Saint-Pierre (Alpes-de-Haute-Provence)
Saint-Pierre | |||||
La mairie-salle des fêtes | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Castellane | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière | ||||
Maire Mandat |
Sauveur Patricola 2020-2026 |
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Code postal | 04200 | ||||
Code commune | 04194 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
96 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 54′ 46″ nord, 6° 55′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 617 m Max. 1 199 m |
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Superficie | 5,62 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Castellane | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Saint-Pierre (parfois Saint-Pierre-d'Entrevaux ou Saint-Pierre-Figette) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le nom de ses habitants est Saint-Pierrois[1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La localité apparaît pour la première fois dans les textes au XIe siècle (ecclesia sancti Petri), selon l’église placée sous le patronage de l’apôtre Pierre, en occitan Pèire, francisé par la suite[2]. Le nom de Puget-Figette est formé du diminutif de puy, dans le sens de montagne : c’est donc la petite montagne[3].
La communauté de Chaudol apparaît dès 1044 (Caldo) ; son nom est formé sur la racine oronymique (désignant une montagne) *KaL-[4].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le village est issu du déplacement de Puget-Figette, communauté existante depuis au moins le XIIIe siècle[5], et située sur une colline plus au nord. Le village change d’emplacement après les guerres de religion, et prend le nom de Saint-Pierre vers 1660[6].
Au départ, la communauté dépend du prieuré Saint-Pierre, relevant de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, du XIe siècle au XIVe siècle[7]. Le fief appartient aux Glandevès (XIIIe siècle), puis aux Rostang (XIVe siècle) et aux Villeneuve (XVe siècle)[5]. Au XIIe siècle, l’habitat se regroupe sur une colline, entre la cime de Borrel et le pic Salomon, avec le nom de Puget-Figette et avec une église sous le vocable de Saint-Étienne[7]. À cette époque et jusqu’en 1245, la communauté de Saint-Pierre relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 Saint-Pierre faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers[8].
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Mais ce dernier, entre les mauvais souvenirs qu'il a laissé lors de sa tentative de conquête en 1368[9] et la confusion des premières années sur la réalité de la mort de Jeanne Ire[10], ne se rallie que peu de communautés. La communauté de Figette (Saint-Pierre) est conquise par le parti angevin au début de la guerre[11] après que la confiscation ait été prononcée (Jean de Grimaldi, l’ancien seigneur, étant carliste). Le village est donné en récompense à Pierre Balbi, seigneur de Tende, le [12].
Les communautés médiévales de Chaudol et Chauragnesse, fortement dépeuplées par la crise du XIVe siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans), sont annexées par celle de Saint-Pierre au XVe siècle[13], la communauté de Saint-Pierre étant elle-même déclarée inhabitée en 1471[7]. Le prieuré est abandonné avec la crise démographique[7].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Au XVIe siècle, le terroir est progressivement repeuplé, en s’installant autour du château : la communauté porte le nom de Saint-Pierre-Figette[7]. Au XVIIIe siècle, l’habitat se déplace à nouveau[7]. À la fin de l’Ancien Régime, Saint-Pierre est rattachée à la viguerie d’Annot[7] et le hameau de Besseuges, qui faisait partie de la communauté, est réuni à celle de La Penne en 1760[7]. Le fief appartient aux d’Arquier (XVIIe siècle) puis aux Rasque jusqu’à la Révolution[5].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune reprend son ancien nom de Puget-Figette[14],[15].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités. Dès 1817, le cadastre dit napoléonien de Sausses est achevé[16].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le village est situé à 760 m d’altitude[17], à 5 km de La Rochette et 8 de La Penne.
La particularité de la commune est d'être située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence mais le code postal est le 06260 correspondant à Puget-Théniers[18].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La commune est accessible par les D2211A et D10, depuis Puget-Théniers qui se trouve sur la route nationale 202.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Un réseau des lignes de transport dessert régulièrement l'ensemble des communes des départements des Alpes-de-Haute-Provence - Alpes-Maritimes et Var[19],[20].
Environnement
[modifier | modifier le code]La commune compte 383 ha de bois et forêts, soit 68 % de sa superficie[1].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le col du Trébuchet 1 141 m et un relief proche "Le Pic de Salomon".
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Pierre est exposée à troisrisques naturels[21] :
- feu de forêt ;
- inondation ;
- mouvement de terrain.
La commune de Saint-Pierre n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[22] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[22] ; le Dicrim existe depuis 2011[23].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle : en 1984 pour un tremblement de terre, et pour des inondations, coulées de boue et glissements de terrain en 1994[21]. Le dernier tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui du , et dont l’épicentre était situé à Bussana Vecchia, en Italie ; il a atteint une intensité macro-sismique ressentie de VII et demi sur l’échelle MSK (causant d’importants dégâts aux maisons)[24],[25].
Sismicité
[modifier | modifier le code]Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Entrevaux auquel appartient Saint-Pierre est en zone 2 (sismicité moyenne) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[26], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[21]
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval[27] :
- rivière le Rioulan ;
- Ruisseau de Besseuges ;
- vallons de st-antonin, des miolans ;
- gros vallon ;
- ravin des moulières.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[28]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[29].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 989 mm, avec 5,4 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[28]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ascros », sur la commune d'Ascros à 7 km à vol d'oiseau[30], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 930,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,7 °C, atteinte le [Note 1],[31],[32].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[33]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[34].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Pierre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle est située hors unité urbaine[36]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[36]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[37],[38].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,3 %), prairies (19,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[39].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | ||
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Détails |
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
- Élevage.
Tourisme
[modifier | modifier le code]Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces de proximité à Puget-Théniers.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Municipalité
[modifier | modifier le code]Le maire Sauveur Patricola accorde sa signature à Marine Le Pen pour la présidentielle de 2017[51].
Budget et fiscalité 2019
[modifier | modifier le code]En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[52] :
- total des produits de fonctionnement : 137 000 €, soit 1 417 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 142 000 €, soit 1 466 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 81 000 €, soit 837 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 58 000 €, soit 595 € par habitant.
- endettement : 51 000 €, soit 521 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 21,67 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 30,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 83,88 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017[53].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Saint-Pierre fait partie:
- de 2008 à 2016 de la communauté de communes du Pays d'Entrevaux[54] ;
- à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[55].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]En 2021, Saint-Pierre comptait 96 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2008, 2013, 2018, etc. pour Saint-Pierre). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
L’histoire démographique de Saint-Pierre, après l’abandon complet au XVe siècle et la lente croissance allant de la fin du XVe siècle aux années 1830, est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de diminution de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[59] (même si elle repasse ponctuellement au-dessus de ce seuil, en 1926-1931 et 1946). Le mouvement de perte se poursuit jusqu’aux années 1970, où le plancher représente une perte de 82 % du maximum de 1851. Depuis, on assiste à un mouvement inverse qui a permis un triplement de population par rapport au minimum historique de 1975, et un retour au-dessus du seuil de la moitié de la population de 1851.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Comme de nombreuses communes du département, Saint-Pierre se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte chacune leur école dispensant une instruction primaire aux garçons, au village chef-lieu[60]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[61], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent la commune[62]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles des trois communes sont scolarisées.
La commune de Saint-Pierre dépend de l'Académie d'Aix-Marseille (Rectorat de Nice).
Elle est dotée d’une école[63] comportant une classe unique en primaire et une classe unique en maternelle. Dans le même bâtiment, un point-lecture informatisé (Le réseau des Médiathèques de la Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière (CCAPV) est installé, dans le cadre d'un réseau de 8 médiathèques et 10 bibliothèques qui maillent le territoire répartit en 5 secteurs.
Les établissements scolaires les plus proches sont à :
- Collèges : Puget-Théniers, Annot ;
- Lycées : Vence, Valdeblore.
Santé
[modifier | modifier le code]Les professionnels et établissements de santé les plus proches[64] :
- médecins à Villars-sur-Var ;
- kinésithérapeute à Touët-sur-Var ;
- Infirmiers à Villars-sur-var ;
- pharmacie à Entrevaux ;
- hôpitaux à Puget-Théniers.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Notre-Dame du Var[65], Diocèse de Nice.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Chapelle du village de Saint-Pierre.
-
La façade de la chapelle.
-
L'église Saint-Étienne et l'école.
-
L'école.
- Puget-Figette, en ruines, avec son église et le donjon XIIe siècle, dit tour Saint-Étienne ;
- maison fortifiée dite château des Isnardy, du nom d'une des plus vieilles familles notables de Saint-Pierre (1673) ;
- église Saint-Étienne (XIXe siècle) :
- deux cierges porte-pascals, en bois doré et peint[66],
- bustes de saint Pancrace et saint Fortunat, style Louis XIV (fin XVIIe siècle[67]), classés monuments historiques au titre objet[68],
- un tableau représentant l’Adoration des bergers, signé du peintre Joseph André et daté par lui de 1662, classé monument historique au titre objet[69],
- un triptyque représentant la Vierge à l’Enfant (sculptée) entre saint Pierre et saint Paul (peints) ;
- chapelle au village, 1612 (date figurant sur une pierre enchâssée dans la façade) ;
- chapelle au hameau du château ;
- ruines de la tour du Douanier, entre Saint-Pierre et Besseuge[70].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Roger Brunet, « Canton d’Entrevaux », sur Le Trésor des régions (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 28517, p. 1633.
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 81.
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Marseille, Laffite Reprints, (1re éd. 1950), p.212.
- Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 197.
- Notice no IA04001683, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Village de Saint-Pierre
- Daniel Thiery, « Saint-Pierre », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 17 août 2012.
- Philippe Jansen, « Les droits comtaux dans les vigueries de Provence orientale d’après l’enquête de 1333 », Rives méditerranéennes, no 37, 2010, mis en ligne le 15 octobre 2011, p. 3-4.
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, vol. 40, no 162, , p.405 (lire en ligne).
- Alain Venturini, « Vérité refusée, vérité cachée : du sort de quelques nouvelles avant et pendant la Guerre d'Union d'Aix (1382- 1388) », Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public. 24e congrès, Avignon, 1993, p. 183-185.
- Xhayet 1990, p. 416.
- Xhayet 1990, p. 421.
- Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 171 et 197.
- Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 [1], consulté le 18 novembre 2008.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Pierre », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », , 72 p. (ISBN 2-7399-5004-7).
- Description des Alpes-Maritimes
- Réseau des lignes régulières de transports des Alpes de haute-Provence
- Départ de Saint-Pierre
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 17 août 2012.
- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 98.
- Document, base Dicrim, consultée le 17 août 2012.
- BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Saint-Pierre », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 17 août 2012.
- BRGM, « fiche 1130045 », Sisfrance, consultée le 17 août 2012.
- Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,, , p.39.
- L'eau dans la commune
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- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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- Gîte rural
- Auberge de La Penne
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- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013.
- Michel Chièr est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Daniel Gluckstein à l’élection présidentielle de 2002, Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002.
- Michel Chièr est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Gérard Schivardi (PT) à l’élection présidentielle de 2007, Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007.
- Michel Chièr est l’un des 500 élus qui ont parrainé Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012.
- https://www.laprovence.com/actu/en-direct/3972222/saint-pierre-le-maire-decede-lors-du-congres-des-maires-a-paris.html
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- « Découvrez quels candidats à la présidentielle vos élus ont choisi de parrainer »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Communauté de communes du Pays d'Entrevaux, consulté le 24 août 2013
- Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
- « Résultats du recensement de la population - Saint-Pierre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Recensement de la population au 1er janvier 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
- Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
- Labadie 2013, p. 16.
- Labadie 2013, p. 18.
- Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Digne, publiée le 6 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010.
- [2]
- Paroisse Notre-Dame du Var
- Collier 1986, p. 474.
- Collier 1986, p. 470.
- Tous deux classés par l’arrêté du 25 juillet 1978, « notice du buste de saint Pancrace », notice no PM04000380, « notice du buste de saint Fortunat », notice no PM04000381, base Palissy du ministère de la Culture, consultées le 27 août 2008.
- Arrêté du 25 juillet 1978, Notice no PM04000382, base Palissy du ministère de la Culture, consultée le 27 août 2008.
- Collier 1986, p. 311.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Village de Saint-Pierre, sur pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/
- Saint-Pierre, sur Archéoprovence
- Une étude générale d'identification et d'inventaire du bâti du village a été réalisée par les stagiaires du « Centre européen de formation PARTIR (Patrimoine Architectural Rural, Techniques d'Identification et de Restauration) » - École d'architecture de Paris-La Villette, dans le cadre de ses sessions de formations d'application organisées par l'antenne du Centre pour la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
- Daniel Thièry, Recherches historiques églises et chapelles rurales : Saint-Pierre
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)Saint-Pierre, p. 1074
- Saint Pierre : L'ancien village castral s'appelait "Puget-Figette", sur dignois.fr/
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Les Gorges de Saint Pierre, Villars-Heyssier, Beauvezer
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes de France dont le code postal ne correspond pas au département
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Saint-Pierre sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes