Mortemart

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Mortemart
Mortemart
Château de Mortemart.
Blason de Mortemart
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Bellac
Intercommunalité Communauté de communes Haut-Limousin en Marche
Maire
Mandat
Marie-Catherine Barret-Bonnin
2020-2026
Code postal 87330
Code commune 87101
Démographie
Population
municipale
125 hab. (2021 en augmentation de 9,65 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 33″ nord, 0° 57′ 26″ est
Altitude Min. 254 m
Max. 355 m
Superficie 3,60 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bellac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Mortemart
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Mortemart
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Mortemart

Mortemart (Mòrta Mar en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine (jusqu'en 2015 dans le Limousin).

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de Mortemart en Haute-Vienne.

Mortemart est située à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest de Limoges, dans les monts de Blond, premiers contreforts du Massif central à dépasser 400 mètres d'altitude, en venant de l'Atlantique.

Mortemart appartient à l'association Les Plus Beaux Villages de France.

Mortemart est une des dix-huit communes qui composent la communauté de communes du Haut-Limousin : Bellac, Berneuil, Blanzac, Blond, Bussière-Boffy, Bussière-Poitevine, Cieux, Gajoubert, Mézières-sur-Issoire, Montrol-Senard, Mortemart, Nouic, Peyrat-de-Bellac, Saint-Barbant, Saint-Bonnet-de-Bellac, Saint-Junien-les-Combes, Saint-Martial-sur-Isop, Saint-Ouen-sur-Gartempe.

D'une superficie de 3,6 km2, la commune est la plus petite du département.

Communes voisines[modifier | modifier le code]

  • Montrol-Sénard à environ 1 km
  • Nouic à environ 4 km
  • Blond à environ 7 km
  • Mézières-sur-Issoire à environ 9 km
  • Montrollet à environ 10 km
  • Javerdat à environ 10 km
  • Bussière-Boffy à environ 11 km
  • Cieux à environ 12 km
  • Saint-Christophe à environ 13 km
  • Bellac à environ 14 km
  • La Croix-sur-Gartempe à environ 14 km
  • Saint-Bonnet-de-Bellac à environ 14 km
  • Peyrat-de-Bellac à environ 14 km
  • Vaulry à environ 15 km
  • Brigueuil à environ 15 km

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Mortemart
Blond
Nouic Mortemart
Montrol-Sénard

Homonymie[modifier | modifier le code]

Dans la forêt de Brotonne (Seine-Maritime), il existe un rond de Mortemart par lequel passe la départementale 131. De même, dans le Bois de Boulogne existe une butte Mortemart (il existe également dans le Bois de Vincennes une route et un rond-point de Mortemart - sans lien géographique avec les autres lieux).

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Val d'Issoire à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 988,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mortemart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48 %), zones agricoles hétérogènes (36,8 %), forêts (15,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Mortemart est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mortemart.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 35,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Mortemart est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Mortemart existe avant l’an mil et le village s’est développé autour de l’ancienne motte féodale puis du château de pierre construit en 995 par le seigneur de Mortemart, Abon Drut, château qu'il édifie après avoir défendu victorieusement la cité de Bellac, appartenant au comte de la Marche, contre Guillaume le Grand, comte de Poitiers, son suzerain.

Le château est détruit au XIVe siècle par les Anglais. Il est reconstruit sur un site différent, puis démantelé sur ordre de Louis XIII. Il est resté en ruine jusqu'au début du XXe siècle.

Le domaine des Mortemart passe par mariage dans la famille des Rochechouart en 1205. Quelques années plus tard, naît la maison de Mortemart qui donna de grands personnages à la France : Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, la marquise de Montespan (favorite de Louis XIV) ; Louis-Victor, général des galères du Roi Soleil et Marie-Clémentine dite Manuela, sculpteur féministe.

En 1330, le cardinal Pierre Gauvain, natif du village, change totalement le visage de Mortemart. Il fonde trois monastères : les Augustins, les Carmes et les Chartreux (disparu au siècle suivant), un hôtel-Dieu et un collège. De nos jours, les religieux sont partis mais les bâtiments ont survécu, ainsi que les maisons anciennes qui font le charme de ce village.

Le château en ruine a été racheté par un représentant de la famille des ducs de Mortemart à la fin du XIXe siècle et entièrement restauré — avec douves — au XXe siècle. Il est classé monument culturel français depuis 1985.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Mortemart se blasonnent ainsi :

Fascé ondé d’argent et de gueules.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Jean-Claude Brandy    
2020 Nicole Gonthier[19]    
2020 En cours Marie-Catherine Barret-Bonin    
Les données manquantes sont à compléter.

Participations aux élections[modifier | modifier le code]

Élection Inscrits Abstentions Votants Blancs
et nuls
Exprimés Résultat
Référendum 1992 (Maastricht) 137 34 (24,82 %) 103 (75,18 %) 6 (5,83 %) 97 (94,17 %) Oui : 48 (49,48 %). Non : 49 (50,52 %)
Européennes 2004 103 33 (32,04 %) 70 (67,96 %) 7 (10,00 %) 63 (90,00 %)
Référendum 2005 108 15 (13,89 %) 93 (86,11 %) 3 (3,23 %) 90 (96,77 %) Oui : 42 (46,67 %). Non : 48 (53,33 %)
Présidentielle 2007 115 8 (6,96 %) 107 (93,04 %) 2 (1,87 %) 105 (98,13 %) Nicolas Sarkozy : 53 (50,48 %). Ségolène Royal : 52 (49,52 %)
Municipales 2008 (11 sièges à pourvoir) 123 7 (5,69 %) 116 (94,31 %) 8 (6,50 %) 108 (87,80 %) Nicole Gonthier

Source : Ministère de l'intérieur

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 125 habitants[Note 3], en augmentation de 9,65 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
308208298266273295336317287
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
296267279305321291300291279
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
301313261273275247214213217
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
201200161152126125131116114
2020 2021 - - - - - - -
123125-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Couvent des Augustins.
Couvent des Carmes.
La halle en bois, sur la place du village.
  • Le château des Ducs (XVe siècle)[24] : ce petit corps de logis présentant deux tours rondes fut construit par les seigneurs de Mortemart qui n'étaient pas encore ducs. L'élévation à ce titre ne se fit que sous Louis XIV, soit deux siècles après la construction du château.
  • La chartreuse de Mortemart, fondée en 1335 par Pierre Gauvain, dit le cardinal de Mortemart, du fait de son lieu de naissance, est accompagnée de la fondation conjointe d’un couvent d’augustins, chargés d'élever douze enfants ; d’un autre de carmes appelés à diriger un hôpital et d’une collégiale de douze chapelains, probablement restée à l'état de projet ; devant assurer tous ensemble la Laus perennis (Louange éternelle)[25].
  • Le couvent des Augustins (XVIIIe siècle)[26] : véritable petit château, ce bâtiment monastique était le lieu de résidence des derniers chanoines de la commune, il fut construit sur les plans de l'architecte Joseph Brousseau. C'est aujourd'hui une propriété privée.
  • L'église des Augustins (XIIIe siècle)[27], dédiée à Saint-Hilaire-de-Poitiers : ancienne chapelle du couvent, aujourd'hui église paroissiale. Son clocher, constitué d'une tour octogonale, est surmonté d'une flèche curieusement penchée. Son plan intérieur, purement rectangulaire, lui confère une grande austérité. Elle renferme toutefois de splendides stalles du XVe siècle de style flamboyant, et son chœur est décoré d'un magnifique retable baroque.
  • Le couvent des Carmes (XVIIe siècle)[28] : faisant face à l'église des Augustins, il est d'une grande sobriété mais conserve de nombreux éléments intéressants comme son portail classique et son escalier.
  • La halle : entièrement en bois, elle est située au centre de la place royale.
  • Les maisons des notables : maison du Sénéchal, maison de Verdilhac, maison de l'Échauguette, maison du chevalier de Béon.

L'église des Augustins[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • René Rougerie, éditeur de poésie.
  • Maison de Rochechouart de Mortemart.
  • Cardinal Pierre Gauvain, né à Mortemart, évêque de Viviers (Ardèche), puis d'Auxerre, mort le (un vendredi saint) inhumé dans l'église du Moustiers, à Mortemart.
  • Histoire de Mortemart par Lorgue, 1893, Société historique et archéologique du Limousin.
  • Une partie du tournage du téléfilm 1905, diffusé en 2005 et 2009 sur France 2, a été réalisée à Mortemart.
  • Un téléfilm a récemment été tourné à Mortemart, en , avec Philippe Chevalier.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Mortemart et Val d'Issoire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bussière Boffy » (commune de Val d'Issoire) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bussière Boffy » (commune de Val d'Issoire) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Mortemart », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Charles-Laurent Salch - Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France - p. 818 - Éditions Publitotal - Strasbourg - 1979
  25. Anonyme, Maisons de l'Ordre des Chartreux : Vues et notices, t. 4, Parminster, Sussex, Chartreuse de Saint-Hugues, , 308-309 p. (lire en ligne), p. 181-183.
  26. Base Mérimée Couvent des Augustins
  27. Claude Andrault-Schmitt - Limousin gothique - p. 280-286 - Picard Editeur - Paris - 1997 - (ISBN 2-7084-0530-6).
  28. Les Chartreux à Mortemart