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Gatteville-le-Phare

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Gatteville-le-Phare
Gatteville-le-Phare
Le phare de Gatteville.
Blason de Gatteville-le-Phare
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Christine Leonard
2020-2026
Code postal 50760
Code commune 50196
Démographie
Gentilé Gattevillais
Population
municipale
475 hab. (2021 en évolution de −2,86 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 41′ 10″ nord, 1° 17′ 01″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 36 m
Superficie 9,70 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Gatteville-le-Phare
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Gatteville-le-Phare

Gatteville-le-Phare, ou Gatteville-Phare, (Gatteville jusqu'en 1947), est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 475 habitants[Note 1] (les Gattevillais).

Géographie

La commune est située sur la pointe de Barfleur, partie nord-est du Cotentin. Menacée par l'urbanisation, l'agriculture et le tourisme, la pointe est un site classé depuis 2003, sur 300 hectares, à cheval entre Gatteville-le-Phare et Vicq-sur-Mer (ancienne commune de Gouberville).

La commune partage également avec Vicq-sur-Mer (ancienne commune de Gouberville) et Neville-sur-Mer la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de l'étang de Gattemare, dont les 67 hectares ont été acquis par le Conservatoire du littoral entre 1983 et 2006. Son territoire accueille aussi en partie une autre ZNIEFF, le marais littoral de Barfleur, sur 5 hectares.

Le phare de Gatteville est situé très exactement aux antipodes des îles Antipodes, en Nouvelle-Zélande, nommées ainsi par les Anglais parce qu'elles sont la terre émergée la plus proche des antipodes de Londres.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 863 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Gatteville-le-Phare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[20]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[21],[22].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,6 %), prairies (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), zones urbanisées (4,5 %), zones humides intérieures (2,6 %), zones humides côtières (2,3 %), eaux continentales[Note 9] (2,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)[23].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Gatevilla au XIIe siècle[25].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Il est précédé d’un anthroponyme selon le cas général. Ce nom de lieu n'est connu que par des formes anciennes à partir du XIIe siècle. Gatte- représenterait le nom de personne d'origine germanique Gatto, d'où le sens global de « domaine rural de Gatto »[25],[26],[27]. Ce même Gatto a donné son nom à l'étang de Gattemare, ce qui forme une paire toponymique avec un microtoponyme en -mare comme on en rencontre beaucoup en Normandie orientale mais peu dans la Manche, par exemple : Illeville / Illemare; Hondouville / Hondemare; Bretteville / Brettemare, etc.

Le nom officiel de la commune a été modifié en 1947 pour inclure la référence au phare de Gatteville, construit en 1834 sur sa côte, qui signale la pointe de Barfleur.

Remarque : Le raz de Barfleur a pour formes anciennes Cataras et ras de Cate, où Cata- Cate- représentent peut-être ce même nom Gatto ou Káti, anthroponyme vieux norrois que l'on rencontre dans les Catteville de Normandie cf. Catteville (Manche, Catevilla vers 1095). Il existe également un nom de personne scandinave Gaddi (vieux danois Gadde)[28].

Histoire

Sur la commune on a découvert des rognons de silex témoin d'une occupation ancienne par l'homme[29], notamment à la plage et l'anse du Fligard, entre le port de Roubary et le phare, où le gisement préhistorique est rongé par la mer. Des outils néolithiques et des tessons gallo-romains ont été découvert dans les champs de la Houguette, hameau à l'ouest du bourg. À la Pointe de Crabec, on trouve les traces d'un cimetière mérovingien et la découverte d'une boucle de ceinture et d'un scramasaxe. Quant à la chapelle des marins, elle remplace un édifice plus ancien, autour duquel a été fouillé au nord de l'édifice un cimetière du VIIe siècle[30].

C'est probablement au large de la commune, que se brisa la Blanche-Nef, dans le courant de Cataras ou ras de Cate, c'est-à-dire aujourd'hui le raz de Barfleur[Note 10], causant la mort de la famille d'Henri Ier et d'une partie de la noblesse normande.

Le Jacques-François-Léonor Goyon de Matignon vend, pour la somme de 250 000 livres, la terre de Gatteville à messire Jean-Baptiste Hook, ancien capitaine au régiment de Fitz James, cavalerie irlandaise[31].

Héraldique

Armes non officielles de Gatteville

Gatteville-le-Phare n'a pas de blason officiel[32].

Lui sont parfois attribuées les armes de la famille de Hennot, anciens seigneurs de Denneville, à Gatteville.

Ces armes se blasonnent ainsi :

  • de gueules au croissant d'argent accompagné de trois étoiles d'or.

Politique et administration

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
v. 1840 ? Louis-François Houet[33]   Cultivateur
         
juin 1995[34] En cours Christine Léonard[35] SE Hôtelier de plein air

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[35].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 475 habitants[Note 11], en évolution de −2,86 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3111 0721 2781 1721 3081 2981 2551 1931 169
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0931 0431 038975935930875894911
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0261 065900849826797791686602
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
612591535532556561516486492
2021 - - - - - - - -
475--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Lieux et monuments

Le sémaphore, ancien phare, haut de 25 mètres, construit en 1774, et remplacé par un nouveau phare construit à seulement quelques mètres de 1829 à 1835, avec 11 000 blocs de granit. Le phare de Gatteville[40], est le deuxième phare le plus haut (75 mètres) de France après le phare de l'Île Vierge. Les guides amusent le public en disant qu'il possède 365 marches (une par jour de l'année), 52 fenêtres (une par semaine) et 12 paliers (un par mois) alors qu'il ne compte que 349 marches[41].

L'ancienne ligne de chemin de fer de Cherbourg à Barfleur, le « Tue-Vaques » passait à la gare de Gatteville aujourd'hui désaffectée, située au sud du bourg.

Plusieurs bâtiments sont classés ou inscrits au titre des monuments historiques : la chapelle des Marins (chapelle de Bonsecours) du XIe siècle[42], avec son maître-autel en bois (XVIIIe siècle) classé à titre d'objet[43] ; l'église paroissiale Saint-Pierre du XVe siècle et son clocher roman du XIe siècle[44] avec également classé à titre d'objet, une statue de saint Martin[45], le tabernacle sculpté du XVe siècle[46], et une représentation de la Trinité du XVIe siècle[47] ; le manoir du Broc datant du XVIe siècle[48].

Le manoir d'Imbranville se situe également sur le territoire communal. Datant du XVe siècle, remanié en 1718 par l'adjonction d'une aile en retour, le manoir est occupé par l'armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale puis racheté par la ville d'Équeurdreville en 1953 pour le transformer en centre de vacances.

Le manoir des Tourelles du XVIIe siècle, s'ouvre par une belle porterie, avec une grande arche légèrement surbaissée et en arc en plein cintre pour la porte piétonne, accolée à une tour ronde aveugle et doté d'un montoir[49]. Quant au manoir de Durécu, il n'en subsiste que quelques vestiges perdues dans les broussailles.

On trouve également le manoir de l'Épine ou maison de Denneville de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle, ainsi qu'à la sortie sud-est du bourg, en direction de Barfleur, l'ancien manoir, siège de la seigneurie de Gatteville, et d'un premier château dont il ne reste aucune trace, et encore le manoir de Néhou avec une entrée double et de belles souches de cheminée du XVIIe siècle.

Le moulin à vent de Crabec, au sud-est du bourg, date du XVe siècle et aurait été détruit au XVIIe siècle par les Anglais qui l'auraient incendié lors de la bataille de la Hougue. Sa tour ronde, sauvegardée, aurait été peinte en blanc afin de servir d'amer pour les marins. Son toit et ses ailes ont été restitués au début du XXIe siècle[30].

Au nord du village se trouve la batterie de Gatteville, construite par les Allemands à partir de 1942[50] sous la référence STP 152. Elle se compose de quatre casemates équipées de canons d'origine française de 155 mm (155 mm K420) d'une portée de 20 km[51]. Aujourd'hui, elle se trouve dans une propriété privée.

Site Natura 2000

Le littoral nord de la commune jusqu'au phare fait partie du site d'importance communautaire Caps et marais arrière-littoraux de la pointe de Barfleur au cap Lévi proposé au réseau Natura 2000, en raison de la diversité spécifique des habitats naturels (dunes, marais, étangs littoraux, falaises, rochers, galets, landes…)[52].

Activité et manifestations

Personnalités liées à la commune

Gustave Jurczyszyn, résistant originaire de Gatteville, arrêté puis battu par la police de Cherbourg le [53], avant d'être livré à la Gestapo. Cette arrestation aura des conséquences tragiques : on découvrira que ce Français est membre d'un réseau et une quarantaine de personnes seront arrêtées, certains déportées. Dix ne reviendront jamais. Gustave Jurczyszyn est fusillé le à Saint-Lô[54]. Les policiers de Cherbourg et de Rouen, coupables de cette tragédie, n'ont jamais été inquiétés. On en tirera un livre, L'Affaire Jurczyszyn, publié en 2009.

Dans la fiction

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  10. Depuis le milieu du XIXe siècle, il est de coutume de dire que le vaisseau se brisa sur le rocher de Quillebeuf. Aucun des textes médiévaux contemporains ou datant d'une cinquantaine d'années après le naufrage, ne donne le nom du rocher.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Gatteville-le-Phare et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Gatteville-le-Phare et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  21. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  25. a et b François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 120.
  26. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1993, 132b.
  27. Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. II, 1991, p. 954, n° 17133.
  28. Gaddi sur le site de Nordic Names (lire en ligne) [1]
  29. Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 12.
  30. a et b Georges Bernage, « Gatteville », Vikland, la revue du Cotentin, no 6,‎ juillet-août-septembre 2013, p. 10 (ISSN 0224-7992).
  31. Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 54.
  32. Selon informations fournies par téléphone de la Mairie de la commune.
  33. Annuaire du département de la Manche, 12e année 1840, p 223
  34. « Christine Léonard candidate pour un 4e mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  35. a et b Réélection 2014 : « Christine Léonard élue pour un quatrième mandat », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Notice no PA50000065, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Le phare de Gatteville, Direction départementale de l'Équipement de la Manche, 1997.
  42. « Chapelle des Marins », notice no PA00110405
  43. « Maître-autel, 2 gradins d'autel, tabernacle, 2 statuettes : saints apôtres », notice no PM50000434.
  44. « Église », notice no PA00110406
  45. « Statue : Saint Martin », notice no PM50000433.
  46. « Tabernacle », notice no PM50000431
  47. « Groupe sculpté : La Trinité », notice no PM50000432.
  48. « Manoir du Broc », notice no PA50000013
  49. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 138.
  50. « Batterie de Gatteville » (consulté le ).
  51. « Batterie de Gatteville » (consulté le ).
  52. « Fiche FR2500085 du réseau Natura 2000 sur le site du ministère de l'écologie » (consulté le ).
  53. « Le martyr oublié d'un résistant cherbourgeois », sur cherbourg.maville.com, Ouest-France (consulté le )
  54. « Les résistants fusillés à Saint-Lô », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  55. a et b Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 125.