroit où pousse des chênes verts » ne correspond pas à la zone de diffusion de cette essence qui ne croît (croissait) pas au-delà du Sud de la région parisienne.

L'argumentation de F. de Beaurepaire n'est guère plus solide : il est improbable qu'un anthroponyme germanique, non attesté, ne se retrouve qu'en composition avec le suffixe (-i)-acum dans un type toponymique par ailleurs fréquent.

Par contre, Michel Roblin y a vu un ancien radical *glat(t)- « collant »[22], dont on peut retrouver de nombreux dérivés attestés dans l'aire d'extension du toponyme Glatigny et ses variantes : ainsi, une terre compacte est dite glatte ou glette en Indre-et-Loire et dans le Sud-Est de l'Orne[23]; dans une zone plus large encore, ce terme ou l'une de ses variantes (glat, glarde…) désigne une « terre durcie », une « terre collante ». La forme glette est aussi attestée dans l'Eure en tant que substantif pour désigner une substance cartilagineuse, gluante et grasse, semblable à de la gélatine. Plus au sud (Vendée, Vienne, Centre), le terme glas, glat (féminin glatte) prend le sens de « (pain) non levé, compact »[24],[25].

Michel Roblin propose donc pour *GLATTINIACU, un « lieu caractérisé par une terre collante ou durcie ». La racine *glatt- remonterait au bas-latin *glatidus (d'où le gallo-roman *GLATTU), dérivé du substantif glatia « glaise »[26],[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune est située sur la voie romaine reliant Metz à Worms. Elle appartient au territoire de la principauté épiscopale de Metz suivant le don fait en 1018 par le roi allemand Henri II de la « réserve royale » comprise entre la Seille et la Nied allemande.

Plus tard, à partir du XIIe siècle, le pouvoir dans la cité de Metz était passé des mains de l'évêque à celles des riches patriciens constitués en groupes de familles apparentées, appelées pour cela les paraiges. La cité était divisée en cinq mairies et un maître échevin dirigeait tout ce collège. Village du Pays messin, Glatigny, comme Sainte-Barbe, Hayes et Vry, est située sur le territoire appelé Haut Chemin qui est rattaché au paraige messin de la Porte Mazelle.

Glatigny est partagée en trois bans :

  • le ban Saint-Vincent, appartint à l’abbaye Saint-Vincent puis aux moines Trinitaires ;
  • le ban Paragon fut engagé à Jean Drouin puis aux familles de Heu, Baudoche, Vigneulles et le Goullon ;
  • le ban de Villers, où se trouvait le vieux château appartint à la seigneurie de Villers-Laquenexy dont les maîtres furent entre autres Nicole Louve et la famille de Qouray.

La ferme de la Bruyère était la propriété de la seigneurie des Étangs.

Au XVIe siècle, la seigneurie de Glatigny est aux mains de Blaise ou Saint-Blaise. Daniel de Saint-Blaise, marchand, ayant obtenu le titre de sire en , avait épousé Marthe Rollin dont le père Philippe Rollin était receveur de la cité. Leur fils, Daniel II, aman et l'un des Treize[Quoi ?] en 1642, député de Metz en 1645, lui succéda et prit le titre de seigneur de Glatigny. Il avait épousé en 1697 Marie de Montigny ; puis, devenu veuf, Jacqueline Charpentier. À sa mort la seigneurie fut divisée en deux, à Anne l'héritière de Marie de Montigny échut une moitié, aux héritiers de Jacqueline Charpentier l'autre moitié. Au XVIIIe siècle, la seigneurie est aux mains de la famille Le Goulon[28].

Le , un petit enfant du village, Didier Le Moyne, disparaît alors qu'il accompagnait sa mère à la fontaine. Un Juif de Boulay qui se rendait à Metz le même jour est accusé à tort d'avoir enlevé l'enfant à des fins de "meurtre rituel". Il est condamné à être brûlé vif par le Parlement de Metz et subit ce supplice à Metz le . Depuis ce jour le village de Glatigny est un village maudit ("geässert") pour les Juifs qui doivent éviter de s'y rendre et le contourner en hiver dès la tombée du jour. Mais le , 344 ans après ce double drame, une plaque est inaugurée dans le village à la mémoire de Raphaël Lévy, en présence du maire, des autorités rabbiniques et consistoriales et de représentants de l'État. Par suite de cette reconnaissance officielle de l'innocence de Raphaël Lévy, Glatigny cesse d'être un village "maudit" pour les Juifs et devient un symbole de la bonne entente et du dialogue entre les différentes confessions[29].

En 1844, on y trouve 282 individus et 38 maisons. L'école est fréquentée par 29 garçons et 12 filles. Territoires : 597 hectares dont 219 en bois et 29 en friches (un four à chaux appartenant à M. Joinville).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'azur à une ancre d‘or posée en barre mouvant d'une mer d‘argent et accompagné en chef d'un triangle accosté de deux étoiles, le tout aussi d‘argent.
Commentaires : Ce sont les armes de la famille messine Blaise qui a possédé la seigneurie de Glatigny au XVIIe siècle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  mars 1977 Louis Houzelle    
mars 1977 mars 1995 Henri Pierron    
mars 1995 mars 2001 Jean-Luc Winkel    
mars 2001 mars 2008 Fabrice Guibert    
mars 2008 En cours Victor Stallone    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 262 habitants[Note 4], en augmentation de 6,5 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
195191220237250282242239200
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
192197187189182160170147144
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
13110711785114858994195
1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 - -
220253276282256261262--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ferme-château, donjon du XVIIe siècle, pigeonnier.
  • Ferme de Béville[34]
  • Ferme de la Bruyère
  • Passage d'une voie romaine[35]
  • La croix à l'entrée du village
  • Salle des fêtes
  • Lavoir, sources.

Édifice religieux[modifier | modifier le code]

  • Commune sans église[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Émile Job (1874-1932), médecin colonel, chevalier de la Légion d’honneur (1915), né à Béville[37].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Verronais, Département de la Moselle, 1844 (réédition Res Universis, 1992).Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Glatigny » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « le ruisseau de Vallieres »
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Glatigny et Augny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 560.
  17. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
  18. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 288.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968. p. 322.
  20. Albert Dauzat et Charles Rostaing qui proposent *Glatto dans ce cas précis également in Op. cit. p. 322.
  21. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986.
  22. Michel Roblin, Le Terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque : peuplement et défrichement dans la Civitas des Parisii (Seine, Seine-et-Oise), éd. A. et J. Picard, Paris, 1951; thèse soutenue à l’Université de Paris, p. 115.
  23. Marie-Rose Simoni-Aurembou, Atlas Linguistique de l’Île-de-France et de l’Orléanais, CNRS, Paris, vol. I, 1973, carte no 17.
  24. Walther von Wartburg, puis Jean-Pierre Chambon, Französisches etymologisches Wörterbuch, Bâle, 1928-…, t. IV, p. 157a et 830a, s.v. glĭttus.
  25. Wikimanche Glatigny
  26. Michel Roblin, Op. cit.
  27. Cette analyse est reprise et développée dans Dominique Fournier, La variation microtoponymique en Normandie, Étude microtoponymique de l’interfluve défini par les vallées de la Dives et de la Vie, thèse de Doctorat en Sciences du Langage, Université Paris XIII, 1990, p. 134, § 60.
  28. Jean-Paul Philips, Patrimoine rural en Pays messin, Éditions Serpenoise, 2007.
  29. Bérénice Rocfort-Giovanni, « Le juif et le village maudit », Le Nouvel Observateur no 2575, semaine du 13 mars 2014, pages 82.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Jardin de la ferme de Béville - Glatigny 57 - Journées du patrimoine - Lorraineaucoeur
  35. « Glatigny (Moselle) - Fiche - Quid.fr »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  36. « Pays messin. Savez-vous quelles communes n’ont pas d’église (mais où les cloches déposent tout de même des chocolats aux enfants pour Pâques) ? », sur www.republicain-lorrain.fr (consulté le )
  37. http://www.genealogie-metz-moselle.fr/pays-messin/personnages/job-emile.pdf