Die (Drôme)
Die | |
Vue générale depuis l'est. | |
Héraldique |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Drôme (sous-préfecture) |
Arrondissement | Die (chef-lieu) |
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois (siège) |
Maire Mandat |
Gilbert Trémolet 2014-2020 |
Code postal | 26150 |
Code commune | 26113 |
Démographie | |
Gentilé | Diois, Dioises |
Population municipale |
4 803 hab. (2021 ) |
Densité | 84 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 45′ 13″ nord, 5° 22′ 13″ est |
Altitude | Min. 367 m Max. 1 841 m |
Superficie | 57,28 km2 |
Élections | |
Départementales | Le Diois |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-die.fr |
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Die est une commune française, sous-préfecture du département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Diois et Dioises.
Géographie
La commune de Die se trouve à environ une heure (60 km) à l'est de Valence, préfecture du département. Le territoire de la commune de Die fait partie du parc naturel régional du Vercors et du Pays diois (communauté de 52 communes englobant 4 cantons).
Géologie et relief
Ville située au sud-est de la France, dans les Alpes du Sud, Die se trouve au pied du massif du Vercors au bord de la rivière de la Drôme.
Die et sa vallée sont dominées par la montagne de Glandasse à 2 041 mètres, barrière rocheuse massive et raide composant l'extrémité méridionale du Vercors. La « plate-forme urgonienne de la montagne de Glandasse (dont "Le Pestel") » est un site géologique remarquable de 1 970,37 hectares, qui se trouve sur les communes de Châtillon-en-Diois (aux lieux-dits de Montagne du Glandasse et Le Pestel), Die, Laval-d'Aix, Romeyer, Treschenu-Creyers et Chichilianne. En 2014, elle est classée « trois étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[1].
Hydrographie
La commune est traversée par la Drôme[2], ainsi que par plusieurs de ses affluents : La Meyrosse[3], la Comane[4], le ruisseau de Marignac[5], le ruisseau de Valcroissant[6], et le ruisseau de Beaufayn[7].
Climat
Die bénéficie d'une durée d'ensoleillement allant de 90 heures par mois, en décembre, à 330 heures, en juillet. Ce dernier est le mois le plus chaud, avec des températures maximales à 40 °C. Les précipitations sont surtout importantes à l'automne, avec une moyenne de 135 mm en octobre[8]. Au mois de janvier, mois le plus froid de l'année la température moyenne est de 1,7 °C. La température moyenne annuelle est de 20.8 degrés.[réf. nécessaire]
Communes limitrophes
Voies de communications et transports
Réseau routier
À l'ouest, côté vallée du Rhône, la sortie d'autoroute la plus proche est la sortie 16 Loriol-sur-Drôme de l'A7, à Loriol ; la commune est accessible par la route départementale 93 (aussi appelée route des Alpes ou de Gap) ; au nord par la RD 518 depuis Villard-de-Lans, La Chapelle-en-Vercors et le col du Rousset. Côté Gapençais, à l'est, l'accès se fait à partir de la RD 1075 reliant Sisteron à Grenoble (Lus-la-Croix-Haute).
Réseau ferroviaire
La gare de Die[9],[10],[11] est située sur la ligne de Livron à Aspres-sur-Buëch et est desservie par :
- la ligne de TER Valence - Die - Gap[12] ;
- le train Intercité de nuit Paris-Austerlitz – Briançon via Valence.
Transports en commun
La commune est desservie par deux lignes de bus régulières, ainsi que par un service de bus à la demande pour les vallées du Diois, non desservies par une ligne régulière :
- la ligne 28 : Valence - Crest - Die - Luc-en-Diois ;
- la ligne 29 : Beaurières - Luc-en-Diois - Châtillon-en-Diois - Die.
Une nouvelle ligne sera prochainement mise en service : Vallée de Quint - Romeyer - Die[9].
Toponymie
Lorsque la ville de Die, alors capitale des Voconces sous le nom de Dea Andarta, dea signifiant « déesse », fut conquise par les Romains, elle prit le nom de Dea Augusta Vocontiorom (vers le IIIe siècle). Puis seul resta le nom de Dea puis Diá, utilisés dans le langage courant pour désigner la déesse jusqu'à sa transposition Die en français[13],[14],[15].
Die, Diá en occitan vivaro-alpin, tire son nom du culte de la déesse voconce Andarta, qui fut très certainement adoptée par les Romains[16].
Histoire
Préhistoire
Des traces d'habitat dès l'âge néolithique sont évidentes, notamment grâce aux fouilles de Chanqueyras. Une grande statue-menhir gravée accompagnée de deux petits menhirs, découverts près de la coopérative viticole (actuellement conservés au musée de Die) attestent également de la présence de populations dès cette époque.
Les vestiges de l'âge du Bronze final ont été observés à La Roche de Marignac. Quelques tessons ont été retrouvés à Chandillon.
Antiquité
Une première agglomération semble s'implanter au début de l'époque romaine sur un petit col surplombant la Drôme et le franchissement du vallon de Meyrosse, au carrefour entre la vallée et la voie menant au Trièves. De nombreux indices montrent l'extension de l'urbanisation au Ier siècle apr. J.-C.
Au début du IIe siècle, la ville de Die (Dea Augusta Vocontiorum) compte de nombreux monuments et acquiert un statut de capitale romaine, remplaçant Luc-en-Diois dans cette fonction pour le peuple des Voconces du nord. Le titre de colonie semble lui être décerné vers la fin du IIe siècle ou dans le courant du IIIe siècle. La ville devient un centre important du culte de Cybèle (attesté par 7 inscriptions tauroboliques) et obtient le statut de colonie (colonia Dea Augusta Vocontiorum) à la fin IIIe siècle.
Alors que l'Empire montre des signes de faiblesse, la ville s'entoure d'un rempart, entre 285 et 305, qui fortifie une surface urbanisée de 25 hectares. La région est en crise et des quartiers périphériques sont déjà abandonnés. Le rempart de Die occupe une longueur de près de deux kilomètres. Lors de l'édification, des fragments de monuments funéraires ont été réemployés. La ville avait deux portes principales : la porte Saint-Pierre, démolie en 1891, à l'ouest, et la porte Saint-Marcel à l'est. Lors de la construction du rempart, un arc monumental a été démonté et sa voûte intégrée dans l'actuelle porte Saint-Marcel. L'axe reliant les deux portes peut être considéré comme étant le decumanus. Le cardo, s'il existe, n'est pas localisé. Une route vers Grenoble passait par le massif de Glandasse (sud du Vercors) pour aboutir à Chichilliane. Sur ce plateau ont été retrouvés les fronts de taille de carrières de pierres extraites puis amenées à Die pour le Pas de Chabrinel.
Le premier évêque attesté est Nicaise, en 325, seul représentant des églises des Gaules au Premier concile de Nicée. Le diocèse sera réuni en 1276 à celui de Valence, puis à nouveau distinct de ce dernier à la fin du XVIIe siècle, avant d'être supprimé à la Révolution.
Le musée de Die et du Diois, dans le centre-ville, montre les nombreux et imposants vestiges de l'époque romaine, mais raconte également la Préhistoire du Diois, le Moyen Âge de cette cité épiscopale et les ravages des guerres de Religion.
Moyen Âge
Le , la ville de Die obtint la confirmation d'anciens privilèges, par lettres patentes du roi Louis XI (1423-1461-1483)[17].
Époque moderne
L'Académie protestante de Die est fondée en 1604. Le conseil du roi a supprimé l'Académie de Die le [18].
Après la bataille du Pas de Suse, le roi Louis XIII, accompagné de Richelieu, fait étape avec ses troupes à Die, le . Il lui sera offert, pour l'occasion, 2 charges de vins de muscat[19].
Après la Révocation de l’Édit de Nantes, en 1685, les protestants qui restent dans le pays sont forcés de pratiquer leur culte au Désert, ceux qui sont pris sont condamnés aux galères. De 1685 à 1787, date de l'édit de tolérance, 418 habitants de Die sont ainsi persécutés[20].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelages
La ville de Die est jumelée avec cinq villes[23] :
- Wirksworth (Royaume-Uni)
- Varallo Sesia (Italie)
- Frankenau (Allemagne)
- Kiskunfélegyháza (Hongrie)
- Dhouge (Sénégal)
Politique environnementale
Urbanisme
Le plan d'urbanisme en cours prévoit l'agrandissement de la zone d'activité économique de Chamarges, située à l'ouest de la ville[24].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2021, la commune comptait 4 803 habitants[Note 1], en augmentation de 4,96 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
Les élèves de Die débutent leurs études au groupe scolaire public Chabestan-Sermant, composé d'une école maternelle[29] (5 classes pour 142 enfants), et d'une école primaire[30] (10 classes pour 235 enfants). Une école privée, l'école primaire privée Notre-Dame, propose également ses services, à 41 élèves, dans 5 classes[31]. Ils poursuivent leurs études au Collège[32] - Lycée du Diois[33]. Au collège, l'option cirque, unique en France, leur est proposée, ainsi qu'une section "Sport-Nature", au lycée. Deux centre de formations pour adultes se situent à Die : le Greta Viva5 et le Cfppa de Die (centre de formation agricole).
Santé
- Hôpital public : Centre Hospitalier de Die - Drôme
À la suite de la fermeture des services de maternité et de chirurgie de l'hôpital du centre-ville, l'Agence régionale de santé (ARS) prévoit la construction d'un nouvel hôpital sur zone agricole en périphérie.[34]
Culte
La paroisse catholique de Die (Paroisse Saint Marcel en Diois) comprend 37 communes. elle dépend du Diocèse de Valence[35].
Les personnes de confession protestante disposent d'un lieu de culte[36]. Le bâtiment est inscrit au titre des monuments historiques, depuis 1931[37].
-
Le temple protestant
-
La cathédrale Notre-Dame
Services publics
Plusieurs services publics sont présents sur la commune[38] : La commune étant chef-lieu d'arrondissement, elle dispose d'un hôtel de sous-préfecture. D'autres administrations et établissements publics sont représentés : Gare SNCF, Hôtel des Impôts, La Poste, la Gendarmerie. Elle est également le siège de la Communauté de communes du Diois, dont les bureaux sont en centre-ville.
La Maison de services au public du Diois regroupe plusieurs services (Caf, Msa, Conciliateur de justice, Défenseurs des droits etc.).
Économie
Industrie
La commune dispose d'une zone d'activité économique, à l'ouest de la ville, la ZAE de Chamarges[24].
Tourisme
Die est une commune de moins de 5 000 habitants. Elle s'est accrochée dans les années 1960 et 1970 à ses petites industries en inéluctable déclin, le meuble et la chaussure. Ratant en conséquence le tournant historique du tourisme de masse. Aujourd'hui, Die bénéficie d'un tourisme estival important, populations nordiques et étrangères (Pays-Bas, Belgique) résidant essentiellement dans les campings autour de la vallée de la Drôme. Quant au tourisme hivernal, composé de visiteurs régionaux, il concerne le ski (championnat de France de ski Handisport), la randonnée en raquettes, les courses de chiens de traîneaux (compétition internationale de l'Alpirush) à la station de ski du col de Rousset (située dans le Massif du Vercors 1300-1700 mètres). C'est au col de Rousset qu'a eu lieu en 1992 la compétition internationale de course de montagne : Coupe du monde de courses en montagne, remportée par un colombien.
Agriculture
La Cave coopérative Clairette de Die, qui est le plus gros employeur du Diois, eut l'idée il y a quelques années d'adopter le nom de marque « Jaillance » pour être mieux reconnue de la concurrence, mieux identifiée par les consommateurs et optimiser ainsi sa puissance dans la vente et dans l'exportation.
Outre les agriculteurs et viticulteurs, le tissu économique se compose encore beaucoup de très petites entreprises, d'artisans, de prestataires de tourisme et de commerces de proximité. Die est également le centre économique et social de tout le Diois, disposant des écoles et des centres de formation (travaux acrobatiques). Les services publics et administratifs permettent aussi de faire vivre cette vallée.
Culture locale et patrimoine
Gastronomie
- Clairette de Die, AOC en 1942[39].
- Crémant de Die de création récente, AOC en 1993[40].
Médias locaux
- Journal du Diois et de la Drôme
- RDWA
- mediascitoyensdiois
- Deux fois par an, l'association Dea Augusta édite la revue d'histoire locale Chroniques du Diois.
Sports et loisirs
La région dioise possède plusieurs stations de ski : à Valdrôme (fermée depuis peu) à Lus-la-Croix-Haute (La Jarjatte) mais la principale est celle du Col de Rousset, juste au-dessus de Die, qui attire les touristes pendant les vacances d'hiver (trentaine de pistes) et également pour des compétitions de chiens de traineaux. On trouve aussi des écoles de Canoë-kayak qui proposent des itinéraires plus ou moins longs sur la rivière Drôme qui suit de près la route, facilitant les départs et les arrivées d'embarcations. Autour de Die se trouvent de nombreux sites d'Escalade et de Via ferrata sur les parois rocheuses des falaises du Vercors. S'y trouvent également plusieurs centres équestres et notamment le centre équestre Dakota, situé à environ 10 km de la ville, dans la petite commune de Solaure-en-Diois.
Personnalités liées à la commune
- Nicaise, premier évêque connu à Die, représente à lui seul la Gaule au Concile de Nicée en 325.
- La comtesse Beatritz de Dia, trobairitz du XIIe siècle.
- Ludovic Vallentin du Cheylard (1827-1902) est un archéologue et magistrat dauphinois né à Die.[réf. nécessaire]
- Marcel Leyat (1885-1986) est un inventeur né à Die.
- Paul Santy (1887-1970), chirurgien de Henri Matisse (1941), né à Die..
- Marcel Légaut (1900-1990) a vécu et travaillé à l'abbaye de Valcroissant.
- Jean Lamorte, ancien sénateur de la Drôme, né et décédé à Die.
- Joseph Reynaud, ancien sénateur et maire de Die, né dans cette ville.
- Abel Verdurand, ingénieur (1886-1979), né à Die.
- Maurice Vérillon, sénateur de la Drôme de 1959 à 1980 et maire de Die de 1947 à 1974, décédé dans cette ville.
- Alain Maurice, maire de Valence de 2008 à 2014, né à Die.
- André Pitte, né à Pantin, résidant à Die, écrivain, éditeur, directeur de rédaction de la revue l'Alpe et inventeur et organisateur de la fête de la transhumance[41], décédé en 2006[42].
- Nans Thomassey, anime une émission télévisée, Nus et Culottés depuis le 26 juillet 2012 sur France 5. Il faisait partie de l'option Sport-Nature du lycée de Die.[réf. nécessaire]
Lieux et monuments
Vestiges des remparts gallo-romains
- Remparts gallo-romains : des IIIe et IVe siècles. Ces murs de 3,60 m d'épaisseur atteignaient 2 km de long. Ils sont classés au titre des monuments historiques[43],[44]
- Porte Saint-Marcel : du IIIe siècle (porte principale de la ville). Cette porte romaine fortifiée fut érigée avec les remparts. Elle est classée au titre des monuments historiques[45]
Monuments religieux
- Cathédrale Notre-Dame, place de l'Horloge : (porche du XIe siècle). Elle est classée au titre des monuments historiques[46].
- Mosaïque romane des quatre fleuves, dans la chapelle Saint-Nicolas du palais épiscopal, place de l'Évêché où elle servait de tapis d'autel. Elle est la représentation symbolique de l'univers.
- Temple protestant, rue du Docteur Amédée Rousset : ancienne chapelle Jésuite du XVIIIe siècle. porte sculptée et chaire du XVIIIe siècle. Il est classé au titre des monuments historiques[37].
- Abbaye de Valcroissant, classée au titre des monuments historiques[47]
- Église des Cordeliers, rue des Cordeliers.
- Chapelle de l'hôpital, rue Bouvier.
- Chapelle Notre-Dame d'Espérance, chemin de Purgnon.
- Chapelle de Sallières.
- Église évangélique, route du Col de Rousset.
- Salle du royaume des témoins de jéhovah, route de Gap.
Monuments laïcs
Plusieurs bâtiments sont à découvrir à Die :
- Le Clos des Eglises, route de Romeyer, ancienne campagne de la famille Vallentin du Cheylard (XIXe siècle) érigée sur des fondations plus anciennes.
- Le Château Saint-Laurent, inscrit au titre des monuments historiques[48]
- L'Hôtel Vallentin du Cheylard (actuelle sous-préfecture), construit et luxueusement décoré durant le premier quart du XIXe siècle par Lucien Vallentin du Cheylard (1800-1863) et son épouse Jeanne de Laplane (1807-1898).
- La Tour de Purgnon : il reste les vestiges d'un château épiscopal transformé en chapelle mariale au XIXe siècle.
- Une tour du XIe siècle est visible en façade dans la rue de l'Armellerie à Die.
- De nombreuses inscriptions romaines, des chapiteaux et sculptures médiévales, sont remployées dans les façades des maisons urbaines.
- Le musée de Die et du Diois (musée de France, municipal) abrite d'intéressantes collections archéologiques et historiques, remontant au Néolithique. Le musée se trouve dans un hôtel particulier du XVIIIe siècle. La période gallo-romaine, la plus riche, s'illustre par les autels tauroboliques, classés au titre des monuments historiques[49] (ouvert d'avril à octobre).
- La Maison du notaire Chambron, est inscrite au titre des monuments historiques[50]
- Les Maisons d'époque Renaissance, dans le quartier Saint-Vincent.
- Le Presbytère de Die, est inscrit au titre des monuments historiques[51]
- La Bastide de Vaux, au nord-est de la Ville
- La Bastide de Sallières, au nord-est de la Ville
-
La porte Saint Marcel, dernière des trois portes de l'ancienne cité de Die
-
Base de la muraille gallo-romaine en matériaux de réemploi (boulevard du Cagnard)
-
La tour de Purgnon
-
Le musée de Die
-
Les remparts de Die
Événements
- Les Rencontres de l'Écologie au quotidien (10 jours fin janvier)
- Fête de la transhumance Diois-Vercors (au mois de juin)
- Le Rallye Terre du Diois, chaque début d'été.
- Festival Est-Ouest. Après la Grèce en 2011, le festival Est-Ouest consacre son édition 2012 à la Croatie. Il se déroule sur une dizaine de jours lors de la deuxième quinzaine de septembre.
- Marchés les mercredis et samedis matins
- Fête votive : premier week-end de juillet
- Fête Romaine de la Drôme en Pays Diois : le dernier week-end de juillet
Blasonnement
Les armes peuvent se blasonner ainsi : De gueules au château d'or sommé de trois tours du même, celle du centre plus élevée, le tout crénelé, maçonné, ouvert et ajouré de sable. |
Voir aussi
Bibliographie
- Histoire de Die, André Mailhet, collection "Monographies des villes et villages de France", éditions "Le Livre d'histoire", 1897, réédition 2003 (sans actualisation).
- Le guide du Diois, sous la direction d'André Pitte, éditions A Die, 1995.
- Die, histoire d'une cité, ouvrage collectif, article "L'époque romaine" (par Henri Desaye) p. 29-66, éditions Patrimoine de la Vallée de la Drôme, Die, 1999.
- J. Planchon, "Die (Drôme), de la ville ouverte à la ville fortifiée", Gallia, no 63, 2006, p. 75-79 (sur le site Persée).
- Carte archéologique de la Gaule, 26 - La Drôme, article "Die" (par Jacques Planchon) p. 245-348, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 2010.
- Inscriptions Latines de Narbonnaise, VII, les Voconces, 1, Die, article "Introduction" (par Henri Desaye et Bernard Rémy) p. 41-52, Gallia, XLIV suppl. (ILN), CNRS Éditions, Paris, 2012.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
- fiche de la Drôme sur le site du SANDRE
- fiche de la Meyrosse sur le site du SANDRE
- fiche de la Comane sur le site du SANDRE
- fiche du le ruisseau de Marignac sur le site du SANDRE
- fiche du le Ruisseau de Valcroissant sur le site du SANDRE
- fiche du le Ruisseau de Beaufayn sur le site du SANDRE
- Climat de Die sur le site Météo-France
- Transports à Die
- Fiche de la gare sur la SNCF
- Gare de Die
- [1]
- J. Planchon, « De Luc à Die : le chassé-croisé des capitales voconces », dans Capitales éphémères (Actes du colloque de Tours, 6-8 mars 2008), 25e suppl. à la Rev. Archéo. Du Centre de la France, Tours, 2004, p. 233-245.
- A. Longnon, Les noms de lieu de la France : leur origine, leur signification, leurs transformations, E. Champion, Paris, 1920, p. 115.
- http://tpprovence.wordpress.com/2011/08/12/andarta-la-deesse-guerriere-des-voconces/
- P. Duval, Les Dieux de la Gaule, Paris, Payot, coll. « Petite bibliothèque », 1976, p. 58.
- https://books.google.fr/books?id=OJ-b2-CLz7EC&pg=PA23 Lettres patentes de Louis XI, Paris, le 16 octobre 1467
- E. Arnaud, Histoire de l'Académie protestante de Die en Dauphiné, p. 92-205, Bulletin de l'Académie delphinale, 1871, 3e série, tome 7 (lire en ligne)
- Jean Adhémar, « Louis XIII à Die, 4 mai 1629 (d'après des sources locales) », Revue Drômoise (Valence), vol. LXXXIII, no 427, , p. 60
- A. Bernard, « Mirabel : histoire résumée d'un village descendu de sa colline dans la vallée », Études drômoises, no 50, 1980, p. 24.
- Die sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 30 octobre 2014).
- Résultats élections sur le site de France 3 Rhône-Alpes.
- jumelage
- agrandissement de la ZAE de Chamarges
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- école maternelle publique
- école primaire publique
- école primaire privée
- Collège
- lycée du Diois
- « À Die, les décisions toujours plus absurdes des autorités de santé », sur Reporterre, le quotidien de l'écologie (consulté le )
- paroisses catholique
- cultes à Die
- Notice no PA00116936, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- services plublics
- Décret du 30 décembre 1942 définissant les conditions de contrôle de l'appellation « clairette de Die », JORF du 27 janvier 1943, p. 248.
- Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
- Denis Chevallier « Les chemins d’André », sur L'Alpe (consulté le )
- Pierre-Antoine Landel « Disparition : André Pitte, inventeur de rêves, tisseur de liens », sur Persée (consulté le )
- Notice no PA00116935, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jacques Planchon, Die (Drôme) : de la ville ouverte à la ville fortifiée, p. 75-79, Gallia, année 2006, no 63 (lire en ligne)
- Notice no PA00116934, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00116933, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00116931, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00117098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00116932, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA26000014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA26000016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture