Utilisatrice:Victoire F./Brouillon7

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-- Artistes :


noms

Clémence Zamora Cruz[modifier | modifier le code]

Clémence Zamora Cruz
Clémence Zamora Cruz à la marche des fiertés de Paris pour l'Inter-LGBT en 2017.
Clémence Zamora Cruz à la marche des fiertés de Paris pour l'Inter-LGBT en 2017.

Naissance (48-49 ans)
Puebla (Mexique)
Nationalité Française
Cause défendue Droits des personnes LGBTI et trans
Organisation Les Myriades transs
Acceptess-T
Pari-T
Au-delà du genre
Inter-LGBT
Transgender Europe
Profession Professeure d'espagnol

Clémence Zamora Cruz est une militante française pour les droits des personnes LGBTI et trans, professeure d'espagnol de profession, née en 1975 à Puebla au Mexique.

Biographie[modifier | modifier le code]

Clémence Zamora Cruz naît à Puebla au Mexique en 1975[1] dans une famille catholique[2]. À 15 ans, elle fuit sa famille, vit un an sans-abri à Mexico, avant de s'y installer. Elle s'investit dans les mouvements étudiants pour plus de démocratie et pour les droits de l'homme. Elle émigré pour la France À l'âge de 20 ans, elle émigre pour la France avec un visa étudiant, pays qu'elle considère alors comme le « pays des droits de l'homme »[3]. Arrivée en France, elle connaît une grande précarité est un temps sans abri. Elle témoigne avoir subie beaucoup de transphobie[4] et de racisme[3], autant par des agressions quand dans son parcours scolaire ou auprès des autorités — elle reçoit notamment une amende pour « fraude » avant que son état civil ne soit modifié[4].

Elle est naturalisée française en 2004. Elle vit en banlieue parisienne et enseigne l'espagnol à des étudiants en BTS à la Chambre de commerce et d'industrie de Paris. mariée[2].

En France, elle s'investit au sein de plusieurs associations de soutien aux personnes trans, notamment Acceptess-T[2] (co-présidente)[5], mais aussi à Au-delà du genre, dont elle est secrétaire, où elle accompagne des jeunes et leurs familles[3],[6], donne des formations auprès de personnels administratifs[7]> et intervient dans des collèges et des lycées[8] ou à Pari-T où elle donne des cours de français[3] et organise des évènements communautaires[7]. Elle est vice-présidente du réseau international Transgender Europe. En 2015, elle est déléguée et porte-parole de l'Inter-LGBT, interorganisation nationale. Elle conserve le mandat de porte-parole plusieurs années[2],[9],[10]. La même année, via l'Inter-LGBT, elle est mobilisée pour la facilitation du changement d'état civil, proposé que partiellement par le gouvernement Valls[11],[12] Elle intervient dans les médias sur les questions relatives aux personnes trans[10].

En 2021, avec l'association Au-delà du genre, ainsi que plusieurs autres associations trans et des sociologues, elle publie un document de sensibilisation et de recommandations quotidiennes pour l'accueil des élèves trans. Avec ce document, elle souhaite pallier aux manque d'outils fournis par l'Éducation nationale à son personnel, qui n'est pas formé et ne sait pas toujours comment accueillir ces élèves[8].

Elle y défend le fait que la marche des fiertés LGBT de Paris demeure un espace de revendications politiques, ce qui est alors critiqué par plusieurs organisations réunies dans la Pride de nuit[13].

[2] https://revistascientificas.us.es/index.php/CulturasyLiteraturas/article/view/20539/20929 ; https://www.democratsabroad.org/lgbt_cl_mence_zamora_cruz ;

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. https://revistascientificas.us.es/index.php/CulturasyLiteraturas/article/view/20539/20929
  2. a b c et d Gabrielle Dupont, « Clémence  : « Pour moi, j'ai toujours été une fille » », sur Le Monde, (consulté le ).
  3. a b c et d https://www.google.fr/books/edition/The_New_Parisienne/aNaqDwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=0 // https://issuu.com/midasverlag/docs/laparisienne/s/10887736
  4. a et b AFP, « Evasion fiscale : la banque privée de HSBC dans le collimateur de la justice française », sur Challenges, (consulté le ).
  5. http://mobile.e-llico.com/article.htm?le-conseil-de-leurope-adopte-une-resolution-favorable-aux-droits-des-trans&articleID=34841
  6. https://www.challenges.fr/societe/ma-fille-veut-etre-un-garcon-quand-la-transidentite-se-revele-des-l-enfance_742115
  7. a et b Louise Gerber, « L'inclusion des personnes transgenres dans le sport en France : malgré des discriminations toujours présentes, "les choses évoluent dans le bon sens" », sur France Info, (consulté le ).
  8. a et b Laure Dasinieres, « L'école a des leçons à recevoir sur la reconnaissance des personnes trans », sur Slate.fr, (consulté le ).
  9. https://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/10/17/01016-20151017ARTFIG00003-l-existrans-une-marche-pour-sortir-les-trans-de-l-ombre.php
  10. a et b https://www.komitid.fr/2015/11/03/droits-des-trans-la-militante-clemence-zamora-cruz-au-petit-journal/
  11. https://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/21/01016-20150521ARTFIG00007-christiane-taubira-se-saisit-de-la-question-des-droits-des-trans.php
  12. https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/l-assemblee-nationale-veut-faciliter-le-changement-de-sexe-l-etat-civil-379423.html
  13. https://tetu.com/2018/06/28/marche-des-fiertes-la-porte-parole-de-linter-lgbt/


Catégorie:Naissance en 1975 Catégorie:Naissance à Puebla Catégorie:Femme trans française Catégorie:Militant pour les droits LGBT en France Catégorie:Militant pour les droits des personnes trans en France

Mutatis Mutandis[modifier | modifier le code]

Mutatis Mutandis
Logo de l’association
Cadre
Forme juridique Association loi de 1901
But Auto-support trans
Zone d’influence Bordeaux
Fondation
Fondation 1 avril 2005
Fondateurs Cristelle, Léa Dumont, Marie, Nathalie, Marine-Olivia Decaux
Identité
Site web mutatis.mutandis.bdx.free.fr
mutatismutandis.info
Dissolution
Dissolution 31 décembre 2013
Fusionnée dans Trans 3.0

Mutatis Mutandis est une association française d'auto-support trans, active à Bordeaux entre 2005 et 2013. Lui a succède l'assocation Trans 3.0.

Historique[modifier | modifier le code]

L'association Mutatis Mutandis est fondée le [1] par plusieurs femmes transsexuelles, Cristelle, Léa Dumont, Marie, Nathalie[2] et Marine-Olivia Decaux, afin de structuer un réseau informel déjà existant[1]. Au moins Nathalie et Léa Dumont en assumeront la présidence[3]. Elle tire son nom de l'expression latine Modèle:Citaion étangère qui signifie « les choses qui doivent être changées »[4].

Au milieu des années 2000, aidé par le réseau informatique[5], le mouvement associatif trans est alors en pleine expansion, et voit le nombre des associations locales se multiplier[6].

Afin de fournir une aide aux personnes trans lors de leur transition, l'association organise plusieurs permanences ainsi qu'une permanence téléphonique[7]. Elle gère aussi un forum qui est aussi destiné aux proches, aux conjoints et à la famille[8], forum particulièrement actif[9]. Elle participe à la fondation du centre LGBT Le Girofard[10], au sein duquel elle tient ses permanences[4].

Après un schisme interne, l'association est dissoute le [11],[12]. Une nouvelle association trans est fondée à Bordeaux en , Trans 3.0[11],[13] ; les divergences portent « notamment sur les questions de visibilité » selon la présidente de la nouvelle association, Jeanne Swidzinski[14]. Celle-ci continue une activité d'autosupport à l'échelle locale.

?[modifier | modifier le code]

Travail avec les équipes hospitalières[modifier | modifier le code]

Travaille avec l'équipe officielle programme "transgender" ) Bdx[15] Elle propose au protocole de Bordeaux un protocole post-opératoire pour les personnes sortant de l’hôpital[6].

https://www.observatoire-des-transidentites.com/2013/10/04/article-sofect-120403312/#_ftn1

https://www.observatoire-des-transidentites.com/2013/10/04/article-sofect-120403312/#_ftn1 En 2018, Léa Dumont, fondatrice de Mutatis Mutandis, y est toujours active[16].

Dissensus avec une partie du mouvement trans[modifier | modifier le code]

Mutatis Mutandis se distingue des associations trans nées en opposition à la psychiatrie, qui deviennent majoritaires au sein de l'associatif trans durant les années 2000[6]. Ainsi, l'association ne demeure qu'un an membre de la Coordination Existrans, inter-orga lancée par l'Association du syndrome de Benjamin et chargée depuis 2005 de la marche « des trans' et de celles et ceux qui les soutiennent ». Elle la rejoint en 2006, lorsque le slogan de la amrche est « Quel(le) candidat(e) pour la cause Trans[17] ? », mais s'en éloigne dès l'année suivante, opposée au slogan « Contre la psychiatrisation, Résis'Trans' » — la marche est en effet historiquement anti-psychiatrie et opposée au dialogue avec les équipes hospitalières[17],[18].

Elle participe toutefois à la troisième « assemblée générale des trans » organisée par OUTrans en 2010, qui acte, à l'instar de deux précédentes, un appel à cesser les parcours hospitaliers[19].

Développement de la recherche[modifier | modifier le code]

À l'instar de plusieurs associations fondées au même moment, comme Chrysalide à Lyon qui propose de nombreux guides pour la transition[6]

AA en est membre[20]
participation à des journées d'études (mm) : https://www.observatoire-des-transidentites.com/2011/04/30/article-interview-brigitte-esteve-bellebeau-these-sur-judith-butler-72/
livre issu de jourénes d'études en 2010 (mm) : https://www.observatoire-des-transidentites.com/2012/01/09/article-la-transidentite-en-2011-96716186/ . "qui reprenait les actes d’une journée d’étude organisée à Bordeaux et mettant en page l’opposition théorique entre une approche protocolaire des transitions et des approches sociologiques et psychologiques plus critiques"[17]
transyclopédie : https://www.observatoire-des-transidentites.com/article-la-transyclopedie-tout-savoir-sur-les-transidentites-112990218/ 

En 2016, 2017 et 2018, elle organise avec l'université de Bordeaux trois séminaires et journées d'études[9].

Le Petit Mutatis[modifier | modifier le code]

plaquettes et Petit Mutatis (m) : [9] [3] [7] contient des aides à la transition[21],[17]. édité de 2005 à 2012[22]. plaquettes à destination du grand public et de la population trans[4] auquel participe directement des psychiatres[6],[23]

Elle publie également un manuel Homme ou femme au travail ? (indiquer le sous-titre)[4], un guide à destination des employeurs, qui se veut rassurant[6].

Publications[modifier | modifier le code]

http://www.aquitainegay.com/Archives_Mutatis-Mutandis_2.html
http://mutatis.mutandis.bdx.free.fr/lepetitmutatis.html
léa dumont dans le livre de 2012

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Karine Espineiratitre=La transidentité, {{Ouvrage}} : paramètre titre manquant, Paris, Éditions L'Harmattan, coll. « Champs visuels », , 187 p. (ISBN 978-2-296-06097-5), p. 29.
  2. http://mutatis.mutandis.bdx.free.fr/quisommesnous.html
  3. http://www.le-girofard.org/wp-content/uploads/2013/12/projet-girofard-juillet-2008.pdf
  4. a b c et d http://www.aquitainegay.com/Mutatis-Mutandis.html
  5. https://www-cairn-info.wikipedialibrary.idm.oclc.org/transidentites-et-transitude--9791031804927-page-115.htm
  6. a b c d e et f Arnaud Alessandrin, Du « transsexualisme » aux devenirs Trans, thèse, Université Bordeaux-II, , 372 p. (lire en ligne [PDF]), p. 45, 233-234, 237.
  7. a et b S. L., « Les transsexuels font l'objet d'attentions à Bordeaux », sur www.20minutes.fr, (consulté le ).
  8. https://www.google.fr/books/edition/G%C3%A9ographie_des_homophobies/KesyAAAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=%22mutatis+mutandis%22+%22transgenre%22&pg=PT119&printsec=frontcover
  9. a b et c https://www.google.fr/books/edition/Transidentit%C3%A9s/Qu3aEAAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « livre 2023 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  10. https://www.archivescontemporaines.com/articles/1546
  11. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées ODT SoFECT
  12. http://mutatis.mutandis.bdx.free.fr/
  13. http://www.aquitainegay.com/Trans3-0.html
  14. https://www.archivescontemporaines.com/articles/1546
  15. https://www.komitid.fr/2010/04/26/assemblee-generale-des-trans-2010-les-resolutions/
  16. https://www.komitid.fr/2018/05/02/parcours-trans-sofect/
  17. a b c et d Arnaud Alessandrin, Sociologie des transidentités, Paris, Le Cavalier bleu, , 136 p. (ISBN 979-1-031-80279-4, lire en ligne), « Les mouvements trans ».
  18. https://existrans.org/?page_id=77
  19. https://www.komitid.fr/2010/04/26/assemblee-generale-des-trans-2010-les-resolutions/
  20. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées 20 minutes
  21. https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01302621/document
  22. http://mutatis.mutandis.bdx.free.fr/lepetitmutatis.html
  23. https://www.memoire-sexualites.org/wp-content/uploads/2018/10/Projet-Book-du-Forum-Eurom%C3%A9diterran%C3%A9en-2014.pdf

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Association ou organisme lié à la transidentité en France Catégorie:Association ou organisme pour la défense des droits et des libertés des LGBT en France Catégorie:Association française fondée en 2005 Catégorie:Association française disparue en 2013 Catégorie:Bordeaux

Chrysalide[modifier | modifier le code]

Chrysalide
Cadre
Forme juridique Association loi de 1901
But Auto-support trans
Zone d’influence Bordeaux
Fondation
Fondation 2 mai 2007
Origine Trans Infos Échanges
Identité
Site web chrysalide-asso.fr

Chrysalide est une association française d'auto-support trans, présente à Lyon depuis 2007.

https://www.heteroclite.org/2017/05/association-trans-lyon-chrysalide-42053

Historique[modifier | modifier le code]

L'association Chrysalide est fondée en 2007 à Lyon. Elle succède à un collectif nommé Trans Infos Échanges, fondé par quatre personnes, qui effectue une permanence mensuel. Afin de pouvoir développer une activité de sensibilisation à côté de l'autosupport, David Latour, co-fondateur du groupe, et Sophie Berthier fondent l'association Chrysalide[1].

s'oppose à la sofect (mm) clochec

Plus que dans l'interpellation ou l'opposition aux pouvoirs publics, Chrysalide centre son activité hors autosupport sur la sensibilisation et l'ouverture vers les sphères professionnelles[2].

brochures (mm) ODT Aless
enquête Santé Trans (mm) ODT

Publications[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Sitographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Association ou organisme lié à la transidentité en France Catégorie:Association ou organisme pour la défense des droits et des libertés des LGBT en France Catégorie:Association ou organisme ayant son siège à Lyon Catégorie:Association française fondée en 2007

OUTRans[modifier | modifier le code]

Articles payants de Komitid :

[1] indiquer dans la ref les chapitres Chapitre 4. Le mouvement social trans : mobilisations et visibilités et Chapitre 6. Focus sur…
https://bmjopen.bmj.com/content/11/11/e052748.abstract : description de l'asso, participation/publication à des enquetes
Delias Lallet 2018
Alessandrin 2012 (acthe)
Alessandrin ODT "Corps vulnérables, vies dévulnérabilisées" (Z library, dans le dd)
Alessandrin 2018
 Scholar : continuer depuis la page non comprise
 pdf rapide : transféminisme
 + chercher accès à [4]
principes importants pour OT : autodétermination et libre choix du médecin
https://journals-openedition-org.wikipedialibrary.idm.oclc.org/ctd/3723 critique de la SoFect + site web*
chapitre sur la SoFECT dans les Cahiers de l'ODT

organise permanences pour accueil parents et proches

[5] : "En 2000, en France, l’association OUTrans condamne l’approche médicale de Stoller à la recherche d’une identité trans et a comme objectif d’accueillir « tous ceux qui ne se reconnaissent pas dans le système de genre binaire »."
mvt associatif 2000's (peu pertinent)
 inaccessible
 

Développer la position sur la transition : autodétermination, expertiste, anti-SoFECT avec cet important article, puis anecdotiquement avec ça et ça
OUTrans
OUTrans
Logo de l’association
Cadre
Forme juridique Association loi de 1901
But Auto-support trans
Zone d’influence France
Fondation
Fondation avril 2009
Identité
Siège Paris
Fondateurs Joachim F., Lorraine D., Clem G., Céline G., Floryan B. et Samuel B.
Site web outrans.org

OUTrans est une association féministe d'auto-support trans française, fondée en 2009.

Historique[modifier | modifier le code]

OUTrans est fondée en par Joachim F., Lorraine D., Clem G., Céline G., Floryan B. et Samuel B. Si elle est issue de la communauté transmasculine[2], elle a pour objet d'être une association d'auto-support mixte, à la fois pour les femmes trans et les hommes trans[3]. Ils souhaitent notamment combler le manque d'auto-support pour les hommes trans, jugé inexistant[4]. +MANIF, rassemblements

OUTrans organise le la « troisième AG des trans », prenant la suite du Groupe activiste trans (GAT)[3]. Elle réunit seize organisations[6],[5]. Y sont votés de nombreuses revendications, une opposition aux centres de référence, ainsi que la résolution suivante : « Pour mettre en œuvre la dépsychiatrisation des transidentités, la prise en charge de la transition doit exclusivement se fonder sur une déclaration de consentement éclairé sans aucune forme d'évaluation ou de diagnostic[2]. »

En , OUTrans saisit la CNIL et dépose plainte contre le psychiatre Sébastien Machefaux du centre hospitalier Sainte-Anne qui utilise un questionnaire intrusif lors de l'accueil des personnes trans les contraignant à déclarés des informations illégales. Il est membre de l'antenne parisienne de la Société française d'études et de prise en charge de la transidentité[7],[8], dite SoFECT, association de professionnels de santé suivant des personnes trans, critiquée et accusée de violences par les associations trans[8].

Engagement féministe[modifier | modifier le code]

Elle une des premières organisations françaises à se définir comme transféministe[9],[10]. En 2015, dans Sociologie de la transphobie, les sociologues Arnaud Alessandrin et Karine Espineira qualifient OUTrans comme « l'une des [associations trans] plus politisées ». Elle s'inscrit en effet dès sa fondation dans le mouvement féministe[1]. Elle déclare ainsi, lors de l'appel du , en amont de la journée internationale des droits des femmes, « Nous sommes féministes non pas parce que nous aurions été socialiséEs « comme des femmes » pour les Ft* (garçons trans) ou que nous socialisons et socialiserons « comme des femmes » pour les Mt* (femmes trans) mais bien plutôt parce que nous sommes confrontéEs au même système d'oppression et aux mêmes stéréotypes sexistes que l'ensemble des individuEs[1],[11]. »

Recherche d'une expertise sur les parcours de transition[modifier | modifier le code]

Les militants d'OUTrans développent une expertisation profane des parcours médicaux trans, produisant diverses brochures, des campagnes de prévention et des formations à destination des professionnels de santé[12]. Cette approche, qui refuse le contrôle médical et psychiatrique sur les parcours de transition, se retrouve aussi chez l'Association du syndrome de Benjamin (1991), dans la marche Existrans (1997)[13] ou chez l'association lyonnaise Chrysalide (?)[12]. chercher plus sur l'expertisation (mots-clefs)

En 2010, OUTrans créé deux brochures explicatives des différentes chirurgies pour les personnes trans, un projet initié par des étudiants en art de l'école Estienne à la suite d'un stage auprès de Prévention action santé travail pour les transgenres (PASTT)[14],[15],[16]. À destination des communautés médicale, sociale et associative, elles ont visent à combler des ressources lacunaires sur les opérations de chirurgie génitale. Elles bénéficient d'illustration réalisées par l'artiste Hélène Alix Mourrier[17]. Elles sont éditées à 2 000 exemplaires en 2013[14] puis actualisées en 2021[17].

parcours de transition, sofect, etc.[modifier | modifier le code]

Prévention[modifier | modifier le code]

OUTrans mène une politique de sensibilisation et de prévention, notamment à l'égard des infections sexuellement transmissibles (IST) et du VIH, et propose des supports pour les personnes trans. Cette recherche d'une expertise militante trouve son origine dans l'invisibilisation du public trans sur les questions liées à la prévention, ainsi que l'absence d'études sur la prévalence du sida dans la population trans française[1],[11]. Dans ce sesn

Après avoir publié en 2010 un guide à destination des hommes trans ayant des rapports sexuels avec des hommes cis (c'est-à-dire non trans)[3],[1],[18] — première brochure à destination du public transmasculin[2] —, l'association diffuse en la première campagne nationale de prévention lancée par l'INPES. Une enquête de l'Inserm sur la santé sexuelle des personnes trans réalisée dans le même temps affirme que « le taux de séroprévalence est de trois à quatre fois plus élevée que la moyenne chez les femmes trans' migrantes et travailleuses du sexe »[3]. Elle est suivie, en 2012, d'une questionnaire puis de la première campagne d'incitation au dépistage des IST à destination des personnes trans[11],[19].

autodétermination..[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Alessandrin Espineira 2015
  2. a b et c « Chronologie du mouvement trans' », sur L'Ordre des mots, (consulté le ).
  3. a b c et d Observatoire des transidentités (ODT), « Chronologie du mouvement trans », sur Mémoire des sexualités, (consulté le ).
  4. « Années 2000 : 2005-2009 », sur Mémoire des sexualités (consulté le ).
  5. a et b Audrey Banegas, « Assemblée générale des trans' 2010 : les résolutions », sur Yagg, Komitid, (consulté le ).
  6. Sont présents Act Up-Paris, l'Association commune trans et homo pour l'égalité (ACTHE), Chrysalide, le Comité IDAHO, Étudions Gayment, Les Flamands Roses, IdentiT, l'Intertrans, Le MAG, Mutatis Mutandis, OUTrans, Les Panthères roses, Trans-Europe. Le Groupe d'étude sur le transidentité (GEsT), Pink FreaK'X et Trans Aide ont communiqués leur procuration[5].
  7. « ANNÉES 2010 : 2ème semestre 2018 », sur Mémoire des sexualités (consulté le ).
  8. a et b Olga Volfson, « L'association OUTrans dépose une plainte contre la SoFECT auprès de la Commission nationale de l'informatique et des libertés », sur Komitid, (consulté le ).
  9. https://hal-univ-paris8.archives-ouvertes.fr/hal-03137868
  10. http://www.lambdanordica.org/index.php/lambdanordica/article/download/631/582
  11. a b et c Arnaud Alessandrin et Karine Espineira, La transphobie, Comité IDAHO, , 90 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 35, 72
  12. a et b https://www-cairn-info.wikipedialibrary.idm.oclc.org/revue-cahiers-de-l-action-2013-3-page-91.htm
  13. https://www-cairn-info.wikipedialibrary.idm.oclc.org/identites--9782361063283-page-73.htm
  14. a et b Hélène Mourrier, « Trans-formation : FT* & MT*, 2010-2013 », GLAD!, no 1,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/glad.230, lire en ligne).
  15. https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01120242/
  16. (en) Emeline Brulé et Tiphaine Kazi-Tani, « Disputing Ergonomics, Deconstructing Users. A Queer Perspective on Design », Design History Society, San Francisco,‎ (HAL hal-01246059, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  17. a et b Alénior B-Valois, « En encre et en genre : le graphisme à l'épreuve de l'inclusivité », ARQueer,‎ (lire en ligne Accès libre).
  18. Audrey Banegas, « OUTrans sort « DTC », le premier guide de prévention pour les trans' Ft* », sur Yagg, Komitid, (consulté le ).
  19. Christophe Martet, « Outrans lance une campagne d’incitation au dépistage du VIH et des IST pour les trans' », sur Yagg, Komitid, (consulté le ).

