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Villeréal

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Villeréal
Villeréal
Église Notre-Dame.
Blason de Villeréal
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais Périgord
Maire
Mandat
Guillaume Moliérac
2020-2026
Code postal 47210
Code commune 47324
Démographie
Gentilé Villeréalais
Population
municipale
1 270 hab. (2021 en évolution de +0,55 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 38′ 15″ nord, 0° 44′ 38″ est
Altitude 120 m
Min. 78 m
Max. 168 m
Superficie 13,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Agenais Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Villeréal
Géolocalisation sur la carte : France
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Villeréal
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Villeréal
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Villeréal

Villeréal est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

Localisation

Bastide située en Guyenne, en Agenais, la commune est traversée par le Dropt. Altitude 100 m. - Paris 575 km. - 35 km au sud de Bergerac (aéroport, gare) 60 km au nord d'Agen (aéroport, gare).

Hydrographie

Le Dropt, le ruisseau de la Margagnotte, le ruisseau de Labarbière sont les principaux cours d'eau parcourant la commune.

Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 806 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lacapelle-Biron-Pailloles », sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 903,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 55 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Villeréal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), zones urbanisées (8,3 %), forêts (6,3 %), prairies (3 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Histoire

Le nord-est de l'Agenais est au XIIIe siècle un pays de bois, une marche frontière du comté de Toulouse.
Alphonse de Poitiers est comte de Toulouse depuis 1249 par son mariage avec Jeanne de Toulouse, fille de Raymond VII de Toulouse. Il va alors construire quatre bastides pour coloniser la région : Monflanquin en 1256, Castillonnès en 1259, Villeréal en 1267 et Eymet en 1270.
Mais le , Louis IX signe le traité de Paris avec le roi d'Angleterre Henri III. Pour arrêter le conflit avec le roi d'Angleterre, le roi de France rétrocède la suzeraineté sur le Limousin, le Périgord, la Guyenne, le Quercy, la Saintonge, et l'Agenais si Alphonse de Poitiers meurt sans héritier, contre l'hommage féodal du roi d'Angleterre pour ses seigneuries en France et son renoncement à la Normandie, au Maine, à l'Anjou et au Poitou. Ce traité va amener Alphonse de Poitiers à développer la construction des bastides. Le , Gaston III de Gontaut cède un terrain dans la forêt de Montlabour, de la juridiction de Biron, à Alphonse de Poitiers pour fonder la bastide de Villeréal mais s'y réserve un droit de péage et tout ce qui lui appartient hors de l'enceinte[21].
Fin août 1271, Jeanne de Toulouse et Alphonse de Poitiers meurent. Le comté de Toulouse est réuni à la couronne conformément au traité de Paris de 1229.
Le roi d'Angleterre exige l'application des clauses du traité de Paris de 1259. En application du traité d'Amiens, en 1279, le roi Philippe III cède l'Agenais, la Saintonge et le Ponthieu au roi d'Angleterre.

Cette « ville royale » est anglaise pendant la guerre de Cent Ans. Elle a changé plusieurs fois de suzeraineté entre 1279 et 1453.

En , la bastide est prise et des habitants sont massacrés par un groupe de protestants venant de Bergerac. Le , pendant les guerres de religion, la ville est prise par les protestants. Ils incendient l'église. La voûte s'effondre, elle est remplacée par un plafond lambrissé.

Entre 1651 et 1652, pendant la Fronde, le marquis de Biron décide de faire occuper la bastide par une garnison de six compagnies de soldats qui saccagèrent la contrée.

Le , Villeréal rejoint officiellement la liste des "Plus beaux villages de France" grâce à son architecture et son patrimoine remarquable.

Héraldique

Blason de Villeréal Blason
D'azur à trois tours d'or maçonnées de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1977 mars 2008 Guy Berny PS puis CPNT Conseiller général du canton de Villeréal (1976-2008)
mars 2008 mai 2020 Pierre-Henri Arnstam DVG Retraité de l'audiovisuel
mai 2020[22] En cours Guillaume Moliérac PS Conseiller régional depuis 2015

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 1 270 habitants[Note 6], en évolution de +0,55 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0801 2641 2831 2951 3821 4231 6871 6641 746
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6971 7191 6861 6421 8041 7411 7281 5601 617
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5411 5101 4281 1141 1551 1861 2511 2741 211
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1421 2801 3591 1381 1951 1861 2491 2571 314
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2631 2751 270------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Culture et festivités

Bodéga de Villeréal

La Bodéga

Fête emblématique de la bastide de Villeréal, cette manifestation a lieu depuis 20 ans le dernier dimanche de juillet. Organisée sur un esprit festif, de musique et de gastronomie aux airs espagnols, elle rassemble chaque année entre 5000 et 8000 personnes dans le village le temps d'une soirée.

Sports

Rugby à XV

Champion de France Honneur 2003 en battant le CA Bédarieux 19-17 Vice champion de France Honneur 2014 (battu par Saint-Girons SC 34-19. L'US Villeréal décline la montée en Fédérale 3 et décide de rester en Honneur pour la saison 2014-2015 Juniors (Entente des 4 Cantons Haut Agenais): Champion de France Balandrade 2008, champion de France Philiponeau 2004,

Jumelages

Lieux et monuments

Halle, église et maisons à colombages.
Église et maison à colombages sur la place principale.
  • Bastide (ville nouvelle du Moyen Âge) dont la construction commence en 1267. La ville est d'abord entourée de fossés larges d'environ sept mètres creusés par les habitants de la bastide. Celle-ci est quadrillée par huit rues se coupant à angles droits, divisant la ville en ville haute et ville basse. des ruelles traversières, les cerrerots, permettent de séparer les parcelles et d'assurer une meilleure protection contre l'incendie. On ne pouvait entrer dans la bastide que par la rue Saint-Michel où un pont permettait de franchir les douves côté ouest. Au centre se trouvait la place entourée de couverts au-dessus desquels se trouvaient les maisons des marchands. Le rez-de-chaussée servait au commerce et à l'artisanat.
    Dans un angle, côté nord, une maison servait de tour de guet.
    Près de l'église, avec laquelle il communiquait, avait été construit un fort avec quatre tours. Il était l'habitation du bailli et la prison. Le fort a été rasé en 1786. Il n'en reste plus que le nom donné à l'endroit.
  • Église Notre-Dame [27],[28],[29]. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1927[27]. L'église a été construite dans le style gothique méridional. Elle a un plan de croix latine et comprend quatre chapelles. Sa construction a été entreprise en même temps que la bastide, à partir de 1267. Elle servait de dernier réduit de défense de la population de la bastide aussi les murs sont épais et munis de contreforts. Elle est flanquée de tourelles d'angle, celle à gauche de la façade contient l'escalier à vis éclairé par des meurtrières donnant accès au chemin de ronde coiffé d'une toiture en bâtière. L'église pouvait recevoir une vingtaine de défenseurs. La tourelle de droite comprend à son sommet une chambre ayant servi de prison. On y a logé aujourd'hui l'horloge. Elle était entourée d'un fossé et on y accédait par un pont-levis. Cette protection a dû devenir obsolète quand les Anglais ont entrepris d'entourer la bastide d'une enceinte au début du XIVe siècle. L'église a encore servi de refuge aux habitants pendant la Fronde.
    Le tympan du portail à voussures était orné de statuettes qui ont été mutilées pendant les guerres de religion. Les portes latérales ont été murées en 1789. L'église possède trois cloches. La plus ancienne a été fondue en 1711, une autre en 1864, la dernière en 1950.
    Longueur : 39 m
    Largeur : 26 m
    Hauteur : 14 m
    La nef comprend cinq travées.
    La ville a été prise par les protestants en 1572. La voûte s'est effondrée et a été replacée par un plafond lambrissé.
    Des travaux de restauration ont été entrepris à partir de 1881. Les murs sont rehaussés de 4 mètres. La voûte actuelle a été refaite en 1884-1885. Des tribunes ont alors été construites. Les fenêtres ont été munies de vitraux représentant des scènes bibliques et des mystères de Notre Dame.
    Le retable à caissons du XVIIe siècle a été restauré en 1994.
  • Halle centrale XIVe[30] sur piliers de bois avec étage en torchis. Elle a été refaite en conservant des éléments plus anciens, aux environs de 1515 d'après l'étude dendrochronologique des piliers en chêne. Elle avait d'abord été construite en chêne avec les arbres de l'endroit. Elle abritait les mesures à grain officielles. Elle a été surélevée d'un étage en pans de bois garnis de torchis qui a servi de salle consulaire, ou maison des jurats, où se réunissaient les notables de la bastide jusqu'en 1908. Radio 4, une radio locale associative, s'y est installée en 1983[31].
  • Ancien couvent des Filles de la Foy. Ce couvent a été créé sur le côté ouest de la place de la halle, en 1713, pour l'enseignement des filles. L'ensemble a été morcelé, en 1908, au moment de la construction de la mairie qui a aussi entraîné la disparition des trois maisons à cornière qui subsistaient.
  • Maison, 34 rue Saint-Roch. Cette maison à deux niveaux a une très belle façade en pierre appareillée. On peut voir au premier étage une fenêtre à croisée de la fin du XVe siècle. Une autre fenêtre à deux quartiers plus petite se trouve au deuxième étage. La tradition locale l'appelait « maison du bayle ». Elle était probablement la maison d'un riche marchand.
  • Léproserie : une maison du quartier Saint-Roch, rue Sainte-Colombe, aurait pu servir d'asile pour les lépreux d'après la porte sculptée sur laquelle on peut lire « Deus noster refugium » (« Dieu est notre refuge »), mais il pourrait s'agir de pierres de réemploi.
  • Ancienne gare des tramways de Lot-et-Garonne, boulevard Alphonse de Poitiers.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Villeréal et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Villeréal et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. Pierre Lavedan, Jeanne Hugueney, Bastides de l'Agenais, pp. 9-32, dans Congrès archéologique de France. 127e session. Agenais. 1969, Société Française d'Archéologie, Paris, 1969
  22. Pierre-Antony Épinette, « Moliérac à Villeréal », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 18.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. a et b Notice no PA00084276, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église Notre-Dame
  28. Jacques Gargelle, Aquitaine gothique, pp. 260-261, Picard, Paris, 1992 (ISBN 2-7084-0421-0).
  29. Dictionnaire des Églises de France, Belgique, Luxembourg, Suisse. Tome IIIB. Guyenne, pp. 176, Robert Laffont, Paris, 1967
  30. Notice no PA00084278, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Halle
  31. Voir document de l'office de tourisme pour la visite de la bastide.