Curel (Alpes-de-Haute-Provence)

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Curel
Curel (Alpes-de-Haute-Provence)
Signalisation dans le village (avec un bébé et un hérisson).
Blason de Curel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Communauté de communes Jabron-Lure-Vançon-Durance
Maire
Mandat
Thierry Bellemain
2020-2026
Code postal 04200
Code commune 04067
Démographie
Gentilé Curelais
Population
municipale
52 hab. (2021 en diminution de 13,33 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 40″ nord, 5° 39′ 45″ est
Altitude Min. 670 m
Max. 1 440 m
Superficie 10,45 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sisteron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sisteron
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Curel
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Curel
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Curel
Liens
Site web http://curel.fr

Curel est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Curelais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village est situé à 747 m d’altitude[2].

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Curel et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes de Curel sont Lachau, Éourres, Saint-Vincent-sur-Jabron, Châteauneuf-Miravail et Montfroc.

Géologie[modifier | modifier le code]

Relief[modifier | modifier le code]

Ubac de la crête des Blaches de Paillar, limitrophe entre Curel et Montfroc.

La commune est traversée par le Jabron d’est en ouest, à une altitude comprise entre 725 m environ à l’est et 670 m à sa sortie de la commune. De part et d’autre du torrent, le relief s’organise simplement[2] :

  • au sud et rive droite, un piémont s’avance jusqu’au pied de deux barres orientées est-ouest, parallèlement au cours du Jabron : la Crête des Serres et la Crête des Blaches de Paillar, culminant à 1 128 m et 1 181 m et séparées par le col de Curel (1 008 m) ;
  • au nord, la commune occupe l’adret d’une montagne culminant au Rocher de Monfareux (1 439 m) et coupé de quelques barres rocheuses.

Enfin, une partie de l’ubac de cette montagne appartient à Curel[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le réseau hydrographique de Curel s’organise autour du Jabron : les sources et torrents qui naissent sur les deux versants entre lesquels le Jabron coule se dirigent directement vers le torrent qui draine ainsi directement la plus grande partie de la commune. Un seul torrent a une petite importance, c’est le ravin du Baume Leyne, affluent rive gauche. Au nord du Rocher de Monfareux, coule le ravin de la Praine, limitrophe d’Éourres[2].

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune compte 255 ha de bois et forêts, soit un quart de sa superficie[1].

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale RD 946, ancienne route nationale 546[2].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Noyers-sur-Jabron auquel appartient Curel est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune de Curel est également exposée à trois autres risques naturels[4] :

  • feu de forêt,
  • inondation (dans la vallée du Jabron),
  • mouvement de terrain.

La commune de Curel n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[5]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[5] et le Dicrim n’existe pas non plus[6].

La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations, glissements de terrain et coulées de boue en 1994 (trois arrêtés) et de nouveau en 2003[4].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1274 (Civrello ou Curello). Selon Charles Rostaing, le nom s’est formé sur la racine oronymique (désignant une montagne) *KuR-, le village étant bâti sur une colline. Selon Ernest Nègre, le nom du village vient d'un nom propre romain, Cyrillus, sans certitude[7],[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 054 mm, avec 7,2 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Séderon », sur la commune de Séderon à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Curel est une commune rurale[Note 2],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sisteron, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,2 %), forêts (35,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %)[21].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges gallo-romains (dont des tombes découvertes par un paysan dans les années 1930[22]) ont été découverts sur la commune. Pendant l’Antiquité, les Sogiontiques (Sogiontii) peuplent la vallée du Jabron, en étant fédérés aux Voconces. Après la Conquête, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au IIe siècle, ce peuple est détaché des Voconces et forme une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron)[23].

Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Gondemar III, la régente ostrogothe Amalasonthe lui rend ce territoire[24].

La communauté de Curel relevait de la baillie de Sisteron[25]. Le village, installé en hauteur, a abandonné ce site difficilement accessible pour un site plus proche de la vallée et des terres cultivables au XVIIe siècle[25]. Le village est durement touché par l’épidémie de peste de 1628-1629, mais épargné par celle de 1720-1722 grâce au cordon sanitaire établi sur le Jabron[26].

Comme de nombreuses communes du département, Les Omergues se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle donne déjà une instruction primaire aux garçons[27] uniquement[28]. Elle profite de la deuxième loi Duruy sur l’éducation pour améliorer le bâtiment de l’école grâce aux subventions de l’État[29].

Jusque vers 1850, aucune route n’existait à Curel. Seul un chemin muletier allait de Saint-Vincent-sur-Jabron à Séderon, le chemin carrossable s’arrêtant à Saint-Vincent. Une route est construite dans les années 1850, reliant Sisteron à Séderon. Le village ancien se retrouve à l’écart de la route : le chemin muletier était à flanc de colline, le nouvel itinéraire évolue en fond de vallée. La route est goudronnée dans les années 1930[30].

L’électrification du village à la fin des années 1930 par raccordement au réseau national, les écarts et hameaux étant reliés plus tard[31].

Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Curel. Le vin produit, de faible qualité, était destiné à l’autoconsommation. Cette culture, qui avait résisté à la crise phylloxérique et qui produisait encore quelques hectolitres dans l'entre-deux-guerres mondiales [32], est aujourd’hui abandonnée[33]. De la même façon, l’olivier, cultivé sur de petites surfaces au XIXe siècle, a aujourd’hui disparu[34].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Curel Blason
Parti d’or au dauphin d’azur barbé, crêté, lorré, oreillé et peautré de gueules, qui est du Dauphiné et de gueules à la fleur de lis d’argent surmontée d’un lambel du même, le tout sommé d’un chef d’argent chargé de l’inscription CUREL de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Économie[modifier | modifier le code]

Aperçu général[modifier | modifier le code]

En 2009, la population active s’élevait à 25 personnes, dont 3 chômeurs[35] (9 fin 2011[36]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (14 sur 22)[37] et travaillent majoritairement hors de la commune (13 actifs sur 22)[37].

Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) était totalement absent de la commune[38].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le village, la vallée du Jabron et la cluse des Baumes vers la haute vallée du Jabron.

Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait sept établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[38].

Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de cinq en 2010. Il était de neuf en 2000[39], de six en 1988[40]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a augmenté, pour arriver à 86 ha exploités[40]. La SAU a continué sa progression lors de la dernière décennie, à 275 ha[39].

Activités de service[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait trois établissements, auxquels s’ajoutent l’établissement du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement). Aucun de ces établissements n’emploie de salarié[38].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est faible dans la commune, avec moins de un touriste accueilli par habitant[41]. La commune ne compte ni hôtel[42], ni camping[43], ni chambres d’hôtes[44]. La seule capacité d’hébergement est représentée par quelques meublés[45].

Les résidences secondaires n’apportent pas de complément à cette faiblesse de la capacité d’accueil[46],[47],[48].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rue du village.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Marcel Girard[49]    
         
1983 (?)   Claude Roustan[50]    
mars 2001 mars 2008 Sabine Ferrari    
mars 2008   Yves Robial[51]    
  2014 Marie-Jeanne Besse[52]    
avril 2014 En cours
(au 21 octobre 2014)
Thierry Bellemain[53]   Chef d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Curel fait partie:

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].

En 2021, la commune comptait 52 habitants[Note 4], en diminution de 13,33 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
244267299267298268271267249
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
241251237236224184169136120
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
130127110747664666448
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
503831283757525158
2018 2021 - - - - - - -
5252-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee à partir de 2006[57].)

L'histoire démographique de Curel se caractérise par une période d'« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1872. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de diminution très rapide, et de longue durée. Dès 1891, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport à son maximum historique[58]. Le mouvement de perte se poursuivit jusqu'aux années 1980, où le plancher représente une perte de 94 % du maximum de 1806. Depuis, on assiste à un mouvement inverse qui a permis un doublement de population par rapport au minimum historique de 1982.

Histogramme de l'évolution démographique

Santé et enseignement[modifier | modifier le code]

La commune ne dispose ni d'établissement d'enseignement, ni d'établissement public ou libéral de santé. L'association La Vallée sans Portes assure le transport des personnes ayant besoin d'une consultation vers l'hôpital de Sisteron[59].

Traditions[modifier | modifier le code]

La peste de 1628-1629 s’est arrêté le 6 mai. Ce 6 mai fut le premier jour après des mois d’épidémie où il ne fut pas nécessaire d’ouvrir la terre pour enterrer quelqu’un. Depuis, il est de tradition de ne pas ouvrir la terre ce jour-là, que ce soit pour un enterrement ou pour les cultures. Cette tradition est encore vivante au début du XXIe siècle[26].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

En 1938, une tombe gallo-romaine de légionnaire a été découverte ; elle contenait un glaive et une faucille[60].

Selon Daniel Thiery, l'ancienne église Saint-Martin est encore debout, au milieu des ruines de l'ancien village, le Vieux Curel, installé sur un site en hauteur. La nouvelle église, plus proche du Jabron, est aussi sous le patronage de saint Martin[25].

Au village, une fontaine à trois bassins séparés (pour conserver une eau propre, un bassin est destiné aux hommes, un autre aux animaux domestiques de grande taille, le dernier aux moutons).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Roger Brunet, « Canton de Noyers-sur-Jabron », Le Trésor des régions, consultée le 11 juin 2013.
  2. a b c d et e « IGN, Carte topographique de Curel » sur Géoportail (consulté le 31 octobre 2013)..
  3. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
  4. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 17 juillet 2012.
  5. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95.
  6. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 17 juillet 2011.
  7. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p. 152.
  8. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne). § 10841, p. 651.
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Curel et Séderon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  16. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. François Salviat, « Provence-Côte d’Azur-Corse (région nord) », Gallia, Tome 25, no 2, 1967, p. 387.
  23. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, no 63, 2006, CNRS éditions, p. 18-19.
  24. Audrey Becker-Piriou, « De Galla Placidia à Amalasonthe, des femmes dans la diplomatie romano- barbare en Occident ? », Revue historique, 2008/3, no 647, p. 531.
  25. a b et c Daniel Thiéry, « Curel », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence , publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 21 décembre 2010, consulté le 18 août 2012.
  26. a et b Jean-Pierre Joly, « La ligne du Jabron pendant la peste de 1720 », Chroniques de Haute-Provence, no 360, été 2008, p. 9.
  27. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  28. Labadie, op. cit., p. 16.
  29. Labadie, op. cit., p. 11.
  30. Guy Barruol, « Itinéraires traditionnels », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 209-210.
  31. Guy Barruol, « L’électrification des communes », in Barruol, Réparaz et Royer, op. cit., p. 198.
  32. Paul Minvielle, « La viticulture dans les Alpes du Sud entre nature et culture », Méditerranée, 107 | 2006, mis en ligne le 1er décembre 2008, consulté le 12 juillet 2013.
  33. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, no 109, 2007, p. 56 et 59.
  34. Réparaz, op. cit., p. 58.
  35. Insee, Dossier local - Commune : , p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012).
  36. Insee, Dossier local, p. 8.
  37. a et b Insee, Dossier local, p. 7.
  38. a b et c Insee, Dossier local, p. 15.
  39. a et b Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio).
  40. a et b Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio).
  41. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6.
  42. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 11.
  43. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 21.
  44. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 38.
  45. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32.
  46. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44.
  47. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17.
  48. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio).
  49. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 3 avril 2014.
  50. Claude Roustan est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Pierre Boussel (MPPT) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4795, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010.
  51. Site de la préfecture des AHP.
  52. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Cruis à Hospitalet(L’) (liste 3), consulté le 8 mars 2013.
  53. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  55. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  56. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  58. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
  59. Transport dans la vallée du Jabron, La vallée sans portes, consulté le 13 juillet 2013
  60. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 22.