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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • entretien par Arnaud Alessandrin et Yves Raibaud, « Quelles visibilités pour les trans ? », dans Arnaud Alessandrin (dir.) et Yves Raibaud (dir.), Géographie des homophobies, Paris, Armand Colin, coll. « Recherches », , 285 p..
  • Coline Cardi et Anne-Marie Devreux, « L'usage du droit dans le mouvement d'émancipation trans », Cahiers du genre, vol. 2, no 57,‎ , p. 77-94 (lire en ligne Accès libre), entretien deux membres d'OUTrans, Ali Aguado et Ian Zdanowicz
  • Lucie Delias et Mélanie Lallet, « La remédiation des savoirs en santé dans les communautés en ligne sur les transidentités », Revue française des sciences de l'information et de la communication, no 15,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/rfsic.4813, lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Association ou organisme lié à la transidentité en France Catégorie:Association ou organisme pour la défense des droits et des libertés des LGBT en France Catégorie:Association ou organisme lié au féminisme en France Catégorie:Association française fondée en 2009

GAT[modifier | modifier le code]

Groupe activiste trans
Image illustrative de l’article Victoire F./Brouillon7
Logotype officiel.
Présentation
Fondateurs Carine Bœuf, Vincent He-Say, Tom Reucher, Maxime Zitouni
Fondation 2002
Disparition juillet 2006
Idéologie Défense des droits des personnes trans
Anti-assimilationnisme
Anarchisme
Site web transencolere.free.fr

Le Groupe activiste trans (GAT) est un groupe militant trans, actif de 2002 à 2006 en France.

Opposé à la psychiatrisation et à la pathologisation des parcours de transition, il influe sur une ligne anti-assimilationniste au sein du mouvement trans naissant. Il se fait remarquer par plusieurs « zaps » de personnalités, et est aussi à l'origine d'« Assemblées générales des trans » et a participé à la fondation de la Coordination Existrans.

Historique[modifier | modifier le code]

Le Groupe activiste trans est fondé en 2002[1] par Carine Bœuf, Vincent He-Say, Tom Reucher et Maxime Zitouni[2],[3] — rejoints plus tard par Karine Espineira et Maud-Yeuse Thomas[4]. Il s'inscrit dans une période des mouvements associatifs trans, débuté au cours des années 1990, où les problématiques politiques et sociales des personnes trans sont mises en avant, au-delà de la médicalisation ; en 1994 et 1997, apparaissent respectivement l'Association du syndrome de Benjamin (ASB, fondée par Tom Reucher) et le CARITIG[1],[5].

D'obédience libertaire, le groupe affirme se constituer « en dehors de toute forme associative, politique ou syndicale responsable aux yeux de ses membres, d'une corruption liée aux notions consubstantielles de domination et de pouvoir »[6]. Tenant d'une ligne politique radicale[6],[1], le groupe des « trans' en colère » affirme son opposition aux institutions médico-juridiques ainsi qu'aux associations, jugées trop consensuelles[7].

Les « zaps » du GAT[modifier | modifier le code]

Il se fait remarquer par sa forme d'action spectaculaire[6],[1]. Le GAT reprend les « zaps » d'Act Up-Paris — dont il est proche[n 1] —, un moyen d'action qui consiste en des « actions rapides et ponctuelles dirigées contre des personnages, des institutions ou encore des bâtiments »[6]. Par ce moyen, ils souhaitent dénoncer les politiques et les pratiques transphobes en vigueur[8]. Parmi les personnes ciblées, Patricia Mercader, psychologue aux écrits transphobes, en 2004 à la Cité des sciences[9],[6] ou la psychanalyste Colette Chiland[9],[10]. En février 2006, aux côtés d'Act Up-Paris, le GAT intervient lors d'une conférence du Parti socialiste pour réclamer une prise de position claire du parti sur les problèmes rencontrés par les personnes trans[8],[11].

AGs et existrans[modifier | modifier le code]

Le , il est le premier groupe à organiser un rassemblement pour la Journée du souvenir trans (TDoR)[1],[12], journée de commémoration des personnes trans assassinée, célébrée la première fois en France en 2002 par le CARITIG[13]. En octobre de la même année, le GAT organise la première « Assemblée générale des trans » à Paris, en amont de la manifestation annuelle Existrans. Cette réunion, qui est reconduite en 2005[note 1], a pour objet de mettre en œuvre une grille de revendications communes parmi les associations et collectifs trans en France (qui réunit l'ASB, Act-UP Paris, le PASTT, TIRESIAS et Trans Aide Lorraine — devenue Association nationale transgenre[note 2])[6],[14]. Les revendications, qui exigent notamment la dépsychiatrisation de la transidentité par la déclassification du « transsexualisme » du DSM, sont ensuite portées auprès de l'Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé (ANAES, actuelle Haute Autorité de santé)[14],[15]. En 2005, le GAT participe à la fondation de la Coordination Existrans, organisme inter-associatif qui produit des communiqués de presse communs ainsi que des revendications auprès de la Haute Autorité de santé[6]. À partir de 2004 aussi, elles portent sur la dépsychiatrisation et l'accès à un changement d'état civil démédicalisé et déjudiciarisé[14]. D'après Karine Espineira, l'ensemble de ces actions contribuent à fédérer un mouvement social revendiquant l'existence de personnes et de droits[6],[16].

Disparition[modifier | modifier le code]

Le GAT s'auto-dissout en [6]. Il effectue sa dernière prise de parole publique le sur Radio libertaire dans Bistouri Oui Oui, émission animée par le GAT[17].

citer la lettre de fin par la chronologie de L'ordre des mots
chapitre sur la SoFECT dans les Cahiers de l'ODT
http://www.lordredesmots-lefilm.com/timeline-sloganhistorique/slogantimeline.html
http://www.lordredesmots-lefilm.com/timeline-transhistorique/transtimeline.html https://www.memoire-sexualites.org/chronologie-mouvement-trans/
http://www.lordredesmots-lefilm.com/timeline-boo/bootimeline.html Bistouri Oui Oui (si pas d'article, essayer para)
http://www.lordredesmots-lefilm.com/timeline-sloganhistorique/slogantimeline.html liste des zaps
[Entrer dans la maison des hommes. De la clandestinité à la visibilité : trajectoires de garçons trans’/FtM]
   [5] 233 234 237
[18] [19]
TDoR 2004 sur le site de Bistouri Oui Oui
[20] [21]
Espineira 2022" les marches Existrans depuis 1997 à Paris, le vote de la dépsychiatrisation par la première assemblée générale des associations et collectifs trans, à l’initiative du Groupe activiste trans (GAT) en 2004, ont en commun d’avoir contribué..."

Bistouri Oui Oui et courts métrages[modifier | modifier le code]

Le GAT développe son action aussi par les ondes et la réalisation de courts métrages[7].

(développer) Bistouri Oui Oui, première émission de radio réalisée par des personnes trans à destination de personnes trans en France, diffusée sur Radio libertaire de façon mensuel du au [7].

Le créneau de Bistouri Oui Oui sur Radio libertaire est repris par une nouvelle émission trans et intersexe, Bodyfreakss, les corps déjanrés, fondée par Vincent Guillot de l'Organisation internationale des intersexués[22].

Le GAT réalise une dizaine de courts métrages en do it yourself, comme Le doigt de dieu (ou la bite à Lacan)[23],[24] en 2002 sur le discours psychiatrique et psychanalytique avec la sociologue Marie-Hélène Bourcier[23] ou XX Boys en 2004, un cortège transmaculin mené par l'artiste Kael T. Block à l'Existrans[19],[24].

Filmographie[modifier | modifier le code]

Impact[modifier | modifier le code]

Le Groupe activiste trans provoque le dissensus au sein du mouvement trans français[6], en s'opposant à l'intégrationnisme jusque là davantage mis en avant[3]. Il importe en effet des idées anti-assimilationnistes apparues pour la première fois outre-Atlantique, souhaitant dépsychologiser, démédicaliser et dépathologiser les discours et parcours des personnes trans. Ainsi, les militants du GAT s'opposent à l'invisibilisation des personnes trans dans l'espace public, en parlant pour eux-mêmes et en mettant en avant leurs identités trans — qui sont multiples —, ce qui contribue à produire des féminités et des masculinités différentes[6],[25],[18]. Cette politique identitaire est un élément essentiel de son discours, aux côtés de l'autonomie des personnes devant l'instance médico-légale[18].

Ce discours, politique et novateur, marqueur du mouvement associatif des années 2000, se retrouve aussi chez Support transgenre Strasbourg, association d'autosupport fondée en 2002 en partie active en ligne[18],[26],[27]. Après sa disparition, il est repris par d'autres associations, comme Sans Contrefaçon de Karine Espineira et Maud-Yeuse Thomas à Marseille[4], mais aussi hors de France, comme Guerrilla Travolaka en Catalogne[28].

Ses méthodes d'actions militants, « zaps » et die-in, mettent aussi en avant les corps comme un outil politique de contestation ; pratique aussi utilisée par Support transgenre Strasbourg au cours des mêmes années[29]. Ils revendiquent une « fierté » à être et s'affirmer en tant que translien. Cependant, ces méthodes sont aussi l'objet de discordes au sein du mouvement associatif, d'autres groupes préférant des actions moins radicales et moins offensives afin de mieux se faire accepter par la société[16].

ref 2022 é[16]: lien (vérifier chapitre)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Après la dissolution du GAT, une autre assemblée générale a vu le jour, en 2010, impulsée par OUTrans[5].
  2. GAT, « Compte rendu de l'assemblée générale des trans' du 25/09/2004 à 13h », sur Groupe activiste trans, (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Arnaud Alessandrin, Sociologie des transidentités, Paris, Le Cavalier bleu, , 136 p. (ISBN 979-1-031-80279-4, lire en ligne), « Les mouvements trans ».
  2. Foerster 2007.
  3. a et b Karine Espineira, « Entretien avec Chrysalide », sur Observatoire des transidentités (consulté le ).
  4. a et b Christine Bard (dir.) et Sylvie Chaperon (dir.), Dictionnaire des féministes : France XVIIIe – XXIe siècle, Paris, Presses universitaires de France, , 1700 p. (ISBN 978-2-13-078720-4), « Espineira Karine ».
  5. a b et c Arnaud Alessandrin et Éric Macé (dir.), Du « transsexualisme » aux devenirs Trans, Université Bordeaux-II, , 372 p. (lire en ligne [PDF]), p. 45, 233-234, 237.
  6. a b c d e f g h i j et k Karine Espineira, Analyse de la construction des cultures de genre à la télévision. La transidentité de l'espace public à l'espace télévisuel, Université de Provence Aix-Marseille I, , 372 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 29, 55, 85.
  7. a b c et d Observatoire des transidentités (ODT), « Chronologie du mouvement trans », sur Mémoire des sexualités, (consulté le ).
  8. a et b {{Ouvrage|auteur=Pauline Londeix|titre=Le manifeste lesbien|passage=123|https://www.google.fr/books/edition/Le_manifeste_lesbien/rxnaAAAAMAAJ?hl=fr&gbpv=1&bsq=%22Groupe+activiste+trans%22&dq=%22Groupe+activiste+trans%22&printsec=frontcover
  9. a et b (en) Marie-Hélène Bourcier, « ‘F***' the Politics of Disempowerment in the Second Butler », Paragraph (en), nos 35/2,‎ , p. 233-253 (DOI doi:10.3366/para.2012.0055).
  10. https://www.cairn.info/revue-le-sujet-dans-la-cite-2011-1-page-189.htm
  11. https://serval.unil.ch/resource/serval:BIB_38163.P001/REF.pdf p. 549
  12. http://ftmvariations.org/archivestrans/index.php/evenements-recurrents/11-20-novembre-trans-day-of-remembrance-souvenir-des-personnes-trans-assassinees?showall=&start=3
  13. http://ftmvariations.org/archivestrans/index.php/evenements-recurrents/11-20-novembre-trans-day-of-remembrance-souvenir-des-personnes-trans-assassinees?showall=&start=1
  14. a b et c Coline Cardi et Anne-Marie Devreux, « L'usage du droit dans le mouvement d'émancipation trans », Cahiers du genre, no 57,‎ , p. 77-94 (DOI 10.3917/cdge.057.0077, lire en ligne).
  15. https://www-cairn-info.wikipedialibrary.idm.oclc.org/revue-deliberee-2019-1-page-64.htm
  16. a b et c Karine Espineira et Maud-Yeuse Thomas, Transidentités et transitudes : Se défaire des idées reçues, Le Cavalier bleu, , 182 p. (ISBN 979-1-0318-0513-9, lire en ligne). Chapitres « Ce sont des malades mentaux », p. 39-48, et « Pour être trans, il faut avoir été opéré·e », p. 59-68.
  17. « 21 Septembre 2006 : Le Groupe Activiste Trans', dernière prise de parole publique, rideau ! », sur L'Ordre des mots (consulté le ).
  18. a b c et d Karine Espineira, « Transidentité, de la théorie à la politique : Une métamorphose culturelle entre pragmatisme et transcendance », Information psychiatrique, no 87,‎ , p. 279-282 (DOI 10.1684/ipe.2011.0770, lire en ligne).
  19. a et b * Karine Espineira, Analyse de la construction des cultures de genre à la télévision. La transidentité de l'espace public à l'espace télévisuel, Université de Provence Aix-Marseille I, , 372 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 11, 24, 26.
    Thèse publiée : La transidentité : de l'espace médiatique à l'espace public, Paris, Éditions L'Harmattan, coll. « Champs visuels », , 187 p. (ISBN 978-2-296-06097-5).
  20. {{Article}} : paramètre « titre » manquant, paramètre « périodique » manquant, paramètre « date » manquant.
  21. {{Ouvrage}} : paramètre titre manquant.
  22. https://web.archive.org/web/20090422071253/http://bf.ftmvariations.org/
  23. a et b Karine Espineira, « Do It Yourself, mode d'expression d'une minorité », sur Le Blog de Karine Espineira / Espiñeira, (consulté le ).
  24. a et b « Les Productions Sans Contrefaçon », sur Sans Contrefaçon (consulté le ).
  25. Marie-Hélène Bourcier, Queer zones. 2, Sexpolitiques, Paris, La Fabrique, , 301 p. (ISBN 2-913372-44-9, lire en ligne).
  26. Éric Macé, « Ce que les normes de genre font aux corps / Ce que les corps trans font aux normes de genre », Sociologie, vol. 1,‎ , p. 497-515 (DOI doi.org/10.3917/socio.004.0497, lire en ligne).
  27. Stéphanie Nicot, « Sexe, genre et état civil : vers des droits humains nouveaux ? », dans Évelyne Peyre et Joëlle Wiels (dir.), Mon corps a-t-il un sexe ? : Sur le genre, dialogues entre biologies et sciences sociales, Paris, La Découverte, coll. « Recherches », , 360 p. (ISBN 978-2-7071-7358-4, DOI 10.3917/dec.peyre.2015.01.0286, lire en ligne), p. 286-295.
  28. https://www.google.fr/books/edition/French_and_Spanish_Queer_Film/YXAxEAAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=%22Groupe+activiste+trans%22&pg=PA104&printsec=frontcover
  29. Karine Espineira, « Les corps trans : Les corps trans : disciplinés, militants, esthétiques, subversifs », Revue des sciences sociales, no 59,‎ , p. 84-95 (DOI 10.4000/revss.701, lire en ligne).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • Culture France, France, 2006, 75 minutes, anthologie de court-métrages du GAT et de Sans Contrefaçon
  • L'ordre des mots, documentaire de Cynthia Arra et Mélissa Arra, France, 2007, 75 minutes

Sitographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Organisation anarchiste en France Catégorie:Association ou organisme lié à la transidentité en France Catégorie:Association ou organisme pour la défense des droits et des libertés des LGBT en France Catégorie:Organisme fondé en 2002 Catégorie:Organisme disparu en 2006

Kael T. Block[modifier | modifier le code]

XX Boys
  1. REDIRECTKael T. Block

ED[modifier | modifier le code]

Victoire F./Brouillon7

Énergies démocrates est un parti politique français fondé par Christian Blanc en 2002.

Historique[modifier | modifier le code]

https://www.lemonde.fr/archives/article/2002/05/23/l-ancien-pdg-d-air-france-christian-blanc-investit-57-candidats-sous-son-label_276933_1819218.html https://www.france-politique.fr/wiki/%C3%89nergies_2007_(Energies2007) https://www.journal-officiel.gouv.fr/associations/detail-annonce/associations_b_archive/20020022/1284

Il présente 57 candidats aux élections législatives qui suivent. Dans la troisième circonscription de Paris[1], Christian Blanc recueille 10 % des suffrages au premier tour et n'est pas élu[2]. Il est cependant élu six mois plus tard dans à une élection partielle dans la troisième circonscription des Yvelines. À l'Assemblée nationale, il s'apparente au groupe Union pour la démocratie française.

Catégorie:Parti politique fondé en 2002

Wittmann[modifier | modifier le code]

Clément Wittmann est un militant écologiste français, né le à Sarrebourg.

Lors des élections présidentielles de 2012, 2017 et de 2022, il réalise un tour de France à vélo afin de présenter sa candidature.

Biographie[modifier | modifier le code]

Clément Wittmann naît en 1960 à Sarrebourg, chef-lieu de Moselle. Son père est mécanicien, sa mère femme au foyer[3].

Refusant la conscription, Clément Wittman est un objecteur de conscience en 1982. Il travaille durant deux ans au sein du parc national des Cévennes où il observe le faucon pèlerin ; il remarque alors l'effet néfaste de l'insecticide DDT sur leurs conditions de vies. Il devient par la suite charpentier[3].

Il intègre le parti des Verts en 1985. En 1992, il est candidat du parti pour les élections cantonales dans le canton de Blâmont. Il quitte par la suite le parti, auquel il reproche une « compromission » électoraliste et sa participation à la croissance[3].

qu'il débute en . Il est hébergé par des militants du mouvement décroissant. Pour financer son voyage, il a vendu sa maison. Sa candidature suscite une opposition au sein du mouvement décroissant (ou des « objecteurs de croissance »), divisé entre une décroissance « ni de droite ni de gauche » et une décroissance marquée à gauche. Wittman est soutenu par le premier courant, qui est représenté par le Parti des objecteurs de croissance. Le Parti pour la décroissance et le Mouvement des objecteurs de croissance y sont opposé[3].

Aussi candidat aux élections législatives de 2012 dans la première circonscription de Meurthe-et-Moselle, il n'obtient que 194 voix, soit 0,43 % des suffrages exprimés[4].

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/t-as-vu-l-info/candidat-a-bicyclette_1781675.html

Notes et références[modifier | modifier le code]

Attention : la clé de tri par défaut « Wittmann, Clément » écrase la précédente clé « Block, Kael T ». Catégorie:Naissance en 1960 Catégorie:Naissance à Sarrebourg Catégorie:Personnalité des Verts (France) Catégorie:Personnalité de la décroissance

Liste des élus de la Commune de Paris[modifier | modifier le code]

La liste des élus de la Commune de Paris comprend l'ensemble des membres du conseil de la Commune, gouvernement révolutionnaire établi à Paris entre mars et .

Ils sont 85 élus lors des élections municipales du , mais quinze d'entre eux, opposés à la Commune, démissionnent. Plusieurs attentistes font de même dans les jours qui suivent, portant le total des démissionnaires à 21. En conséquence, des élections complémentaires sont organisées le [1].

Parmi les dix commissions — dont la composition est seulement fixée après le [2] —, la plus importante est la Commission exécutive, chargée d'appliquer les décrets. Une première est formée le puis une seconde le . Elle est remplacée le par le Comité de salut public, centraliste, dont la création voit l'opposition d'une minorité. Ses membres sont élus ; un nouveau Comité est élu le [3].

Élus le 26 mars[modifier | modifier le code]

Élus ayant siégés[modifier | modifier le code]

