La Garde (Alpes-de-Haute-Provence)

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La Garde
La Garde (Alpes-de-Haute-Provence)
Le village de La Garde dominé par le Rocher Saint-Martin.
Blason de La Garde
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Joel Laugier
2020-2026
Code postal 04120
Code commune 04092
Démographie
Gentilé Gardois
Population
municipale
124 hab. (2021 en augmentation de 61,04 % par rapport à 2015)
Densité 7,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 51″ nord, 6° 33′ 29″ est
Altitude Min. 777 m
Max. 1 894 m
Superficie 16,63 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Garde
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La Garde
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La Garde

La Garde est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Gardois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village est situé à 927 m d’altitude[2].

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
La Garde et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

La Garde est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.

Les communes limitrophes sont Demandolx, Peyroules, Châteauvieux (dans le Var) et Castellane.

Géologie[modifier | modifier le code]

Relief[modifier | modifier le code]

Les principaux sommets entourant le village sont[2] :

  • à l’ouest, Destourbes (1 543 m) ;
  • au sud, la colline de Sebet (1 238 m) ;
  • à l’est, la crête du Teillon atteint 1 893 m aux Quatre Termes ;
  • au nord, la crête de Rus culmine à 1 481 m ;
  • enfin, proche du village, le sommet de Croueste est à 1 198 m.

À l’est, la RD 4085 franchit le col de Luens à 1 085 m[2].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Les principaux cours d’eau de la commune sont le ravin des Gravières, qui naît sur les pentes du Teillon et passe à l’est du village. Il se jette dans le ravin de Destourbes, qui lui rejoint le Verdon en amont de Castellane[2].

Cours d'eau sur la commune ou à son aval :

  • rivière le jabron,
  • ravins de destourbes, des costes, des sagnes, de maupas, des gravières, de la couissine, de sébet.

Environnement[modifier | modifier le code]

Col de Luens sur la RD 4085 (1 054 m).
Pont de l'ancienne route nationale 85 ou route Napoléon.

La commune compte 630 ha de bois et forêts, soit 38 % de sa superficie[3].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune est située sur la route départementale RD 4085, ancienne route nationale 85 et itinéraire emprunté par la route Napoléon. La route départementale RD 132 dessert la commune à partir du village où elle s’embranche sur la RD 4085[2].

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient La Garde est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de La Garde est également exposée à trois autres risques naturels[5] :

  • feu de forêt,
  • inondation,
  • mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[6].

La commune de La Garde est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[7]. La route départementale RD 4085 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[8].

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] et le Dicrim existe depuis 2011[9].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Globalement, et même si l’épicentre de certains séismes dévastateurs comme celui de Chasteuil en 1951 sont très proches, les séismes ont jusqu’à maintenant été faiblement ressentis[10].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200 (la Gareda)[11]. Ce nom dérive de l’occitan garda, venant du germanique wart ou ward, lieu de guet[12],[13].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Var, Alpes-Maritimes  » et « Alpes du sud »[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 977 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castellane », sur la commune de Castellane à 4 km à vol d'oiseau[16], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 999,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,5 °C, atteinte le [Note 1],[17],[18].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Garde est une commune rurale[Note 2],[21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (26,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), prairies (0,7 %)[26].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans l’Antiquité, le peuple installé dans sur le territoire de la Garde à l’arrivée des Romains est celui des Suetrii[27].

La Garde jouait le rôle d’une place forte protégeant Castellane (la commune est située sur la route qui monte de Castellane au col de Luens, et au-delà vers Grasse et Draguignan). La seigneurie appartenait aux Castellane (XIIIe siècle)[28]. Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire, Guillaume du Puget, seigneur de La Garde, soutient Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le ralliement de Sisteron à la cause angevine, en novembre, entraîne son changement d’engagement, et il prête hommage le [29].

Le fief passe aux Gassendi (XVIIe siècle), puis aux Périer au XVIIIe siècle[28]. Une fois les barons de Castellane vaincus, Castellane devint chef-lieu d’une viguerie dont relevait La Garde[30].

Lors de la guerre de Succession d'Autriche, une armée austro-sarde envahit la Provence et occupe La Garde en décembre 1746. Elle est repoussée par une offensive des troupes franco-espagnoles les 21 et [31].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. En 1824, le cadastre dit napoléonien de La Garde est achevé[32].

Comme de nombreuses communes du département, celle de La Garde se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons[33]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[34], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent La Garde[35]. Si la commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[36], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de La Garde sont régulièrement scolarisées.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Garde (La) Blason
D'azur à une tour d'argent ouverte, ajourée et maçonnée de sable sur une montagne de sinople[37],[38].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Économie[modifier | modifier le code]

Aperçu général[modifier | modifier le code]

En 2009, la population active s’élevait à 44 personnes, dont 6 chômeurs[39]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (23 sur 39)[40] et travaillent majoritairement hors de la commune (21 actifs sur 39)[40].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[41].

Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est trop faible et couvert par le secret statistique depuis 2000[42]. Il était de huit en 1988[43], avec une surface agricole utile (SAU) de 429 ha[42].

Industrie[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait cinq établissements, sans salarié[41].

Des carrières de gypse ont été exploitées sur la commune[44].

