Quinéville
Quinéville | |
L'église Notre-Dame et ses deux clochers. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
René Hardy 2020-2026 |
Code postal | 50310 |
Code commune | 50421 |
Démographie | |
Gentilé | Quinévillais |
Population municipale |
262 hab. (2021 ) |
Densité | 57 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 30′ 44″ nord, 1° 17′ 50″ ouest |
Altitude | Min. 1 m Max. 67 m |
Superficie | 4,60 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Valognes |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
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Quinéville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 262 habitants[Note 1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 877 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Quinéville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,4 %), zones agricoles hétérogènes (30,5 %), zones urbanisées (12 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Chinevilla en 1159 - 1181, Kinevilla vers 1210, Quinevilla 1224, Kinelvilla vers 1280[16], Kennevilla sans date.
Le second élément -ville représente le terme ville désignant en proto-français un « domaine rural »[16], issu du gallo-roman VILLA[17], lui-même du latin villa rustica.
Le premier élément est un anthroponyme, soit Kined[18],[16] (autrement Cinàed[19]), nom de personne gaëlique qui se perpétue dans le prénom moderne Kenneth. Une autre hypothèse repose sur le nom de personne germanique Chinilo[20]. On remarque que la forme ancienne Kinelvilla sur laquelle se fonde cette dernière proposition est tardive et isolée, alors que les formes plus anciennes ne conservent aucune trace graphique d'un [l], celui-ci a été ajouté à postériori par un scribe. D'un point de vue phonétique on attendrait *Quineauville.
Remarques: quelques noms de personnes gaëliques se retrouvent dans la toponymie du Cotentin, comme Donnchadh, Duncan, dans la rue Doncanville (Val de Saire, Donecanvilla vers 1150–60) et Dícuill, Decuil dans Digulleville (La Hague, Deguillevilla vers 1200)[21],[17],[22]. L'anthroponyme Kined / Cinàed est en outre identifié dans Quinetot, hameau à Carteret[16]. Élisabeth Ridel a contesté dans une publication l’hypothèse originellement émise par Lucien Musset[22] selon laquelle il convient de reconnaître le nom de personne Kined[22] (Cinàed). En effet, il n'y a pas trace d’un -d- / -t- dans les formes les plus anciennes connues, cependant il a pu s'amuïr dans cette position avant le XIIIe siècle, car de nombreux toponymes normands en témoignent par exemple les Touffreville, c'est pourquoi François de Beaurepaire se range à l'avis de L. Musset[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Dès l'époque romaine Quinéville fut un lieu de passage[réf. nécessaire] comme l'atteste la découverte de divers objets[Lesquels ?].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le village appartenait à la baronnie de Courcy.
Une mention, aux environs de 1120, fait référence aux poissons gras (cétacés fournissant du lard : baleines, marsouins, cachalots, etc.) pêchés entre la Saire et la baie des Veys par les Waumanni[Note 2] de Quinéville, Saint-Vaast, Lestre et Saint-Marcouf au profit de l'abbaye de Montebourg[23].
Dans le cadre de la guerre de Cent Ans, en 1405, à la suite d'un débarquement anglais à la Hougue, la paroisse est mise à sac et ses maisons rasées[Note 3].
Au XIVe siècle, les barons de Bricquebec[Note 4], partageaient avec l'abbaye de Montebourg un droit de port à Quinéville, propriété de la famille de Courcy. Alors que les moines y font transiter des tonneaux de vin de Vernon, la famille Bertran exigent de ses vassaux, le devoir annuel de transport depuis Bricquebec jusqu'à ce port, dit « charroi de Quinéville »[25].
Époque moderne
[modifier | modifier le code]C'est d'une hauteur de Quinéville (probablement le clocher de l'église), qu'en 1692, Jacques II assiste à la défaite de ses alliés et la fin de ses espérances pour retrouver son trône, lors de la bataille de la Hougue. Il résidait au château de Quinéville chez les Dancel durant ces événements. François-Charles Dancel (1709-1768) fut chevalier et seigneur de Quinéville, page du roi en 1725 puis de la duchesse d'Orléans, mousquetaire noir en 1730 et capitaine de la côte du Cotentin en 1753[26]. Les familles Montauban et Dancel furent les principales familles qui possédèrent la seigneurie de Quinéville[27].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Au moment de la Révolution, Jean-Nicolas de Berruyer, capitaine de dragons du régiment de la reine, seigneur châtelain de Quinéville, Gonneville, Fermanville, le Breuil, Maupertus, Mesnil-Eury et autres lieux, dut en , émigrer[28].