Liste des élus à la Commune aux élections du
Nom[4] arrt[4] Profession Appartenance politique Commission[2] Fraction Autres fonctions Sort[4]
Jules Allix Allix, Jules Jules Allix 8e Professeur libre Fouriériste[5] Emprisonné
Charles Amouroux Amouroux, Charles Charles Amouroux 4e Ouvrier chapelier Internationaliste[6] Relations extérieures Comité central Déporté
Arnaud, Antoine Antoine Arnaud 3e Employé Internationaliste[7], Jacobin Commission exécutive (2e) ; Services publics Minorité Exilé
Assi, Adolphe-Alphonse Adolphe-Alphonse Assi 11e Ouvrier mécanicien Internationaliste[8] Colonel, Comité central[8] Déporté
Avrial, Augustin Augustin Avrial 11e Ouvrier mécanicien Internationaliste[9] Commission exécutive (1re) ; Travail et Échange puis Guerre[9] Minorité Exilé
Babick, Jules Jules Babick 10e Parfumeur Internationaliste Minorité Exilé
Jules Bergeret Bergeret, Jules Jules Bergeret 20e Ouvrier typographe Internationaliste, Jacobin Commission exécutive (1re) Commandant, Comité central Exilé
Charles Beslay Beslay, Charles Charles Beslay 6e Ingénieur Internationaliste[10] Finances Minorité Exilé
Alfred Billioray Billioray, Alfred Alfred Billioray 14e Artiste peintre Sans engagement précédent[11] Comité de salut public (2e) ; Finances ; Guerre (à partir du 1er mai) Comité central Déporté, mort en déportation
Pourille, Stanislas « Blanchet » Stanislas « Blanchet » Pourille 5e Brocanteur Jacobin Comité central Exilé
Antoine Brunel Brunel, Antoine Antoine Brunel 7e Officier Jacobin Exilé
Louis Chalain Chalain, Louis Louis Chalain 17e Tourneur Internationaliste[12] Sûreté générale puis Travail et Échange[12] Minorité Exilé
Henry Champy Champy, Henry Henry Champy 10e Coutelier Jacobin Subsistances Déporté
Jean-Baptiste Chardon Chardon, Jean-Baptiste Jean-Baptiste Chardon 13e Ouvrier chaudronnier Internationaliste, blanquiste320-322 Chardon Jean-Baptiste Exilé
Clémence, Adolphe Adolphe Clémence 4e Ouvrier relieur Internationaliste[13] Justice Minorité[13] Exilé
Clément, Émile Émile Clément 17e Ouvrier cordonnier Internationaliste[14] Finances Exilé puis banni
Jean-Baptiste Clément Clément, Jean-Baptiste Jean-Baptiste Clément 18e Chansonnier Jacobin Services publics et Subsistances puis Enseignement[15] Garde national
Clément, Victor Victor Clément 15e Ouvrier teinturier Subsistances Minorité Emprisonné
Frédéric Cournet Cournet, Frédéric Frédéric Cournet 19e Employé Jacobin Sûreté générale Exilé
Charles Delescluze Delescluze, Charles Charles Delescluze 11e Journaliste Jacobin Comité de salut public (2e) ; Relations extérieures puis Guerre[16] Tué au combat
Demay, Antoine Antoine Demay 3e Ouvrier sculpteur Internationaliste, Jacobin Exilé
Simon Dereure Dereure, Simon Simon Dereure 18e Ouvrier cordonnier Internationaliste[17] Subsistances puis Justice[17] Exilé
Descamps, Baptiste Baptiste Descamps 14e Mouleur Jacobin aucune[18] Acquitté
Clovis Dupont Dupont, Clovis Clovis Dupont 3e Ouvrier vannier Jacobin Sûreté générale Comité central Déporté
Émile Eudes Eudes, Émile Émile Eudes 13e Employé Blanquiste[19] Commission exécutive (1re) ; Comité de salut public (2e) Comité central Exilé
Théophile Ferré Ferré, Théophile Théophile Ferré 18e Comptable Blanquiste Sûreté générale Fusillé
Léo Frankel Frankel, Léo Léo Frankel 13e Ouvrier bijoutier Internationaliste Travail et Échange (délégué) Minorité Comité central Exilé
Ferdinand Gambon. Gambon, Ferdinand Ferdinand Gambon 9e Ancien juge Jacobin Comité de salut public (2e) ; Justice Exilé
Charles Gérardin Gérardin, Charles Charles Gérardin 17e Courtier Jacobin Comité de salut public (1er) Relations extérieures Exilé
Gérardin, Eugène Eugène Gérardin 4e Ouvrier peintre Internationaliste Minorité Déporté
Géresme, Hubert Hubert Géresme 12e Ouvrier chaisier Comité central Déporté
Paschal Grousset Grousset, Paschal Paschal Grousset 18e Journaliste Jacobin Commission exécutive (2e) ; Relations extérieures (délégué) Déporté
Henry Fortuné Henry, Fortuné Fortuné Henry 10e Poète, journaliste, maroquinier Internationaliste, Jacobin Comité central Exilé
François Jourde Jourde, François François Jourde 5e Comptable Finances (délégué) Minorité Comité central Déporté
Langevin, Camille Camille Langevin 15e Ouvrier tourneur Internationaliste Justice Minorité Exilé
Ledroit, Charles Charles Ledroit 5e Photographe Exilé
Gustave Lefrançais Lefrançais, Gustave Gustave Lefrançais 4e Ancien instituteur Internationaliste Commission exécutive (1re) ; Finances Minorité Exilé
Benoît Malon Malon, Benoît Benoît Malon 17e Ouvrier teinturier Internationaliste Travail et Échange Minorité Exilé
Jules Martelet Martelet, Jules Jules Martelet 14e Ouvrier peintre Internationaliste Exilé
Léo Melliet Melliet, Léo Léo Melliet 13e Clerc d'avoué Comité de salut public (1er) ; Relations extérieures Exilé
Jules Miot Miot, Jules Jules Miot 19e Pharmacien Internationaliste, Jacobin Enseignement Emprisonné
Henri Mortier Mortier, Henri Henri Mortier 11e Découpeur sur bois Blanquiste Comité central Exilé
François Ostyn Ostyn, François François Ostyn 19e Ouvrier tourneur Services publics Minorité Comité central Exilé
Oudet, Émile Émile Oudet 19e Ouvrier peintre en porcelaine Jacobin Exilé
Parisel, François François Parisel 7e Médecin Jacobin Subsistances Exilé
Jean-Louis Pindy Pindy, Jean-Louis Jean-Louis Pindy 3e Ouvrier menuisier Internationaliste Minorité Comité central Exilé
Puget, Ernest Ernest Puget 19e Peintre en porcelaines puis comptable Jacobin Exilé
Félix Pyat Pyat, Félix Félix Pyat 10e Journaliste Jacobin Commission exécutive (1re) ; Comité de salut public (1er) ; Finances Exilé
Gabriel Ranvier Ranvier, Gabriel Gabriel Ranvier 20e Ouvrier peintre Blanquiste Comité de salut public (1er et 2e) ; Guerre Comité central Exilé
Paul Rastoul Rastoul, Paul Paul Rastoul 10e Médecin Jacobin Services publics Minorité Déporté, mort en évasion
Dominique Régère Régère, Dominique Dominique Régère 5e Vétérinaire Jacobin Déporté
Raoul Rigault Rigault, Raoul Raoul Rigault 8e Journaliste Blanquiste Commission exécutive (2e) ; Sûreté générale (délégué) Fusillé
Albert Theisz Theisz, Albert Albert Theisz 12e Ouvrier ciseleur Internationaliste Travail et Échange Minorité Exilé
Tridon, Gustave Gustave Tridon 5e Journaliste Blanquiste Commission exécutive (2e) ; Guerre Minorité Exilé
Raoul Urbain Urbain, Raoul Raoul Urbain 7e Instituteur Jacobin Déporté
Édouard Vaillant Vaillant, Édouard Édouard Vaillant 8e Enseignant Internationaliste Commission exécutive (1re et 2e) ; Enseignement (délégué) Minorité Exilé
Jules Vallès Vallès, Jules Jules Vallès 15e Journaliste Enseignement ; Relations extérieures Minorité Exilé
Eugène Varlin Varlin, Eugène Eugène Varlin 6e Ouvrier relieur Internationaliste Subsistances Minorité Comité central Fusillé
Augustin Verdure Verdure, Augustin Augustin Verdure 11e Comptable Internationaliste Enseignement Déporté
Auguste Vermorel Vermorel, Auguste Auguste Vermorel 18e Journaliste Sûreté générale Minorité Tué au combat

Élu ne pouvant siéger[modifier | modifier le code]

Auguste Blanqui est arrêté avant l'insurrection, le , et retenu prisonnier au château du Taureau. En conséquence, il ne peut siéger[1],[4].

Liste des élus à la Commune du empêchés de siéger
Nom[4] arrt[4] Profession Appartenance politique Commission[2] Autres fonctions Sort[4]
Auguste Blanqui Blanqui, Auguste Auguste Blanqui 18e Journaliste Blanquiste - - Emprisonné

Élus tués en fonction[modifier | modifier le code]

Deux élus meurent en avril lors des combats contre les forces versaillaises[1].

Liste des élus à la Commune tués avant le
Nom[4] arrt[4] Décès Profession Appartenance politique Commission Autres fonctions
Duval, Émile Émile Duval 13e
Capturé au combat puis fusillé
Internationaliste, blanquiste Commission exécutive (1re) Comité central
Gustave Flourens Flourens, Gustave Gustave Flourens 19e
Tué au combat
Enseignant Jacobin

Élus démissionnaires[modifier | modifier le code]

Liste des élus à la Commune ayant démissionné avant le
Nom[4] arrt[4] Démission[4] Raison Profession Appartenance politique Autres fonctions Sort
Adam, Désiré-Adolphe Désiré-Adolphe Adam 1er Négociant en draps Conciliateur, LUR
Benjamin Barré Barré, Benjamin Benjamin Barré 1er < Ouvrier du bois[20] Garde national[20]
Jehan de Bouteiller de Bouteiller, Jehan Jehan de Bouteiller 16e < Opposant[21] Journaliste
Brelay, Ernest Ernest Brelay 2e Négociant en textiles[22] Républicain
Chéron, Chéron[note 1] 2e <
Ernest Desmaret. Desmarest, Ernest Ernest Desmarest 9e < Avocat
Émile Ferry Ferry, Émile Émile Ferry 9e < Industriel
Fruneau, Julien Julien Fruneau 12e Charpentier[23] Internationaliste[23] Membre de la commission municipale du 12e[23] Exilé[23]
Edmond Goupil Goupil, Edmond Edmond Goupil 6e Désaccord politique[24] Médecin[24] Internationaliste[24] Commandant de la Garde nationale, membre du Comité républicain du 6e[24] Emprisonné[24]
Leroy, Albert Albert Leroy 6e
Ernest Lefèvre. Lefèvre, Ernest Ernest Lefèvre 7e Avocat et journaliste
Charles Loiseau-Pinson Loiseau-Pinson, Charles Charles Loiseau-Pinson 2e Ouvrier teinturier[25] Conciliateur, LUR[25]
Henri Marmottan. Marmottan, Henri Henri Marmottan 16e Docteur en médecine Républicain
Jules Méline. Méline, Jules Jules Méline 1er Avocat
Charles Murat. Murat, Charles Charles Murat 3e Bijoutier
Nast, Gustave Gustave Nast[note 2]
(44 ans)
9e < Adjoint au maire[26] Maire de Gournay-sur-Marne (Seine-et-Oise)[27]
Ulysse Parent Parent, Ulysse Ulysse Parent 9e Dessinateur en objets d'art[28] Acquitté[28]
Arthur Ranc. Ranc, Arthur Arthur Ranc 9e Désaccord politique Journaliste Conciliateur, LUR N'est pas inquiété[29]
Jean-François Robinet Robinet, Jean-François Jean-François Robinet 6e Raisons de santé[30] Médecin[30] Conciliateur, LUR[30]
Rochard, Ch. Ch. Rochard[note 3] 1er
Tirard, Pierre Pierre Tirard 2e

Élus le 16 avril[modifier | modifier le code]

Élus restés en place[modifier | modifier le code]

Liste des élus à la Commune aux élections complémentaires du
Nom[4] arrt[4] Appartenance politique Profession Commission Fraction Autres fonctions Sort[4]
Andrieu, Jules Jules Andrieu 1er Employé de la préfecture Internationaliste Commission exécutive (2e) ; Services publics (délégué) Minorité Exilé
Georges Arnold Arnold, Georges Georges Arnold 18e Architecte Guerre Comité central Déporté
Gustave Cluseret Cluseret, Gustave Gustave Cluseret 1er Officier Internationaliste Commission exécutive (2e) ; Guerre (délégué) Minorité Exilé
Gustave Courbet Courbet, Gustave Gustave Courbet 6e Artiste peintre Enseignement Minorité Exilé
Anthime Dupont Dupont, Anthime Anthime Dupont 17e Employé Jacobin Exilé
Jacques Louis Durand Durand, Jacques Jacques Durand 2e Ouvrier cordonnier Internationaliste, Jacobin Justice Fusillé
Fenouillas, Jean « Philippe » Jean « Philippe » Fenouillas 12e Commerçant en vin Jacobin Fusillé
Johannard Jules Johannard, Jules Jules Johannard 2e Placier Internationaliste, Jacobin Relations extérieures Exilé
Alphonse Lonclas Lonclas, Alphonse Alphonse Lonclas 12e Ouvrier sculpteur Jacobin Exilé
Charles Longuet Longuet, Charles Charles Longuet 16e Journaliste Internationaliste Travail et Échange Minorité Exilé
Jean Jacques Pillot Pillot, Jean-Jacques Jean-Jacques Pillot 1er Médecin Blanquiste, Internationaliste Emprisonné
Eugène Pottier Pottier, Eugène Eugène Pottier 2e Dessinateur sur étoffe Internationaliste, Jacobin Services publics Exilé
Serraillier, Auguste Auguste Serraillier 2e Ouvrier cordonnier Internationaliste Travail et Échange Minorité Exilé
Auguste Sicard Sicard, Auguste Auguste Sicard 7e Marchand en crinolines Jacobin Exilé
Alexis Trinquet Trinquet, Alexis Alexis Trinquet 20e Ouvrier cordonnier Blanquiste Sûreté générale Déporté
Pierre Vésinier Vésinier, Pierre Pierre Vésinier 1er Journaliste Internationaliste, Jacobin Services publics Exilé
Viard, Auguste Auguste Viard 20e Employé Jacobin Commission exécutive (2e) ; Subsistances (délégué) Comité central Exilé

Élu ne pouvant siéger[modifier | modifier le code]

Menotti Garibaldi, militaire italien ayant combattu auprès de la France lors de la guerre contre l'Allemagne, n'est pas présent à Paris et n'a donc pas connu la Commune[4].

Liste des élus à la Commune du empêchés de siéger
Nom[4] arrt[4] Profession Appartenance politique Commission[2] Autres fonctions Sort[4]
Menotti Garibaldi Garibaldi, Menotti Menotti Garibaldi 19e Militaire - Absent

Élus démissionnaires[modifier | modifier le code]

Deux membres de la Commune, élus le , refusent d'accepter la légitimité de leur élection, n'ayant obtenus qu'un huitième des voix des inscrits[1],[4].

Liste des élus à la Commune le et ayant démissionné
Nom[4] arrt[4] Profession Appartenance politique Autres fonctions Sort[4]
Briosne, Auguste Auguste Briosne 9e Feuillagiste Ne semble pas avoir été poursuivi
Louis-Augustin Rogeard. Rogeard, Auguste Auguste Rogeard 6e Publiciste Exilé

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Chéron », sur Le Maitron en ligne, .
  2. « Nast », sur Le Maitron en ligne, .
  3. « Rochard Ch. [ou Rochat, Rochart] », sur Le Maitron en ligne, .

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Les élections des et  : quelle légitimité pour la Commune ? », dans Michel Cordillot (coord.), La Commune de Paris 1871 : Les acteurs, l'évènement, les lieux, Éditions de l'Atelier, coll. « Maitron », , 1437 p. (ISBN 978-2-7082-4596-9), p. 221-223.
  2. a b c et d Louise Michel, La Commune, Paris, P.-V. Stock Éditeur, , 423 p. (lire sur Wikisource), p. 167-168.
  3. « Le Comité de Salut public », dans Michel Cordillot (coord.), La Commune de Paris 1871 : Les acteurs, l'évènement, les lieux, Éditions de l'Atelier, coll. « Maitron », , 1437 p. (ISBN 978-2-7082-4596-9), p. 247-248.
  4. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v et w « Les membres élus de la Commune », dans Michel Cordillot (coord.), La Commune de Paris 1871 : Les acteurs, Michel Cordillot, les lieux, Éditions de l'Atelier, coll. « Maitron », , 1437 p. (ISBN 978-2-7082-4596-9), p. 1359-1362.
  5. Cordillot 2021, p. 40-42, notice « Allix Jules  ».
  6. Cordillot 2021, p. 44-47, notice « Amouroux Charles ».
  7. Cordillot 2021, p. 55-57, notice « Arnould Charles, Auguste, Edmond, Arthur, dit Larive, dit A. Matthey ».
  8. a et b Cordillot 2021, p. 64-66, notice « Assi Adolphe, Alphonse ».
  9. a et b Cordillot 2021, p. 73-77, notice « Avrial Augustin, Germain ».
  10. Cordillot 2021, p. 128-133, notice « Beslay Charles ».
  11. Cordillot 2021, p. 137-139, notice « Billioray Alfred, Édouard ».
  12. a et b Cordillot 2021, p. 312-314, notice « Chalain Louis, Denis ».
  13. a et b Cordillot 2021, p. 344-147, notice « Clémence Hyppolite, Adolphe, dit Roussel ».
  14. Cordillot 2021, p. 350-352, notice « Clément Léopold, Émile ».
  15. Cordillot 2021, p. 353-355, notice « Clément Jean-Baptiste » par Alain Chicouard.
  16. Cordillot 2021, p. 408-411, notice « Delescluze Louis, Charles ».
  17. a et b Cordillot 2021, p. 418-421, notice « Dereure Louis, Simon ».
  18. Cordillot 2021, p. 421-422, notice « Descamps Baptiste ».
  19. Cordillot 2021, p. 533-537, notice « Eudes Émile, François, Désiré, dit Deschamps, Gaïfer ou Sed ».
  20. a et b Jean-Pierre Bonnet, « Barré Benjamin, Désiré », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  21. « Bouteiller (de) », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  22. J. Gans et J. Gaumont, « Brelay Ernest », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  23. a b c et d « Fruneau Julien, dit Dupetit », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  24. a b c d et e Claude Pennetier et Gauthier Langlois, « Goupil Edmond, Alfred », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  25. a et b « Loiseau-Pinson Charles, Martin », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  26. « Nast Gustave Louis Emmanuel », base Léonore, ministère français de la Culture.
  27. « Morts d'hier », La Croix, no 6651,‎ 11-12 décembre 1904, p. 2 (lire en ligne).
  28. a et b Michel Cordillot, « Parent Ulysse [Parent Pierre, Ulysse] », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  29. « Ranc Arthur [Ranc Artur] », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  30. a b et c Jean Maitron, « Robinet Jean, François, Eugène », sur Le Maitron en ligne, (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

{{Portail|politique française|Paris|France au XIXe siècle}}

* élus de la Commune élus de la Commune

MSS[modifier | modifier le code]

Occupation humaine[modifier | modifier le code]

  • Archéologie
https://www.google.fr/books/edition/Comit%C3%A9_des_travaux_historiques_et_scien/fHAcSHuSoCcC?hl=fr&gbpv=1&bsq=%22montagne+Saint-%E2%80%8BS%C3%A9bastien%22+%22autun%22&dq=%22montagne+Saint-%E2%80%8BS%C3%A9bastien%22+%22autun%22&printsec=frontcover

Loisirs[modifier | modifier le code]

https://www.google.fr/books/edition/Guide_Vert_Bourgogne_Michelin/5XoTEAAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=croix+de+la+lib%C3%A9ration+autun&pg=PT583&printsec=frontcove

Randonnée[modifier | modifier le code]

Un circuit de randonnée pédestre balisé « Promenades et randonnées » emprunte le mont Saint-Sébastien en une boucle de 11,2 kilomètres. Il est évalué de niveau intermédiaire, avec une durée de 3 heures et un dénivelé de 342 mètres — accessible en joëlette —. Il démarre au site de la pierre de Couhard, emprunte le chemin boisé de la cascade de Brisecou, passe sur les côtes des bois des Gaudoirs et de Riveau, contourne par le nord le domaine du château de Montjeu (XVIIe siècle), gagne le plateau de la Croix de la Libération, puis descend le faubourg Saint-Blaise pour rejoindre Couhard. Il suit pour l'essentiel le sentier de grande randonnée 13, qui contourne au sud le mont Saint-Sébastien, ainsi que le sentier de grande randonnée 137[1]. Il est possible de couper et de contourner les sommets boisés par le nord jusqu'à la Croix, le circuit était raccourci à 10,8 kilomètres et avec un dénivelé plus abordable, de 200 mètres[2].

Sur le plateau, le site de la Croix de la Libération est équipé d'une aire de repos et d'un parking[3] en accès libre[4].

Une course à pied est organisée annuellement sur le mont Saint-Sébastien, la « Montée de la Croix », par le Stade athlétique autunois depuis les années 1980[5]. Une édition jeunesse, les « Foulées autunoises », est présente depuis 2015[6].

Cyclisme[modifier | modifier le code]

  • randonnée et descente VTT :
    • rando : [6] ; articles de presse
    • pistes de descente [7] [8] actu
  • Tour de France : parcours S-L

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « La croix de la Libération », sur Randonnées en Morvan, Parc naturel régional du Morvan (consulté le ).
  2. « La Croix de la Libération - Les Balades Pédestres », sur Route71 Bourgogne du Sud, Destination Saône-et-Loire (consulté le ).
  3. « La Croix de la Libération », sur Bourgogne Tourisme, Bourgogne-Franche-Comté Tourisme (consulté le ).
  4. « La Croix de la Libération - Le Patrimoine Culturel », sur Route71 Bourgogne du Sud, Destination Saône-et-Loire (consulté le ).
  5. « La montée de la Croix », sur Stade athlétique autunois, (consulté le ).
  6. « Dimanche matin, la montée de la Croix », sur Le Journal de Saône-et-Loire, (consulté le ).

Trois monts du Morvan[modifier | modifier le code]

  • Section générales : Géographie, Hydrographie, Faune et flore, Occupation humaine, Patrimoine : naturel et culturel
    • Urbanisme : nouvelles cartes

Mont Touleur[modifier | modifier le code]

  1. carte du CeCab
  2. Les Annales des pays nivernais 35
  3. site natura2000?
  4. Légendes
    1. Légende sur Thouleur-Done
    2. La Wivre
      1. L'enfant oublié Montelle 2006
      2. La bête Faramine qui rejoint la pierre de la Wivre du Beuvray (voir Vouivre#Une apparence variable selon les régions)
    3. Chapelle Saint-Gengoult de Larochemillay : le sire de Thouleurs
    4. en bref (?), la "chasse du Piqueux noir" évoquée par Jean Drouillet
    5. en bonus : un peu d'analyse de ces légendes ? chercher sur Jean Drouillet (?)
  5. Chercher des CPA
  6. Exploiter :
    • ! liste biblio ! [9] (p-e que Garenne)
    • Jacques-Gabriel Bulliot, Essai sur le système défensif des Romains dans le pays Éduen, Paris, Dumoulin, 256 p. (lire en ligne) : beaucoup, chercher "Thouleur"
    • Jacques-Gabriel Bulliot et Félix Thiollier, La mission et le culte de Saint Martin d'après les légendes et les monuments populaires dans le pays Éduen : Étude sur la paganisme rural, Autun, librairie Dejussieu, , 482 p. (lire en ligne).
    • Xavier Garenne, Bibracte, Autun, imprimerie L. Duployer, , 228 p. (BNF 30481319, lire en ligne) : entre auters, temple druidique
    • Antoine Desforges, « Notes sur les stations préhistoriques et protohistoriques de la vallée de l'Alaine (Nièvre), en particulier sur les Ateliers néolithiques des environs de Fléty. XII. Âge du fer. – Les Oppida », Mémoires de la Société académique du Nivernais, t. XIV,‎ , p. 62-63 (lire en ligne)
    • [www.cecab-chateaux-bourgogne.fr/Documents/Articles/rapport-activite-2013-chateaux-de-glenne-et-vauteau.pdf PDF CeCab 2013]
    • François Traullé, « Connais-tu le mont Touleur ? », Vents du Morvan, no 45,‎
    • Valentin Chevassu, « Châteaux et peuplement dans le Sud Morvan. Étude des sites de Glenne,  Vauteau et Touleur », dans Hervé Mouillebouche et Yves Nouvellet (dir.) (préf. Michel Prestreau), Chastels et maisons fortes 5. Actes des journées de castellologie de Bourgogne 2013-2014, Chagny, Centre de castellologie de Bourgogne, , 248 p. (ISBN 978-2-9543821-8-0)
    • Christian Godon, Larochemillay, village d'Art et d'Histoire, auto-édition, novembre 2016
  7. Chercher dans :
    1. Baudiau : T , s , h , hs
    2. Mémoires de la Société éduenne : T , s , h , hs ✔️
    3. Société académique du Nivernais : T , s , h , hs
    4. Le Morvan cœur de la France ?
    5. Persée : T , s , h , hs
    6. Gallica : T , s , h , hs
    7. Cairn : T , s , h , hs
    8. Scholar : T , s , h , hs
    9. Books : T , s , h , hs
    10. Depuis l'orthographe "Thouleurs" : tout plein
  8. Pistes :

Mont Done[modifier | modifier le code]

  1. carte du CeCab
  2. Les Annales des pays nivernais 35
  3. Géographie : "petites vallées qui de Beuvray à Done tendant par Étang à la vallée d'Arroux" Bulliot ; séparé du Beuvray par le débouché de la plaine d'Autun [10]
  4. Hydrographie : la Haleine prend sa source aux pieds de Done : Bulliot + chercher dans le dico de topographie nivernais + vallée de l'Haleine à Luzy Bulliot
  5. Bulliot : Légende sur Thouleur-Done
  6. Bulliot : description du site
  7. Niaux (Luzy) : description générale
  8. Chercher des CPA
  9. Toponymie : Done, bois de Done
    1. Le moulin de Done se trouve-t-il au lieu-dit Done ?
  10. Chercher dans :
    1. Baudiau
    2. Le Morvan cœur de la France ?
    3. Niaux : archéologie
      1. Persée
      2. Gallica
      3. Cairn
      4. Scholar
      5. Books
        1. Bulletin Soc. hist. nat. Autun 1888

Mont Charlet[modifier | modifier le code]

  1. carte du CeCab
  2. Les Annales des pays nivernais 35
  3. site natura 2000?
  4. Chercher dans :
    1. Baudiau
    2. Le Morvan cœur de la France ?
    3. Niaux : archéologie
      1. Persée
      2. Gallica
      3. Cairn
      4. Scholar
      5. Books

MD[modifier | modifier le code]

Mont Dosne

Mont Dône
Mont Dosne
Image illustrative de l’article Victoire F./Brouillon7
Géographie
Altitude 513 m
Massif Morvan
Coordonnées 46° 49′ 37″ nord, 4° 02′ 59″ est
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre et Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Mont Dône Mont Dosne
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
(Voir situation sur carte : Saône-et-Loire)
Mont Dône Mont Dosne
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
(Voir situation sur carte : Nièvre)
Mont Dône Mont Dosne

Le mont Dône, ou Dosne, est un massif du Morvan situé à cheval entre la Nièvre et la Saône-et-Loire en France, sur le territoire des communes de Luzy, Millay et Saint-Didier-sur-Arroux.

