Malissard

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Malissard
Malissard
Place du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Jean-Marc Valla
2020-2026
Code postal 26120
Code commune 26170
Démographie
Gentilé Malissardois, Malissardoises
Population
municipale
3 271 hab. (2021 en augmentation de 1,87 % par rapport à 2015)
Densité 322 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 08″ nord, 4° 57′ 26″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 176 m
Superficie 10,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valence-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Malissard
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Malissard
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Malissard

Malissard est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Malissardois et Malissardoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Malissard est à l'est de Valence, chef-lieu de la Drôme.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Malissard, dans la plaine de Valence, ne possède aucun relief.

Sites particuliers :

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • la Véore ;
  • le Béal ;
  • le Blacha ;
  • le Canal Secondaire de la Bourne ;
  • le Crapaud ;
  • le Guimand, affluent de la Véore.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 7,3 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Guillonville à 435 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 617,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Malissard est desservie par le périphérique valentinois qui traverse son territoire à l'ouest.

  • Sortie 33 : Valence-Centre, Malissard, Beaumont-lès-Valence, Université, Technoparcs

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Malissard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[11] et 131 695 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,2 %), zones urbanisées (18,5 %), cultures permanentes (10,9 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le centre-ville historique de Malissard est constitué de petits immeubles (moins de trois étages) mais la plupart des constructions du village sont des maisons individuelles, regroupées en lotissements.

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Bel-Air
  • Bois de Saillant
  • Brot
  • Charas
  • Chosson
  • Fond Chambonne
  • Grange Neuve
  • Guimand
  • la Buzatte
  • la Dijonne
  • la Forêt
  • la Ruelle
  • le Clos des Tourettes
  • le Clos du Camet
  • le Gour du Loup
  • le Grand Charbonnel
  • le Grand Rousset
  • le Petit Charbonnel
  • le Pré des Réaux
  • les Balayes
  • les Blaches
  • les Boudets
  • les Gérins
  • les Petites Chirouzes
  • les Quarts
  • les Quarts de la Ruelle
  • les Rabières
  • les Roches
  • les Terres Rouges
  • les Tourettes
  • les Treize Cantons
  • les Trois Bûches
  • les Valensayes
  • Saillant
  • Saint-Maurice

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune est dénommée Maleissart en provençal[réf. nécessaire].

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :

  • 1514 : Mal Eyssart (archive de la Drôme, E 2156).
  • 1575 : Malessart (terrier de Saint-Just).
  • 1891 : Malissard, commune du canton de Chabeuil.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

Avant 1790, Malissard était une paroisse du diocèse de Valence et de la communauté de Chabeuil, érigée en 1769, et dont l'église, dédiée à saint Maurice, dépendait du prieur de Chabeuil, qui y prenait la dime et présentait à la cure[17].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

La place Principale de Malissard vers 1913.

Cette paroisse a fait partie de la commune de Chabeuil jusqu'au , date à laquelle elle a été érigée en commune distincte[17].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Malissard
Mairie de Malissard.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23.

Le conseil municipal formé à la suite des élections municipales de 2020 est composé du maire, de 6 adjoints et de 16 conseillers municipaux[18][source insuffisante].

fff [18][source insuffisante].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : depuis 1867
1867 (oct.) 1871 Jacques Bernard    
1870 (août) 1871 (mai) Pierre Pozier    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 (mai) 1872 (30 juin) Jean Baptiste Roche du Béal   mort en cours de mandat (53 ans)
1872 (juill.)
(élection ?)
1874 Jean Baptiste Roche    
1874 1876 (oct.) Jean Baptiste Roche   maire sortant
1876 (oct.)
(élection ?)
1877 (déc.) Jules Sifflet    
1877 (déc.)
(élection ?)
1878 (janv.) François Richard    
1878 (janv.) 1880 (mars) Antoine Trouiller    
1880 (mars)
(élection ?)
1884 Jules Sifflet    
1884 1887 (oct.) Étienne Chessière    
1887 (oct.)
(élection ?)
1888 Joseph Marcelin Blache    
1888 1892 Joseph Marcelin Blache   maire sortant
1892 1896 Joseph Marcelin Blache   maire sortant
1896 1900 Joseph Marcelin Blache   maire sortant
1900 1904 Louis Bernard    
1904 1908 Louis Bernard   maire sortant
1908 1912 Louis Bernard   maire sortant
1912 1917 Louis Bernard   maire sortant
1917
(élection ?)
1918 (nov.) Élie Lebrat    
1918 (nov.)
(élection ?)
1918 (déc.) Jules Sifflet    
1918 (déc.)
(élection ?)
1919 Élie Lebrat    
1919 1920 (mai) Élie Lebrat   maire sortant
1920 (mai)
(élection ?)
1925 Pierre Chave    
1925 1929 Pierre Chave   maire sortant
1929 1935 Pierre Chave   maire sortant
1935 1944 (sept.) Paul Dorée    
1944 (sept.)
(élection ?)
1945 Aimé Giren    
1945 1947 Aimé Giren   maire sortant
1947 1953 Aimé Giren   maire sortant
1953 1959 Aimé Giren   maire sortant
1959 1965 Emile Courthial    
1965 1971 Emile Courthial   maire sortant
1971 1977 Emile Courthial   maire sortant
1977 1978 (nov.) Claude Loriot    
1978 (nov.)
(élection ?)
1983 André Bourette    
1983 1989 Jean Paul Raymond    
1989 1995 Colette Bes    
1995 2001 Colette Bes   maire sortante
2001 2008 Colette Bes   maire sortante
2008 2014 Brigitte Coupat DVG  
2014 2020 Bernard Pelat UDI cadre
2020 En cours
(au 1 juin 2021)
Jean-Marc Valla[18][source insuffisante] PCF paysagiste

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

En 2021, la commune comptait 3 271 habitants[Note 3], en augmentation de 1,87 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
777747698634673646634656616
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
5455725915955186438421 0901 534
1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - -
2 0112 5522 9033 1213 2473 1923 271--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

La commune dispose de[23]. :

  • trois cabinets médicaux ;
  • un cabinet dentaire ;
  • deux cabinets de kinésithérapie ;
  • un cabinet vétérinaire ;
  • Une pharmacie.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Février : le carnaval avait lieu pour mardi gras. Les enfants étaient invités à venir déguisés à l'école maternelle et à l'école primaire ainsi que les adultes[réf. nécessaire].
  • Mars : Bienvenue au printemps, la fin de l'hiver et le début du printemps étaient célébrés aux alentours du . Dans un champ près de la place Emile-Courthial, on brûlait un bonhomme d'hiver en paille pour symboliser la fin de l'hiver et le retour du printemps et des beaux jours[réf. nécessaire].
  • (non daté) : le loto de l'école était une manifestation organisée par les enseignants de l'école primaire Louis-Pergaud. Les écoliers étaient invités à vendre des cartons de loto auprès de leur famille afin de récolter de récolter des fonds pour l'école et convier plus de personnes à ce loto. Généralement, le Loto de l'école se déroulait dans la salle des fêtes[réf. nécessaire].
  • Mai-juin : fête communale : le lundi de Pentecôte[24].
  • Fin juin : La fête de l'école : les instituteurs et les parents d'élèves sont invités à tenir des stands où les enfants peuvent s'amuser au jeu « la queue de l'âne », « le mikado géant », « le tir sur œuf ». Il y a aussi la traditionnelle tombola[réf. nécessaire].
  • Juillet : le feu d'artifice célébrant la Fête nationale a lieu le au soir. Il peut être tiré sur la place Emile-Courthial, ou dans un champ près de la route de la Trésorerie. Il est suivi d'un bal populaire sur la place près de l'église[réf. nécessaire].
  • Septembre : fête patronale : premier dimanche suivant le 22 septembre (en 1992)[24].
La Saint Maurice a lieu le week-end le plus proche du . Elle commence le vendredi et se termine le lundi (parfois prolongée jusqu'au mercredi). Sur la place Emile-Courthial, on trouve des auto-tamponneuses (une attraction pour enfants et une pour ados/adultes), des jeux de tirs à la carabine, de pêche aux canards, un manège pour enfants, parfois un palais du rire, et depuis peu une attraction à sensations fortes. La brocante à lieu le dimanche du même weekend.[réf. nécessaire].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

La commune possède deux terrains de football (club résident : Étoile Sportive Malissardoise), un terrain de rugby, d'innombrables terrains de pétanque ainsi que plusieurs courts de tennis[réf. nécessaire].

Médias[modifier | modifier le code]

Le Mag'lissard est l'organe officiel de propagande de la commune.

Cultes[modifier | modifier le code]

La commune compte 1 lieu de culte (Église Saint-Maurice) et environ 3200 incultes.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : maïs, arbres fruitiers, aviculture[24].

  • Marché : le jeudi[24].

Commerce[modifier | modifier le code]

Industrie[modifier | modifier le code]

La zone d'activité de Guimand est située au nord-est de la commune : mécanique, électronique, câblage, agro-alimentaire, services (transport, garages automobiles)[réf. nécessaire].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts 1914-1918 en 2004, avant son transfert derrière la mairie.
  • Chapelle Saint-Maurice (ruinée, en 1992)[24].
  • Église Saint-Maurice de Malissard, néo-romane (XIXe siècle)[24].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Malissard possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Bernard Piccoli, Si Malissard m'était conté… : 100 ans d'histoire communale, Association malissardoise d'information, .

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Malissard et Guillonville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Guillonville », sur la commune de Guillonville - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Guillonville », sur la commune de Guillonville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  17. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 203 (Malissard).
  18. a b et c Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « Médical - Mairie de Malissard », sur malissard.fr (consulté le ).
  24. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Malissard.