Uzès
Uzès | |
La cathédrale Saint-Théodorit et la tour Fenestrelle. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays d'Uzès |
Maire Mandat |
Jean-Luc Chapon 2014-2020 |
Code postal | 30700 |
Code commune | 30334 |
Démographie | |
Gentilé | Uzétiens |
Population municipale |
8 569 hab. (2014) |
Densité | 337 hab./km2 |
Population agglomération |
11 468 hab. (2009) |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 00′ 48″ nord, 4° 25′ 14″ est |
Altitude | 167 m Min. 49 m Max. 274 m |
Superficie | 25,41 km2 |
Élections | |
Départementales | Uzès (chef-lieu) |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.uzes.fr |
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Uzès est une commune française située dans le département du Gard, en région Languedoc-Roussillon.
Ses habitants sont appelés Uzétiens.
Uzès est qualifiée de premier duché de France, ce titre n’étant lié au duché qu'en raison de l'ordre de préséance dans la hiérarchie de la noblesse, attribuée au duc d'Uzès en 1565 par Charles IX, alors roi de France. Le titre était lié à l'homme et non à ses terres.
Elle est la ville principale de l'Uzège.
Géographie
Situation
Uzès se situe dans un triangle formé par les villes d'Alès, 32 km au nord-ouest, Avignon, 40 km à l'est, et Nîmes, la ville la plus proche à 25 km au sud. Elle se situe également à environ 25 km de Bagnols-sur-Cèze et à 40 km de la ville médiévale de Sommières au sud-ouest. La ville édifiée sur un promontoire est bordée de vignes, d'oliviers et de garrigue.
Arrosée par l'Alzon, elle surplombe la petite vallée fraîche de l'Eure d'où jaillit la source du même nom. C'est d'ici que provenait l'eau alimentant la ville de Nîmes à l'époque romaine. Cette eau était acheminée via un aqueduc de 50 km dont la partie la plus visible est le pont du Gard.
Voies de communication
À l'écart des voies de communication, la gare d'Uzès distante d'environ 1,5 km de la ville (ce qui n'a pas aidé à son développement), en contrebas de la colline vers l'ouest et inaugurée en 1880, est fermée ; cependant la ville est bien desservie par plusieurs lignes d'autocars à destination de Nîmes via le pont Saint-Nicolas, Alès et Avignon via le pont du Gard et Remoulins.
Autrefois Uzès était desservie par une ligne PLM puis SNCF qui reliait Remoulins à Alès, appelée à l'origine « ligne Beaucaire - Le Martinet ». Une jonction permettait également de relier la ligne des Cévennes entre Uzès et la gare de Nozières-Brignon. Mais à l'écart des principales lignes, la ville a toujours souffert de cette carence.
L'ancien bâtiment de la gare, typique de l'architecture normalisée du PLM (1880) est surmonté d'une horloge couronnant sa façade au sein d'un oculus toujours visible. Désaffectée, elle est devenue une propriété privée. Les rails entre Uzès et Remoulins existent toujours mais pourraient être déposés pour laisser la place à une « voie verte » comme cela a été fait entre Caveirac et Sommières en 2006/07. On pourra cependant regretter la disparition de cette ligne à l'heure où l'on parle de remettre en service des liaisons TER entre Nîmes et Pont-Saint-Esprit d'autant que la démographie d'Uzès, ancienne sous-préfecture, repart à la hausse et qu'une halte au pont du Gard (sur la ligne d'Uzès) ne pourrait qu'être un atout touristique supplémentaire.
Histoire
La naissance d'Uzès irait de pair avec la construction du pont du Gard qui amenait l'eau de la fontaine d'Eure jusqu'à Nîmes. Présence très probable d'un oppidum sur le plateau qui accueillera la future cité. Évêché à partir du Ve siècle jusqu'à la Révolution Française. Il fut supprimé en 1817. Successivement vicomté et comté en 1486, elle devint duché en 1565. Elle fut durement éprouvée par les guerres de religion et par la guerre des camisards.
Entre 1795 et 1800, la commune absorbe celle voisine de Saint-Firmin[1] peuplée, selon le recensement de 1793, de 187 habitants ; cette dernière avait porté provisoirement, au cours de la Révolution française, le nom de Firmin-les-Uzés[2] ; Uzès elle-même avait été renommée, durant cette période, Uzès-la-Montagne[1].
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926.
La restauration de la ville commença en 1965 grâce à l'une des premières créations de secteur sauvegardé (Loi Malraux de 1962).
Économie
La ville abrite une usine du confiseur allemand Haribo qui a pris le contrôle de l'entreprise Ricqlès-Zan, la culture de la réglisse étant répandue dans la région. À côté y figure également le musée du bonbon.
Héraldique
Fascé d'argent et de gueules, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or [3]. |
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
- Maires élus
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[5]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[6],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 8 569 habitants, en augmentation de 2,76 % par rapport à 2009 (Gard : 4,64 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Lieux et monuments
- Uzès est classée ville d'art et d'histoire. Son centre est particulièrement bien conservé, offrant aux visiteurs de superbes façades des XVIe et XVIIIe siècles et de nombreux hôtels particuliers (pour une cité aussi modeste prés de 40 bâtiments sont inscrits ou classés au titre des Monuments historiques !). Les rues piétonnes étroites et pavées ramènent à l'époque médiévale, Renaissance et jusqu'au XVIIIe siècle. Sa place aux Herbes, ombragée de platanes, entourée de maisons à arcades, et au milieu de laquelle trône une grande fontaine en fonte ouvragée du milieu du XIXe siècle, est le théâtre d'un marché hebdomadaire du samedi très apprécié, où se mêlent les parfums des herbes aromatiques de Provence et du Languedoc.
Sur la place Albert-Ier, ancienne place du marché au Blé au centre de laquelle se dresse un gracieuse fontaine figurant une monumentale femme à l'antique en fonte de fer, se situe la chapelle des Capucins construite en 1635 sur l'emplacement d'un temple romain dédié à Auguste. Cette chapelle accueillit les sépultures des ducs d'Uzès jusqu'en 1789 et est actuellement le siège de l'office de tourisme.
- Les châteaux d'Uzès[8]. Uzès conserve un ensemble exceptionnel de trois tours féodales (il y en avait une de plus au Moyen Âge), qui étaient autant de démembrements de la seigneurie originelle, encore représentée par le château du Duché et sa tour Bermonde. La tour de l'Évêché et la tour du Roi, magnifiquement conservées à côté de la tour Bermonde (la plus haute, 42 mètres, au sein du Duché), les enceintes et les logis de ces châteaux urbains, témoignent de la façon dont les seigneuries languedociennes étaient partagées au gré des successions, voyant coexister des tours féodales les unes à côté des autres. La tour de l'Évêché est surmontée d'un campanile abritant la cloche de l’Horloge communale depuis 1836. La tourelle et la structure du campanile en fer forgé dépassent en hauteur le tour Bermonde.
- Le Duché : Il s'agit d'un ensemble architectural composite remarquable par la variété de ses styles et des époques de sa construction. On pénètre dans la grande cour par un porche à fronton encadré de deux colonnes en granit. Dans la ligne de mire, on aperçoit directement une grande porte d'époque Louis XIII elle-même encadrée de colonnes en granit surmontées d'une balustrade. L'ensemble des bâtiments est dominé, au sud, par une puissante tour médiévale du XIe siècle, ancien donjon, dite tour Bermonde dont le couronnement a été refait au XIXe siècle (terrasse et échauguettes avaient été rasées à la Révolution). On accède à sa terrasse qui culmine à environ 40 mètres, d'où l'on jouit d'un superbe panorama à 360° sur la cité, au moyen d'un escalier en colimaçon de 135 marches. Le contraste entre ce donjon massif et la façade principale est fort lorsque l'on pénètre dans la cour. Le décor de cette grande façade est d'un raffinement Renaissance extrême avec étagement des trois ordres architecturaux que sont le dorique, l'ionique puis le corinthien réalisée à la demande d'Antoine de Crussol[9]. Des sculptures et trophées complètent le décor. Sans en être absolument certain, le nom de Philibert Delorme a souvent été associé à cette réalisation pouvant être située vers 1550 (dans la région, seule la façade du château Nogaret de Marssillargues dans l'Hérault peut accepter la comparaison). La chapelle en gothique flamboyant du XVe siècle qui lui est accolée au nord fut restaurée au XIXe siècle. Sa haute toiture couverte de tuiles vernissées à la bourguignonne au milieu du XIXe siècle présente, côté nord, le motif du blason de la famille des Crussol. Le premier étage de cette chapelle qui comporte trois niveaux est un oratoire toujours consacré à la riche décoration néogothique en trompe l'œil. Sa voûte, sur croisée d'ogives, possède liernes et tiercerons.
L'intérieur même du Duché possède de nombreuses pièces meublées et collections ouvertes à la visite. On accède ainsi aux appartements ornés de multiples portraits de la famille par un très bel et exceptionnel escalier d'honneur Renaissance à l'italienne, rampe sur rampe, voûté en caissons et à pointes de diamants. Mention spéciale pour le Grand Salon Bleu d'époque Louis XV orné de gypseries, de quatre cheminées d'angle en marbre de Carrare et d'une belle collection de vases blancs et bleus montés en bronze en porcelaine de Chine ; meubles, tableaux, etc. Nombreuses autres pièces d'apparat (pas toutes visibles au public, hélas) et de réception sans oublier la très grande cave. Deux autres tours subsistent au sein de cet ensemble ; la tour dite « polygonale » couverte d'une toiture pointue en tuile vernissées au XIXe siècle, et la tour ronde de la vigie médiévale.
- Le monument le plus symbolique de la ville, après le Duché et le château des ducs d'Uzès, est la tour Fenestrelle haute de 42 mètres et qui date en partie du XIIe siècle. Sa partie haute fut reconstruite à l'identique au XVIIe siècle après les guerres de religion. Il s'agit d'un clocher de type circulaire unique en France qui rappelle l'architecture lombarde italienne. De style roman, il est dégagé de la cathédrale Saint-Théodorit. Cette tour évoque quelque peu la tour de Pise. Ses nombreuses ouvertures lui donnèrent d'ailleurs son nom. Elle est chapeautée par une toiture conique de tuiles vernissées vertes et jaunes du plus belle effet.
- La cathédrale Saint-Théodorit. Saccagée au cours des guerres de religion, elle fut rebâtie au milieu du XVIIe siècle. À l'intérieur, remarquer les remarquables galeries en fer forgé qui courent tout le long du premier niveau ainsi que les exceptionnelles orgues 17ème à volets décorés (les seuls encore d'origine en France) d'époque Louis XIV. La hauteur des voûtes de la nef est de 18 mètres. La façade extérieure est un placage un peu lourd de la fin du XIXe siècle. Au sud, sur la petite esplanade plantée de marronniers, outre le joli panorama sur les garrigues environnantes, présence du fameux petit pavillon Racine surmonté d'un dôme.
- L'ancien évêché : très vaste bâtiment du XVIIe siècle attenant à la cathédrale, il a abrité la sous préfecture et le tribunal jusqu'en 1926. Aujourd'hui y a pris place notamment, après une très importante restauration, le musée municipal Georges-Borias. À voir, entre autres, les fameuses armoires peintes d'Uzès ; la porte monumentale dont le balcon est supporté de deux atlantes.
- L'ancien hôtel du baron de Castille construit en 1818 par Gabriel Joseph de Froment Fromentès, baron de Castille, et sa mince et haute colonnade « non canonique », sur la place de l'Évêché, à côté de la cathédrale.
- L'église Saint-Étienne, construite de 1763 à 1775 sur l'emplacement d'une ancienne église détruite pendant les guerres de religion. Seul demeure de l'ancien édifice le puissant clocher carré dont la terrasse est surmontée d'une tourelle abritant un campanile en fer forgé qui comporte un timbre hémisphérique faisant office de cloche des heures. Son style général est baroque tardif (ou jésuite). Il a un plan en croix grecque avec une belle façade curviligne décorée d'urnes d'où jaillissent des flammes. L'intérieur est très lumineux et possède une gracieuse coupole. Cette église a été restaurée en 2011.