Il est renommé pour ses roches gravées et percées, situées sur le plateau sommital, qui ont décrites au XIXe siècle comme des pierres druidiques dédiées aux sacrifices, ainsi que pour l'enceinte défensive qu'il a accueilli, dedans laquelle ont été retrouvés des silex du Néolithique.

Géographie[modifier | modifier le code]

MORVAN paysage : http://paysage.parcdumorvan.org/page.php?lg=fr&rub=03&srub=01&ssrub=04&sssrub=05

Le mont Dône culmine à 513 mètres[1],[2]. Il est situé à l'ouest de la commune de Luzy, petite ville de la Nièvre, à proximité de la frontière avec la Saône-et-Loire[3], sur un carrefour de quatre communes.

   https://books.google.fr/books?id=dVSM_9Me8hQC&pg=PA111&dq=mont+done+saint+didier+sur+arroux : Millay et St-Didier-sur-Arroux (lieu-dit Bois de Done)
        mention pour situer St-D-s-A : https://sites.google.com/site/montbeuvray/saint-didier-sur-arroux%28sa%C3%B4ne-et-loire%29
                                      et millay : https://sites.google.com/site/montbeuvray/millay%28ni%C3%A8vre%29
                                         mais aussi au nord-ouest, à proximité du hameau de Thil sur la commune de Poil.

et au sud-est de Thil-sur-Arroux


situation dans le massif du Morvan [11]
domine la vallée de l'Alène [12]

Sa majeure partie ouest est située au sein du site Natura 2000 « Bocage, forets et milieux humides du Sud Morvan »[4].

Occupation humaine[modifier | modifier le code]

Le mont Dône, anciennement mont Dosne, a donné son nom à un moulin voisin[5], ainsi qu'aux hameaux Dône, à ses pieds l'ouest à Millay, Bas Dône et Dône au sud à Luzy et Bois de Dône sur son versant nord à Saint-Didier-sur-Arroux[1]. Il domine notamment le château de la Planche (XVIIIe siècle), au sud du Bas Dône[1].

Aucun toponyme ancien n'est connu[6].

En raison de sa proximité avec la route nationale 81 joignant Luzy à Autun, le mont sert de poste d'observation durant la Seconde Guerre mondiale pour les maquis résistants[3].

Roches gravées[modifier | modifier le code]

L'extrémité Est est caractérisé par un amas d'importants blocs granitiques naturels[2]. Trois roches sont creusées par des cuvettes à leur sommet. Deux sont gravées : l'une d'une fleur et l'autre d'une tête de sphinx à son extrémité[3].

Il est fantasmé au XIXe siècle d'avoir accueilli des sacrifices druidiques[3].

première ref : Alexis Raillard, Un coin du Morvan à travers l'histoire, Civry, Éditions de Civry, coll. « Pierre écrite », , 446 p. (ISBN 2-85983-035-9), p. 24
A. Desforges cite Garenne et Jacquinot


Site archéologique[modifier | modifier le code]

Images externes
Plan du site fortifié, Chevrier 2015.
Profil du rempart « R » (B.) et plan détaillé du site (C.), Coqblin 1970.
Plan de l'oppidum par Xavier Garenne en 1867.
  En hauteur, le mont Dône présente un éperon barré aux deux extrémités, sur une superficie de trois à quatre hectares. À l'ouest, il est barré par une levée de terre, doublée sur sa face externe d'un mur en grand appareil. Une fortification plus modeste existe sur la partie intérieure[7]. 

À proximité du mont Beuvray, où était situé la capitale du peuple éduen Bibracte, le mont Dône forme un point intermédiaire ente la vallée de l'Arroux et le bassin nord de la Loire[8].

Le plateau sommital du mont Dône témoigne d'un site fortifié pré-médiéval, culminant entre 501 et 513 mètres. Il est découvert dans les années 1850 par Jacques-Gabriel Bulliot, qui mettra à jour la décennie suivante les restes de Bibracte sur le mont Beuvray. La découverte est cependant attribuée à tort à Xavier Garenne dès 1865, un archéologue amateur et futur maire de Luzy. Des sondages sont menés en 1875, à la fin des années 1960 et plus récemment[2].

Le site, escarpé[8] était protégé par un rempart de contour, à l'exception possible du segment sud où la pente est particulièrement importante. Deux remparts de barrage est et ouest parcellisent l'intérieur de l'enceinte, et la zone centrale semble être divisée par deux talus orientés selon le même axe. Le rempart de barrage situé à l'ouest, long de 100 mètres et large de 10 mètres délimite un espace de moins d'1 hectare. À l'opposé est, le barrage mesure 90 mètres sur 16 mètres. Les deux autres massifs intérieurs sont difficiles à interpréter. Leur fonction défensive n'est pas confirmé, et il est possible qu'ils soient issus de constructions modernes[2].

Des silex néolithiques ont été découverts sur le mont, qui restent à caractériser[7]. Sur le plateau, Honoré Jacquinot, lors de fouilles au XIXe siècle, a mis à jour en assez grande abondance des silex taillés, généralement peu volumineux, débris de lames, grattoirs, petits nucléus et pointes de flèche[2].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Le mont Dône est traversé par le GR13, qui évite son sommet par le nord[1].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Carte IGN classique » sur Géoportail.
  2. a b c d et e Chevrier 2009.
  3. a b c et d Patrimoine du Morvan.
  4. Fiche FR2601015 - Bocage, forets et milieux humides du Sud Morvan sur le réseau Natura 2000. Voir la cartographie.
  5. Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique du département de la Nièvre comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Société nivernaise des lettres, sciences et arts, Paris, imprimerie impériale, , 246 p. (lire en ligne), p. 148 et 242.
  6. Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique du département de la Nièvre comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Société nivernaise des lettres, sciences et arts, Paris, imprimerie impériale, , 246 p. (lire en ligne), p. 56.
  7. a et b Rémi Martineau, Jimmy Linton, Jehanne Affolter, Sébastien Francisco, Laure Saligny et Lyse Basset, « Le Néolithique du Morvan : état des connaissances », Revue archéologique de l'Est, t. 60, no 183,‎ , p. 5-44 (lire en ligne).
  8. a et b https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5620587n/f169
Niaux R., 1996, « Histoire et nature de l'Autunois : prospection archéologique en Morvan », in :Buchsenschutz O., Richard H. dir., L'environnement du Mont Beuvray, Glux-en-Glenne, Centre archéologique européen, p. 139-166 (Bibracte, 1).

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Général[modifier | modifier le code]

  • ! Bibracte, Autun, imprimerie L. Duployer, , 228 p. (BNF 30481319)
    Réédité en 1880 à l'imprimerie Luquet[1].
  •  ! Antoine Desforges, « Notes sur les stations préhistoriques et protohistoriques de la vallée de l'Alaine (Nièvre), en particulier sur les Ateliers néolithiques des environs de Fléty », Mémoires de la Société académique du Nivernais, t. XIV,‎ , p. 35-67 (lire en ligne), en particulier les parties XII. « Âge du fer. – Les Oppida » et XIII. « Autels à sacrifices ».
  •  ! Roland Niaux, « Luzy (Nièvre) », Le Pays d'art et d'histoire du Mont Beuvray,‎ (hhttps://sites.google.com/site/montbeuvray/luzy%28ni%C3%A8vre%29)

Roches gravées[modifier | modifier le code]

Oppidum[modifier | modifier le code]

https://books.google.fr/books?id=NtIwAQAAIAAJ&q=mont+done+saint+didier+sur+arroux&dq=mont+done+saint+didier+sur+arroux&hl=fr&newbks=1&newbks_redir=0&sa=X&ved=2ahUKEwiEhuaV-O_wAhXdB2MBHS4XB04Q6AEwCHoECAUQAg ?

  • Sébastien Chevrier, « Les enceintes pré-médiévales du Nivernais-Morvan : de la documentation ancienne aux prospections récentes », Revue archéologique de l'Est, t. 58, no 180,‎ , p. 133-174 (lire en ligne) : rechercher aussi "Luzy"
  • Jean Arnoux, « Des gaulois aux romains. Un oppidum à Luzy : le mont Dosne », dans Jean-Pierre Mordier (dir.) Jean Arnoux, Jean Millot, Jacques Charmant, Andrée Forneret et Sabine Nivot, Regards sur Luzy à travers les siècles : sur les traces du passé luzycois de la préhistoire à nos jours, Luzy, , 350 p. (ISBN 978-2-7466-5843-1), p. 17-18
  BIBLIO : compléter depuis ça

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Catégorie:Luzy Dône Dône Dône Catégorie:Site archéologique du Morvan Catégorie:Site archéologique dans la Nièvre Catégorie:Site archéologique en Saône-et-Loire Catégorie:Site mégalithique dans le Morvan

1. Statue érigée en 1895 ? https://www.google.fr/books/edition/Guide_des_sanctuaires_mariaux_de_France/-dGUDwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=Montcharlet&pg=PT380&printsec=frontcover 2. https://www.mairiechiddes.fr/le-montcharlet 3. https://www.web-croqueur.fr/vierge-du-montcharlet-un-patrimoine-de-chiddes/

Mont C[modifier | modifier le code]

Mont Charlet
Chiddres et derrière le mont Charlet.
Chiddres et derrière le mont Charlet.
Géographie
Altitude 360 m
Massif Morvan
Coordonnées 46° 51′ 45″ nord, 3° 56′ 16″ est
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Mont Charlet
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
(Voir situation sur carte : Nièvre)
Mont Charlet

Le mont Charlet, parfois orthographié Montcharlet, est un massif du Morvan situé dans la Nièvre en France, sur le territoire de la commune de Chiddes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Vue de Chiddes et du Morvan depuis le mont Charlet.

Le mont Charlet culmine à 360 mètres[2]. Le bourg de Chiddes est situé au pied de son versant est, dominant légèrement la vallée bocagère[3].

Le sommet propose une aire de repos pour les randonneurs[2],[4], avec une vue panoramique sur la bocage du nord de la commune et les sommets du Morvan[4]. Il est équipé d'une table d'orientation depuis 2005[2],[5].

Comme l'ensemble du territoire de Chiddes, le mont est situé au sein du site Natura 2000 « Bocage, forets et milieux humides du Sud Morvan »[6].

Pèlerinage chrétien[modifier | modifier le code]

Le , le pèlerinage part de l'église Notre-Dame du Suprême Pardon située dans le bourg et se termine sur le sommet du mont[7].