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Bataille de Normandie : le , les troupes américaines débarquent à Utah Beach, à quelques kilomètres au sud de Quinéville. L'objectif des alliés est de prendre le village le jour J afin de progresser rapidement vers Cherbourg et prendre son port, vital pour l'approvisionnement allié. Mais Quinéville ne sera finalement pris que le après de durs combats. Les Américains prennent la batterie d'Azeville le et celle de Crisbecq le . Les Allemands de la 243e et 709e Infanterie-Divisionen ont reconstitué une ligne de défense depuis les collines du Ham à l'est jusqu'à Quinéville sur la côte avec au centre le bourg de Montebourg, bloquant la progression de la 4e division d'infanterie américaine[29]. Son commandant, le général Barton, isole le village en prenant la route qui le relie à Montebourg. Quinéville est bombardé par des Douglas A-20 Havoc de l'USAAF avant un assaut du 39e régiment et du 70e Tank Battalion[29]. Ayant pénétré dans le village, ils sont arrêtés par de violents tirs de mortiers et d'armes anti-chars allemands. L'après-midi l'artillerie américaine bombarde Quinéville qui est finalement pris par les hommes du 39e régiment vers 21 h 30[29]. La prise du village empêche désormais l'artillerie allemande de pouvoir tirer sur la plage d'Utah Beach où les débarquements alliés se poursuivent. Le projet de faire de la plage de Quinéville, une seconde plage de débarquement logistique américain un temps envisagé est abandonné[29].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Le , le maire est décédé en cours de mandat[32].
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[34].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2021, la commune comptait 262 habitants[Note 5], en évolution de −8,39 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Quinéville a compté jusqu'à 405 habitants en 1846.
Économie et tourisme
[modifier | modifier le code]La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) beurre d'Isigny et crème d'Isigny[39].
Quinéville est dénommée « commune touristique » depuis [40].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame des XIIe – XIXe siècles d'origine romane, avec un cadran solaire, inscrite au titre des monuments historiques[41] et qui a la particularité d"avoir deux clochers : une tour romane avec toit en bâtière et un clocher surmonté d'une flèche. À l'intérieur chapelle romane Saint-Laurent du XIIe siècle. L'église abrite une verrière du XXe signée Gaudin et des fonts baptismaux du XVe[26].
- Château de Quinéville flanqué de deux pavillons et dont le bâtiment central arbore un balcon et un fronton aux armes des Mesnildot. Il fut reconstruit au milieu du XVIIIe siècle, dans le style classique, sur l'emplacement d'un édifice antérieur. Jardin et plan d'eau (douze hectares) classés à l'IGPC[42] et pigeonnier.
- La grande cheminée, reste d'une ancienne construction du IIe siècle, classée au titre des monuments historiques[43], dans le parc du château ainsi qu'une glacière destinée à conserver les aliments.
- Motte castrale de Pisan[44].
- Redoute Vauban du XVIIe siècle.
- Batteries allemandes du Mont-Coquerel et vestiges du mur de l'Atlantique.
- Musée Mémorial de la Liberté retrouvée inaugurée en 2005.
- Stèle à la mémoire des soldats du 39e régiment d'infanterie de la 9e division US commandée par le général Eddy qui libéra Quinéville le .
- Trois moulins à eau sur la Sinope et un lavoir.
- Pour mémoire
- Ancienne léproserie.
Activité et manifestations
[modifier | modifier le code]- Fête du marsouin le 3 avril.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Bianca Donadio (1845-1911), inhumé dans le cimetière de Quinéville
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021.
- Terme norrois que l'on peut traduire par baleiniers.
- Tout comme à Vaudreville, Fontenay, Saint-Floxel, Saint-Martin-d'Audouville, alors que Valognes, Barneville et Saint-Lô sont abandonnés par la plupart de leurs habitants[24].
- Les barons de Bricquebec disposaient également de droits sur le port de Honfleur et armaient leur propre nef.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
- « Orthodromie entre Quinéville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Quinéville ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 180.
- Dominique Fournier, « Digulleville#Toponymie », in Wikimanche (lire en ligne) [1].
- Lucien Musset, « aperçus sur la colonisation scandinave dans le nord du Cotentin », Annuaire des cinq départements de la Normandie, IIIe congrès, 1953, 34 -37
- Cinàed sur le site de Nordic Names (lire en anglais) [2]
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 205.
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 110
- Élisabeth Ridel, « From Scotland to Normandy, the Celtic Sea Route of the Vikings », in West over Sea, p. 82 (lire en anglais) [3]
- Julien Deshayes, « Les Waumanni de la baie des Veys », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), p. 67.
- Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 176 p. (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 35.
- Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes et Bénédicte Guillot (avec la collaboration de Gaël Léon), ArchéoCotentin : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, t. 2, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), « Cadre de vie, vie quotidienne et environnement », p. 53.
- Gautier 2014, p. 478.
- Delattre, 2002, p. 179.
- Edmond Thin, « Promenade archéologique de Maupertus à Cosqueville », Vikland, la revue du Cotentin, no 5, avril-mai-juin 2013, p. 24 (ISSN 0224-7992).
- Claude Quétel (sous la direction de), Dictionnaire du Débarquement, Rennes, éd. Ouest France, , p. 570.
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- « Quinéville (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
- « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - décembre 2009 » [PDF] : p. 12.
- « Église », notice no PA00110554, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Jardin du château de la Grande Cheminée », notice no IA50000226, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La grande cheminée », notice no PA50000018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 106.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 179-180.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 478.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Mémorial de la Liberté retrouvée
- Résumé statistique de Quinéville sur le site de l'Insee