Cheminot (Moselle)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cheminot
Longeville-lès-Cheminot
Cheminot (Moselle)
Église Saint-Maurice de Cheminot.
Blason de Cheminot Longeville-lès-Cheminot
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Messin
Maire
Mandat
François Henot
2020-2026
Code postal 57420
Code commune 57137
Démographie
Gentilé Chémérois [1]
Population
municipale
816 hab. (2021 en augmentation de 5,84 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 56′ 51″ nord, 6° 08′ 24″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 255 m
Superficie 11,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Faulquemont
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cheminot
Longeville-lès-Cheminot
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cheminot
Longeville-lès-Cheminot
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Voir sur la carte topographique de la Moselle
Cheminot
Longeville-lès-Cheminot
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Cheminot
Longeville-lès-Cheminot

Cheminot est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cheminot se situe en Moselle, dans le canton de Faulquemont, à 20 km au sud de Metz et à 9 km de Pont-à-Mousson.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible[2].

Carte de la commune.

La commune est composée du village de Cheminot, de celui de Longeville-lès-Cheminot, de la Ferme de La Vanoue (dont l'origine est antérieure à 1447) et du lieu-dit Marly-aux-Bois.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Seille[3], le ruisseau de Moince[4], le fossé de l'Etang[5], le ruisseau de la Corvee[6] et le ruisseau de Vorvang[7],[Carte 1].

La Seille, d'une longueur totale de 137,7 km, prend sa source dans la commune de Maizières-lès-Vic et se jette dans la Moselle à Metz en limite avec Saint-Julien-lès-Metz, après avoir traversé 57 communes[8].

Le ruisseau de Moince, d'une longueur totale de 18 km, prend sa source dans la commune de Solgne et se jette dans la Seille à Éply, après avoir traversé six communes[9].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Cheminot.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Seille et du ruisseau de Moince, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité. Ainsi en 2020, dernière année d'évaluation disponible en 2022, l'état écologique de la Seille était jugé médiocre (orange)[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 732 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « M.n.l. », sur la commune de Goin à 7 km à vol d'oiseau[12], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 678,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,3 °C, atteinte le [Note 1],[13],[14].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[15]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Le village est placé entre l'autoroute A31 et la gare lorraine du TGV Est.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté de communes du Sud Messin.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cheminot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[17],[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,1 %), prairies (28,8 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

En lorrain : Chemnat[23].
Cheminot est déjà connue à l’époque gallo-romaine sous le nom de Villa Caminetum. Elle borde la voie romaine reliant Marseille à Cologne.
Camenittum (945) ; Caminet (1075) ; Caminetum (1192) ; Cheminet (1211) ; Chaminetum (1227) ; Chaminat (1308) ; Chemenat (1338) ; Chaimenat (1372) ; Chamenat (1404) ; Chaminon (1429) ; Chamenet (1431) ; Cheminat (1500) ; Chaminot (1513) ; Cheminon (1594) ; Chemeno (XVIIe siècle)[23].

Sobriquet[modifier | modifier le code]

Lés hhofiats d’Chem’not (les soufflets/les asthmatiques de Cheminot)[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les fondations d’une importante villa romaine ont été trouvées près de la ferme de Marly-aux-Bois.

Par la suite, le village de Cheminot, ainsi que ceux de Longeville (actuel Longeville-lès-Cheminot), Éply, Lesménils et Bouxières-sous-Froidmont, sont regroupés dans une seigneurie dépendant d’un palais de Charlemagne. Le , Hildegarde donne le domaine à l’abbaye de Saint Arnoul. L'abbaye conserva cette propriété jusqu’à la Révolution de 1789.

En 783, fondation et donation de la reine impératrice Hildegarde femme de Charlemagne "donnant la susdite seigneurie de Cheminot, autrement Vachières, qu'elle possédait au tittre de douaire, avec toute intégrité, franchise et exemption de droit régalien et de franc alleu" à l'abbaye royale de Saint Arnoul[25].

En 1075, Heriman, Evêque de Metz, confirme le franc alleu de Longueuille ban de Cheminot conformément aux exigences de Charlemagne Roi de France, & Empereur donnant à Saint Arnoul le ban de Cheminot, " qui defend tres expressement à l’Abbé, & Religieux d’icceluy de iamais ne le donner en fief à personne, ainsi de le poseder tousjour avec la mesme authorité qu’il le possedoit. Que si les sieurs Treze (l'oligarchie messine) estoient souverains de Cheminot, ainsi qu’ils s'imaginent, il faudroie voir par quel tiltre ils le font, & quel droict, quel cens, quelle amende, quel revenu ils en tirent à cause de leur souveraineté imaginaire."[26]

En 1211, une charte de Thiébaut, Comte de Bar, accordée à l'Abbaye de Saint Arnoul, présente un Foulques, Chevalier de Norroy, engageant son fief de Cheminot qu'il tenait des abbés de Saint Arnoul[27].

En 1404, Philippe de Norroy, seigneur de Port-sur-Seille,au service du comte de Nassau et contre le duc de Bar, fait brûler le village et ravage les environs de Metz[28]. Le , au cours du siège de Metz, le roi de France Charles VII occupe à son tour le village.

Après la Révolution, le 22 prairial de l’an VIII, les villages de Cheminot et Longeville sont regroupés en une seule commune.

Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Cheminot est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Les villages de Cheminot et Longeville-lès-Cheminot sont rebaptisés respectivement Kemnat et Langendorf bei Kemnat en . Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent pour l’Empire. En 1919, Cheminot redevient française.

La commune est de nouveau annexée à l'Allemagne en 1940. La Seconde Annexion durera quatre ans. Le , la population est expulsée vers Vic-Fezensac dans le Gers, ainsi qu’à Muret dans la Haute-Garonne. Elle est remplacée par des colons lorrains de la région de Bitche, eux-mêmes expulsés, et par des colons allemands du Palatinat. En 1941, les villages de Cheminot et Longeville-lès-Cheminot sont respectivement rebaptisés Kemmen et Langendorf bei Kemmen. La commune est libérée le , à la fin de la bataille de Metz[29].

De 1790 à 2015, Cheminot était une commune de l'ex-canton de Verny.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1820 1828 Jacques Barthélemy    
? 1947 Jean Laurent    
1953 mars 1971 Antoine Gabbardo    
mars 1971 mars 2008 Jean Lorrain    
mars 2008 avril 2014 Claude Leroy    
avril 2014[30] En cours François Hénot    

En 1923, le maire Jules Martin démissionne, car les habitants du village refusèrent d’aller bénir le corps défunt de sa fille de 6 ans morte de diphtérie (peur de l’épidémie).

En 1947, le maire Jean Laurent démissionne car son métier de policier est incompatible avec la fonction.

Le , les archives municipales sont détruites par un incendie.

Fin 1956, plusieurs conseillers municipaux démissionnent pour protester contre le mode de facturation de l’eau au bétail.

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

La mairie..

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :

  • total des produits de fonctionnement : 419 000 , soit 532  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 380 000 , soit 483  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 50 000 , soit 64  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 123 000 , soit 157  par habitant ;
  • endettement : 191 000 , soit 243  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 17,95 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 24,15 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,55 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 410 [32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 816 habitants[Note 4], en augmentation de 5,84 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
349307300590644620624580561
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
579594556514507501470468366
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
361356364187365306344386490
1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 - -
507535614625684775816--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[37] :

  • Écoles maternelles et primaires.
  • Collèges à Verny, Pont-à-Mousson, Pagny-sur-Moselle, Nomeny.
  • Lycées à Pont-à-Mousson, Peltre, Marly.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[38] :

  • Médecins à Cheminot, Atton, Louvigny, Pont-à-Mousson,
  • Pharmacies à Pont-à-Mousson, Maidières, Blénod-lès-Pont-à-Mousson, Pagny-sur-Moselle,
  • Hôpitaux à Pont-à-Mousson, Faulx, Gorze, Jury, Pompey.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Plus de 100 salariés travaillent en 2006 sur la commune.

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[40].
  • Culture et élevage associés.
  • Élevage d'ovins et de caprins.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
  • Élevage de vaches laitières.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Restaurants.
  • Gîte de France.
  • Hébergements et restauration à Pont-à-Mousson, Marieulles, Vandières.

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • L’actuelle mairie se situe dans une ancienne maison de type Renaissance construite au XVIe siècle dont les Façades et toitures sont inscrites au titre des monuments historiques par arrêté du [41].
  • Juste à côté de l’église, se trouve le monument aux morts[42], création du sculpteur Okuda, inspirée du plafond de la chapelle Sixtine. Il fut inauguré le [43].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Ancienne chapelle Saint-Pierre de Longeville-lès-Cheminot.

L’église Saint-Maurice : Le principal monument du village est l’église Saint-Maurice de Cheminot. Elle fut édifiée par l’abbé Richer au début du XIIIe siècle sur l’emplacement d’une ancienne église du VIIIe siècle où reposaient les reliques de saint Redemptius.

Achevée en 1229, elle est parfois appelée « la cathédrale de la Seille ».
Elle subit de nombreux dommages durant les siècles qui suivirent. En 1308, elle est saccagée par Renaud de Bar (évêque de Metz). En 1404 et 1443, elle est en partie brûlée. En 1444, elle est pillée.
Elle fut plusieurs fois restaurée et remise en état durant tous ces siècles. Les fresques qui recouvraient les murs furent effacées au XVIIIe siècle.
La dernière destruction eut lieu en 1944, pendant la libération du village. La restauration commença en 1950 et ne fut achevée qu'en 1962 avec l'arrivée des cloches.
Elle est classée monument historique depuis 1888[44].

Ancienne chapelle Saint-Pierre de Longeville-lès-Cheminot :

À Longeville-lès-Cheminot[45] la chapelle Saint-Pierre date du XIIe siècle, elle était occupée par des bénédictins. C’est une maison d’habitation depuis 1800.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean Thomas (1770 - 1853), général français de la Révolution et du Premier Empire, né à Cheminot.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

"Cheminot (Moselle)" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Cheminot » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chémerois : Chémeroises
  2. Dossier départemental des risques majeurs de la commune
  3. la Seille
  4. Ruisseau de Moince
  5. Fosse de l'Etang
  6. Ruisseau de la Corvee
  7. Ruisseau de Vorvang
  8. Sandre, « la Seille »
  9. Sandre, « le ruisseau de Moince »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Cheminot et Goin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « M.n.l. », sur la commune de Goin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « M.n.l. », sur la commune de Goin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  23. a et b Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
  24. Passé-Présent : La Moselle dévoilée N°9 (Juin-juillet-août 2013)
  25. Valladier, L’auguste basilique de l’abbaye royale de Saint Arnoul de Metz de l’ordre de Saint Benoit, 1615
  26. Valladier, L’auguste basilique de l’abbaye royale de Saint Arnoul de Metz de l’ordre de Saint Benoit...1615
  27. François, Jean, et Nicolas Tabouillot. Histoire de Metz :  [919-1523]. 7 vol. Histoire de Metz. Paris: Éditions du Palais-Royal, 1974.
  28. Comptes de Collin Drouin ADMeuse B 1520.
  29. La Moselle libérée, in 1944-1945 : Les années liberté, Le républicain Lorrain, Metz, 1994 p. 15.
  30. « Cheminot : François Hénot élu maire », sur republicain-lorrain.fr, Le Républicain lorrain (consulté le ).
  31. Les comptes de la commune
  32. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Établissements d'enseignements
  38. Professionnels et établissements de santé
  39. Communauté de Paroisses Saint-christophe En Seille
  40. Annuaires
  41. « Maison numéro 56 », notice no PA00106746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Monument aux morts (Yoshi Okuda)
  43. Monument aux morts de Cheminot, par Yoshi Okuda - 1981
  44. « Eglise Saint-Maurice », notice no PA00106745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Ancienne chapelle Saint-Pierre de Longeville-lès-Cheminot