Hémevez
Hémevez | |
La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
Dominique Lelouey 2022-2026 |
Code postal | 50700 |
Code commune | 50241 |
Démographie | |
Gentilé | Hémeveziens |
Population municipale |
184 hab. (2021 ) |
Densité | 43 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 27′ 30″ nord, 1° 26′ 28″ ouest |
Altitude | Min. 6 m Max. 28 m |
Superficie | 4,30 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Cherbourg-en-Cotentin (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Valognes |
Législatives | 1re circonscription de la Manche |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.hemevez.fr/ |
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Hémevez est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 184 habitants[Note 1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Hémévez est une commune du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La rivière le Merderet est le principal cours d'eau de la commune. C'est un affluent du fleuve côtier la Douve.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 826 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 18 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Hémevez est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,6 %), prairies (32,5 %), terres arables (27,9 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 83, alors qu'il était de 84 en 2014 et de 81 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 85,5 % étaient des résidences principales, 8,4 % des résidences secondaires et 6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Hémevez en 2019 en comparaison avec celle de la Manche et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,4 %) inférieure à celle du département (15 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,2 % en 2014), contre 63,4 % pour la Manche et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Hémevez[I 2] | Manche[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 85,5 | 76,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 8,4 | 15 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6 | 8,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Ansnevilla Heymevez et Saint-Lô d'Anslevilla au XIIe siècle, Haimeveis vers 1180, Haimesvez en 1214, Hemevez au XIIIe siècle, Heimmesvez en 1294 et Hames Veys en 1824[13].
Le premier élément peut être issu d'un anthroponyme germanique tel que Haiminus[14], ce qui est possible puisqu'il existait à Éroudeville (anciennement Aroudeville, « la ferme d'Harold »), un gué nommé Aroudevei, c'est-à-dire composé avec un nom de personne.
René Lepelley reprend quant à lui la proposition de François de Beaurepaire par l'adjectif hamais dérivé du nom du village voisin, Le Ham, bien qu'il y voie plutôt le gentilé des habitants, d'où le sens global de « gués du Ham » ou « gués des Hamais »[15].
Le deuxième élément du toponyme est le normand septentrional vez/veis/vés, équivalent du français gués (du gallo-roman wadu) au pluriel, que l'on retrouve notamment dans Le Vey et Les Veys[15].
Le gentilé est Hémevezois.
En normand, le nom de la commune est Rhomevâ[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village s'est fixée sur le tracé de la voie romaine Alauna-Cosédia[17],[18].
Hervé de Pierrepont († 1662), chevalier, fut seigneur et patron d'Étienville, Flottemanville, Urville (Hémevez), du Ronceray, et gouverneur pour le roi aux ville et forteresse de Granville[19].
En 1789, Charles-Louis de La Motte-Ango de Flers est dit « seigneur d'Hémevez »[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Cherbourg-Octeville du département de la Manche.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Montebourg[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Valognes
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Manche.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Hémevez était membre de la petite communauté de communes de la région de Montebourg, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération du Cotentin dont est désormais membre la commune.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et ses adjoints[22].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2021, la commune comptait 184 habitants[Note 3], en évolution de +1,1 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) beurre d'Isigny et crème d'Isigny[32].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame des XIVe – XIXe siècles, dans l'allée menant au château, avec son clocher couvert en bâtière et avant-porche gothique. L'édifice abrite plusieurs œuvres classées au titre objet aux monuments historiques[33] : un bas-relief sculpté du XVIIe, une cloche du XVIIIe, un lustre du XVIIe, les statues de saint Lô évêque du XVe, saint Dominique du XVIe, sainte Anne et la Vierge du XVe et une Vierge à l'Enfant du XIVe.
- Sur le monument funéraire d'Adrien-Maximilien de La Motte-Ango (1850-1918), vicomte de Flers, on peut voir les armes de sa famille : écartelé, aux 1 et 4 de gueules à la tête humaine d'argent posée de profil, les cheveux hérissés d'or ; aux 2 et 3 de gueules à neuf mascles d'or, 3, 3, 3 ; sur le tout, d'azur à 3 annelets d'or[20].
- L'église a été rénovée en 2018-2019[34],[35].
- Gisants du XVe siècle[Note 4] dans le cimetière au pied d'un if funéraire séculaire, dont celui d'un prêtre portant chasuble et aube, et tombeau en forme de sarcophage.
- Croix de cimetière du XVIIIe siècle, et croix face à l'allée du château.
- Château d'Hémevez des XVIe, XIXe – XXe siècles[36] avec des dépendances importantes. Ancienne propriété des Ango de la Motte, Ango de Flers. Un gite y a été aménagé[37].
- Ferme-manoir de Goudange du XVIe siècle, ancien fief.
- La Baronnerie.
- La Chillerie.
- Oratoire (1954).
- Ancien four à pain.
- Stèle inaugurée en 2004 à la mémoire de sept parachutistes du 505e régiment de la 82e division aéroportée américaine, capturés dans la nuit du au par l'ennemi puis exécutés[38].
-
L'église et la stèle à la mémoire des parachutistes de la 82e division aéroportée américaine.
-
Façade de l'église.
-
La nef de l'église.
-
Le chœur de l'église.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Famille de La Motte-Ango de Flers, propriétaire du château d'Hémevez.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 109.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 248.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Résumé statistique de Hémevez sur le site de l'Insee
- « Dossier complet : Commune de Hémevez », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Hémevez »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Hémevez » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021, légale en 2024.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ils appartiennent peut-être à la famille de Sainte-Mère, titulaire de la seigneurie d'Hémevez du XIIe au XVIe siècle.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Hémevez ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Hémevez » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Hémevez - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Hémevez - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Manche » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
- « Orthodromie entre Hémevez et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin », sur Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 974.
- Ernest Nègre, op. cit.
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 86.
- « La commune affiche son nom en normand », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- Gautier 2014, p. 248.
- Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes et Bénédicte Guillot (avec la collaboration de Gaël Léon), ArchéoCotentin : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, t. 2, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), « Cadre de vie, vie quotidienne et environnement », p. 50.
- « Plaque funéraire d'Hervé de Pierrepont, seigneur et patron d'Étienville et autres lieux, et son cadre », notice no PM50000397, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 76.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
- « Les 20 ans de service du maire distingués par une médaille », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ) « Philippe Rouxel, maire honoraire, a retracé le parcours du médaillé. « Vous êtes arrivé dans la commune en 1994. Aux élections municipales de mai 1995, vous avez accepté de faire partie de la liste du conseil municipal (...) Quand j'ai arrêté en 2008, j'ai été satisfait que vous continuiez ».
- « Brigitte Groult est élue maire », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ) « Brigitte Groult, tête de liste, est élue maire avec 11 voix ».
- « Jean-Marc Joly est réélu maire », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Marc Joly a été élu maire en 2010, suite au départ de Brigitte Groult. Samedi 29 mars, les conseillers municipaux se sont réunis pour élire maire et adjoints ».
- Corinne Gallier, « Un maire du Cotentin présente sa démission : « Je suis fatigué, meurtri par les coups bas » : Jean-Marc Joly, maire d'Hémevez (Manche), a présenté sa démission, acceptée par le préfet. Les résultats de la Présidentielle ont été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase », La Presse de la Manche, (lire en ligne, consulté le ) « J’ai présenté au préfet de la Manche ma démission de maire qu’il vient d’accepter », annonce le premier édile d’Hémevez (canton de Montebourg) Jean-Marc Joly ».
- « Municipales à Hémevez. Jean-Marc Joly réélu maire : Mercredi 27 mai 2020, Jean-Marc Joly a été réélu maire d’Hémévez avec neuf voix. Face à lui, Didier Jore a obtenu deux voix », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « Après une démission, cette commune du Cotentin a un nouveau maire : Dominique Lelouey est, depuis ce jeudi 28 juillet 2022, le nouveau maire d'Hémevez (Manche). La semaine passée, son prédécesseur Jean-Marc Joly avait démissionné », La Presse de la Manche, (lire en ligne, consulté le ) « il (n')y avait qu’une seule candidature en la personne de Dominique Lelouey au poste de maire ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
- Œuvres mobilières classés à Hémevez.
- « Une souscription pour sauver l'église », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « Hémevez. L’évêque a béni les travaux de l’église », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 200.
- Corinne Gallier, « Nos séries de l'été : dans le village d'Hémevez, une pause romantique au château : Tout au long de l'été, nous vous proposons plusieurs séries. Aujourd'hui, on embarque pour une nuit… dans le village d'Hémevez et son magnifique château », La Presse de la Manche, (lire en ligne, consulté le ).
- « 78e anniversaire du Débarquement. Une cérémonie d’hommage aux parachutistes fusillés à Hémevez : De nombreuses personnes se sont retrouvées au cimetière de la commune d’Hémevez (Manche), lundi 6 juin 2022, devant la stèle en hommage des sept parachutistes fusillés par les soldats allemands durant le Débarquement », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).