Activités de service[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (avec trois emplois salariés), auxquels s’ajoutent l’unique établissement du secteur administratif[41].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[45], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant marchande[46]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

Les résidences secondaires apportent un complément appréciable à la capacité d’accueil[53] : au nombre de 72, elles représentent plus de la moitié des logements. Parmi les résidences secondaires, quatre possèdent plus d’un logement[51],[49].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Mairie de La Garde[54].
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Alfred Escarras[55]    
28 mars 1971 25 juin 1995 Fernand Laugier SE  réélu plusieurs fois
mars 2001 réélu en 2008      
avant 2005 En cours
(au 21 octobre 2014)
Henri Belisaire[56],[57] DVD Agriculteur retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité 2016[modifier | modifier le code]

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[58] :

  • total des produits de fonctionnement : 126 000 , soit 1 526  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 118 000 , soit 1 416  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 26 000 , soit 311  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 33 000 , soit 402  par habitant.
  • endettement : 0 , soit 0  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 6,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 4,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 41,99 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 16,51 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[59].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La Garde fait partie :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[60].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2021, La Garde comptait 124 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour La Garde). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Évolution démographique
1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
38 feux8 feux274438237286281266285285
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
278252222208235236246237238218
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
211180156122116119130959581
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2021 -
6854656888568490124-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[28], EHESS[61], Insee à partir de 1968[62],[63],[64],[65])

L’histoire démographique de La Garde, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1851. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. En 1911, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1836-1841[66]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population a repris sa croissance.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique, Doyenné Var et Verdon, Diocèse : Digne-Riez-Sisteron[67]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame-des-Ormeaux.
  • L’église paroissiale[68] est placée sous le vocable de Notre-Dame-des-Ormeaux[69],[30] et sous le patronage de sainte Anne[30] est un agrandissement d’une église plus ancienne (XIIIe siècle) : les deux travées centrales ont été conservées, la première modifiée, la dernière ajoutée, avec l’abside. Les raccords sont assez grossiers[69]. La cloche serait de 1605[70] ?

Les chapelles, oratoires et monuments commémoratifs

  • L’ancienne église paroissiale[71] se trouve à moins d'un kilomètre à l'est du village : c’est actuellement la chapelle Saint-Martin[30].
  • Une autre chapelle se trouve sur la route de Castellane, placée sous le vocable de Saint-Sébastien[72]. Elle est construite ici au XVIe ou au XVIIe siècle, pour protéger la communauté contre les dangers venant de l’extérieur[30].
  • Enfin, l'entrée ouest du village est marquée par la chapelle Sainte-Anne[73].
  • Monuments commémoratifs[74].
    • Plaque commémorative de l'église.
    • Plaque commémorative 1914-1918 de la mairie.
    • Tombeau[75].
  • Cimetière[76].
  • Oratoires, croix de chemin[77],[78],[79].

Le petit patrimoine local

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Habitants.fr - Le nom des habitants des A.H.P
  2. a b c d et e « IGN, La Garde et environs » sur Géoportail (consulté le 3 mai 2012).
  3. Roger Brunet, « Canton de Castellane », sur Le Trésor des régions (consulté le ).
  4. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,, , p.39.
  5. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 23 juillet 2012
  6. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  7. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 96.
  8. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 80.
  9. DICRIM La Garde, base Dicrim, consultée le 23 juillet 2011
  10. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à La Garde », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 23 juillet 2012
  11. « Le castrum de La Gareda », notice no IA04001444, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 26758, p 1473
  13. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 67.
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  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  19. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  21. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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  48. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 16.
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  58. Les comptes de la commune
  59. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  60. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
  61. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Garde », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  62. « Résultats du recensement de la population - La Garde », sur le site de l'Insee (consulté le )
  63. « Recensement de la population au 1er janvier 2004 », sur Archives Wikiwix du site de l'Insee (consulté le )
  64. « Recensement de la population au 1er janvier 2009 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  65. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  66. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
  67. Paroisse La Garde
  68. « église paroissiale Notre-Dame-des-Ormeaux », notice no IA04000141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  69. a et b Collier 1986, p. 115.
  70. Notice no IM04000976, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche (no 1)
  71. « église paroissiale Saint-Martin, actuellement chapelle Saint-Martin », notice no IA04001422, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  72. « chapelle Saint-Sébastien », notice no IA04000143, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  73. « chapelle Sainte-Anne », notice no IA04000142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  74. Synthèse des relevés
  75. « tombeau », notice no IA04001424, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  76. « cimetière », notice no IA04001423, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  77. « croix monumentale », notice no IA04001425, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  78. « croix monumentale », notice no IA04001426, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  79. « croix de chemin et oratoires de La Garde », notice no IA04001442, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  80. « fontaine lieu-dit Costes (les) », notice no IA04001415, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  81. « lavoir », notice no IA04001417, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  82. « fontaine de la Place », notice no IA04001414, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  83. « puits lieu-dit Sagnes (les) », notice no IA04001414, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  84. « four à pain », notice no IA04001418, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  85. « cabane troglodytique », notice no IA04001421, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  86. « pont sur le ravin des Gravières », notice no IA04001515, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture