Marcoux (Alpes-de-Haute-Provence)

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Marcoux
Marcoux (Alpes-de-Haute-Provence)
Village de Marcoux et colline Saint-Michel.
Blason de Marcoux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Christian Boyer
2020-2026
Code postal 04420
Code commune 04113
Démographie
Gentilé Marcousiens
Population
municipale
454 hab. (2021 en diminution de 9,02 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 07′ 45″ nord, 6° 16′ 39″ est
Altitude Min. 604 m
Max. 1 311 m
Superficie 32,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Digne-les-Bains-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Marcoux
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Marcoux
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Marcoux
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Marcoux

Marcoux /maʁ.ku/ est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Marcousiens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située à 7 km de Digne-les-Bains[2].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Commune desservie par la D 900.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau des lignes régulières de transport des Alpes-de-Haute-Provence[3]

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :

  • rivière la Bléone,
  • torrents le bouinenc, le bès,
  • ruisseaux le mardaric, de l'escure,
  • ravin de mouiroués.

Marcoux dispose de la station d'épuration intercommunale de Digne nouvelle, d'une capacité de 35 000 équivalent-habitants[5].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Marcoux et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Le village est situé à 730 m d’altitude[6]. La commune est traversée par la Bléone.

La commune compte 1 035 ha de bois et forêts[1]. Elle comporte plusieurs entités distinctes :

  • le Liman (versant est) ;
  • la vallée de la Bléone dont le plan de Marcoux. La vallée s'élargit sur deux kilomètres de large, ce qui contraste avec la vallée de la Bléone en aval ;
  • la Grande Colle, relief situé entre la Bléone et le Mardaric, dont l'extrémité nord-est forme la colline Saint-Michel ;
  • la vallée de l'Escure, site caractéristique pour ses terres noires, et où passe une partie du raid VTT des Terres-Noires ;
  • la vallée du Bouinenc (empruntée par la route menant à Draix et Archail) et de la Cougourde.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Est auquel appartient Marcoux est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Marcoux est également exposée à trois autres risques naturels[8] :

  • feu de forêt ;
  • inondation (dans la vallée de la Bléone) ;
  • mouvement de terrain.

La commune de Marcoux est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[9]. La départementale RD900 (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[10].

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune [9] et le Dicrim n’existe pas non plus[11].

La commune a ressenti quelques tremblements de terre. Un seul l’a été fortement, en atteignant une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets), celui du 8 février 1974, dont l’épicentre était situé à Thorame[12],[13].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 830 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 5 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Digne les Bains », sur la commune de Digne-les-Bains à 5 km à vol d'oiseau[16], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 681,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,8 °C, atteinte le [Note 1],[17],[18].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marcoux est une commune rurale[Note 2],[21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,9 %), forêts (26,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (19 %), terres arables (11 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), zones urbanisées (0,9 %)[26].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1113 (de Marculfo), et provient d’un nom propre d’origine germanique, Marcolfus[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de Marcoux. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[28].

Environ un siècle après l’abandon de l’organisation administrative de l’Empire romain, le territoire de Marcoux est signalé, dès 814, dans le polyptyque de Wadalde : deux colonges s’y trouvent[29]. Les moines de l’abbaye Saint-Victor de Marseille perdent ensuite leurs biens dans la commune. L’abbaye Saint-Honorat de Lérins y a aussi possédé un prieuré[30].

En 1122, Guillaume Marcoux était seigneur de Marcoux[31].

Le village et le château fort appartenaient aux évêques de Digne[32], jusqu’à la Révolution[29]. Les églises relevaient du chapitre de Digne, qui cède l’église paroissiale et les revenus attachés à l’évêque en 1476 (contre celle de Courbons)[29]. La communauté relevait de la baillie de Digne[29].

Le château est vendu en 1525 par les évêques qui participent ainsi au paiement de la rançon de François Ier, fait prisonnier à la bataille de Pavie en 1525.

Saint-Martin constituait un fief distinct au Moyen Âge[33].

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[34]. La chapelle Saint-Martin est vendue comme bien national, et a disparu depuis[29].

Comme de nombreuses communes du département, Marcoux se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède deux, qui dispensent une instruction primaire aux garçons, la première étant située au chef-lieu[35] et la seconde au hameau des Granges[36]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[37], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Marcoux[38]. Si la commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve aux Granges (achevée en 1883) et rénover celle du chef-lieu[39],[36], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Marcoux sont régulièrement scolarisées.

Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture, qui s'était maintenue dans l'entre-deux-guerres mondiales malgré la crise phylloxérique[40], a depuis été abandonnée[41].

En 1945, l’école des Granges est fermée, à cause de la désertification. Puis on la rouvre en 1950-1951, et en 1953. En 1954, elle s’installe dans un bâtiment neuf. Elle est finalement fermée au milieu des années 1960[36].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Marcoux
D’azur à un château d’or sur une rivière d’argent[42],[43].

Économie[modifier | modifier le code]

Aperçu général[modifier | modifier le code]

En 2009, la population active s’élevait à 247 personnes, dont 14 chômeurs[44] (20 fin 2011[45]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (80 %)[46] et travaillent majoritairement hors de la commune (84 %)[46].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 16 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[47].

Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 14 en 2010. Il était de 12 en 2000[48], de 24 en 1988[49]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers les grandes cultures. Quatre exploitations pratiquent la polyculture[48]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) avait un peu augmenté, de 909 à 1 047 ha[49], avant de fortement régresser lors de la dernière décennie, reculant à 601 ha[48].

Industrie[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 10 établissements, n’employant aucun salarié[50].

Activités de service[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 14 établissements (avec onze emplois salariés), auxquels s’ajoutent les cinq établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant deux personnes[50].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec moins d’un touriste accueilli par habitant[51], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[52]. Les structures d’hébergement à finalité touristique sont peu nombreux à Marcoux, et se limitent à des meublés labellisés[53] et non-labellisés[54]. Les résidences secondaires apportent un complément appréciable à la capacité d’accueil[55] : au nombre de 53, elles représentent logement sur cinq[56],[57].

Restaurant Bistrot de pays Le Cheval blanc[58],[59].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Municipalité[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1925 ? Hyacinthe-Frédéric Gay   Instituteur puis secrétaire de mairie
mai 1945 1947 Louis Tron[60]    
1947 1965 Albert Chabot UNR  
1984 1989 Gaston Guieu SE professeur de lettre à la retraite
1994 2014 André Picard    
avril 2014 mai 2020 Patrick Reinaudo[61]   Retraité agricole
mai 2020 en cours Christian Boyer[62]   Ancien Cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité 2017[modifier | modifier le code]

En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[63] :

  • total des produits de fonctionnement : 253 000 , soit 479  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 256 000 , soit 485  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 311 000 , soit 591  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 217 000 , soit 412  par habitant ;
  • endettement : 207 000 , soit 392  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 7,21 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,36 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,11 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 795 [64].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Marcoux fait partie :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[66].

En 2021, la commune comptait 454 habitants[Note 4], en diminution de 9,02 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
369309257301300319360363385
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
375346287280300317306288262
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
304270271288262214199184178
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
189180166305390414402468478
2012 2017 2021 - - - - - -
516464454------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[67] puis Insee à partir de 2006[68].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315 1471
78 feux28 feux

L’histoire démographique de Marcoux, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1836 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1936, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[69]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1960. Marcoux connait ensuite une croissance rapide, triplant sa population en trente ans.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[70] :

  • Écoles maternelles et primaires à La Javie, Digne-les-Bains,
  • Collèges à Digne-les-Bains,
  • Lycées à Digne-les-Bains.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[71] :

Cultes[modifier | modifier le code]

Campanile de l’église Saint-Étienne.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château, résidence d’été des évêques de Digne, est partiellement en ruines. Un papier peint de l’époque de Louis XIII y a été retrouvé. Une corniche de gypseries ornée d’entrelacs décore la grande salle[73].

L’église Saint-Étienne (fin du XIIe/début du XIIIe siècle) est inscrite aux monuments historiques[74]. Un des contreforts date de 1434, un autre est construit dans les années 1960, avec la grande campagne de consolidation et de restauration (pose de tirants, réfection de la charpente). La nef à trois travées, voûtée en berceau, est longue de 21,6 m et large de 5,9 m. Le campanile du XIXe siècle est posé sur le clocher construit en 1888-1889[75]. Sa cloche date de 1699 (classée au titre objet[76]). L’autel, en bois doré, date du XVIIe siècle (classé[77]).

La chapelle de la Peyrière est peut-être l’ancien prieuré Saint-Marcellin[29] (actuellement indiquée comme Sainte-Marthe).

Le monument aux morts. Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 et 1939-1945[78].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Livres
  • Marie-Paule Baume, Tranches de vie à Marcoux du XIVe au XIXe siècle, Digne-les-Bains, Communauté de communes des 3 Vallées, 2003, (ISBN 2-9520539-0-1)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Roger Brunet, « Canton de Digne-les-Bains », sur Le Trésor des régions (consulté le ).
  2. Lieux et itinéraires
  3. Réseau des lignes régulières de transport des Alpes-de-Haute-Provence
  4. L'eau dans la commune
  5. Description de la station
  6. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », , 72 p. (ISBN 2-7399-5004-7).
  7. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,, , p.39.
  8. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 2 août 2012
  9. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 96.
  10. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 80.
  11. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 2 août 2011
  12. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Marcoux », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 2 août 2012
  13. BRGM, « fiche 40317 », Sisfrance, consultée le 2 août 2012
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Marcoux et Digne-les-Bains », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Digne les Bains », sur la commune de Digne-les-Bains - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Station Météo-France « Digne les Bains », sur la commune de Digne-les-Bains - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  21. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 14919, p. 851.
  28. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
  29. a b c d e et f Daniel Thiery, « Marcoux - Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence », (consulté le ).
  30. Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.
  31. Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 221
  32. Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 181.
  33. Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 196.
  34. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307,‎ 1er trimestre 1989, p.296-298
  35. Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
  36. a b et c Labadie 2013, p. 52.
  37. Labadie 2013, p. 16.
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  39. Labadie 2013, p. 11.
  40. Paul Minvielle, « La viticulture dans les Alpes du Sud entre nature et culture », Méditerranée, 107 | 2006, mis en ligne le 1er décembre 2008, consulté le 12 juillet 2013.
  41. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles] », Méditerranée, no 109,‎ , p.56 et 59 (lire en ligne).
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