Sainte-Agnès (Alpes-Maritimes)

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Sainte-Agnès
Sainte-Agnès (Alpes-Maritimes)
Vue de Sainte-Agnès.
Blason de Sainte-Agnès
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Riviera française
Maire
Mandat
Albert Filippi
2020-2026
Code postal 06500
Code commune 06113
Démographie
Gentilé Agnésois
Population
municipale
1 351 hab. (2021 en augmentation de 11,29 % par rapport à 2015)
Densité 144 hab./km2
Population
agglomération
69 134 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 05″ nord, 7° 27′ 44″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 1 238 m
Superficie 9,37 km2
Unité urbaine Menton-Monaco (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Monaco - Menton (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Menton
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Sainte-Agnès
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Sainte-Agnès

Sainte-Agnès est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants, au nombre de 1 338 en 2019, sont appelés les Agnésois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Village littoral le plus haut d'Europe[1], Sainte-Agnès est par ailleurs classé parmi les plus beaux villages médiévaux de France.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 933 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 2,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Peille », sur la commune de Peille à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 935,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,3 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sainte-Agnès est une commune urbaine[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Menton-Monaco (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 9 communes[12] et 69 134 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Monaco - Menton (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

La commune est constituée de trois secteurs géographiques distincts :

  • le village datant du XIe siècle ;
  • la vallée (les Castagnins, le Pescaïre, le Figourne notamment) : route d'accès au village (RD 22) ;
  • les Cabrolles au sud-est, attenant à Menton.

Un projet de plan local d'urbanisme[17] est à l'étude, tandis que onze communes de la zone montagne situées sur le territoire de la Riviera française (Roya et Bévéra) sont concernées par l'espace valléen, qui s'intègre dans le futur Schéma de cohérence territoriale (SCOT)[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Sainte-Agnès vue depuis le Pas de la Piastre sur l'itinéraire de montée à la cime de Baudon sur fond de Méditerranée.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,5 %), forêts (36,1 %), zones urbanisées (14,4 %)[19].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Accès : depuis Menton, prendre la RD 22, rejoindre la vallée du Borrigo qui mène à Sainte-Agnès. Autoroute A8 : Sortie Menton.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Services réguliers et Bus à la demande[20].

Hydrographie et eaux souterraines[modifier | modifier le code]

L'eau dans la commune : la commune dispose de 4 forages et de 6 sources[25] :

* la source du Bausson ; * la source de Reinier ; * la source de l'Orméa ; * la source du Figourne ; * la source de la Mounega ; * La source du Borrigo au col de Verroux[26].

Sainte-Agnès dispose de deux stations d'épuration :

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Sainte-Agnès
Peille Castillon Castillon
Peille Sainte-Agnès Menton
Gorbio Gorbio Menton

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Sainte-Agnès Blason
D'azur aux trois étoiles d'or[29].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les langues des Alpes-Maritimes avec Sainte-Agnès en zone mentonasque
  • Occitan vivaro-alpin (alpin)
  • Occitan vivaro-alpin (mentonnais)
  • Occitan vivaro-alpin (intermédiaire)
  • Occitan provençal (niçois)
  • Occitan provençal (maritime)
  • † Figoun (remplacé par le provençal)
  • Royasque, dont
  • Tendasque (Royasque)
  • Brigasque (Royasque)

Le nom vivaroalpin de la commune est « Sant Anh » (graphie occitane), « Sant Agn » (graphie mistralienne), le gentilé correspondant est Gaines (graphie occitane) ou Gaïnés (graphie locale).

Sainte-Agnès fait partie de l'aire mentonasque. Le parler a connu une évolution phonétique spécifique qui a fait l'objet de plusieurs études[30],[31],[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

Selon la légende, une princesse italienne en voyage, dénommée « Agnès », fuyant un violent orage, aurait trouvé refuge dans une grotte du village.

Perché à 800 m sur un piton rocheux, le château pourrait dater de 1180. Après les découvertes des fouilles de 1993[33], les assises de la tour remontent à la fin du Xe siècle ou au début du XIe siècle. Sainte-Agnès relevait alors du comté de Vintimille puis de Charles d'Anjou, comte de Provence en 1258[34].

Comme tout le pays de Nice, le village se rallia en 1388 au comte Amédée VII de Savoie.

Pendant l'occupation du comté par les troupes de Louis XIV, les Agnésois ayant encouragé à la résistance leur bourg voisin de Peille, le chevalier de la Fare, gouverneur du comté de Louis XIV, fit détruire le château en 1691[35], comme du reste toutes les forteresses du comté, dont le château de Nice. Mais cette destruction ne fut pas totale et la forteresse joua de nouveau un rôle dans la Guerre de Succession d'Autriche de 1744 à 1749[Note 4].

Il a donc été l'objet de nombreuses convoitises de la part des comtes de Vintimille, des comtes de Provence, de la Maison de Savoie et même des Grimaldi.

Dépendant du royaume de Piémont-Sardaigne, Sainte-Agnès ne fut définitivement rattachée à la France qu'en 1860.

En 1932, débute la construction de l'ouvrage de Sainte-Agnès, creusé dans le rocher et doté d'une redoutable artillerie. Ultime maillon de la ligne Maginot, sa force de feu permit de stopper les troupes italiennes[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté d'agglomération de la Riviera Française.

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[37] :

  • total des produits de fonctionnement : 957 000 , soit 701  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 812 000 , soit 595  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 230 000 , soit 168  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 453 000 , soit 332  par habitant ;
  • endettement : 879 000 , soit 644  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 10,75 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,84 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 29,44 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2019 : médiane en 2019 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 140 [38].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1989 Roger Valetta    
1989 2008 Michel Revel    
2008 En cours Albert Filippi[39] UMP-LR[40] Cadre

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 1 351 habitants[Note 5], en augmentation de 11,29 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
378393420533568621583551516
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
534539547547532525525519527
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
371368372409305278312304361
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
4559441 0941 1791 1911 1691 3281 351-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[45] :

  • Écoles maternelles et primaires[46] à Menton, Gorbio,
  • Collèges à Menton,
  • Lycées à Menton.

Santé[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique, église Notre Dame des Neiges, Paroisse Notre Dame des Rencontres, Diocèse de Nice[48].

Économie[modifier | modifier le code]

Sainte-Agnès est très prisée des citadins qui font le choix de venir vivre à la campagne. Ces néoruraux y achètent de jolies maisons en pierre. La flambée des prix est telle qu'elles peuvent se vendre jusqu'à 7 000 euros le mètre carré.

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Activités agricoles, gastronomie : agrumes, oliviers, lavande.

Tourisme[modifier | modifier le code]

L'activité principale est tournée vers le tourisme. Depuis 1997, le village est classé parmi « Les Plus Beaux Villages de France » grâce à un patrimoine et une situation exceptionnelle dans l’arrière-pays niçois[49].

Sainte-Agnès est par ailleurs partie intégrante du projet du Département des Alpes-Maritimes, co-candidat officiel de l’inscription « Les Alpes de la Méditerranée » au patrimoine mondial de l’UNESCO[50] conduite par le Groupement Européen de Coopération Territoriale[51].

Commerces et artisanat[modifier | modifier le code]

Les ruelles ancestrales du village attirent les artistes et artisans d’art.

La

Manifestations[modifier | modifier le code]

  • La fête de la lavande : deux jours de festivités en costume folklorique avec distillation de lavande sauvage qui ont lieu l'avant dernier week-end du mois de juillet[52].
  • Le critérium des randonneurs chaque 1er mai[53].

Jumelage[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

surplombant la baie de Menton et creusé profondément dans la falaise, il faisait partie de la ligne Maginot et a été construit dans la montagne entre 1932 et 1936. Il occupe une surface de 2 000 m2 et pouvait héberger 300 à 400 hommes de troupe pendant trois mois en complète autarcie. Le fort concentrait une très puissante artillerie bien conservée[55],[56],[57].
  • Les monuments commémoratifs[58].
  • Les ruines du château[59] :
situé sur le pic rocheux au-dessus du village, le château a été rasé sur ordre de Louis XIV, construit sur l'emplacement d'un castrum romain[60].
le jardin médiéval[61],[62], créé par l'association des « Peintres du Soleil »[63]. Superbe panorama sur la mer Méditerranée[64],[65].
La grotte et la chapelle d'Anna[68],[69],[70].
La chapelle de Pénitents-Blancs[71],[72].
La chapelle Saint-Sébastien[73].
La chapelle Saint-Pascal-Cabrolles[74].
La chapelle Saint-Charles (Musée)[75] : l'espace culture et tradition présente de nombreuses toiles des « Peintres du Soleil »[76], une collection d'outils et d'ustensiles anciens et une autre des céramiques trouvées lors des fouilles archéologiques.
  • Le Droukgon Djangchoub Ling :
centre Drukpa du bouddhisme tibétain[77], situé 2347 route de l'Armée des Alpes[78].
  • Les sources, fontaines et lavoirs[79].
  • La cascade du Borrigo[80], qui prend sa source au col de Verroux, au pied du mont Ours, pour finir à la mer via le Borrigo[81],[82].
  • Le four communal[83].
  • Un patrimoine botanique riche et diversifié[84].

Activités[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Panneau d'information sur place
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. " le village littoral le plus haut d’Europe "
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Sainte-Agnès et Peille », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Peille », sur la commune de Peille - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Peille », sur la commune de Peille - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Menton-Monaco (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Plan Local d’Urbanisme et SCOt pour Sainte-Agnès
  18. Schéma de Cohérence Territoriale
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. Transports en commun
  21. torrent le borrigo, torrent de gorbio, torrent le careï
  22. Torrent du Borrigo
  23. Ruines de la Virette <> Cascade du Borrigo
  24. FRDR11542 : ruisseau de l'erbossièra
  25. Surveillance des eaux souterraines
  26. Fiche de synthèse sous bassins (masses d'eau cours d'eau) : Paillons et Côtiers Est
  27. Description de la station de Menton
  28. Description de la station communale
  29. « Sainte-Agnès », sur geneawiki.com (consulté le ).
  30. Jean-Philippe Dalbera. "Polymorphisme et innovation dans l'aire occitane alpine : le parler de St Agnès (A-Mmes)", Travaux du Cercle Linguistique de Nice, no 17, 1995, p. 3-27
  31. Michèle Olivieri. "Aperçu sur le système verbal du parler de Sainte-Agnès (A-Mmes)", Travaux du Cercle Linguistique de Nice, no 17, 1995, p. 37-64
  32. Jean-Philippe Dalbera, Michèle Olivieri. Reconstruction et modélisation. Les systèmes vocaliques des dialectes de l’aire mentonnaise.
  33. La fouille du château de Sainte-Agnès
  34. En 1258 la Provence s’étend vers l’est : Charles I d’Anjou achète Sainte-Agnès au comte de Vintimille
  35. Murs défensifs de Provence orientale du XIe siècle à la fin du Moyen Âge. Reconstitution du développement du château de Sainte Agnès
  36. Ligne Maginot. Tourisme sur des sites historiques militaires, par Bernard et Raymond Cima : Plan d'ensemble de l'ouvrage de Sainte-Agnès
  37. « Erreur », sur www.impots.gouv.fr (consulté le )
  38. « Dossier complet − Commune de Sainte-Agnès (06113) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
  39. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
  40. « Sainte-Agnès », sur http://www.acteurspublics.com/, Acteurs Publics (consulté le )
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. [1]
  46. École maternelle et élémentaire
  47. Médecins
  48. Église Notre Dame des Neiges
  49. Village avec le Label "Les Plus Beaux Villages de France"
  50. "Les Alpes de la Méditerranée"
  51. Candidature UNESCO : Les Alpes de la Méditerranée
  52. La fête de la lavande
  53. Les Randonnées à pieds…
  54. Signature du serment de jumelage entre Benešov et Sainte Agnès
  55. « poste d'observation dit observatoire militaire du Pic de Garuche », notice no IA06000039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  56. « blockhaus dit poste de Siricoca », notice no IA06000038, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  57. Cavités souterraines : ouvrage militaire
  58. Monument aux Morts place des Combattants, Plaques commémoratives dans l'église
  59. Michel Lapasset, Les résultats des fouilles de 2004 à 2007 au château de Sainte-Agnès (06), dans Mémoires de l'Institut de préhistoire et d'archéologie Alpes-Méditerranée, 2009, p. 163-180 (lire en ligne)
  60. Ruines du Château de Sainte Agnès
  61. Le jardin médiéval de Sainte-Agnès
  62. Le jardin médiéval
  63. Les Peintres du Soleil
  64. CG06 : Le jardin médiéval de Saint-Agnès
  65. Le Jardin Médiéval, Jardin des 5 Sens …
  66. Église Notre-Dame-des-Neiges Sainte-Agnès
  67. Église Saint-Michel-Cabrolles Sainte-Agnès
  68. Grotte à proximité du cimetière :
    Agnès, la légendaire princesse italienne y aurait séjourné. Surprise par l’orage, elle aurait imploré la protection de sainte Agnès qui lui aurait fait découvrir la grotte
  69. La grotte d'Anna
  70. La légende d'Anna
  71. Les Pénitents blancs
  72. Les églises et édifices religieux recensés par l'OPR à Sainte-Agnès
  73. Chapelle Saint Sébastien Sainte Agnès
  74. Chapelle Saint Pascal Cabrolles
  75. Chapelle Saint-Charles Sainte-Agnès (Musée)
  76. Association "Les peintres du soleil"
  77. cf. Remerciements in Milarépa, Les cent mille chants, 3e tomes, rédigé et traduit par Marie-José Lamothe, Fayard, 1993, (ISBN 2213030944)
  78. XIX - PROVENCE-CÔTE D'AZUR-CORSE
  79. Le patrimoine hydraulique
  80. La cascade du Borrigo, d’une hauteur d’environ vingt mètres, page 10
  81. la source du Borrigo, page 2
  82. Le sentier qui mène à la cascade de Borrigo démarre à Sainte-Agnès
  83. Le four communal
  84. Inventaire botanique non exhaustif de la commune

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Le site castral

Les ouvrages militaires

  • Fort de Sainte-Agnès : à la découverte des lieux de mémoire : Le Fort de Ste-Agnès, ouvrage de la ligne Maginot

Le patrimoine architectural et naturel

Histoire et légendes

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]