Le pèlerinage est mis en place par le curé Forestier, après la construction de la nouvelle église à la fin du XIXe siècle. Il succède à un autre pèlerinage, lié à la chapelle médiévale Saint-Jean des Curtils[a] puis à l'église Saint-Maurice abandonnée en 1902[b],[8].

Monuments[modifier | modifier le code]

Calvaire Notre-Dame du Suprême Pardon[modifier | modifier le code]

Le calvaire avant restauration, en 2011.
Images externes
Photographies après restauration
Le monument en 2017.
Détail de la Vierge.

Le calvaire est édifié dans les années 1920 au sommet du mont Charlet, lieu de conclusion du pèlerinage du . Il est dédié à Notre-Dame du Suprême Pardon, comme la nouvelle église. Il est bâti en béton, avec une architecture contemporaine[7].

Georges Théodore Renaud


Le monument devient propriété de la commune en 2010 et bénéficie d'une rénovation en 2012, grâce au concours de l'Association de sauvegarde du patrimoine chiddois, en partenariat avec la mairie[4]. haut de 21 mètres, abrite une Vierge à l'enfant de 2,75 mètres[9]

Fontaine Saint-Jean[modifier | modifier le code]

La fontaine Saint-Jean, érigée entre le XVe et le XVIIe siècle, est située à la sortir nord du bourg, au pied du mont Charlet. Construction en pierre maçonnées, elle est constituée de trois ouvertures en berceau surmontées d'un autel. Elle présente un Christ en croix. Son origine est inconnue. Le Christ est en béton, signe d'un remaniement au XXe siècle. Comme le premier pèlerinage, est liée à a chapelle Saint-Jean des Curtils puis à l'église Saint-Maurice[8].

  MATER LES SOURCES DU SITE DU PATRIMOINE

Loisirs[modifier | modifier le code]

Randonnées ?

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Luquet
  2. a b et c « Carte IGN classique » sur Géoportail.
  3. « Les Trois Vallées encaissées », sur Atlas des paysages, Parc naturel régional du Morvan (consulté le ).
  4. a b et c « Le Montcharlet », sur Commune de Chiddesconsulté le=30 mai 2021.
  5. « Panorama de Chiddes un regard sur le Morvan », sur Nièvre Passion, (consulté le ).
  6. Fiche FR2601015 - Bocage, forets et milieux humides du Sud Morvan sur le réseau Natura 2000. Voir la cartographie.
  7. a et b « Calvaire Notre-Dame du Suprême Pardon », sur www.patrimoinedumorvan.org, Parc naturel régional du Morvan (consulté le ).
  8. a et b « Fontaine St Jean », sur Patrimoine du Morvan, Parc naturel régional du Morvan (consulté le ).
  9. https://www / bourgogne-tourisme.com/sites-naturels/le-montcharlet-3

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Charles Cougny, « Un pardon au cœur du Morvan », Vents du Morvan, no 27,‎ hiver 2007-2008, p. 55-59 (lire en ligne [PDF])

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Charlet Charlet Catégorie:Lieu de pèlerinage catholique Catégorie:Folklore dans le Morvan Catégorie:Culture dans la Nièvre Catégorie:Folklore dans le Morvan Catégorie:Œuvre d'art dans la Nièvre Catégorie:Art dans le Morvan Catégorie:Édifice religieux dans la Nièvre Catégorie:Édifice religieux dans le Morvan

P[modifier | modifier le code]

Des céramiques, des tuiles, des restes de maçonnerie et divers débris ont été retrouvés sur les sites du Quart du Bois, de Montchenis et du Carzot[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

[2] [13]


Article JDC[3]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. de Galembert 1982, p. 25.
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Le Parisien 2013
  3. Sylvie Anibal, « Le village Poil est devenu célèbre grâce à son... nom », sur Le Journal du Centre, (consulté le ).
  • « Poil, autrefois Poy, Pictia », dans Jacques-François Baudiau, Le Morvand ou essai géographique, topographique et historique de cette contrée, vol. 1, Nevers, , 538 p. (lire en ligne), p. 453-462
  • François de Galembert, « Poil », Les Annales du pays nivernais, no 35,‎ , p. 24-25
  • Roland Niaux, « Poil (Nièvre) », Histoire et archéologie en Morvan et Bourgogne,‎ (lire en ligne)
  • Atlas communal Poil, Parc naturel régional du Morvan, , 39 p., PDF (lire en ligne)



Église : anecdote historique par Baudiau

Hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]


L'édifice est dédié à Romain d'Antioche, martyr à Antioche en 303 ; deux autres églises lui sont consacrées dans la Nièvre, à Château-Chinon et à Lucenay-lès-Aix[2].


 "La commune de Poil est située sur le versant sud du Morvan, à la limite entre le massif et la

vallée de l’Arroux. Le paysage est vallonné, avec un couvert végétal principalement bocager ; la forêt tient une place bien moindre que sur le massif plus au nord." : une des sources de #Site archéologique du Quart du Bois

"Le bourg de Poil, bien visible de loin, groupé autour de l'église, s'est implanté sur le coteau d'un petit ruisseau qui se jette dans la Braconne." http://paysage.parcdumorvan.org/page.php?lg=fr&rub=03&srub=01&ssrub=04&sssrub=04&crit=poil
âge de fer [14]
paroisses https://books.google.fr/books?id=RtlBAAAAcAAJ&pg=PA103&dq=poil+
sources possibles sur les châteaux : https://www.cecab-chateaux-bourgogne.fr/ressources/ressources.html
cimetière contient une tombe militaire [15]

HISTOIRE

archipetré de Luzy (diocèse d'Autun) et autres communes de l'archipetre Baudiau
sous la puissante baronnie de Larochemillay Baudiau
1800, suppression du canton de Larochemillay et perte de puissance de la ville Baudiau
60's : visite de l'Institut français des farces et attrapes [16]
Toponymie
Géo : Poil est dans le "Morvan colinéen" : Peuplements_et_paysages_anciens_dans_les_massifs_d.pdf
  • Un coin du Morvan à travers l'histoire
  • Les mentalités religieuses du Morvan au XIXe siècle (1830-1914)
  • Le district de Moulins-Engilbert pendant la Révolution: Moulins-la-République
  • loi 1901
  • Extraits de “Voyage en France par les pays à faible densité » CNRS 1985- Le pays de Luzy : 1977 et + et -
    • sur LC : Peuplements_et_paysages_anciens_dans_les_massifs_d.pdf + nécrologie
  • Section sur la SGM :
    • Les Maquis du Morvan
    • présenter la situation (route Luzy-Autun) et la création du maquis Louis + une phrase de conclusion : Mordier p. 227 ; début de l'Occupation et Libération
    • 1944, mort de TCHERKASOV dit Victor
  • Maison-forte de Montantaume : Habitat médiéval fortifié en Bourgogne, du Xe au XVIe siècle, CeCab
  • Lagué, Montantaume, Mousseau, Thil ? : Brigitte Colas : Les Vestiges d'habitat seigneurial fortifié dans l'ouest Nivernais (1994). Thèse
  • Carte CeCab : compléter Ettevaux, Montantaume, Thil, Lagué, Mousseau

Église[modifier | modifier le code]

Église Saint-Romain
Image illustrative de l’article Victoire F./Brouillon7
Vue sud de l'Église.
Présentation
Culte Catholicisme romain
Dédicataire Saint Romain d'Antioche
Type Église paroissiale
Début de la construction XIIe siècle
Autres campagnes de travaux XVIe siècle : Construction des chapelles latérales
1863 : Agrandissement
Style dominant Architecture romane
Nombre de dômes 1
Nombre de flèches 1
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Commune Poil
Coordonnées 46° 52′ 02″ nord, 4° 04′ 22″ est
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
(Voir situation sur carte : Nièvre)
Victoire F./Brouillon7
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Victoire F./Brouillon7
Image externe
Photographies de l'intérieur et du mobilier de l'église.

L'église Saint-Romain est une église paroissiale située à Poil (Nièvre) en France, édifiée au XIIe siècle et d'architecture romane.

église et tombes décrites par Baudiau [https://books.google.fr/books?id=HjpBAAAAYAAJ&pg=PA454
 "Aujourd'hui, sur un plan cruciforme, elle a gardé un aspect roman avec son abside en cul de four et ses peintures intérieures du XIXe"[3]
 https://www.poil-morvan.fr/l-eglise-saint-romain-dans-la-commune-de-poil ; https://books.google.fr/books?id=kFBIAQAAIAAJ&q=eglise+saint+romain+poil ; https://books.google.fr/books?id=0RLqAAAAMAAJ&q=eglise+saint+romain+poil ; https://books.google.fr/books?id=oZvpAAAAMAAJ&q=eglise+saint+romain+poil ; Pop 1 (dont mobilier) 2 Palissy 1 & 2
 cloches : Bulliot
 inventaire 1906 presse

Édifices adjacents[modifier | modifier le code]

Monument aux morts
Presbytère (Annales pays nivernais)

Le presbytère est reconstruit en 1726 par le curé Chaveau et le seigneur de Thil et de La Ranche Jacques de Méru. En 1854, Jacques François Baudiau le décrit « singulièrement délabré »[4].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Sylvie Drure, « Lieux-dits de la Nièvre », sur Syt58 (consulté le ).
  2. Augustin Crosnier, Hagiologie nivernaise ou Vies des saints et autres pieux personnages qui ont édifié le diocese de Nevers par leurs vertus, imprimerie de I.-M. Fay, , 593 p. (lire en ligne), p. 486.
  3. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Église Patrimoine
  4. Baudiau 1854, p. 454.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Les églises romanes du Nivernais, t. 2, Nevers, Camosine-Protection et connaissance des monuments et sites de la Nièvre, , 180 p. (ISBN 978-2-9569300-2-0), p. 85
  • {{Ouvrage}} : paramètre titre manquant

Liens externes[modifier | modifier le code]

Poil Poil ...

Mai Hua[modifier | modifier le code]

Mai Hua est une blogueuse et réalisatrice française. Elle est connue pour son blog maihua.fr et son film documentaire Les Rivières.

Biographie[modifier | modifier le code]

Elle est la sœur du photoblogueur Monsieur Lâm[1].

Mai Hua suit une formation de color designer[2]. consultante auprès de marques de produits de beauté (de luxe ?) Louis Vuitton, Dolce & Gabbana, L'Oréal et professeure à l'Institut Français de la Mode[3]

Elle ouvre son blog « Supertimai »[1] en 2011, à l'origine pour y poster des tutoriels beauté[2]. Il est par la suite renommé en « maihua.fr »[1].

En 2014, alors que sa grand-mère mourante emménage en France, Mai Hua commence de filmer la vie quotidienne de sa famille, autour de quatre générations de femmes, de sa fille à sa grand-mère[1]

https://www.lexpress.fr/styles/beaute/l-express-styles-s-invite-chez-mai-du-blog-super-by-timai_1637605.html https://www.lefigaro.fr/actualite-france/mai-hua-blogueuse-eclectique-20200217 https://cheekmagazine.fr/culture/les-rivieres-film-mai-hua-famille/ https://www.imdb.com/name/nm11428783/?ref_=nv_sr_srsg_0

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • 2019 : Les Rivières

http://www.influenth.com/estee-lauder-choisit-lisa-de-make-my-lemonade-pour-sa-nouvelle-campagne/

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Anouk Perry, « Quatre générations de femmes à l’honneur dans le projet Les Rivières », sur MadmoiZelle, (consulté le ).
  2. a et b Géraldine Dormoy, « L'art de voyager de Mai Hua, blogueuse et réalisatrice », sur L'Express, (consulté le ).
  3. https://www.lexpress.fr/styles/beaute/fast-beauty-la-consommation-effrenee-de-la-beaute_2000773.html

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Liens externes[modifier | modifier le code]



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