Échevis

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Échevis
Échevis
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Royans-Vercors
Maire
Mandat
Philippe Inard
2020-2026
Code postal 26190
Code commune 26117
Démographie
Gentilé Cavisiens, Cavisiennes
Population
municipale
56 hab. (2021 en augmentation de 14,29 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 01′ 41″ nord, 5° 23′ 06″ est
Altitude Min. 277 m
Max. 1 240 m
Superficie 11,11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vercors-Monts du Matin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Échevis

Échevis est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Petite commune à l'aspect essentiellement rurale, Échevis est situé dans le Royans à 35 km à l'est de Romans-sur-Isère et à 6 km de Pont-en-Royans

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La vallée d'Échevis est resserrée entre deux reliefs montagneux.

Sites particuliers :

  • L'Allier est un mont (1275 m), attesté en 1891, des communes d'Échevis et de Saint-Julien-en-Vercors. Il était dénommé Lallier en 1505 (archives de la Drôme, fonds du Vercors)[1].
  • Les Rochers d'Échevis est une barre rocheuse qui culmine à 918 m au sud de la commune[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par :

  • la Vernaison[2], rivière longue de 30 km qui se jette dans la Bourne à Pont-en-Royans.
  • le Ruisseau des Lants, affluent de la Vernaison. Il prend sa source (Source des Fourneaux) aux Rochers des Mines[2]. Son cours est d'environ 1,5 km de long.
  • le ruisseau la Chalanche, affluent de la Vernaison[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 186 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chapelle-en-Vercors »sur la commune de La Chapelle-en-Vercors à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 9,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 325,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est accessible par route départementale RD 518.

La vallée d'Échevis est resserrée entre deux reliefs montagneux. La route est alors taillée dans la roche.
Du côté de Sainte-Eulalie, cinq tunnels se suivent, ce sont les « Petits Goulets ». De l'autre côté, se trouvent les « Grands Goulets ». Taillés dans la roche entre 1843 et 1854, ils ont aujourd'hui été remplacés par un unique tunnel, plus long, à la suite de nombreux éboulements représentant un risque permanent pour les automobilistes[réf. nécessaire].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Échevis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (79,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (16,1 %), prairies (13 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[2] :

  • Audemas
  • Bayon
  • Belvédère de Revoulat
  • Binla
  • Chabert
  • Côte Sambuc
  • Cuillerée
  • Faure
  • Grangeage
  • la Chardière
  • la Combe
  • la Cure
  • la Goutet
  • l'Argoire
  • l'Armey
  • le Moulin
  • le Penat
  • le Pont d'Échevy
  • le Refuge
  • les Chapoutères
  • les Clots
  • les Grilles
  • les Rochas
  • les Roux
  • Paillette
  • Piofraix
  • Roche Fendue
  • Sélières
  • Terres Rouges

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 1236 : Eschavis (Chevalier, Not. sur Bouvantes).
  • 1345 : Echavis (voir aussi : Fillet, Echevis religieux, 62) (en ligne[16]).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Eschavis (pouillé de Die).
  • 1404 : mention de la paroisse Saint-Michel : cura Sancti Michaelis d'Eychavis (inventaire de Sainte-Croix).
  • 1449 : mention de la paroisse : ecclesia de Eschaffino (pouillé hist.).
  • 1496 : Echavisium (Bull. arch., VI, 46).
  • 1516 : mention de la paroisse : cura de Eschafinis (rôle de décimes).
  • 1551 : Eschevis (Combes, notaire à Saint-Martin-en-Vercors).
  • 1573 : Echevins (visites épiscopales).
  • 1590 : Eychevins (visites épiscopales).
  • 1613 : Eschaffins (visites épiscopales).
  • 1620 : mention de la paroisse : la cure d'Eschevins (rôle de décimes).
  • 1891 : Échevis, commune du canton de Saint-Jean-en-Royans.

Étymologie[modifier | modifier le code]

D'après M. de Coston, ce nom pourrait être formé par le mot latin cavus (qui désigne un lieu creux ou une cave) et du mot vis (qui désigne l'eau ou la rivière et qui pourrait être la Vernaison)[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Des urnes en céramique de forme sphéroïdale ont été retrouvées dans de nombreuses tombes de la commune. Elles témoignent d'une ancienneté respectable à une époque où les urnes grossières en terre cuite étaient le mode d'inhumation le plus répandu[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie : la terre d'Échevis fait partie du marquisat de Pont-en-Royans appartenant à la famille Bérenger-Sassenage[15].

L'église d'Échevis fut détruite par la guerre avant le XVIe siècle. Elle est reconstruite dès 1626 sous la direction de Le Blanc, curé de la paroisse de Châtelus et Échevis.
Avant 1676, il n'y avait qu'un seul curé pour les deux communes. En 1676, Louis Millou devient l'unique curé d'Échevis jusqu'à sa mort en 1706[16].

1688 (démographie) : 25 à 30 familles[15].

Avant 1790, Échevis était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence, et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église était dédiée à saint Michel. Les dîmes appartenaient au prieur de la Saône (Isère) qui présentait à la cure[15].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune fait partie du canton de Saint-Jean-en-Royans[15].

En 1876, la mairie d'Échevis est reconstruite. Depuis cette date, et jusque vers 1882, cette maison abrita une école mixte, la salle de la mairie ainsi que le presbytère[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 Léon Borel    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 Christian Borel    
2001 2008 Claude Madern DVD artisan
2008 2014 Claude Madern   maire sortant
2008 2020 Claude Madern   maire sortant
2020 En cours
(au 20 février 2021)
Philippe Inard[17][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 56 habitants[Note 2], en augmentation de 14,29 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
219139155182195228228231209
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
217221221206192177153141117
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
110102105957660704553
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
464136473652606254
2014 2019 2021 - - - - - -
525656------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : premier dimanche d'octobre[22].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : pâturages (ovins), pisciculture[22].

L'agriculture de la commune est encore active, avec la présence d'un pisciculteur, et de deux chevriers[23].

La Pisciculture des Truites de la Vernaison. Ouverte par Pierre Murgat, elle est aujourd'hui gérée par Jean-François Murgat. C'est une ferme aquacole artisanale où les transformations se font sur place. Elle propose un point de vente directe à Échevis ainsi que des livraisons à différents restaurateurs de la région. Elle offre des produits typiques de la région : truite fumée, truite arc-en-ciel ou truite fario, entières ou en filets, etc. En utilisant l'eau de la Vernaison, elle s'assure d'une eau pure et fraîche toute l'année[24].

Commerce[modifier | modifier le code]

  • La Guinguette du Pêcheur se trouve dans un cadre calme et verdoyant à proximité de la Vernaison. Le restaurant propose des spécialités régionales : truite fumée, gratin raviolé, caillettes, etc. La guinguette dispose aussi d'un étang de pêche à la ligne : truite fario, truite arc-en-ciel et saumon de fontaine. Le domaine propose aussi un ancien bateau rénové en aire de jeu ainsi qu'un circuit de chasse au trésors destiné aux enfants[25].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Station climatique d'été[22].

La vallée possède deux gîtes :

  • La Fontaine de Triol : « Gîte suspendu en haut de la vallée d'Échevis, aux portes du Vercors, entre Petits et Grands Goulets, dans un cadre naturel et apaisant. »[26].
  • Le gîte Paillette : « Au pied du massif du Vercors, avec vue sur les Grands Goulets, cette ancienne ferme en pierres apparentes est entourée de falaises, de pâturages et de forêts. Un torrent coule en contrebas et une fontaine dans la cour. »[27].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du Parc naturel régional du Vercors[22].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Échevis possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (L'Allier).
  2. a b c d e f g et h « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Échevis et La Chapelle-en-Vercors », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chapelle-en-Vercors », sur la commune de La Chapelle-en-Vercors - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Chapelle-en-Vercors », sur la commune de La Chapelle-en-Vercors - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 130 (Echevis).
  16. a b et c Louis Fillet (abbé, aumonier de la Trinité à Valence) (1840-1902), Echevis religieux, notice historique, Montbéliard, imprimerie P. Hoffmann, )
  17. « Annuaire des Communes de la Drôme », sur Association des Maires et Présidents de… (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. a b c d e f et g Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Echevis.
  23. agriculture
  24. « Les truites de la Vernaison », sur Drôme Tourisme (consulté le ).
  25. « Restaurant La Guinguette du Pêcheur à Échevis », sur www.vercors-drome.com (consulté le ).
  26. « Gîte - La Fontaine de Triol - Échevis », sur Gîtes de France (consulté le ).
  27. « Gîte - Paillette - Échevis », sur Gîtes de France (consulté le ).
  28. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016