- L'hôtel de ville du XVIIIe siècle, restauré au XIXe siècle.
- La médiathèque, aménagée dans une ancienne école catholique, que domine une petite « tourelle-clocher » néo-romane terminée par un dôme surmontée aujourd'hui encore d'une statue de la Vierge.
- Le jardin médiéval.
- Le temple protestant. Pendant les guerres de religion, le temple et dix églises furent détruits. Au XVIe siècle, Uzès était la 5e ville protestante du royaume. Au XVIIe siècle, la cathédrale était relevée de ses ruines et accueillait de nouveaux convertis. Les réformés quant à eux, vivaient leur foi dans la clandestinité au risque d'être emprisonnés ou envoyés aux galères. En 1791, ils acquièrent l'ancien couvent des Cordeliers, qui avait été construit dans la seconde moitié du XVIIe siècle et qui donne sur l'actuelle esplanade à l'ouest de la ceinture des boulevards.
- Les anciennes casernes de style classique du XVIIIe siècle, abritant aujourd'hui le lycée.
- L'ancien hôpital général néo classique
- Le site antique et pittoresque de la fontaine d'Eure.
- Les vestiges de l'église romane Saint-Geniest, du XIIe siècle.
- L'ancien museon di Rodo, célèbre musée de la roue et des véhicules, dont la collection a malheureusement été dispersée depuis, était à Uzès, de même que la fonderie Petavit.
- Les bâtiments de la manufacture Vincent[10] qui ont abrité un moulin à huile et la dernière filature de soie fonctionnant à Uzès. La sériciculture était florissante au XVIIIe siècle et faisait vivre environ 2 000 personnes à Uzès, spécialisée alors dans la production des bas de soie. L'activité de la manufacture Vincent a débuté au XIXe siècle pour cesser en 1936, suivant le déclin général de l'industrie textile dans la région.
- Dans le hameau de Pont des Charrettes, une réglisserie Haribo, anciennement Zan, abritant le musée du bonbon et une poterie artisanale de qualité, Pichon depuis le début du XIXe siècle.
- La ville abrite aussi un haras national et un centre hospitalier psychiatrique, le Mas Careiron depuis les années 1960.
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L'église Saint-Étienne
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Palais ducal d'Uzès
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Une ruelle dans Uzès
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Blason de la famille ducale
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Le marché
Personnalités liées à la commune
- André Gide
- Jean Racine
- Le peintre Nicolas Froment (XVe siècle), auteur du célèbre triptyque du Buisson ardent que l'on peut voir à Aix-en-Provence, est né à Uzès.
- Moyse Charas (né en 1619 à Uzès-1698) est un pharmacien ;
- Pierre Coste (né à Uzès en 1668-1747), imprimeur et traducteur français ;
- L'écrivain genevois Firmin Abauzit qui fut, selon Jean-Jacques Rousseau, « le seul vrai philosophe du siècle ». Il naquit en 1679 à Uzès qu'il fuit très jeune en raison des troubles religieux.
- Jean-Michel Chambon de La Tour (né en 1739 à Uzès-1815), homme politique et maire d'Uzès ;
- François Paul de Brueys d'Aigalliers (né le à Uzès et tué au combat le à la bataille d'Aboukir), vice-amiral commandant en chef de la flotte française ;
- Jean François Gaspard d'Arnaud de Valabris (1754-1834), « ci-devant » seigneur de Valabris, maire d'Uzès (7 avril 1800), sous-préfet d'Uzès (1808) ;
- Henri Cabot de Dampmartin (1755-1825), écrivain, député ;
- Xavier Sigalon (né en 1787 à Uzès-1837), peintre romantique de l'École française ;
- Melchior Doze (1827-1913), artiste-peintre ;
- Ferdinand Roybet (né en 1840 à Uzès-1920), artiste-peintre ;
- Louis Jourdan, (1843-1932), ancien député de la Lozère ;
- Gaston Coulondre (1857-1922), juge d'instruction à Uzès, ancien député de Vaucluse ;
- Maurice Agulhon (né en 1926 à Uzès-2014), historien ;
- Patrick Guallino (né en 1943 à Uzès), artiste-peintre ;
- Jean-Louis Calvet (né en 1951) écrivain, cinéaste ;
- René Simon (1898-1971), comédien français, fondateur du Cours Simon, est inhumé au cimetière protestant d'Uzès ;
- Jean-Henri Voulland né à Uzès en 1751, mort à Paris en 1801, député du Gard à la Convention, siège à la Montagne et vote la mort du roi ;
- Jean-Louis Trintignant.
Sports
Uzès compte de nombreuses équipes et infrastructures sportives. L'équipe la plus populaire de la ville est l'Entente sportive Uzès Pont du Gard, club de football évoluant en C.F.A (4e division française), et jouant au stade Pautex.
Autres
- Maison de Crussol d'Uzès.
- L’écrivain Jean Racine vécut en 1661 et 1662 dans une demeure de Saint-Maximin, dite depuis Château Racine, chez son oncle maternel Antoine Sconin, vicaire général d’Uzès. André Gide passait ses vacances chez sa grand-mère à Uzès. Le troubadour Pons Fabre d'Uzès porte le nom de la ville.
- Racine a écrit à Uzès ce vers fameux : Et nous avons des nuits plus belles que vos jours.
- Dans Si le grain ne meurt, André Gide écrit : « Ô petite ville d'Uzès ! Tu serais en Ombrie, des touristes de Paris accourraient pour te voir ! »
- Pierre Melchior d'Adhémar (1740-1820), sous-préfet d'Uzès en 1803.
- L'acteur Jean-Louis Trintignant (né en 1930) y a vécu de nombreuses années, un collège de la ville porte désormais son nom.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des seigneurs, vicomtes et ducs d'Uzès
- Liste des évêques d'Uzès
- Cathédrale Saint-Théodorit d'Uzès
- Histoire d'Uzès
- Communes du Gard
- Pont du Gard
- Communauté de communes du Pays d'Uzès
- Aire urbaine d'Uzès
Bibliographie
- Lionel d'Albiousse, Histoire de la ville d'Uzès, Uzès : H. Malige, 1903 (VII-403 p.), réimprimé en 1978 (Marseille : Laffitte notice), 1994 (Nîmes, éd. Rediviva notice) et 1998 (Péronnas : les Éd. de la Tour Gile notice)
- Lionel d'Albiousse, Histoire des ducs d'Uzès : suivie d'une notice sur leur château ducal, Paris : H. Champion, 1887 (XI-344 p.) lire en ligne sur Gallica et site Nemausensis
- Pierre Pelissero, Uzès, Éditions Ouest-France - Provence - Cote d'Azur, Rennes, 1982
- Jean-Paul Ayrault, Uzès, un tour de ville - Promenades dans l'histoire, Éditions Inclinaison, 2007
- Gaston Chauvet, Uzès, en parcourant ses rues et sa campagne, histoires d'autrefois et souvenirs d'hier, Uzès, 1964 notice
- les « Souvenirs de l'Uzège », association des originaires et amis d'Uzès et de sa région, fondée par Robert Blanc (1955) ; site internet bibliographie et sitographie importantes 2014
Liens externes
- Site officiel de la commune
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Saint-Firmin sur le site Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui de l'EHESS
- GASO - Banque du blason - 30334
- Maire durant 100 jours.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- Jean Mesqui, Les châteaux d'Uzès, p. 377-411, dans Congrès archéologique de France. 157e session. Gard. 1999, Société française d'archéologie, Paris, 2000, (Lire en ligne)
- Bernard Sournia, Jean-Louis Vayssettes, La façade d'Uzès et son projet, p. 439-449, dans Congrès archéologique de France. 157e session. Gard. 1999, Société française d'archéologie, Paris, 2000
- Base Mérimée : moulin à huile, filature de soie dite filature Vincent, puis Bonnet