Peyrolles (Gard)

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Peyrolles
Blason de Peyrolles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes Causses Aigoual Cévennes
Maire
Mandat
François Abbou
2020-2026
Code postal 30124
Code commune 30195
Démographie
Gentilé Peyrolois, Peyroloises[1]
Population
municipale
33 hab. (2021 en diminution de 8,33 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 06′ 42″ nord, 3° 50′ 00″ est
Altitude Min. 228 m
Max. 804 m
Superficie 8,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Peyrolles
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Peyrolles
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Peyrolles

Peyrolles est une commune française située dans le nord-ouest du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gardon de Saint-Jean et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée du Gardon de Saint-Jean ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Peyrolles est une commune rurale qui compte 33 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 207 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Peyrollois ou Peyrolloises.

Depuis 2006, la dénomination officielle de la commune (décret no 2006-808 du publié au Journal Officiel no 157 du , page 10259) est Peyrolles en remplacement de Peyroles[réf. nécessaire].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le nord-ouest du département du Gard. Elle est limitrophe de la Lozère.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 403 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Jean-du-Gard à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 437,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 1]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[11].

La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[12],[13].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée du Gardon de Saint-Jean »[15], d'une superficie de 19 020 ha, présentant une variété d’habitats naturels d’intérêt communautaire remarquables (22 génériques dont cinq prioritaires)[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[17] : la « vallée du Gardon de Saint-Jean entre Saumane et Saint-Jean-du-Gard » (172 ha), couvrant 5 communes du département[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[17] : les « Hautes vallées des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Peyrolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[I 1],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (91,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,9 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Peyrolles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gardon de Saint-Jean. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1994, 1995, 2002 et 2020[25],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyrolles.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[26]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 34 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 11 sont en aléa moyen ou fort, soit 32 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Peyrolles est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , quelques heures après l'incendie de l'église et du presbytère de Saint-Martin-de-Corconnac par les Camisards, l'église de Peyrole (orthographe d'époque) est incendiée à son tour[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Auguste Deleuze    
  1995 M. Gras    
depuis 1995 en cours François Abbou SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 33 habitants[Note 6], en diminution de 8,33 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
202183207170202148164153136
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
163152153139167143134132135
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
132118111977671425142
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
413638312837414141
2017 2021 - - - - - - -
3333-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Lieux de cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Industrie et artisanat[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le temple protestant, au lieudit L'Eglise, a été restauré par la communauté de communes qui en est propriétaire, en 2008.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Abraham Mazel, prophète, le premier et le dernier des Camisards ; il se réfugiait régulièrement à Peyrolles, à la Baume.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Peyrolles Blason
De sable aux trois chaudrons d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Services publics Peyrolles », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Peyrolles et Saint-Jean-du-Gard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Jean-du-Gard » (commune de Saint-Jean-du-Gard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Jean-du-Gard » (commune de Saint-Jean-du-Gard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  10. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le ).
  12. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le ).
  13. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Peyrolles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « site Natura 2000 FR9101368 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Peyrolles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF la « vallée du Gardon de Saint-Jean entre Saumane et Saint-Jean-du-Gard » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Peyrolles », sur Géorisques (consulté le ).
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyrolles », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  30. Jean Castan, L'église de Saint-Martin de Corconnac aujourd'hui l'Estréchure, Almanach du Val Borgne. no 12, 2000
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]