Monestiés

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Monestiés
Monestiés
Mairie de Monestiés.
Blason de Monestiés
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté de communes Carmausin-Ségala
Maire
Mandat
Denis Marty
2020-2026
Code postal 81640
Code commune 81170
Démographie
Population
municipale
1 376 hab. (2021 en diminution de 0,86 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 04′ 19″ nord, 2° 05′ 52″ est
Altitude 200 m
Min. 190 m
Max. 437 m
Superficie 26,83 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Carmaux
(banlieue)
Aire d'attraction Albi
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Carmaux-2 Vallée du Cérou
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Monestiés
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Monestiés
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Monestiés

Monestiés (en occitan Monestièr) est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

Géographie

Localisation

Monestiés est située à quelques kilomètres de Carmaux près d'Albi dans le département du Tarn. C'était la capitale de la vallée du Cérou sur la ligne de Carmaux à Vindrac en Albigeois.

Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Cérou, le Céret, le ruisseau de Candour, la Zère, le ruisseau de Barret et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[3],[Carte 1].

Le Cérou, d'une longueur totale de 87,1 km, prend sa source dans la commune de Saint-Jean-Delnous et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Varen, après avoir traversé 23 communes[4].

Le Céret], d'une longueur totale de 28,5 km, prend sa source dans la commune de Montauriol et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Cérou au Ségur, après avoir traversé 10 communes[5].

Le ruisseau de Candour, d'une longueur totale de 19,1 km, prend sa source dans la commune de Mirandol-Bourgnounac et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Viaur à Saint-André-de-Najac, après avoir traversé 9 communes[6].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 862 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976[12]et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 730,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 17 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[15] à 13,8 °C pour 1991-2020[16].

Milieux naturels et biodiversité

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : le « bois de St-Hippolyte » (93 ha)[18].

Urbanisme

Typologie

Monestiés est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[I 1],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Carmaux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[I 2] et 18 170 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), forêts (24,2 %), prairies (23,3 %), terres arables (16,2 %), zones urbanisées (1,3 %), eaux continentales[Note 7] (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Le toponyme « Monestiés » dérive de l'occitan « Monestier » qui désigne dans cette langue un monastère. Sa forme latinisé « Monasterio » est attestée plusieurs fois au Moyen Âge.

Histoire

Dans la première moitié du Xe siècle, le lieu de culte et ce qui l’entoure sont donnés à Déodat, abbé de Saint-Salvy, collégiale d’Albi, par Louis IV d’Outremer. Le nom de village Monasterio apparait pour la première fois dans les textes. Il rappelle cette appartenance monastique, peut-être aussi l’existence d’un petit monastère qui aurait pu être construit sur l’ordre de l’abbé pour abriter quelques moines chargés du culte.

L’occupation du site est plus ancienne encore : à 600 mètres du village, un oppidum établi à la confluence du Cérou et du Céret montre qu'à l'âge de fer, des hommes vivaient déjà dans la vallée. Quelques siècles plus tard, ils quitteront les hauteurs pour s'installer sur le site, près de la voie romaine reliant Rodez à Toulouse.

En 1229, à la fin de la croisade des Albigeois, le site devient fief des évêques d'Albi. Un co-seigneur est chargé de sa protection. Contrairement au développement des bastides caractéristiques de cette époque, le village se construit de manière concentrique autour de son église.

Au XIIIe siècle, un hôpital est construit en dehors des fortifications pour abriter les pèlerins de Saint-Jacques, dont une voie secondaire passe par la ville. L'église est reconstruite en 1550 sur un plan gothique, sur les fondations de l'ancienne église romane.

L'essor économique régional du XVIIIe siècle amène le développement du village. Des écrits indiquent qu'il compta jusque 23 marchands et 13 marchés par an. Le village se développe essentiellement autour du tissage du chanvre et du commerce des ânes. À cette époque les douves sont comblées et les remparts détruits pour permettre l'extension du village.

Au XIXe siècle, l'arrivée de cotonnades importées et le développement de la production du charbon dans le bassin de Carmaux vont faire péricliter les tisserands locaux et amener le déclin du village.

Héraldique

Monestiés

Son blasonnement est : De gueules à la tour accostée de deux étoiles, surmontée de deux clefs passées en sautoir, cantonnées à dextre d'un soleil et à senestre d'une lune, le tout d'argent.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1974 mars 1983 Maurice Martin    
mars 1983 en cours[22] Denis Marty PS Conseiller général (2008-2014)
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24]. En 2021, la commune comptait 1 376 habitants[Note 8], en diminution de 0,86 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2431 2101 3341 4471 4671 4991 5641 5871 600
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5551 5961 6271 5681 5451 4991 4871 3881 403
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3491 3241 2891 2051 2981 2641 2151 1951 437
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 3221 2341 2221 3041 3611 3621 3101 4211 371
2021 - - - - - - - -
1 376--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 557 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 207 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 660 [I 7] (20 400  dans le département[I 8]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 8,2 % 5,9 % 8,4 %
Département[I 10] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 741 personnes, parmi lesquelles on compte 69,8 % d'actifs (61,4 % ayant un emploi et 8,4 % de chômeurs) et 30,2 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 288 emplois en 2018, contre 312 en 2013 et 271 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 461, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,1 %[I 13].

Sur ces 461 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 131 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 90,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 4,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Le village est ceinturé par les lices – promenades occupant l’emplacement des fossés et des anciens remparts – les maisons se tassent autour de l’église Saint-Pierre, dans une boucle de la rivière, sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Église Saint-Pierre de Monestiés

L'église Saint-Pierre de Monestiés, construite en 1550. Elle appartient au groupe des édifices gothiques méridionaux, avec son chevet à cinq pans, trois travées et cinq chapelles latérales entre les contreforts. Elle a été édifiée sur les vestiges d’une église romane qui aurait été détruite lors des guerres de Religion. Flanqué d’une tourelle, le clocher abritant une cloche coulée en 1599, s’élève à 20 mètres. Le clocher et chœur ont été classés au titre des monuments historiques en 1979[28]. L'église (à l'exclusion des parties classées) a été inscrit au titre des monuments historiques en 1979[28]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[28].

Personnalités liées à la commune

Vie pratique

Service public

Enseignement

Activités sportives

Écologie et recyclage

Pour approfondir

Bibliographie

  • Office du Tourisme, Monestiés, plan de la cité médiévale
    source ayant servi pour l'historique de la commune
  • [Peyrusse 1982] Louis Peyrusse, « L'église Saint-Pierre de Monestiès », dans Congrès archéologique de France. 140e session, Albigeois, 1982, Paris, Société Française d'Archéologie, , 462 p., p. 388-393

Articles connexes

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Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Monestiés » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Carmaux » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Albi » (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Monestiés » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Monestiés » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Monestiés » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  3. « Fiche communale de Monestiés », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  4. Sandre, « le Cérou »
  5. Sandre, « le Céret »
  6. Sandre, « le ruisseau de Candour »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  12. « Station météofrance Albi - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. a et b « Orthodromie entre Monestiés et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station météofrance Albi - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Monestiés », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF le « bois de St-Hippolyte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. www.ladepeche.fr 3 avril 2014
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Menhir dénommé la Croix de Salvetat », notice no PA00095607, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. a b et c « Eglise Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  29. a et b « Eglise Saint-Hippolyte », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )