Estérençuby
Estérençuby | |||||
Pont sur la Nive de Béhérobie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Jean-Louis Poydessus 2020-2026 |
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Code postal | 64220 | ||||
Code commune | 64218 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ezterenzubitar | ||||
Population municipale |
313 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 06′ 19″ nord, 1° 11′ 40″ ouest | ||||
Altitude | Min. 219 m Max. 1 347 m |
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Superficie | 45,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Jean-Pied-de-Port (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montagne Basque | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Estérençuby [ɛsteʁɛ̃sybi] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Le gentilé est Ezterenzubitar[1],[2].
Géographie
Localisation
La commune d'Estérençuby se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[3].
Elle se situe à 129 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 64 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 53 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Saint-Michel (4,1 km), Aincille (4,5 km), Caro (5,1 km), Lecumberry (5,5 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (5,7 km), Mendive (6,0 km), Saint-Jean-le-Vieux (6,8 km), Béhorléguy (6,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Estérençuby fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le Pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.
Paysages et relief
L'Errozate (ou Errosate), 1345 m, est un mont situé sur les communes d'Estérençuby et de Lecumberry.
l'Okabe, 1456 m, est un mont accessible depuis Estérençuby ou la forêt d'Iraty.
Le col Bagargui (Bagargi) est situé dans la forêt d'Iraty. Il s'élève à 1327 m. On y accède par Estérençuby à 29,5 km, par la côte de Larrau à 8,8 km ou depuis le col de Burdincurutcheta.
La grotte d'Harpea, un abri sous roche proche de la frontière espagnole.
Hydrographie
La commune est drainée par la Nive, l'Ampro ou Esterenguibel, Intzarrazquyko erreka, le ruisseau d'Orion, Ahuntzarryko erreka, Azkondéguiko erreka, Harruskoriko erréka, Indabordako erreka, Iparraguerréko erreka, le ruisseau Apalimalda, le ruisseau de Bihurry, Sassitako erreka, Teilleryko erreka, Toutapéko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 63 km de longueur totale[14],[Carte 1].
La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naît au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delà de la frontière espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bayonne, après avoir traversé 20 communes[15].
L'Ampro ou Esterenguibel, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Lecumberry et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive à Estérençuby[16].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[18].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[20] complétée par des études régionales[21] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[22] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[23],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[24]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Socoa », sur la commune de Ciboure, mise en service en 1921 et à 49 km[25], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[26], à 14,7 °C pour 1981-2010[27], puis à 15 °C pour 1991-2020[28].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[30],[Carte 2] :
- « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[31] ;
- les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port », d'une superficie de 11 760 ha, une montagne à estives, espaces pastoraux d’altitude (au-dessus de 800-900 m) ouverts sur de vastes étendues[32] ;
et une au titre de la « directive Oiseaux »[30],[Carte 3] :
- la « haute Cize : Pic d'Herrozate et forêt d'Orion », d'une superficie de 6 374 ha[33].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensées sur la commune[34],[Carte 4] : la « grotte de Mikelauenzilo et alentours » (7 568,16 ha), couvrant 7 communes du département[35] et la « Haute Cize : forêt d'Orion et sommet d'Erozate » (2 703,85 ha), couvrant 4 communes du département[36] et deux ZNIEFF de type 2[Note 9],[34],[Carte 5] :
- les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port » (14 133,83 ha), couvrant 9 communes du département[37] ;
- le « réseau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du département[38].
Urbanisme
Typologie
Estérençuby est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[39],[40],[41].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[42],[43].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (58,4 %), forêts (31,7 %), prairies (6,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,7 %)[44].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Lieux-dits et hameaux
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Voies de communication et transports
Estérençuby est desservie par la route départementale D301.
Toponymie
Graphie basque
Son nom basque actuel est Ezterenzubi[2]. Il signifie "pont de la gorge".
Histoire
Les hameaux d'Estérençuby, Estérenguibel et Pagalcette furent peuplés par des habitants du pays de Cize qui construisirent diverses bordes à ces endroits qui correspondaient aux terres indivises entre les communes d’Ahaxe, Aincille, Alciette-Bascassan, Bustince-Iriberry, Çaro, Lecumberry, Mendive, Saint-Jean-le-Vieux et Saint-Michel, chaque maison dépendant de la commune d'origine[45].
Le [46], les habitants obtinrent la constitution en commune.
Héraldique
Blason | De sinople à un pont à une arche au naturel maçonné de sable posé sur une mer d’argent en pointe, sommé d’une montagne du même et accompagné en chef de quatre étoiles d’or en fasce[47]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Intercommunalité
Estérençuby appartient à cinq structures intercommunales :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat de regroupement pédagogique de Saint-Michel et d'Estérençuby, dont elle accueille le siège ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1841. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].
En 2021, la commune comptait 313 habitants[Note 12], en évolution de −11,58 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
La commune dispose d'une école élémentaire publique[52].
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
- Langues
D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Estérençuby est le bas-navarrais oriental.
Patrimoine civil
La ferme Jauberria[53] date du XIXe siècle.
Patrimoine religieux
L'église Notre-Dame[54] date du XIXe siècle.
Équipements
Enseignement
La commune dispose d'une école primaire.
Personnalités liées à la commune
- Manex Etxamendi (1873-1960), écrivain, maire d'Estérençuby
- Eñaut Etxamendi (1935-), écrivain, chanteur, conteur, enseignant, docteur en Études basques, linguiste, auteur d'un ouvrage sur la langue basque qu'il suggère comme étant d'origine indo-européenne
- Manex Goyhenetche (1942-2004), historien
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Estérençuby » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Estérençuby », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type I sur la commune d'Estérençuby », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Estérençuby », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Estérençuby », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Estérençuby et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Estérençuby et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Estérençuby et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Estérençuby », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Carte IGN sous Géoportail
- (es) Ministère espagnol de l'agriculture, pêche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consulté le ).
- « Fiche communale d'Estérençuby », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la Nive ».
- Sandre, « l'Ampro ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Irouleguy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Estérençuby et Irouléguy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Irouleguy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Estérençuby et Ciboure », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Socoa - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Socoa - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Socoa - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Estérençuby », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200786 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200754 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7212015 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Estérençuby », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « grotte de Mikelauenzilo et alentours » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « Haute Cize : forêt d'Orion et sommet d'Erozate » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Nives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Jean-Pied-de-Port », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Article d'Estérençuby sur l'encyclopédie Auñamendi
- Ordonnance du 11 juin 1842 (Bulletin des lois de la République française).
- http://www.armorial-communes-basques.com/communes-c-d-e-g-h.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Est%C3%A9ren%C3%A7uby%20%2864%29}}.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Jauberria
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Notre-Dame
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Tour de la haute vallée de la Nive