Castelnau-Valence

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Castelnau-Valence
Castelnau-Valence
Temple protestant.
Blason de Castelnau-Valence
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Christophe Bougarel
2020-2026
Code postal 30190
Code commune 30072
Démographie
Population
municipale
485 hab. (2021 en augmentation de 10,23 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 00′ 35″ nord, 4° 15′ 10″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 196 m
Superficie 10,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Alès-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Castelnau-Valence
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Castelnau-Valence
Géolocalisation sur la carte : Gard
Voir sur la carte topographique du Gard
Castelnau-Valence
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Castelnau-Valence

Castelnau-Valence est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par Valat de la Dame et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Castelnau-Valence est une commune rurale qui compte 485 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Castelnovans ou Castelnovanes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village est situé entre Alès (21 km) et Nîmes (27 km), dans un paysage de garrigues.

La commune dépend administrativement de l'arrondissement d'Alès et du canton d'Alès-3.

Hydrographie et relief[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 855 mm, avec 6,5 jours de précipitations en janvier et 3,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Rouvière à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 914,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[7] : la « plaine de la Candouillère » (215 ha), couvrant 2 communes du département[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Castelnau-Valence est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[I 1],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (73,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), zones urbanisées (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,6 %), forêts (2,8 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Castelnau-Valence est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 1998, 2001, 2002 et 2010[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castelnau-Valence.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 226 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 226 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

En 1961, Monsieur Meyrueix découvre en labourant une statue-menhir sur le site de la Rosseirone à Castelnau-Valence. Cette statue-menhir masculine est à replacer dans son contexte du Néolithique final (voire chalcolithique), et présente des particularités similaires à celles trouvées dans l'Aveyron, affirmant une parenté avec les statues-menhirs du groupe rouergat[18].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Château de Valence, remarquable architecture d'époque Louis XIII. Ancienne propriété de la famille Galissard de Marignac.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Au cours de la Révolution française, la commune de Castelnau porte provisoirement le nom de Belhair-de-la-Garde[19].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1806, la météorite d'Alais est découverte sur la commune.

La commune est née en 1813 de la fusion des deux communes voisines de Castelnau et de Valence[19], peuplées respectivement, au recensement de 1806, de 80[19] et de 232 habitants[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du GardNeutralisation.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 En cours Christophe Bougarel UMP-LR Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 485 habitants[Note 4], en augmentation de 10,23 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
878080277331351360354382
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
353348312309314300282276268
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
274254260226241259247252233
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
247228203256267261291299382
2014 2019 2021 - - - - - -
435465485------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

La population de Valence, avant la fusion de 1813, fut: 242 en 1793, 217 en 1800, 232 en 1806[24].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La ville de Castelnau-Valence a deux écoles primaires. La première, la plus ancienne, ne comporte que deux classes. La seconde, beaucoup plus récente, enseigne toutes les classes de primaire. Il n'y a pas de classe de maternelle. Un projet de cantine scolaire est en cours.

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Les fêtes votives sont courantes à Castelnau-Valence en été.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 174 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 458 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 310 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 9,4 % 8,4 % 10,3 %
Département[I 7] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 288 personnes, parmi lesquelles on compte 78,7 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 10,3 % de chômeurs) et 21,3 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 56 emplois en 2018, contre 65 en 2013 et 52 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 200, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63 %[I 10].

Sur ces 200 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 41 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

32 établissements[Note 7] sont implantés à Castelnau-Valence au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 32
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
6 18,8 % (7,9 %)
Construction 8 25 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
9 28,1 % (30 %)
Activités immobilières 1 3,1 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
5 15,6 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
1 3,1 % (13,5 %)
Autres activités de services 2 6,3 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,1 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 32 entreprises implantées à Castelnau-Valence), contre 30 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[25]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 40 33 27 27
SAU[Note 10] (ha) 585 548 577 703

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 40 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 33 en 2000 puis à 27 en 2010[27] et enfin à 27 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 32 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[28],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 585 ha en 1988 à 703 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 15 à 26 ha[27].

Emploi[modifier | modifier le code]

La ville ne possède aucun commerce.

Entreprises de l'agglomération[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

La seule activité présente dans Castelnau-Valence est la viticulture.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Château de Castelnau, remarquable architecture médiévale, remaniée au XIXe siècle. Ancienne propriété des Boileau de Castelnau, puis de Valfons. https://www.chateaudecastelnauvalence.com
  • Château de Valence, remarquable architecture d'époque Louis XIII. Ancienne propriété de la famille de Bournet puis Galissard de Marignac.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Château de Castelnau
  • Château de Valence

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Castelnau-Valence

Les armes de Castelnau-Valence se blasonnent ainsi :

Deux écus accolés :

1. de sinople au pal losangé d'or et d'azur (Castelnau)

2. de sinople au pal losangé d'or et de gueules (Valence)[29].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[26].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Castelnau-Valence » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Castelnau-Valence » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Castelnau-Valence » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castelnau-Valence » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Castelnau-Valence et La Rouvière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « La Rouvière » (commune de La Rouvière) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La Rouvière » (commune de La Rouvière) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Castelnau-Valence », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « ZNIEFF la « plaine de la Candouillère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Castelnau-Valence », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Castelnau-Valence », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  18. Hugues Camille, Mazel A., Greffeuille R. Statues-menhirs d'Euzet-les-Bains et de Castelnau-Valence (Gard). In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1963, tome 60, N. 5-6. pp. 364-371.
    doi : 10.3406/bspf.1963.3914
    « Statues-menhirs d'Euzet-les-Bains et de Castelnau-Valence », sur persee.fr (consulté le ).
  19. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Valence », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. http://cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=38649
  25. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  26. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  27. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Castelnau-Valence - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
  29. « Blason de la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur labanquedublason2.com (consulté le ).